Wellington-Altus Private Wealth Inc. – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Mon, 21 Oct 2024 18:12:35 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Wellington-Altus Private Wealth Inc. – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Comment les sociétés de gestion de patrimoine attirent-elles les conseillers ? https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/comment-les-societes-de-gestion-de-patrimoine-attirent-elles-les-conseillers/ Wed, 23 Oct 2024 10:11:51 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103587 L’indépendance, la technologie, le soutien à la planification de la succession sont quelques-uns des attraits offerts.

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Avec des milliards de dollars d’actifs sous gestion (ASG) en jeu, les conseillers en services financiers sont une denrée très prisée par les sociétés de gestion de patrimoine en pleine croissance.

IG Gestion de patrimoine a instauré de nombreux incitatifs

« Il y a une guerre [pour] les talents », résume Herp Lamba, premier vice-président et responsable du développement commercial chez IG Gestion de patrimoine, à Winnipeg.

Pour se démarquer, les entreprises vantent notamment leur culture axée sur les conseillers, leur environnement de travail flexible et leur esprit d’entreprise. Elles ont également mis en place des équipes de développement commercial et créé des postes avec des titres tels que « chief experience officer (directeur de l’expérience client) » afin de renforcer leurs stratégies de recrutement et de fidélisation.

IG Gestion de patrimoine, par exemple, a mis en place l’année dernière une équipe de développement commercial pour faire connaître les possibilités d’emploi au sein de l’entreprise. Herp Lamba dirige cette équipe qui, selon lui, est composée de leaders du secteur ayant de bonnes relations, notamment Stéphane Dulude et Matt Andrews, qui sont vice-présidents du développement commercial, ainsi que Neil Klempner, qui est directeur du développement commercial.

L’équipe rencontre généralement les conseillers intéressés en tête-à-tête pour discuter de leur vision et de leurs objectifs pour leurs pratiques, ainsi que des aspects qui fonctionnent bien et de ceux qui posent problème, explique Herp Lamba. Au cours de ces entretiens, l’équipe chargée du développement commercial communique des informations sur IG Gestion de patrimoine, notamment sur sa vision.

IG propose aux candidats des « essais » en personne ou virtuels de ses produits et de sa technologie, ainsi que la possibilité de s’entretenir avec des conseillers de l’entreprise sur la manière dont ils pratiquent la planification financière.

« Par exemple, nous leur offrons une démonstration technologique de 45 minutes pour leur montrer tous nos systèmes […] et comment utiliser les outils pour créer des gains d’efficacité dans leur pratique », rapporte Herp Lamba.

Il s’agit de leur dire : « Pourquoi ne pas ressentir ce que c’est que de travailler ici avant d’y être ? ».

Les conseillers d’IG — qui reçoivent une incitation financière lorsqu’ils recommandent d’autres conseillers — et les bureaux régionaux aident également à recruter des talents dans tout le pays.

Au 30 septembre, IG disposait de 136,4 milliards de dollars (G$) d’actifs sous gestion. La société n’a pas d’objectifs de croissance spécifiques, assure Herp Lamba, car elle s’attache davantage à trouver des conseillers qui sont « profondément engagés » dans la planification et la réalisation des objectifs de leurs clients.

Une autre priorité de la société est de recruter davantage de femmes, indique Herp Lamba. Les femmes représentent environ 49 % des nouvelles recrues d’IG cette année.

Plus de 16 000 conseillers en services financiers devraient prendre leur retraite au cours de la prochaine décennie, dont près de 40 % auront 55 ans ou plus, selon une étude de Fidelity.

Herp Lamba considère la démographie à la fois comme une opportunité et un défi en matière de recrutement — les conseillers plus âgés peuvent chercher à passer à une entreprise où ils bénéficient d’un meilleur soutien pour la planification de la succession, et les entreprises doivent combler les lacunes laissées par les baby-boomers qui quittent l’industrie.

Pour anticiper ce problème, IG a mis en place un programme de stages, qui sensibilise les étudiants et les diplômés de l’enseignement supérieur aux métiers de la gestion de patrimoine.

