Standard Life – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Tue, 10 Dec 2024 12:41:12 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Standard Life – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Jean-Philippe Lemay se joint à Connor, Clark & Lunn https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/jean-philippe-lemay-se-joint-a-connor-clark-lunn/ Tue, 10 Dec 2024 12:41:12 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104553 NOUVELLES DU MONDE — Celui-ci entrera en poste le 6 janvier.

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Le Groupe financier Connor, Clark & Lunn a annoncé l’embauche de Jean-Philippe Lemay. Il se joindra à l’équipe de direction de la firme à compter du 6 janvier 2025.

Depuis le bureau de Montréal, celui-ci supervisera ses équipes responsables de la distribution institutionnelle mondiale et du marketing, en plus d’assurer un leadership efficace pour le Groupe financier CC&L au Québec.

Jean-Philippe Lemay possède près de 25 années d’expérience en tant que dirigeant dans le domaine des placements. Il a travaillé durant 13 ans chez Fiera Capital, où il a exercé ses activités en mettant au point des solutions de placement axées sur le passif, avant d’occuper le poste de chef de la direction. Avant de se joindre à Fiera, il a été spécialiste de la gestion des risques et de la recherche quantitative à la Standard Life. Il a aussi été gestionnaire de portefeuille indiciel pour les actions internationales à la Caisse de dépôt et placement du Québec.

Titulaire d’un baccalauréat spécialisé en actuariat de l’Université Laval et d’une maîtrise en mathématiques financières de l’Université Stanford, il est également Fellow de la Society of Actuaries (FSA), Fellow de l’Institut canadien des actuaires (FCIA), et possède la certification CAIA (analyste agréé en placements alternatifs).

« Nous sommes ravis d’accueillir M. Lemay au sein de notre société », a déclaré Warren Stoddart, chef de la direction de Groupe financier CC&L. « Il s’agit d’une personne accomplie qui possède une vaste expérience et des compétences éprouvées en matière de leadership. Il constituera un ajout précieux à notre équipe de direction. L’intégration d’une personne de son calibre à notre équipe du bureau de Montréal est une étape importante dans le développement de notre présence au Québec au cours des prochaines années. »

« Je suis honoré de me joindre au Groupe financier CC&L et j’ai hâte de contribuer au progrès de la société », a indiqué Jean-Philippe Lemay. « Le Groupe financier CC&L, dont le succès dans le secteur des services financiers au Canada n’est plus à prouver, est devenu peu à peu l’une des plus importantes sociétés indépendantes de gestion d’actifs au pays. Ses sociétés affiliées, notamment Gestion d’actifs Global Alpha, Baker Gilmore & Associés et Gestion privée CC&L, font affaire avec de nombreux clients institutionnels et fortunés de la province. Je me réjouis à l’idée de collaborer avec l’équipe talentueuse du Groupe financier CC&L pour continuer sur cette lancée et favoriser une croissance soutenue à l’échelle locale et mondiale. »

Le Groupe financier CC&L et ses sociétés affiliées gèrent un actif de plus de 135 milliards de dollars répartis dans un éventail de stratégies de placement traditionnelles et non traditionnelles, à partir de bureaux au Canada, aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Inde.

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Nouveau chapitre de la carrière d’une fonceuse https://www.finance-investissement.com/edition-papier/nouvelles-edition-papier/nouveau-chapitre-de-la-carriere-d-une-fonceuse/ Mon, 13 Nov 2023 05:19:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97326 Nancy ­Paquet vise d’abord la croissance organique de la banque.

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Nancy Paquet est devenue première ­vice-présidente à la direction, ­Gestion de patrimoine, à la ­Banque Nationale (BN) le 1er novembre. Elle est la première femme à occuper ce poste dans l’histoire de la banque.

Lors de l’annonce de sa nomination, en juin, ­Laurent ­Ferreira, président et chef de la direction à la ­BN, soulignait son « approche axée sur la croissance, son leadership mobilisateur et sa capacité à bâtir de solides partenariats internes et externes ».

Nancy ­Paquet « a joué un rôle déterminant dans la transformation et la modernisation de tous les secteurs qu’elle a menés », ­ajoutait-il.

S’ouvre ainsi un nouveau chapitre dans la carrière de cette gestionnaire qui a rarement hésité à sortir de sa zone de confort. Native de ­Beauport, en banlieue de ­Québec, Nancy ­Paquet est titulaire d’un baccalauréat en droit de l’Université ­Laval (1993). Elle a choisi le droit parce que cela menait aux affaires et même au journalisme, qui l’intéressait également.

Elle ose dès le début de sa carrière en commençant à Montréal au cabinet ­Desjardins ­Ducharme. « J’ai été affectée au secteur valeurs mobilières/­fusions-acquisitions, et j’ai fait wow ! C’est ça que j’aime ! »

Elle effectue par la suite son ­Cours sur le commerce des valeurs mobilières au ­Canada et poursuit ses études au MBA à ­HEC ­Montréal. « C’était audacieux de faire un MBA en travaillant à temps plein, tout en ayant un enfant, mais ce fut une excellente décision », relate ­Nancy ­Paquet, qui a obtenu son diplôme en 2001.

