UBS Global Asset Management – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Tue, 11 Jul 2023 11:51:30 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png UBS Global Asset Management – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 La récession des riches se poursuit aux États-Unis https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-recession-des-riches-se-poursuit-aux-etats-unis/ Thu, 20 Jul 2023 09:50:15 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95004 PLANETE FINANCE – Une récession qui n’en est pas une, selon le Wall Street Journal.

L’article La récession des riches se poursuit aux États-Unis est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Alors que le risque d’une récession économique semble s’éloigner des États-Unis, la « richcession » semble, elle, là pour rester. C’est un journaliste du Wall Street Journal, Justin Lahart, qui a ainsi baptisé en début d’année le ralentissement économique qui touche actuellement les voisins du Sud.

D’habitude, une crise économique frappe en premier les ménages à faibles revenus, qui subissent avant les autres la hausse du chômage. Les chiffres de l’emploi figurent ainsi parmi les indicateurs surveillés à la loupe par les banques centrales pour déterminer les hausses du taux directeur.

Or, depuis le début de l’année, le ralentissement économique frappe surtout les salariés américains aux revenus plus élevés, rapporte le Wall Street Journal, citant une étude de la société Challenger, Gray and Christmas, selon laquelle, chez les ménages qui gagnent un revenu supérieur à 150 000 $, le nombre de demandes à l’assurance-emploi a progressé de plus de 40% en un an. Cette hausse du chômage est plus de cinq fois supérieure à celle des ménages gagnant moins de 65 000 $, souligne la firme.

Elle signale qu’environ un tiers des licenciements annoncés par les entreprises américaines en 2023 ont eu lieu dans des sociétés technologiques telles que Meta Platforms, la société mère de Facebook, où le salaire médian avoisinait les 400 000 $ l’an dernier. Le couperet serait tombé, dans ce secteur, sur près de 200 000 emplois cette année.

Changements de comportements

L’industrie de la finance, où les salaires sont plus élevés, a également été touchée, notamment à la suite de la faillite des banques First Republic, Signature et Silicon Valley. Morgan Stanley a annoncé vouloir supprimer 3000 emplois lors d’une deuxième vague de licenciements, après avoir déjà coupé 2 % de ses effectifs en décembre. Le rachat de Credit Suisse par UBS devrait se solder quant à lui par des coupures de 35 000 postes, dont une partie aux États-Unis.

Ces difficultés chez les salariés à hauts revenus s’accompagnent de changements de comportements de consommation. Selon le Bank of America Institute, les dépenses par cartes de crédit et de débit consacrées par les ménages aisés aux biens non essentiels, comme les produits de luxe, étaient en avril inférieures à la même période de l’an dernier, alors que les dépenses des autres ménages dans ces mêmes biens étaient supérieures.

Walmart rapporte également que ses parts de marché ont augmenté auprès d’une clientèle plus aisée que celle qui fréquente ses allées habituellement. Ce fait est significatif, note David Tinsley, économiste pour l’institut, car les 40% de ménages les plus aisés représentent plus de 60% de la consommation aux États-Unis.

Selon les économistes, la plupart des employés touchés par la « richcession » possèdent un bon niveau d’éducation et peuvent donc trouver un nouvel emploi assez rapidement, ce qui contribue à contenir le chômage malgré les licenciements. Les licenciés des techs trouvent ainsi à se recaser au sein du gouvernement fédéral, ainsi que dans les secteurs de l’hôtellerie, de la vente au détail et du transport.

« Ce n’est pas une récession »

En outre, les travailleurs aisés disposent généralement d’une épargne dans laquelle ils peuvent puiser après avoir perdu leur emploi, ce qui leur permet de continuer à dépenser et d’alimenter l’économie, signale Tom Barkin, président de la Reserve fédérale de Richmond. Jan Hatzius, économiste en chef chez Goldman Sachs, indique pour sa part que cette situation l’a incité à réduire la probabilité d’une récession de 35 % à 25 % au cours des 12 prochains mois.

« Le risque de récession s’éloigne rapidement », a déclaré à l’Associated Press Neil Dutta, économiste chez Renaissance Macro, qu’il s’agisse d’une récession en dents de scie ou d’une « récession des riches », ajoutant que s’il fallait lui donner des noms différents, ce n’était pas une récession.