« Nous devons encore attirer des personnes qui ne sont pas dans l’industrie parce que nous n’avons pas le volume nécessaire pour répondre à la demande, constate Herp Lamba. Lorsque j’ai débuté dans le métier, j’étais un étudiant qui sortait de l’université. Je n’avais pas la moindre idée du secteur jusqu’à ce que quelqu’un me prenne à part et me le fasse découvrir. »

IG dispose également d’un programme de planification de la succession, qui offre aux conseillers qui partent à la retraite « une valeur garantie de leur portefeuille » sur la base d’une formule, la transition étant administrée en interne, résume Herp Lamba.

Raymond James aide à planifier la succession des conseillers

Raymond James, de son côté, a fait appel à une expertise en matière de planification de la succession pour aider ses conseillers vieillissants à s’assurer qu’ils « trouvent les bons partenaires, que [le plan est] structuré de manière appropriée et qu’ils peuvent avoir la sortie qu’ils souhaitent », rapporte Scott Hudson, vice-président exécutif et responsable de la gestion de patrimoine au sein de la société à Toronto.

La société offre également l’indépendance, souligne Scott Hudson, en indiquant que Raymond James recrutera 19 conseillers et augmentera ses actifs de 1,8 G$ au cours de l’exercice fiscal. La société compte actuellement 515 conseillers et 83 G$ d’actifs sous gestion, et vise à atteindre 550 conseillers d’ici 2027 et 100 G$ d’actifs sous gestion dans les prochaines années.

« La clé pour nous est de parler de ce qui est unique à propos de l’entreprise, estime Scott Hudson. Nous avons inscrit dans les contrats des conseillers qu’ils sont propriétaires de leurs livres et de leurs clients, et nous respectons cela. Il s’agit d’une culture fortement axée sur les conseillers. »

L’écoute et la réponse aux besoins des conseillers font également partie de cette culture, assure Scott Hudson, car les conseillers de l’entreprise sont « libres de partir à tout moment et d’emmener leurs clients avec eux ».

Pas facile de se démarquer pour les nouveaux venus

Pour les acteurs plus petits et plus récents du secteur de la gestion de patrimoine, il peut être difficile de se démarquer des grandes banques et des entreprises traditionnelles.

Gillian Kunza et Michael Konopaski, cofondateurs de Designed Wealth Management, en ont fait l’expérience.

« Il est certainement plus difficile de convaincre quelqu’un de rejoindre une startup qui n’existe que depuis quelques années, constate Michael Konopaski, directeur financier de Designed. En réalité, nous faisons beaucoup de choses semblables à TD et Raymond James, mais nous n’avons pas 150 ans d’histoire. Nous n’avons pas les bâtiments les plus hauts du centre-ville de Toronto. »

Le courtier indépendant est passé à plus de 100 conseillers et 40 employés au siège social au cours des trois dernières années, en tirant parti de sa présence sur LinkedIn et de son réseau croissant de professionnels du secteur pour faire connaître les possibilités qui s’offrent à eux.

Michael Konopaski et Gillian Kunza, PDG de l’entreprise, attribuent cette croissance au fait que l’entreprise encourage les employés potentiels à essayer de nouvelles choses et réfléchit à la manière de conserver les employés dès le premier jour. Ils donnent aux candidats un aperçu de la croissance à long terme qu’ils peuvent avoir en travaillant pour l’entreprise et la possibilité d’explorer les différents domaines de l’entreprise qui les intéressent.

« Plutôt que de mettre l’accent sur les options d’achat d’actions ou le salaire le plus élevé et ce genre de choses, nous cherchons vraiment à leur montrer la vue d’ensemble d’une entreprise en pleine croissance », résume Michael Konopaski.

La société Designed offre également des conditions de travail flexibles à son personnel. Par exemple, Michael Konopaski indique que, par le passé, l’entreprise a adapté les modalités de travail pour soutenir les nouveaux parents et les autres employés.

« Lorsque nous parlons de flexibilité, elle est vraiment spécifique à l’employé A par rapport à l’employé B par rapport à l’employé C », spécifie-t-il.