La même année, elle prend une autre décision audacieuse et se joint à ­Standard ­Life à titre de démarcheuse (wholesaler). « Ça m’a pris beaucoup de courage pour changer d’industrie. Mais je suis tombée à l’endroit où je pouvais dire “c’est ce que je veux faire dans la vie !” »

Ce tournant de sa carrière n’a guère plu à son père. « ­Il était tellement découragé. Aujourd’hui, il est passé ­par-dessus », ­ajoute-t-elle avec un clin d’œil.

À ­Standard ­Life, ­Nancy ­Paquet a fait la connaissance de Bernard ­Letendre, alors premier ­vice-président, ­Fonds de placement. Il lui a appris les rouages du métier, et elle l’a ensuite rejoint à ­BMO ­Banque privée ­Harris en 2005, où ce fut « une bonne école pour le crédit ».

En 2006, ­Nancy ­Paquet est devenue planificatrice financière. « À compter de ce moment, j’ai toujours cru à l’importance du conseil », ­dit-elle. Et ça teinte son parcours à la ­BN, qui débute en 2007.

Au sein de l’institution financière, ­Nancy ­Paquet a notamment contribué à la création du rôle de spécialiste en investissement et retraite (SIR), qui vise à mettre l’accent sur le conseil, la planification financière et la planification de la retraite auprès des clients.

Nancy ­Paquet a été nommée ­Membre honoraire de l’Institut québécois de planification financière en 2020 et, en 2023, l’organisation lui a accordé le titre de ­Fellow de l’IQPF pour sa contribution au développement et au rayonnement de la profession au ­Québec.

Évoluer avec la ­BN

Nancy ­Paquet a grandi au sein de la ­BN et a contribué à la faire grandir. À son arrivée, elle s’est vu confier de multiples mandats. Elle a occupé successivement les postes de ­vice-présidente régionale, ­Distribution aux conseillers, de présidente de ­Banque ­Nationale ­Courtage direct, de ­vice-présidente, ­Partenariats, de ­vice-présidente, ­Investissement et, au moment de sa récente nomination, celui de première ­vice-présidente, Particuliers.

Nancy ­Paquet a notamment géré l’implantation d’une nouvelle plateforme technologique dans les succursales en 2019. Un « projet de technologie de l’information de grande envergure impliquant la fusion des quatre grands livres (book of record) dans le but de permettre la vente de certificats de placement garanti et de fonds communs de placement », ­explique-t-elle. « ­Un beau projet » qui l’a amenée « hors de [sa] zone de confort », mais qui lui a appris « énormément de choses, notamment à travailler avec de grandes équipes multidisciplinaires ».

Malgré la diversité de ses expériences à la ­BN, ­Nancy Paquet est demeurée près du secteur ­Gestion de patrimoine. Martin ­Gagnon, à qui elle succède aujourd’hui, a longtemps été son patron. En 2016, lorsqu’elle a « fait le saut du côté du réseau », elle a continué à siéger à son comité de direction, « parce que le réseau des succursales est un partenaire important pour Banque ­Nationale ­Investissements », rappelle-t-elle.

Au printemps 2022, lorsque ­Paolo ­Pizzuto, alors premier vice-président, Particuliers, a annoncé sa retraite, c’est ­Nancy ­Paquet qui s’est vu confier « toutes les forces de conseil pour l’ensemble des succursales bancaires, incluant celles de ­Natbank, en Floride ».

Nancy ­Paquet est aujourd’hui à la tête de l’équipe de leaders qui supervisent l’ensemble des activités relatives à la gestion de patrimoine, incluant les services de courtage en valeurs mobilières de plein exercice, la conception et la distribution de solutions de placement, les solutions de courtage autogérées, les services de compensation de tiers, de même que les services fiduciaires.

Le secteur de la ­Gestion de patrimoine au sein de la ­BN est en croissance. Pour la période de 12 mois se terminant à la fin du 3e trimestre de 2023, son revenu total s’élevait à 2,5 G$ et son résultat net, à 752 M$. Le premier a crû à un rythme annuel composé de 9,8 % par rapport à la période correspondante se terminant au 3e trimestre de 2021 et le second a progressé de 10,1 %. Le secteur comptait 2 739 employés (équivalent temps plein) à la fin du ­T3 2020 par rapport à 3 026 à la fin du ­T3 2023, soit 3,4 % de croissance annuelle composée.

L’un de ses défis consiste à poursuivre cette croissance. Un plan d’affaires triennal ­2024-26 a été développé, dont l’axe principal s’articule autour « de la croissance de l’investissement et du conseil ». Beaucoup d’initiatives demeurent dans la continuité, précise ­Nancy ­Paquet.

Par exemple, le vieillissement de la population favorisera le transfert intergénérationnel de richesse. Pour s’y adapter, les équipes de conseillers en placement (CP) de la ­Financière ­Banque ­Nationale (FBN) se sont transformées graduellement afin de réunir des ­CP plus expérimentés avec des plus jeunes. L’objectif était de s’occuper des besoins de chacun des membres de la famille, selon leurs segments d’âge ou d’intérêt et éviter le risque que les héritiers ne changent de conseiller.