« Il est facile d’imaginer qu’il pourrait s’agir d’un type différent d’assouplissement du marché du travail […] qui aurait un impact différent, à la fois sur la demande et sur des éléments tels que le taux de chômage, par rapport à un affaiblissement normal », a déclaré pour sa part Tom Barkin à l’agence de presse américaine.

L’article La récession des riches se poursuit aux États-Unis est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
UBS se préparerait à faire un grand ménage chez Credit Suisse https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/ubs-se-preparerait-a-faire-un-grand-menage-chez-credit-suisse/ Thu, 29 Jun 2023 12:59:51 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94838 PLANÈTE FINANCE - Près de 35 000 emplois sont en jeu, selon Bloomberg.

L’article UBS se préparerait à faire un grand ménage chez Credit Suisse est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Trois mois après qu’UBS a été amené à racheter sa rivale Credit Suisse, des suppressions de postes se profilent à l’horizon. Ces réductions d’effectifs s’ajouteront aux milliers de licenciements annoncés ces derniers mois par plusieurs banques d’investissement de Wall Street, dont Morgan Stanley et Goldman Sachs.

À la suite de la fusion, UBS a l’intention de diminuer son effectif d’environ 30 %, soit 35 000 personnes, a indiqué mardi l’agence Bloomberg, citant des sources anonymes bien au fait des plans de la compagnie. Le nombre total d’employés de la banque avait grimpé à environ 124 000 personnes fin 2022. Les suppressions de postes permettraient de réaliser des économies de quelque 6 milliards de dollars (G$) au cours des prochaines années.

UBS prévoirait notamment de supprimer plus de la moitié des 45 000 emplois de Credit Suisse dès le mois prochain, selon Bloomberg. L’agence d’information économique affirme, citant les mêmes sources, que trois vagues de coupures devraient avoir lieu cette année, soit à la fin du mois de juillet, en septembre et en octobre.

7000 postes supprimés en Suisse

Les employés de la banque d’investissement de Credit Suisse à Londres, à New York et en Asie devraient « être les plus touchés, la quasi-totalité de leurs activités étant menacée ». Par ailleurs, au moins 7 000 postes pourraient être supprimés à Zurich, où se trouve le siège de Credit Suisse, d’après Reuters.

Dans le secteur Asie-Pacifique, UBS prévoit de conserver quelques centaines de banquiers privés de son ancienne rivale. La banque devra également garder en poste, au moins dans un premier temps, les personnes responsables de la gestion des prêts structurés de Credit Suisse aux clients fortunés et des portefeuilles de dérivés sur actions, rapporte Bloomberg.

Anticipant le couperet, de nombreux cadres parmi les plus performants auraient déjà trouvé à se recaser chez des concurrents, notamment à la Deutsche Bank, chez Jefferies Financial Group et chez Wells Fargo.

En Suisse, UBS pourrait choisir d’intégrer les ex-employés de son ancien compétiteur ou d’opter pour la scission ou la cotation en bourse. Au total, jusqu’à 10 000 emplois seraient supprimés si les deux entités étaient fusionnées. UBS devrait rendre sa décision à ce sujet au troisième trimestre, selon les informations récoltées par l’agence.

En marge du Forum Point Zero sur les services financiers, présenté à Zurich le 27 juin, le directeur général d’UBS, Sergio Ermotti, a affirmé que l’intégration se déroulait « très bien ». Au début du mois, lors du 25e Swiss Economic Forum, il avait admis que l’emploi serait « le volet le plus difficile » de l’intégration, ajoutant que les suppressions de postes étaient inévitables en raison des doublons dans certaines des activités des deux banques.

Mégabanque aux super pouvoirs

Depuis qu’elle a été annoncée, la fusion des deux géants de la finance est suivie avec grand intérêt par le monde des affaires et la classe politique suisses, inquiets des super pouvoirs que pourrait posséder une mégabanque fusionnée.