La diversité est un autre point fort de l’entreprise, selon Gillian Kunza, qui note que « beaucoup de gens se considèrent comme faisant partie de l’entreprise », car l’équipe est composée d’un mélange de sexes, d’âges et de talents. L’entreprise trouve un écho particulier auprès des professionnels en devenir, fait remarquer Michael Konopaski, l’âge moyen des employés se situant entre la fin de la vingtaine et le début de la trentaine.

La technologie est un autre point fort de Designed.

« Je ne dirais pas que nous sommes une fintech, mais nous avons tellement de composantes fintech dans ce que nous faisons », dit Michael Konopaski. Par exemple, « avec une interaction humaine minimale, nous pouvons ouvrir un compte en cinq à dix minutes ».

Steph Condra a rejoint Wellington-Altus Financial en janvier en tant que vice-présidente exécutive et directrice de l’expérience à Toronto, un rôle qui l’amène à soutenir les conseillers de Wellington-Altus dans tout le pays et à recruter des talents.

« Lorsque je pense à trouver des talents, je cherche souvent ceux qui désirent […] faire partie de la construction, retrousser [leurs] manches », rapporte Steph Condra, notant que le cabinet, fondé en 2017, est relativement nouveau.

Un bel objectif pour Wellington-Altus

Wellington-Altus, qui a récemment établi un partenariat avec Ares Management Corp. pour alimenter ses objectifs de croissance, dispose de 35 G$ en ASG et vise à atteindre 50 G$ d’ici novembre 2026.

Présenter l’image de Wellington-Altus comme une image de croissance et d’entrepreneuriat a permis à l’entreprise de trouver un écho auprès des conseillers, selon Steph Condra. L’entreprise est passée de 89 équipes de conseillers en 2022 à plus de 110 en 2024.

Les conseillers ont « construit leur entreprise à partir de rien, et ils sont donc souvent très attirés par l’idée de travailler dans une entreprise où tout le monde se développe », soutient Steph Condra.

Wellington-Altus donne également à ses conseillers la possibilité de peser sur les questions importantes de l’entreprise, telles que sa stratégie, son budget et ses possibilités d’amélioration, ce qui, selon Steph Condra, leur donne un plus grand sentiment de contrôle et d’appartenance.

Lorsqu’elle s’adresse à des prospects, Steph Condra raconte comment l’entreprise soutient ses conseillers et les aide à s’intégrer dans l’entreprise.

Elle raconte par exemple l’histoire d’un conseiller nouvellement recruté à Victoria qui a été accueilli sur le pas de sa porte par une équipe de collègues lui proposant de l’aider dans sa transition pendant qu’il se concentrait sur sa relation avec les clients.

« La culture est quelque chose qui peut être difficile à exprimer, souligne Steph Condra. Je pense que les conseillers ont besoin de la voir et de la ressentir. »

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Emerge Capital Management devra rembourser ses employés https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/emerge-capital-management-devra-rembourser-ses-employes/ Mon, 19 Aug 2024 11:19:17 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102347 Des chèques remis à des employés canadiens en guise de remboursement partiel étaient sans provision.

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La Cour suprême du comté d’Erie a ordonné à Lisa Lake Langley et à sa société, Emerge Capital Management, basée à Buffalo, New York, de verser plus de 280 000 $ à trois anciens employés d’Emerge Canada. Ces employés avaient prêté près de 200 000 $ à la société américaine, montant qui n’a pas été remboursé.

Selon les jugements rendus le 5 août, Lisa Lake Langley et Emerge Capital Management doivent verser 213 069 dollars américains ($ US) à un ancien employé d’Emerge Canada basé en Ontario, 35 210 $ US à un ancien employé basé au Québec et 32 733 $ US à un autre ancien employé basé en Ontario.

Lisa Lake Langley est la fondatrice, présidente et cheffe de la direction d’Emerge Capital Management et d’Emerge Canada, dont le siège est à Toronto. Un avocat représentant Lisa Lake Langley et Emerge Capital Management n’a pas répondu à notre demande de commentaire.

En janvier, Emerge Capital et Lisa Lake Langley ont envoyé une offre de règlement aux anciens employés et ont demandé au tribunal de reporter la procédure pour permettre la négociation. Les anciens employés ont décliné l’offre.