Si, à court terme, ­Nancy ­Paquet privilégie la croissance organique, elle laisse la porte ouverte aux occasions d’acquisition, « mais pas à n’importe quel prix ». Elle rappelle les acquisitions par la ­BN du ­Groupe ­Option Retraite, en 2008, et celles de ­Wellington ­West et de la division des ­services-conseils en placement de plein exercice de ­Valeurs mobilières ­HSBC, toutes deux en 2011, des transactions auxquelles elle a participé.

Pour l’instant, les efforts sont surtout consacrés au recrutement « d’individus ou d’équipes de ­CP pour la FBN, ce qui nous permet de croître, mais à une cadence qui est plus facile à absorber », ­dit-elle.

« ­La croissance hors ­Québec est très importante pour la banque, de façon globale, et ­Gestion de patrimoine est un joueur clé dans cette démarche », signale ­Nancy ­Paquet. Parmi les efforts déployés en ce sens, elle fait état d’un poste de gestion à pourvoir à la ­FBN pour l’Ouest canadien et la création récente, à ­Toronto, d’un centre d’appels réunissant 12 personnes « capables de répondre aux questions de la communauté asiatique qui est d’origine chinoise ».

De plus, ­Nancy ­Paquet évoque une « croissance de synergies, qui peut être obtenue par un travail d’équipe plus grand ». Elle parle du besoin de « travailler encore mieux en transversalité », comme étant un autre défi important, et cite la gestion des données à titre d’exemple. « ­En 2007, chaque unité d’affaires avait sa propre base de données, au contraire de maintenant, où elles sont gérées dans une perspective davantage transversale, qui requiert beaucoup plus de coordination, que ce soit à l’intérieur de ­Gestion de patrimoine, mais aussi avec les autres groupes de la banque. Il faut que chaque dollar utilisé bénéficie à deux, trois, quatre, cinq lignes d’affaires en même temps. »

Un autre défi est celui de la diversité et de l’inclusion, dans l’optique où ­Ottawa souhaite accueillir 500 000 nouveaux arrivants par année d’ici 2025. Selon elle, la ­BN devrait tendre à ressembler à la population qui est servie afin de « mieux la comprendre et répondre à ses besoins ».

Quant à l’accueil des femmes dans la profession, ­Nancy Paquet est d’avis que la ­BN fait mieux que d’autres groupes. « À la ­FBNGP, notre pourcentage de femmes ­CP est de 19,7 %, contre 16,3 % dans l’industrie », ­affirme-t-elle. En marge des programmes proposés aux stagiaires par la ­BN, elle parle aussi de programmes adaptés aux femmes qui désirent devenir ­CP.

Nancy ­Paquet est d’ailleurs fière de contribuer au réseau Femmes en tête depuis ses débuts, en 2012. Créé à l’attention des employées de la ­BN désireuses de progresser en tant que gestionnaires au sein de l’organisation, ce programme offre notamment du mentorat et des activités de réseautage à ses membres afin de leur permettre d’accroître leurs connaissances de la ­BN, d’étendre leur réseau professionnel et de faire valoir leur leadership. Nancy ­Paquet a d’abord agi comme marraine et elle en est aujourd’hui la leader. « ­Voir toutes ces jeunes femmes qui ont osé faire les choses différemment, prendre des risques, se faire confiance et s’entraider, c’est réconfortant. »

Sur le plan technologique, différentes initiatives ont été récemment mises en place dont, à la ­FBN, l’adoption de Salesforce comme logiciel de gestion de relation client et le lancement d’une nouvelle plateforme d’ouverture de compte et de demande automatisée de services.

L’objectif consiste à compléter les livraisons et stabiliser les choses, « parce qu’il y a quand même une limite à la capacité d’absorption de nouveautés des gens et des engagements réglementaires aussi, tel que le règlement ­31-103, qui ont imposé des changements sur la façon de faire les choses ».

Mais il n’y aura jamais de fin à l’évolution technologique, estime ­Nancy ­Paquet, en nommant le cas de ­ChatGPT, qui changera certaines façons de faire. « ­Probablement pas pour le conseil offert aux clients, mais à l’interne, ­peut-être que ça pourrait être un outil permettant de répondre plus rapidement à des questions ? »

Elle cite à titre d’exemple la mise en place d’un agent conversationnel (chatbot) à l’interne, il y a quelques années, dans l’une des divisions qu’elle dirigeait. L’outil a permis de redistribuer certaines ressources en raison des bénéfices liés à cette implantation.

Quoi qu’il en soit, un « petit projet pilote » impliquant l’intelligence artificielle, chapeauté par les équipes de ­TI et de données, s’amorcera dans les prochaines semaines à Banque ­Nationale ­Courtage Direct. « ­On reste ouvert à l’innovation, mais on doit aussi continuer à faire affaire de façon efficiente et sécuritaire », ­souligne-t-elle.