L’Association suisse des employés de banque n’a pas voulu commenter l’ampleur des licenciements, mais elle a déclaré à Reuters qu’il s’agissait de « changements majeurs » qui « transformeraient le visage de la Suisse ». Elle a également appelé UBS à coopérer avec ses partenaires sociaux pour trouver des solutions afin de garantir la stabilité du marché financier.

Le 19 mars, UBS avait accepté de racheter Credit Suisse, en proie à une série de scandales, sous la pression des autorités helvètes, pour 4,5 G$. UBS avait indiqué au début de l’acquisition qu’elle avait l’intention de réduire de manière considérable les effectifs de la banque d’investissement déficitaire de Credit Suisse, à l’origine de la perte de 7 G$ dans le cadre du scandale du fonds Archegos en 2021.

La transaction, conclue le 12 juin, a donné naissance à un géant de la finance affichant un bilan de 2 000 G$ et administrant plus de 6 000 G$ d’actifs. Le président d’UBS, Colm Kelleher, avait alors qualifié l’opération, dans un discours diffusé sur le site Internet de la banque, de « plus grande fusion bancaire de l’histoire » et d’événement « historique » non seulement pour la nouvelle UBS, mais aussi pour toute la Suisse ainsi que pour l’industrie financière mondiale.

L’article UBS se préparerait à faire un grand ménage chez Credit Suisse est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
UBS rachète Crédit Suisse https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/ubs-rachete-credit-suisse/ Sun, 19 Mar 2023 20:54:18 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92618 Pour 3,2 milliards de dollars américains.

L’article UBS rachète Crédit Suisse est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Le géant bancaire UBS a racheté son rival Crédit Suisse pour 3,2 milliards $ de dollars américains (G$) dans le but d’éviter de nouvelles turbulences sur le marché bancaire mondial.

Le président suisse, Alain Berset, a parlé d’une annonce « d’une grande importance pour la stabilité de la finance internationale ».

« Un effondrement incontrôlé de Crédit Suisse aurait des conséquences incalculables pour le pays et le système financier international », a-t-il soutenu.

Selon le Conseil de stabilité financière, un organisme international qui surveille le système financier mondial, Crédit Suisse est l’une des banques d’importance systémique mondiale. Cela signifie que les régulateurs estiment que sa chute pourrait avoir des répercussions sur le système financier mondial dans son ensemble, comme ce fut le cas lors de l’effondrement de Lehman Brothers, il y a 15 ans.

L’annonce de dimanche est survenue après l’effondrement de deux grandes banques américaines la semaine dernière, ce qui a suscité une réponse rapide du gouvernement américain pour empêcher toute nouvelle panique bancaire.

Malgré tout, les marchés financiers mondiaux sont demeurés frileux depuis que le cours de l’action de Crédit Suisse a commencé à chuter, cette semaine.

Crédit Suisse, une banque ouverte il y a 167 ans, a déjà reçu un prêt de 54 millions de francs suisses (environ 80 M$ CA) de la Banque nationale suisse, ce qui a brièvement provoqué une hausse du cours de son action. Cette décision n’a toutefois pas semblé suffisante pour mettre fin à une sortie des dépôts.

Plusieurs problèmes de Crédit Suisse sont différents de ceux qui ont fait chuter Silicon Valley Bank et Signature Bank, dont les échecs ont mené à un important effort de sauvetage de la part de la Réserve fédérale des États-Unis. Par conséquent, leur chute n’annonce pas nécessairement le début d’une crise financière similaire à celle qui s’est produite en 2008.

Cet accord clôt une semaine très volatile pour Crédit Suisse. Mercredi, ses actions ont plongé à un niveau record après que son plus grand investisseur, la Banque nationale saoudienne, a annoncé qu’elle n’investirait plus dans l’institution pour éviter de déclencher des réglementations qui entreraient en jeu si sa participation augmentait d’environ 10 %.

Vendredi, les actions ont chuté de 8 % pour clôturer à 1,86 franc à la bourse suisse. Le titre a connu une longue glissade à la baisse, alors qu’il s’échangeait à plus de 80 francs en 2007.

Les problèmes ont commencé après que Crédit Suisse a annoncé, mardi, que ses dirigeants avaient identifié des « faiblesses importantes » dans les contrôles internes des rapports financiers à la fin de l’année dernière.

