La gestion passive accroît certains risques, mais en réduit d'autres.
La Réserve fédérale des États-Unis a laissé son taux d'intérêt de référence inchangé mercredi, alors que l'économie semble être en bonne santé, mais que certaines menaces mondiales persistent.
La faiblesse des taux d'intérêt et la réduction des tensions commerciales stimuleront probablement l'économie mondiale au cours des deux prochaines années et contribueront à une croissance stable, quoique modeste, a avancé lundi le Fonds monétaire international (FMI).
L'économie canadienne s'est légèrement contractée en octobre, avec un produit intérieur brut réel en baisse de 0,1% par rapport à septembre, le premier recul d'un mois à l'autre depuis février, a indiqué lundi Statistique Canada.
La Réserve fédérale des États-Unis a laissé son taux d'intérêt directeur inchangé mercredi, en plus de signaler qu'elle s'attendait à ne pas apporter de modification tout au long de l'année prochaine.
Paul Volcker, l'ancien président de la Réserve fédérale des États-Unis, qui, au début des années 1980, a relevé les taux d'intérêt à des sommets historiques, est décédé, selon son bureau. Il avait 92 ans.
La Banque du Canada laisse pour sa part son taux directeur inchangé.
PLANÈTE FINANCE - Alors que les partisans d’une destitution de Donald Trump sont de plus en plus nombreux de l’autre côté de la frontière, cette éventualité ne semble pas de nature à perturber les cours de la Bourse.
ZONE EXPERTS - Il n’y a pas de doute que l’économie mondiale a ralenti depuis le début de l’année. Même aux États-Unis, qui ont été le moteur de la croissance mondiale depuis plus de 10 ans maintenant, le ralentissement est apparent depuis le mois de mai dernier.
Les perspectives demeurent cependant incertaines.