Elle se dit également impatiente de voir comment les choses vont s’articuler avec la mise en place de l’Organisme canadien de réglementation des investissements. « iA ­Gestion privée de patrimoine vient tout juste d’obtenir son double enregistrement, ce sont des clients dans notre grande famille, alors nous allons sans doute en apprendre un peu avec eux. »

Elle juge que « ça peut être quelque chose de très porteur qui va nous permettre de nous harmoniser sur la façon dont on sert les clients au ­Canada et qui, je l’espère aussi, va donner une plus grande accessibilité au conseil à l’ensemble des clients ».

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Une nouvelle patronne de la gestion de patrimoine à la BNC https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/une-nouvelle-patronne-de-la-gestion-de-patrimoine-a-la-bnc/ Fri, 16 Jun 2023 10:02:02 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94623 NOUVELLES DU MONDE – Nancy Paquet occupera ce poste à partir du 1er novembre.

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Nancy Paquet accède au poste de première vice-présidente à la direction, Gestion de patrimoine à la Banque Nationale du Canada. Elle prendra ses fonctions le 1er novembre prochain et relèvera du président et chef de la direction, Laurent Ferreira.

À ce titre, elle sera responsable de l’ensemble des activités de gestion de patrimoine de l’institution financière. Cela inclut les services de courtage en valeurs mobilières de plein exercice, la conception et la distribution de solutions de placement, les solutions de courtage autogérées, les services de compensation de tiers et les services fiduciaires.

Entrée à la Banque Nationale en 2007 comme vice-présidente régionale, Nancy Paquet a occupé différents postes de cadre depuis 16 ans au sein de l’institution financière. En août 2022, elle était devenue responsable de l’ensemble des services aux clients particuliers dans les succursales. Auparavant, elle occupait les fonctions de première vice-présidente, Stratégie épargne et investissement des particuliers depuis 2019. Elle a également été vice-présidente, Investissement de 2016 à 2019. En 2012, elle a la première femme à la tête de Banque Nationale Courtage direct.

« Nancy est une professionnelle de l’investissement chevronnée qui possède une vision stratégique de l’industrie.  Elle a joué un rôle actif pour s’assurer que les intérêts des clients soient au cœur des politiques de l’industrie », a mentionné Laurent Ferreira dans un communiqué.

Avocate en droit des affaires, Nancy Paquet a débuté sa carrière comme juriste chez Desjardins Ducharme, Korn Ferry et Cadillac Fairview. Elle a fait le saut dans l’industrie financière en 2001, comme consultante principale chez Investissements Standard Life. Elle a ensuite été directrice de la gestion de patrimoine de la banque privée Harris de BMO, avant d’être recrutée par la Banque Nationale.

Nancy Paquet possède un baccalauréat en droit de l’Université Laval et une maîtrise en administration des affaires de HEC Montréal. Elle a été nommée membre honoraire de l’Institut québécois de planification financière (IQPF) en juin 2020. Elle est également membre des conseils d’administration de la Fondation HEC Montréal et d’ÉducÉpargne.

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Nouveau chef de la conformité chez UBS Gestion d’actifs – Canada https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nouveau-chef-de-la-conformite-chez-ubs-gestion-dactifs-canada/ Fri, 15 Jul 2022 12:05:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=88093 NOUVELLES DU MONDE - Elle a rejoint la firme en juin.

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Geneviève Dubé a été nommée chef de la conformité de UBS Gestion d’actifs – Canada.

« Geneviève se joint à nous avec plus de 25 années d’expérience dans tous les aspects juridiques et de conformité entourant la gestion de portefeuille institutionnelle », a indiqué Daniel Primeau directeur général, chez UBS Gestion d’actifs – Canada, via LinkedIn.

Membre du Barreau du Québec (1992), elle est diplômée en droit de l’Université Laval, à Québec.

Au fil des ans, Geneviève Dubé a occupé des postes de responsabilité en matière de conformité ou d’affaires juridiques au sein de différentes organisations, tant dans le secteur de la gestion de patrimoine que dans celui de l’assurance de personnes.  Elle a notamment évolué chez Patrimonica, Alphafixe Capital pour près de cinq ans, Triasima Gestion de portefeuille, Standard Life, AXA Canada et Letko Brosseau & Associés.

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Passionné de chiffres et de gens https://www.finance-investissement.com/edition-papier/nouvelles-edition-papier/passionne-de-chiffres-et-de-gens/ Mon, 13 Jun 2022 04:22:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=87447 Il veut bien outiller les conseillers.

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Fort de 35 ans carrière, André Langlois, vice-président Ventes et Distribution, Réseaux indépendants au Mouvement Desjardins, se considère comme choyé. Il a contribué à pratiquement tout ce qu’un groupe financier intégré peut offrir, que ce soit du côté de l’assurance ou de celui de l’investissement, pour le marché des particuliers comme pour celui des entreprises.

« J’ai touché à tout, mais mon cœur a toujours été près de la distribution et des conseillers », affirme André Langlois. C’est en partie grâce à une expérience marquante vécue alors qu’il était un actuaire de 22 ou 23 ans et qu’il évoluait au sein du Groupe La Laurentienne.