Ensuite, le 26 avril, Emerge Capital et Lisa Lake Langley ont remis trois chèques d’un montant total de 20 000 $ à l’avocat des anciens employés, mais les chèques auraient été refusés, selon les déclarations sous serment.

Les plaignants ont prêté à Emerge Capital Management un total de 199 763,24 $ US le 5 janvier 2023, alors qu’ils étaient cadres supérieurs d’Emerge Canada, selon les pièces déposées auprès du greffier du comté d’Erie.

Les employés devaient également recevoir des actions d’Emerge Canada à la même valeur que leurs prêts à la société américaine, leur part devant être basée sur l’évaluation d’Emerge Canada au 31 décembre 2022.

Les employés devaient recevoir un remboursement forfaitaire avec 25 % d’intérêts « à la clôture du financement [de la tierce partie], prévue pour le lendemain », selon les copies des billets à ordre. La date d’échéance officielle des prêts était fixée un an plus tard, le 5 janvier 2024.

Mais les billets à ordre ont été modifiés le 19 avril 2023 — moins de deux semaines après que les FNB d’Emerge Canada ont fait l’objet d’une interdiction d’opérations — pour changer la date de remboursement au 15 mai 2023, avec l’accord des deux parties.

Emerge Capital Management a accepté de payer un intérêt supplémentaire de 1 % par mois si elle ne respectait pas le délai de remboursement.

L’échéance du 15 mai n’a pas été respectée, selon les anciens employés. Quatre jours auparavant, la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario avait suspendu l’enregistrement d’Emerge Canada en raison d’une insuffisance de capital, déclarant que la société était probablement déficitaire à un moment donné avant le 30 septembre 2022.

Les trois anciens employés ont également intenté une action en justice en Ontario contre Emerge Canada et Lisa Lake Langley, ainsi que contre deux autres administrateurs de la société. Les plaignants réclament des dommages et intérêts pour rupture de contrat et salaires impayés, entre autres.

Une déclaration de défense déposée en février nie les allégations et demande que l’action soit rejetée.

Dans le comté d’Erie, Emerge Capital Management fait face à trois autres allégations de salaires impayés.

Dans la première affaire, une femme embauchée en février 2022 en tant qu’assistante de direction chez Emerge Capital allègue qu’elle n’a pas reçu de salaire du 16 décembre 2022 au 6 mars 2023, date à laquelle elle a fait l’objet d’un « licenciement déguisé ». La femme a également allégué qu’elle avait été licenciée « en représailles pour ses plaintes concernant des violations du droit du travail, y compris le non-paiement des salaires ».

En mars 2024, Emerge Capital et Lisa Lake Langley ont répondu à la plainte en niant les accusations portées contre eux et en demandant au tribunal de la rejeter.

La semaine dernière, le cabinet d’avocats représentant les défendeurs a demandé à se retirer, invoquant des honoraires impayés. Barclay Damon, qui a également représenté Emerge Capital et Lisa Lake Langley dans l’affaire du remboursement du prêt, a déclaré dans une requête datée du 7 août qu’Emerge Capital et Langley « n’ont jamais payé les services fournis par Barclay Damon ».

Emerge Capital et Langley pourront s’opposer au retrait de Barclay Damon lors d’une audience prévue fin septembre. Dans l’intervalle, le tribunal a ordonné la suspension de la procédure.

Barclay Damon n’a pas répondu à une demande de commentaire.

Deux autres hommes ont déposé des plaintes distinctes auprès du greffier du comté d’Érié en avril et en juillet, respectivement, alléguant qu’Emerge Capital et Lisa Lake Langley leur doivent chacun des dizaines de milliers d’euros d’arriérés de salaire. Les deux plaintes allèguent que les problèmes de paie ont commencé en janvier 2023 et que l’assurance maladie d’Emerge Capital a été annulée au cours du premier trimestre 2023.

Emerge Capital et Lisa Lake Langley n’ont pas répondu aux allégations.

