T. Rowe Price – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Tue, 02 Jan 2024 20:25:01 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png T. Rowe Price – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Nouveau vp aux affaires institutionnelles canadienne chez T. Rowe Price https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nouveau-vp-aux-affaires-institutionnelles-canadienne-chez-t-rowe-price/ Wed, 03 Jan 2024 11:24:51 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98268 NOUVELLES DU MONDE - Il est basé à Montréal.

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T. Rowe Price (Canada), Inc. a nommé Jean-Sébastien Garant, CFA, ASA, au poste de vice-président de ses activités institutionnelles au Canada.

Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Jean-Sébastien Garant est responsable des ventes, du service à la clientèle et des relations avec les consultants dans l’Est du Canada. Il est basé à Montréal et relève de Lauren Bloom, responsable du Canada chez T. Rowe Price.

« Nous sommes ravis que Jean-Sébastien se joigne à notre équipe au Canada », a déclaré Lauren Bloom. « Sa vaste expérience au service des clients institutionnels et des consultants sera essentielle à la croissance et à la diversité de nos activités au Canada. Son embauche souligne notre engagement à avoir une présence locale à Montréal et à apporter une expertise approfondie à notre communauté canadienne de clients et de consultants.

Jean-Sébastien Garant compte plus de 25 ans d’expérience dans le secteur des services financiers. Avant de se joindre à T. Rowe Price, il a occupé le poste de directeur des ventes et de la gestion des relations à MFS Investment Management Canada, où il a dirigé le développement des affaires institutionnelles et le service à la clientèle pour la province de Québec. Auparavant, il était associé chez Sigma Alpha Capital Inc., où il était responsable du développement des affaires et du service à la clientèle et cogestionnaire du fonds de couverture Global Macros de la société.

Jean-Sébastien Garant est titulaire d’un baccalauréat en actuariat de l’Université Laval et d’une maîtrise en finance de l’Université de Sherbrooke. Il détient également le titre d’analyste financier agréé.

T. Rowe Price (Canada) Inc. est une division nord-américaine de T. Rowe Price, une société mondiale de gestion d’actifs fondée en 1937. La société gère un actif sous gestion de 1,819 billion de dollars canadiens au 30 novembre 2023 et sert des millions de clients à l’échelle mondiale.

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Pour une diversification d’actions maximale https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/pour-une-diversification-dactions-maximale/ Tue, 08 Dec 2020 13:01:46 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=76684 Des fonds Mackenzie utilisent la méthode TOBAM pour éviter les déséquilibres des indices.

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Placements Mackenzie offre une série de six fonds communs et de six fonds négociés en Bourse (FNB) qui visent tous à assurer une diversification maximale d’actions.

La plupart de ces fonds sont concentrés dans différentes régions géographiques (Amérique du Nord, Europe, marchés émergents). L’un d’eux couvre l’ensemble des marchés développés. Ils ont en commun d’être basés sur la méthode de « diversification maximale » de TOBAM, firme parisienne de gestion quantitative dirigée par Yves Choueifaty.

On entend dire à l’occasion que la diversification est le dernier free lunch, le dernier moyen sûr de dégager du profit. Sans doute, mais à la condition que cette diversification soit efficace. Un investisseur peut disposer de 2 000 titres en portefeuille, « croyant ainsi bénéficier d’une diversification optimale, et pourtant souffrir encore d’une trop forte concentration, » explique Michael Cooke, vice-président principal et chef des FNB chez Placements Mackenzie.

On l’a vu encore récemment avec le S&P 500, où six titres technologiques (les fameux FAANGM) occupent une part démesurée de la performance de l’indice. Sans la présence de cette poignée de titans technologiques, qui avaient monté de 25 % dans l’année en cours jusqu’à la mi-août, le S&P 500 était encore en terrain négatif de -3,4% à la même date.

Cette concentration de la performance dans quelques titres tend à se renforcer systématiquement, explique Michael Cooke : « Plus un secteur performe, plus l’indice hausse son allocation de risque à ce dernier ».

Stratégie anti-indicielle

La méthode TOBAM derrière les fonds de Mackenzie, méthode que la firme parisienne présente comme une stratégie « anti-indicielle », vise à réduire cette part de risque tout en retenant la capacité de performance du portefeuille.

Pour éviter de subir les déséquilibres des indices, TOBAM optimise la diversification en étalant le risque d’une façon plus égale dans tout le portefeuille. Cela permet d’éviter toute concentration malencontreuse dans quelques biais et secteurs qui accroissent le risque.

TOBAM procède en jouant sur la variable cruciale de la corrélation. Ainsi, dans le FNB Diversification maximale Marchés développés mondiaux Mackenzie, la méthode met en jeu 910 titres qui, un à la fois et par paires de deux, sont systématiquement corrélés avec tous les autres pour établir ceux qui présentent des liens de corrélation élevée ou de corrélation faible.

Il en résulte un graphique très chargé où des groupes se forment, « ce qui permet de construire un portefeuille ayant la plus haute diversification possible et un rendement optimisé par rapport au risque encouru », note Michael Cooke.

Ainsi, on se retrouve avec un portefeuille dans lequel les titres technologiques n’ont pas une pondération de 20,8 %, comme c’est le cas dans l’ensemble des indices de référence, mais plutôt une pondération de 8,1 %, précise le spécialiste. Du côté des titres financiers, leur poids dans le portefeuille est de 6,3 %, plutôt que de 13,9 % pour les indices. En contrepartie, les titres de santé sont surreprésentés, avec un poids de 19,4 % en portefeuille, comparativement à 12,2 % pour les indices.

Cependant, Mackenzie n’utilise pas strictement cette analyse de corrélation. « Nous ajoutons certaines contraintes pour faire en sorte, par exemple, que la part “active” du portefeuille ne soit pas trop éloignée des indices de référence », explique Michael Cooke.

D’autres contraintes sont utilisées, comme une limite géographique limitant la part de chaque région géographique à un maximum de 5 % en portefeuille. Sans ces contraintes, ajoute-t-il, « on risquerait d’ajouter à la concentration et au risque actif, des couteaux à deux tranchants ».

Limiter les pertes

TOBAM fait jouer implicitement certains « moteurs » de diversification mis en valeur par l’étude « When Diversification Fails », de la firme T. Rowe Price.

De toute évidence, TOBAM favorise une répartition de secteurs et de zones qui fera en sorte que, si les titres technologies chutent, ils seront compensés, par exemple, par la bonne tenue des titres de santé et de consommation.

La stratégie met aussi en jeu des paramètres de momentum interactifs qui permettent à un portefeuille de délaisser une catégorie qui perd de la vigueur au profit d’une autre qui en gagne. L’étude de T. Rowe Price montrait qu’une telle stratégie affichait une corrélation de seulement .2 quand les marchés chutent, et de presque .8 quand ils montent.

Par contre, la diversification de TOBAM est limitée aux actions en contexte d’achat. Elle n’intègre aucune stratégie de vente à découvert et ne s’étend pas à d’autres actifs susceptibles d’accroître davantage la diversification.

Une firme comme Picton Mahoney vise une diversification encore plus large en ne misant que sur des catégories d’actifs « purs », c’est-à-dire des actifs peu contaminés les uns par les autres. Par exemple, l’immobilier ne constitue pas un actif « pur » puisque ce secteur est particulièrement sensible aux variations de taux d’intérêt. Ces catégories d’actifs sont au nombre de neuf chez Picton Mahoney, dont cinq se retrouvent du côté des actions et des obligations, auxquelles s’en ajoutent quatre autres : énergie, métaux industriels, métaux précieux et denrées agricoles.

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