En stage d’une journée, André Langlois avait accompagné un conseiller pour « aller renouveler des REER dans un rang à Bellechasse, près de Québec, en plein mois de février ». En après-midi, il le suivait pour la vente d’un contrat d’assurance, ailleurs dans la région de Québec.

Cette expérience lui a permis de comprendre « la réalité d’un client qui avait besoin de sécurité financière et de préparer sa retraite, et le travail du conseiller, avec les éléments positifs, mais aussi les sacrifices qu’il doit faire et les difficultés qu’il rencontre ».

Cette journée l’a amené à développer un profond respect pour le travail des conseillers, selon André Langlois: « Ça explique un peu ce que je fais aujourd’hui et pourquoi je le fais avec autant d’engagement et de passion. »

Originaire de Québec, où il a vécu jusqu’à l’âge de 27 ans, André Langlois a grandi « dans un milieu plutôt modeste, mais riche de plusieurs manières », à défaut de l’être financièrement. Il a eu la richesse d’avoir des parents qui croyaient en l’importance de l’éducation et qui « ont tout sacrifié pour permettre l’éducation de leurs deux garçons », témoigne-t-il.

Bachelier en actuariat de l’Université Laval en 1987, André Langlois a été reçu Fellow de la Society of Actuaries et de l’Institut canadien des actuaires en 1992. Il s’est engagé dans ce cursus par « désir de travailler fort du côté mathématique davantage que par intérêt ou goût pour l’actuariat ». Ce n’est qu’une fois qu’il a intégré un milieu de travail que son intérêt s’est mis à grandir pour le volet financier, les placements, les régimes de retraite et l’assurance, confirme-t-il.

Il s’est joint au Groupe La Laurentienne dès sa sortie de l’université. Le contexte économique amène toutefois les entreprises du secteur à modifier leur offre de produits et services et leur façon de les distribuer, quelques-unes étant même confrontées à des difficultés. En 1994, il se trouve aux premières loges de la fusion du Groupe La Laurentienne dans le Mouvement Desjardins.

À la fin des années 1990, André Langlois saisit une occasion qui le conduit à la Standard Life. Il y reste moins d’une année et considère son retour au Mouvement Desjardins, en 1999, comme une décision significative pour sa carrière. « Ça m’a permis de grandir à l’intérieur d’une organisation capable de se développer sur à peu près tous les fronts, et ça m’a procuré de beaux moments dans mon parcours. »

Au début des années 2000, le secteur de la distribution d’assurance et de services financiers se transforme. Les assureurs se détachent graduellement de leur modèle de distribution exclusif et des réseaux indépendants voient le jour. Desjardins réforme aussi ses réseaux d’agents exclusifs. André Langlois est alors chargé du service de planification financière.

« C’est à ce moment qu’on a créé le réseau SFL comme on le connaît, en développant alors notre réseau de centres financiers de type franchisé offrant des services aux conseillers, comme la formation, le soutien technologique, la conformité, la mise en marché et la planification financière », évoque-t-il.

André Langlois est nommé dirigeant responsable du réseau SFL en 2017. Il sent qu’il s’inscrit dans une parfaite ligne avec ceux qui l’ont précédé dans ce rôle. « Nous avons toujours été animés par la profonde conviction que le conseiller peut devenir un peu le guichet unique en matière financière pour le client. » C’est pourquoi il juge si important d’assurer aux conseillers un bon service d’accompagnement et de développement des compétences, du savoir-faire et du savoir-être.

Les compétences des conseillers ainsi que la présence de centres financiers régionaux qui diffusent une expertise de tout calibre par l’entremise de professionnels qui accompagnent les représentants, notamment en planification financière, fiscale et successorale, « nous distinguent beaucoup sur le marché », estime André Langlois.

C’est cette volonté de continuer à offrir ces services aux conseillers qui a guidé la restructuration du réseau à l’automne 2017, indique-t-il. Les partenariats, regroupements et fusions ont alors fait passer le nombre de centres financiers régionaux de 16 à 6.

Ces fusions visent à « obtenir davantage d’expertise pour bien attirer, développer et retenir des conseillers à l’intérieur du réseau SFL, tout en conservant une certaine proximité. Ces changements ont été bénéfiques pour nous », lance André Langlois.

Cette réforme ne s’est pas faite sans heurts. La nouvelle orientation de SFL vers les clients aisés et fortunés a déplu à quelques conseillers qui visaient le marché de masse. Les effets de la restructuration se sont fait sentir sur le moral de certains conseillers durant plusieurs années par la suite. Par exemple, la moyenne des notes qu’ont accordées les représentants de SFL sondés à l’occasion du Pointage des courtiers multidisciplinaires a oscillé entre 7,3 et 7,8 de 2018 à 2021, soit les plus basses enregistrées depuis 2005.

Chaque année depuis 2018, des répondants ont déploré les effets de la transformation, y compris en 2022. « Il y a des bonnes opportunités d’acquisition de blocs d’affaires. Par contre, nous sommes devenus un numéro depuis la fusion des centres financiers », disait récemment un répondant. Ce genre de commentaire reste toutefois marginal cette année, et davantage félicitent le courtier pour son écoute. Certains sondés parlent même de SFL comme « d’une grande famille ».