Bien que plus petit que son rival suisse UBS, Crédit Suisse exerce toujours une influence considérable, avec 1400 G$ US d’actifs sous sa gestion.

La société possède d’importants bureaux de négociation partout dans le monde, s’adresse aux clients riches par le biais de son activité de gestion de patrimoine et est un conseiller majeur pour les entreprises mondiales en matière de fusions et acquisitions.

Crédit Suisse n’a pas eu besoin d’aide gouvernementale en 2008 pendant la crise financière, contrairement à UBS.

Malgré la situation du système bancaire, la Banque centrale européenne (BCE) a approuvé jeudi une forte augmentation d’un demi-point de pourcentage des taux d’intérêt pour tenter de freiner l’inflation, affirmant que le secteur bancaire européen est « résilient ».

La présidente de la BCE, Christine Lagarde, a expliqué que les banques sont dans une position « complètement différente de 2008 », en partie à cause d’une réglementation gouvernementale plus stricte.

L’article UBS rachète Crédit Suisse est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Nouveau chef de la conformité chez UBS Gestion d’actifs – Canada https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nouveau-chef-de-la-conformite-chez-ubs-gestion-dactifs-canada/ Fri, 15 Jul 2022 12:05:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=88093 NOUVELLES DU MONDE - Elle a rejoint la firme en juin.

L’article Nouveau chef de la conformité chez UBS Gestion d’actifs – Canada est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Geneviève Dubé a été nommée chef de la conformité de UBS Gestion d’actifs – Canada.

« Geneviève se joint à nous avec plus de 25 années d’expérience dans tous les aspects juridiques et de conformité entourant la gestion de portefeuille institutionnelle », a indiqué Daniel Primeau directeur général, chez UBS Gestion d’actifs – Canada, via LinkedIn.

Membre du Barreau du Québec (1992), elle est diplômée en droit de l’Université Laval, à Québec.

Au fil des ans, Geneviève Dubé a occupé des postes de responsabilité en matière de conformité ou d’affaires juridiques au sein de différentes organisations, tant dans le secteur de la gestion de patrimoine que dans celui de l’assurance de personnes.  Elle a notamment évolué chez Patrimonica, Alphafixe Capital pour près de cinq ans, Triasima Gestion de portefeuille, Standard Life, AXA Canada et Letko Brosseau & Associés.

L’article Nouveau chef de la conformité chez UBS Gestion d’actifs – Canada est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Vers une fusion d’UBS et Credit Suisse https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/vers-une-fusion-dubs-et-credit-suisse/ Thu, 17 Sep 2020 12:06:42 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=75115 PLANÈTE FINANCE - Les deux grandes banques suisses en discutent.

L’article Vers une fusion d’UBS et Credit Suisse est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Axel Weber, le président d’UBS, et Urs Rohner, le président de Credit Suisse, seraient en pourparlers à propos d’une éventuelle fusion des deux groupes, selon le blogue d’informations financières Inside Paradeplatz.

Loin d’être une vague discussion, le projet, connu aussi sous le nom de code « Signal », pourrait être dévoilé au public dès le début de l’année prochaine et la fusion pourrait avoir lieu aussi vite que fin 2021, selon le site et des sources internes aux deux banques.

Axel Weber, qui lorgne sur la présidence de ce nouveau géant financier, en aurait même déjà touché un mot au ministre des Finances helvète Ueli Maurer et à l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers.

Cette fusion ne serait évidemment pas sans conséquence. Elle risque ainsi de supprimer 15 000 postes dans le monde soit 10 à 20 % de l’ensemble des employés des deux banques, rapporte AWP.

Les PDG des deux banques ont refusé d’infirmer ou de confirmer les rumeurs.

Malgré cela, cette nouvelle a déjà un impact sur les titres des deux banques. Lundi matin, l’action UBS était à la hausse de 1,7 % et celle de Credit Suisse de 2,5 %.

L’article Vers une fusion d’UBS et Credit Suisse est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
UBS embrassera le travail à domicile https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/ubs-embrassera-le-travail-a-domicile/ Tue, 28 Jul 2020 12:11:03 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=67883 L’institution a déclaré que jusqu’à un tiers de ses employés pourrait travailler à domicile après la pandémie.