Charlie Spiring, qui est actionnaire d’Emerge Capital Management depuis septembre 2018, a refusé de commenter le litige. Charlie Spiring est également le fondateur et le président de Wellington-Altus Financial.

Allan Hiebert, vice-président associé, communications d’entreprise, chez Wellington-Altus Private Wealth a déclaré dans un communiqué que Charlie Spiring n’a jamais siégé au conseil d’administration d’Emerge Capital Management et n’a jamais eu d’emploi, de rôle de cadre ou de dirigeant dans l’organisation, « il n’aurait donc pas accès à des informations qui ne sont pas disponibles pour le grand public. »

En outre, « Charlie Spiring a reçu l’approbation écrite de [l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières] avant son achat d’une participation minoritaire dans Emerge Capital Management en 2018 pour 672 000 dollars américains, a déclaré Allan Hiebert. Cette participation minoritaire reflétait une participation de 35 % dans la société ; cependant, il est présumé que ces actions sont sans aucune valeur. »

 

(Avec les informations de James Langton)

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Acquisition de la CWB par la Banque Nationale https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/acquisition-de-la-cwb-par-la-banque-nationale/ Thu, 27 Jun 2024 10:56:02 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101560 Quel sera l’impact sur le secteur de la gestion de patrimoine ?

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D’anciens dirigeants de la Banque Nationale du Canada affirment que la décision d’acheter la Banque canadienne de l’Ouest (CWB) est très logique.

« C’est un grand coup de pouce pour la Banque Nationale, qui sera certainement un excellent nouveau partenaire pour CWB », estime John Cucchiella, président de SMEx Advisory et associé chez First North Consulting à Toronto. « Culturellement, ils sont alignés. »

« Je suis très optimiste quant à [l’acquisition] », indique pour sa part Charlie Spiring, fondateur et président de Wellington-Altus Private Wealth Inc., à Winnipeg.

Charlie Spiring, qui a également fondé Wellington West Holdings Inc., à Winnipeg, a vendu cette entreprise à la Financière Banque Nationale Ltée (FBN) en 2011. Il a été vice-président du comité exécutif de la FBN de 2011 à 2016.

« Je suis toujours l’un des plus importants actionnaires individuels [de la Banque Nationale], alors je demeure attentif à la performance de l’action et au chemin que les choses empruntent », signale-t-il. « Lorsque je siégeais au conseil d’administration il y a une dizaine d’années, nous avons examiné cette potentielle transaction. J’étais un grand fan. »

Si elle est approuvée, l’entente étendrait la portée de la Banque Nationale à l’extérieur de son bastion québécois, puisque la CWB compte 39 succursales dans l’Ouest canadien et en Ontario. John Cucchiella fait également l’éloge des activités commerciales de CWB.

Quant au secteur de la gestion de patrimoine, la Banque Nationale « reprend une division qui peut très bien s’intégrer à la Financière Banque Nationale », a-t-il déclaré.

John Cucchiella, qui a été premier vice-président à la Banque Nationale de 2016 à 2018, croit également que les deux organisations partagent une culture entrepreneuriale. Par conséquent, les conseillers de CWB « trouveront que ce sera une excellente maison », dit-il.

Au 30 avril, la division de gestion de patrimoine de CWB supervisait 11,2 milliards de dollars (G$) d’actifs, soit : 8,8 G$ d’actifs sous gestion et administration, et 2,4 G$ d’actifs sous conseils (principalement liés à ses activités de services aux Autochtones). En comparaison, l’actif supervisé était de 10,0 G$ au 31 octobre 2023.

John Cucchiella et Charlie Spiring soulignent l’importance de communiquer avec le personnel au cours des mois à venir.

« C’est une bonne affaire sur papier et a le potentiel est grand à moyen et long terme, estime Charlie Spiring. Mais il faut avoir la bonne culture et parvenir à faire intégration adéquate. Il ne faut pas sous-estimer cet aspect. »

La Banque Nationale du Canada a refusé de commenter.

Implications pour BNRI

La consolidation dans l’industrie signifie généralement des défis et des difficultés pour les plus petits joueurs. Toutefois, le rapprochement actuel pourrait avoir pour effet de soutenir les petites sociétés de conseils financiers.