« Nous avons lancé les Rendez-vous d’affaires virtuels, qui nous permettent de faire part de notre vision, des progrès réalisés et des changements à venir en toute transparence. C’est essentiel de tenir les conseillers mieux informés et de les consulter. Ils ont confiance en ce qui s’en vient et en notre capacité à livrer ce que nous avons promis. J’en ai fait un engagement personnel », illustre André Langlois.

L’adoption de la plateforme d’arrière-guichet Dataphile, qui avait suscité beaucoup de frustration et de pertes de temps en 2021, semble moins problématique en 2022. « Le changement de plateforme de distribution s’est avéré un chantier considérable qui a nécessité une adaptation importante. Les conseillers ont fait preuve de résilience. Il y a eu des moments plus difficiles, mais on progresse à une vitesse grandissante », dit le dirigeant.

Selon lui, cette plateforme permettra des gains d’efficacité majeurs, tout comme l’initiative lancée en 2021 qui permet d’effectuer les transactions sans papier de bout en bout. « Déjà près de la moitié des actifs investis passent par ce nouveau mode entièrement numérique. Les conseillers sont unanimes quant au gain de temps et d’efficacité », note-t-il. Dans toute réorganisation, des gens ont soif de changements et d’autres se montrent inquiets, selon André Langlois. « Nous avons travaillé en totale transparence en annonçant à l’avance notre souhait de transformer le réseau dans l’objectif d’assurer sa croissance et sa pérennité, explique-t-il. Est-ce qu’on ferait les choses différemment ? Non. »

Au 31 mars 2022, SFL comptait au Québec 526 représentants qui administraient un actif de 9,6 G$, soit en moyenne 18,2 M$ par conseiller. Au Canada, SFL et Desjardins Financial Security Independent Network comptaient au total 900 conseillers qui administraient pour 17,8 G$ d’actif.

Pour diverses raisons, le nombre de conseillers au Québec de SFL est en diminution depuis 2020, comme on l’observe aussi au sein des grands réseaux. De plus, la croissance de SFL sur le plan de l’actif administré a été inférieure à celle d’un groupe de pairs au sein du Pointage des courtiers multidisciplinaires ainsi qu’à celle de l’actif géré par les sociétés de courtage d’exercice restreint du Québec, d’après la Banque de données des statistiques officielles sur le Québec.

Pour tenter de freiner cette diminution de parts de marché, la technologie pourrait aider. André Langlois signale que lors des changements effectués en 2017, la technologie était l’un des piliers choisis pour assurer la pérennité et la croissance du réseau SFL. Des investissements ont été faits à compter de ce moment, par exemple en matière de signature électronique, dit-il.

André Langlois est plutôt fier de la manière dont SFL a relevé le défi de s’adapter à la pandémie pour assurer la continuité des services dans les centres régionaux. Le réseau a misé rapidement sur les outils de signature électronique et la présence virtuelle, en plus de pouvoir compter sur « le partenariat avec le mouvement Desjardins, qui a énormément aidé à prendre ce virage un peu plus numérique et technologique ».

Pour certains conseillers, la technologie est parfois un caillou dans une bottine, selon André Langlois. Or, elle peut favoriser la proximité et l’accessibilité au conseil et SFL compte bien « miser là-dessus de plus en plus ».

Certains conseillers lui ont d’ailleurs témoigné avoir été plus présents et accessibles pour leurs clients en temps de pandémie qu’ils ne l’avaient jamais été.

SFL est d’ailleurs engagé dans un processus de numérisation dont l’objectif est d’amener le conseiller et son personnel administratif à être « encore plus autonomes et efficaces ». André Langlois évoque « l’onboarding des clients sur la plateforme de transactions, un processus sans papier, numérique de bout en bout, pour lequel les représentants montrent un bel enthousiasme ».

Le virage dans lequel SFL s’est engagé après l’évolution de 2017 n’est toutefois pas seulement à saveur technologique, tempère André Langlois. « La techno fait partie de notre quotidien, mais nous sommes plus qu’une plateforme administrative. J’aime dire que ma façon de réfléchir au rôle du conseiller, c’est d’utiliser la techno au service du conseil. »

André Langlois évoque ainsi les comptes autogérés, davantage présents en raison des changements réglementaires qui s’opèrent. Il est d’avis que ces comptes seront à l’avantage de clients de plusieurs segments de la population, et permettront plus de souplesse au client et au conseiller. « Ce sera également plus performant sur le plan administratif », assure-t-il, évoquant un virage important pour SFL.

L’autre virage adopté est certainement celui de la jeunesse, estime André Langlois. « Nous l’avons fait pour attirer de nouveaux conseillers dans un objectif de pérennité, de relève de nos conseillers qui approchent bientôt de la retraite. » SFL est l’un des seuls réseaux qui, au cours des 15 à 20 dernières années, a continué de miser sur l’attraction de talents, selon lui. L’âge moyen des conseillers a diminué d’année en année, affirme-t-il.