L’article UBS embrassera le travail à domicile est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Évidemment, UBS a dû adopter une politique de travail à distance pour la majorité de son personnel en raison de la COVID-19. Actuellement 80 % de son personnel travaille de la maison. Ces changements font envisager l’adoption d’une approche flexible du travail à l’avenir, a déclaré Sergio Ermotti, directeur général de l’institution le 21 juillet dernier.

Les clients s’habituent aux « canaux numériques et aux différentes façons d’interagir avec nous, explique-t-il. Par conséquent, notre succursale et notre présence physique, ainsi que la façon dont nous servons les clients, seront remodelées ».

Effectivement, depuis la pandémie, l’entreprise produit davantage de contenu numérique. Au cours du trimestre, le principal bureau d’investissement a produit environ 50 diffusion en direct qui  ont été suivi par près de 45 000 clients et prospects, rapporte le Financial Planning. Le produit généré par le conseil numérique hybride de la société aux États-Unis – UBS Advice Advantage – a récemment dépassé le milliard de dollars d’actifs.

L’institution déclare toutefois que l’avenir ne sera pas entièrement numérique. Selon elle, l’interaction face à face entre les conseillers et leurs clients reste essentielle. Le secteur de la gestion de patrimoine nécessite la présence d’employés dans les bureaux une fois la pandémie finie, précise Sergio Ermotti.

Le groupe financier pense ainsi faire revenir la majorité de ses employés en succursale. « Nous n’allons pas avoir 80% [de nos employés à la maison] comme c’est le cas aujourd’hui… vous ne pouvez pas avoir tout le monde qui travaille à la maison », commente Sergio Ermotti.

Toutefois, UBS ne compte pas rappeler immédiatement ses employés, particulièrement aux États-Unis en raison du nombre croissant de cas de coronavirus. Elle précise que le retour au bureau de conseillers, dont beaucoup sont plus âgés, pourrait nécessiter l’accès à un vaccin.

L’institution estime qu’une fois le danger passé, environ un tiers des employés pourront encore travailler de la maison de façon plus régulière, ce qui pourrait impliquer une rotation entre les personnes qui travaillent à distance et celles qui travaillent au bureau. Au final,  certains employés pourraient partager le même bureau.

En attendant, UBS continue de faire face aux turbulences économiques. L’unité Amériques d’UBS a déclaré un bénéfice avant impôts en baisse de 135 millions de dollars (M$,) à 227 M$, ce qui reflète les baisses enregistrées également par les gestionnaires de patrimoine concurrents, Morgan Stanley et Wells Fargo.

L’article UBS embrassera le travail à domicile est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Capital Group accueille un nouveau VP des affaires institutionnelles https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/capital-group-accueille-un-nouveau-vp-des-affaires-institutionnelles/ Fri, 17 Apr 2020 12:12:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=65778 NOUVELLES DU MONDE – Kevin Martino s’est joint à Capital Group à titre de vice-président des affaires institutionnelles.

L’article Capital Group accueille un nouveau VP des affaires institutionnelles est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Dans son nouveau poste auprès de ce gestionnaire de placements d’envergure mondiale créé à Los Angeles, en Californie en 1931 et établie au Canada depuis 1998, Kevin Martino apportera son soutien au service à la clientèle, au développement des affaires et aux relations avec les conseillers de l’organisation à travers tout le Canada.

Kevin Martino compte près de 25 ans d’expérience dans la gestion et le développement de politiques d’investissement institutionnel. Il dispose ainsi d’un vaste réseau de consultants, de clients institutionnels et dans les régimes de retraite.

Il a notamment dirigé pendant une dizaine d’années les activités institutionnelles canadiennes de Dimensional Fund Advisors. Il a également travaillé pendant plus de cinq ans chez AXA Rosenberg Investment Management à titre de directeur exécutif, Canada, et pendant près de cinq ans chez UBS Global Asset Management.

Kevin Martin possède un baccalauréat en histoire, obtenu avec distinction de l’Université McMaster, et un certificat professionnel du Canadian Securities Institute (CSI).

L’article Capital Group accueille un nouveau VP des affaires institutionnelles est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>