Wellington-Altus utilise les services de Banque Nationale Réseau Indépendant (BNRI) pour ses services administratifs, de garde et d’exécution des opérations. Charlie Spiring indique avoir reçu l’assurance que BNRI demeurait une priorité pour la Banque Nationale.

« CWB apporte beaucoup en matière technologique, avance Charlie Spiring. CWB pourrait ajouter de la valeur à l’offre déjà solide proposée par la Banque Nationale. »

Jared Rabinowitz, directeur et associé fondateur de Quintessence Wealth, à Toronto, croit lui aussi que l’acquisition de CWB sera positive pour les clients de BNRI.

Jared Rabinowitz indique qu’il est rassurant pour les clients d’une petite société de gestion de portefeuille comme la sienne d’avoir une grande banque comme dépositaire. « Cependant, lorsqu’il est question de l’Ouest canadien, la reconnaissance de la marque de la Banque Nationale est loin d’être comparable à celle des Big Five, rappelle-t-il. Heureusement, bien que la CWB ne soit pas une très grande banque, elle est beaucoup plus reconnue en Alberta et en Colombie-Britannique, ce qui est avantageux pour nous. »

Un autre trait avantageux concerne les prêts.

« Les prêts sur liquidité sont vraiment essentiels à la croissance de l’univers dans lequel nous nous trouvons », affirme Rabinowitz, en référence aux firmes indépendantes. « La plupart des banques [font] des prêts adossés à des actifs ; ils ne comprennent pas les prêts sur liquidité. » Les prêts adossés à des actifs tiennent compte du bilan de l’emprunteur, tandis que les prêts sur liquidité tiennent compte des revenus actuels et futurs.

CWB Maxium Financial est l’un des rares prêteurs à accorder des prêts sur liquidité à des sociétés de gestion de patrimoine, indique Jared Rabinowitz, un autre exemple étant Care Lending Group, basé à Newmarket, en Ontario.

Le transfert de CWB Maxium à la Banque Nationale « fournira des synergies supplémentaires, un bilan plus important et peut-être une plus grande motivation, car [ces prêts] profitent directement à la croissance de BNRI », suggère-t-il — plus l’espace indépendant est fort, mieux c’est pour BNRI.

Bien que les acquisitions soient l’occasion pour une organisation de revoir son offre de produits et services, Jared Rabinowitz affirme ne pas avoir d’inquiétudes particulières quant à la réduction des opérations de prêt de liquidité de la Banque Nationale par la CWB. Il cite BNRI comme un facteur de différenciation pour la Banque Nationale par rapport aux autres grandes banques, ainsi que la croissance de firmes indépendantes telles que Quintessence et Wellington-Altus.

« Il est vraiment logique que [la Nationale] redouble d’efforts pour soutenir ce type de croissance », affirme Jared Rabinowitz.

« Les affaires continuent de se dérouler comme d’habitude chez CWB, en attendant que les approbations requises par les actionnaires de CWB et les autorités réglementaires soient obtenues et que la transaction soit conclue, ce que nous prévoyons de poursuivre jusqu’à la fin de 2025 », a déclaré la banque dans un communiqué sur le site Web de Maxium.

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« Un ajout précieux » à l’équipe de Raymond James https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/un-ajout-precieux-a-lequipe-de-raymond-james/ Wed, 19 Jun 2024 11:11:01 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101419 NOUVELLES DU MONDE – Michelle Connolly intègre la firme à titre de cheffe, Planification financière et solutions d’assurance.

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Michelle Connolly a rejoint Raymond James, filiale canadienne du courtier en valeurs mobilières nord-américain, Raymond James Financial, à titre de cheffe, Planification financière et solutions d’assurance, au sein de l’équipe des Solutions de gestion de patrimoine le 29 mai dernier.

À ce titre, Michelle Connolly, qui amène avec elle plus de 20 ans d’expérience dans le domaine de la planification du patrimoine, des assurances, des successions et des fiducies, jouera un rôle important dans l’amélioration de la prestation des solutions globales de gestion de patrimoine de Raymond James, en soutenant les réseaux des conseillers indépendants et d’entreprise et les familles de leurs clients.