Finalement, SFL continuera à miser sur le développement de compétences et l’accompagnement des conseillers, avec l’appui des centres financiers. « En fait, il s’agit d’une amplification des services qu’on offrait déjà », précise André Langlois.

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DGIA pige chez Gestion de placements Manuvie https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/dgia-pige-chez-gestion-de-placements-manuvie/ Tue, 22 Feb 2022 13:09:26 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=85188 NOUVELLES DU MONDE - François Panneton a rejoint les rangs de Desjardins Gestion internationale d'actifs (DGIA) à titre de directeur, Stratégies quantitatives.

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Détenteur d’un doctorat en informatique de l’Université de Montréal (2004), il occupait jusqu’à tout récemment la fonction de chef de la recherche quantitative chez Gestion de placements Manuvie.

Chez DGIA, François Panneton dirigera l’équipe spécialisée en gestion des mandats systématiques, recherche quantitative et modélisation financière des diverses classes d’actifs. Cette équipe gère 2,3 G$ d’actifs, signale Desjardins sur les réseaux sociaux.

François Panneton a passé plus de quinze ans chez Investissements Standard Life et Gestion de placements Manuvie.

L’équipe de François Panneton relève de Guy Lamontagne, vice-président et chef des stratégies de placement. Poids lourd de la gestion d’actif au Québec, Guy Lamontagne a déjà été vice-président principal, Rendement absolu-Marchés boursiers et vice-président principal, Stratégies actions à la Caisse de dépôt.

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Nouveau directeur principal des comptes nationaux chez Capital Group https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nouveau-directeur-principal-des-comptes-nationaux-chez-capital-group/ Thu, 02 Dec 2021 13:12:36 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=83832 NOUVELLES DU MONDE - Patrice Nzigamasabo aidera la firme à étendre sa présence au Québec

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Patrice Nzigamasabo se joint à l’équipe montréalaise de Capital Group comme responsable des comptes nationaux. En se concentrant sur le Québec, il travaillera avec l’équipe des ventes au détail et l’équipe institutionnelle canadienne pour étendre la présence de Capital Group dans la province. Une de ses missions consistera à approfondir les relations avec les travailleurs à distance et les équipes de recherche.

Avec plus de 20 ans d’expérience dans l’industrie des services financiers au Québec, il a occupé pendant près de cinq ans le poste de vice-président, développement des affaires chez Morningstar, où il gérait les relations du siège social avec les principales institutions financières du Québec et de l’Est du Canada, avant de se joindre à Capital Group.

Auparavant, il a occupé divers postes de direction dans des institutions financières, notamment L&T InfoTech, Standard Life et International Financial Data Services (IFDS). Titulaire d’un baccalauréat en économie obtenu en 1995 au Collège Macalester, aux États-Unis, il combine des compétences professionnelles dans la gestion d’actifs, les valeurs mobilières et la gestion des ventes.

Originaire du Burundi, Patrice Nzigamasabo a été représentant de l’Alliance des Burundais du Canada et membre du CNARED, un forum citoyen pour la paix et la réconciliation au Burundi

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Nomination à Trans-Canada Capital  https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nomination-a-trans-canada-capital/ Wed, 29 Sep 2021 12:09:13 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=82403 NOUVELLES DU MONDE - Et ouverture d’un deuxième bureau. 

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Rahul Khasgiwale rejoint l’équipe de Solutions clients à titre de vice-président, Ventes institutionnelles de la société de gestion de portefeuille spécialisée en stratégies non traditionnelles Trans-Canada Capital (TCC).

En plus de cette nomination, TCC officialise l’ouverture d’un nouveau bureau au cœur de Toronto, afin de soutenir les investisseurs institutionnels hors Québec et d’accélérer sa stratégie d’expansion nationale.

Rahul Khasgiwale possède plus de 20 ans d’expérience en gestion d’actifs. Il a travaillé dans des organisations mondiales partout dans le monde, notamment au Royaume-Uni, en Suisse, à Dubaï et au Canada. Depuis 2008, il occupe divers rôle couvrant l’Amérique du Nord dans les secteurs des ventes institutionnelles, de la gestion de patrimoine et de la stratégie de produits.

Avant d’intégrer TCC, il travaillait pour Aviva Investors depuis 6 ans à titre de Chef de l’équipe de spécialistes en investissement pour les Amériques.

Avant cela, il était Directeur solutions d’investissement à Strandard Life depuis deux ans. Il a également travaillé 12 ans chez HSBC Global Asset Mangement, où il a notamment occupé le poste de VP, spécialiste principal des produits, Amérique du Nord.

Dans le cadre de son nouveau rôle, Rahul Khasgiwale sera chargé de répondre aux enjeux des clients à l’aide de solutions de placement, et d’exploiter de nouvelles opportunités de croissance au Canada.

« Rahul possède une expertise approfondie d’un large éventail de produits de placement traditionnels et non traditionnels, de même qu’une excellente compréhension des grandes problématiques touchant les investisseurs institutionnels, qui seront des atouts inestimables pour soutenir notre équipe et nos clients, a commenté Jean-François Milette, Chef mondial, Solutions clients chez TCC. Nous sommes ravis de l’accueillir à notre nouveau bureau de Toronto, et nous sommes confiants qu’il contribuera avec succès à notre stratégie de croissance en nous ouvrant les portes du plus grand marché de l’investissement institutionnel au pays. »

Rahul Khasgiwale a fait des études en médecine et chirurgie au Royaume-Uni. Il a d’ailleurs pratiqué la médecine pendant deux ans, avant de se reconvertir en 2011 dans la gestion d’actifs. Il possède les titres de CFA et CAIA.

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Un nouveau chef de la distribution chez Pictet https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/un-nouveau-chef-de-la-distribution-chez-pictet/ Mon, 30 Aug 2021 12:07:52 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=81735 NOUVELLES DU MONDE - François Forget a été nommé chef de la distribution chez Pictet Asset Management Canada.

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Gestionnaire d’actif d’une grande discrétion, Pictet Asset Management Canada développe des stratégies d’investissement pour les régimes de retraite, institutions financières et autres investisseurs institutionnels. La firme agit notamment comme sous-conseiller pour certains fonds communs de placement de Manuvie spécialisés en actions mondiales et internationales.

Les bureaux de Pictet Asset Management Canada sont situés sur la rue De La Gauchetière à Montréal, près de la Place Bonaventure. Selon le répertoire électronique The Million Dollar Database de Dun & Bradstreet, sept personnes y travailleraient.

Avant sa nomination, François Forget a passé un peu plus de six ans chez Presima à titre de vice-président exécutif, responsable du développement d’affaires et des initiatives stratégiques. Presima est un gestionnaire de portefeuille montréalais de type boutique spécialisé en titres immobiliers.

De 2013 à 2015, François Forget a été vice-président, Développement des affaires et relations aux consultants chez Investissements Standard Life à Montréal. Suite à l’acquisition de Standard Life par Manuvie, François Forget était devenu vice-président pour Gestion d’actifs Manuvie.

Plus tôt dans sa carrière, François Forget a occupé les fonctions de vice-président, Services institutionnels chez Natcan et gestionnaire de portefeuille chez RBC Gestion mondiale d’actifs.

Il détient une maîtrise en finance de HEC Montréal ainsi que le titre d’analyste financier agréé (CFA).

Pictet Asset Management est une entité Groupe Pictet. Située à Genève en Suisse, cette firme gère plus de 850 G$ à l’échelle mondiale.

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Changements dans l’équipe d’actions canadiennes de DGIA https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/changements-dans-lequipe-dactions-canadiennes-de-dgia/ Fri, 26 Jun 2020 12:03:47 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=67306 NOUVELLES DU MONDE – Luc Gibelleau quitte son poste de gestionnaire de portefeuille sectoriel dans l’équipe d’actions canadiennes de Desjardins Gestion internationale d’actifs (DGIA).

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Son rôle sera repris par deux autres professionnels, soit par Pasquale Posteraro, en partie, et, dans une moindre mesure, par Anne Perreault.

En septembre passé, Pasquale Posteraro avait été nommé à titre de gestionnaire de portefeuille au sein de la direction Actions canadiennes. Avant de se joindre à DGIA, il travaillait chez IG Gestion de Patrimoine en tant qu’analyste en investissement. Il a aussi travaillé pendant près de dix ans auprès d’Investissements Standard Life en tant qu’analyste en actions.

Pasquale Posteraro est diplômé d’un baccalauréat en administration des affaires, Finance à HEC Montréal.

Anne Perreault travaille pour DGIA depuis près de 4 ans à titre de Gestionnaire de portefeuille sectorielle, actions canadiennes. Avant cela, elle était à l’emploi de Valeurs mobilières Desjardins depuis près de 15 ans, d’abord à titre d’analyste, puis comme Gestionnaire de portefeuille.

Avant de se joindre à Desjardins, elle travaillait comme analyste de fonds chez Fidelity Investments.

Anne Perreault a fait des études en finance à l’Université de Sherbrooke, où elle a obtenu sa Maîtrise.

DGIA a également procédé à deux nouvelles embauches. Ainsi, Kim Desmarais et Pierre-Alexandre Renaud se sont joints à l’équipe à titre d’analystes en investissement responsable, sous la direction de Christian Felx.

Kim Desmarais travaillait auparavant en tant qu’auxiliaire de recherche à l’Université de Sherbrooke, endroit où elle a obtenu sa Maîtrise. Elle a également travaillé chez BDC à titre de Directrice de comptes associée.

Avant de se joindre à l’équipe de DGIA, Pierre-Alexandre Renaud était à l’emploi depuis près de trois ans de Montréal International, notamment près de 2 ans à titre de chef de projet – investissement étranger et organisations internationales.

Il a également travaillé à l’UNICEF comme Coordinateur de la mobilisation des ressources – Collecte de fonds et partenariats privés, à United Nations OCHA en tant que Consultant en partenariats d’affaires – Section Secteur privé.

Il est diplômé d’une Maîtrise de la Geneva Business School et d’un Baccalauréat en économie et développement international de l’Université McGill.

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