« Le parcours de Michelle en matière de leadership et de mentorat et son approche réfléchie et proactive de la prestation de solutions personnalisées pour les clients font d’elle une candidate idéale pour ce rôle stratégique, soutient Jennifer Hodgson, VPP, cheffe de Solutions globales, gestion de patrimoine, Raymond James et cheffe de la direction, Compagnie Trust Solus, Fiducie Raymond James (Québec). Nous sommes fiers d’accueillir Michelle, qui constitue un ajout précieux à l’équipe de Raymond James, et qui nous aidera à maintenir la dynamique de la firme. »

Jusqu’à récemment, Michelle Connolly, CPA, CA, CFP, TEP et FEA, occupait le poste de vice-présidente principale de la planification patrimoniale, fiscale et successorale avancée à Wellington-Altus. Au cours de sa carrière, elle a également travaillé pour la Financière Sun Life, CI Investments et Deloitte.

« Les conseillers qui ont rencontré Michelle dans le passé ont communiqué avec nous pour nous faire part de leur enthousiasme, rapporte Jamie Coulter, chef de la direction. Nous sommes tous ravis d’accueillir Michelle et sa vaste expérience au sein de la firme et nous avons hâte de travailler avec elle et avec l’ensemble de l’équipe pour soutenir nos solutions globales de gestion de patrimoine. »

« Je me réjouis de travailler avec les conseillers de Raymond James afin de leur fournir des solutions de gestion de patrimoine complètes qui répondent aux besoins changeants de leurs clients, tout en contribuant à la forte de croissance de la firme au Canada », assure de son côté Michelle Connolly.

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Wellington-Altus se dote d’un nouveau poste de direction https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/wellington-altus-se-dote-dun-nouveau-poste-de-direction/ Tue, 16 Jan 2024 12:25:48 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98430 NOUVELLES DU MONDE - Steph Condra, qui vient de BMO Gestion privée, succède à l'ancien président Jordy Chilcott.

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Wellington-Altus nomme Steph Condra au poste de vice-présidente exécutive et directeur général (CXO), un rôle qui implique la supervision des équipes de planification patrimoniale avancée, d’engagement des conseillers, d’intégration des conseillers, de marketing et de gestion régionale de l’entreprise.

Steph Condra était dernièrement chef du bureau de stratégie nationale de BMO Gestion privée et compte plus de 20 ans d’expérience dans le secteur.

Le fondateur et PDG de Wellington-Altus, Shaun Hauser, a défini le rôle de Steph Condra comme un poste de direction dédié qui aidera les conseillers à évoluer.

« Prendre soin des conseillers [de l’entreprise] est aussi important que d’en trouver de nouveaux », a-t-il déclaré lors d’une entrevue.

L’ancien président Jordy Chilcott a quitté Wellington-Altus pour Gestion de placements Manuvie (desktop) au cours de l’été, Dennis Stewner devenant président tout en conservant ses fonctions de directeur de l’exploitation et de directeur financier.

« Jordy a lancé le modèle de prise en charge des conseillers et Steph reprend le flambeau, [mais va également] l’amener à un niveau totalement différent », a-t-il déclaré.

Steph Condra a de l’expérience dans la conduite de changements au sein d’une entreprise, ayant participé en 2019 à l’intégration des activités de banque privée et de courtage traditionnel de BMO (BMO Nesbitt Burns).

Elle a déclaré à Investment Executive qu’elle observait Wellington-Altus et qu’elle avait été poussée par la décision de l’entreprise « de reconnaître la nécessité d’un CXO, d’un rôle consacré à l’expérience des conseillers [et de] s’assurer que nous les écoutons et que nous leur offrons ce dont ils ont besoin pour se développer ».

La société gère actuellement plus de 25 milliards de dollars d’actifs (G$), avec l’objectif d’atteindre 50 G$ dans les prochaines années, et emploie 101 équipes de conseillers.

Steph Condra s’attend à ce qu’une partie de la croissance de l’entreprise provienne des conseillers existants, le soutien étant axé sur l’aide aux acteurs de premier plan pour qu’ils attirent de nouveaux talents et de nouveaux clients. La technologie et l’automatisation seront utiles à cet égard, mais il sera également question d’attirer la prochaine génération de clients par l’intermédiaire des enfants et d’autres membres de la famille.

Pour l’instant, Steph Condra apprend à connaître les conseillers de l’entreprise. « C’est ce qui est prévu : prendre la route et rencontrer autant de conseillers que possible en personne. Je veux connaître leur parcours et le livre qu’ils ont construit ».

La nomination de Steph Condra intervient peu après qu’Andrew Marsh, vétéran du secteur, a rejoint le conseil d’administration de Wellington-Altus à la fin de l’année dernière.

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Wellington-Altus se concentre sur la croissance https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/wellington-altus-se-concentre-sur-la-croissance/ Fri, 15 Dec 2023 10:47:47 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98102 Grâce à une nouvelle injection de capitaux.

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Wellington-Altus Financial dispose de 40 millions de dollars (M$) de nouveaux capitaux pour aider à attirer des conseillers en patrimoine et des gestionnaires de portefeuille dans tout le pays, selon ce qu’a rapporté la société le 7 décembre dernier.

Le groupe Cynosure, un gestionnaire d’actifs alternatifs basé aux États-Unis, a fourni à Wellington-Altus un investissement en capital de croissance de deuxième tour de 40 M$.

« Cet investissement nous enthousiasme », assurait Shaun Hauser, fondateur et PDG de Wellington-Altus, lors d’une entrevue avec Advisor’s Edge.

« Nos concurrents ne cessent d’affirmer que nous sommes en train de vendre, et je pense que cela devrait faire taire toutes ces rumeurs. Notre intention est de croître dans un avenir prévisible en continuant à doubler et à investir dans notre entreprise, de sorte que nous puissions attirer de nouveaux conseillers. »

Wellington-Altus, fondé en 2017, a plus de 25 milliards de dollars (G$) d’actifs sous administration.

Shaun Hauser informe que le cabinet compte 92 équipes de conseillers, contre 60 en 2020, et que les conseillers qui rejoignent le cabinet ont tendance à avoir 100 M$ d’actifs ou de revenus bruts au minimum.

Mais « nous mesurons la qualité de l’individu, assure Shaun Hauser. Les bons êtres humains ont tendance à être d’excellents conseillers, et les excellents conseillers ont tendance à avoir d’excellents livres. »

Il a indiqué que Wellington-Altus continue à se concentrer sur l’attraction de conseillers en investissement (enregistrés auprès de l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières avant la fusion des organismes d’autoréglementation) et de conseillers en gestion de portefeuille.

« Nous voulons trouver des conseillers de l’OCRCVM privés de leurs droits », qui proviennent généralement de courtiers appartenant à des banques, explique Shaun Hauser. « Et nous essayons continuellement et vigoureusement de développer notre activité de conseil en investissement…. Nous pensons que l’avenir de cette activité est fantastique ».

Shaun Hauser indique qu’environ 85 % des acquisitions de la société provenaient de banques, dont les actifs ont tendance à être concentrés au Canada, ce qui représente une source de croissance attrayante.

Le premier investissement de 40 M$ de Cynosure en 2021 (avec 45 M$ de Jessiman Family Investments) a également été consacré aux offres d’incitation des conseillers et aux acquisitions.

Andrew Braithwaite, directeur général du groupe Cynosure, a déclaré dans un communiqué que la tendance au Canada est à l’indépendance des conseillers et que les investissements dans la plateforme de Wellington-Altus placent l’entreprise en position de leader.

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Jordy Chilcott passe chez Gestion de placements Manuvie https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/jordy-chilcott-passe-chez-gestion-de-placements-manuvie/ Wed, 16 Aug 2023 11:43:41 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95621 NOUVELLES DU MONDE - Il a notamment été président de Placements mondiaux Sun Life et de Wellington-Altus Gestion privée.

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Gestion de placements Manuvie a annoncé la nomination de Jordy Chilcott au poste de chef, Distribution intermédiaire, Services aux particuliers, Canada, qui entrera en poste le 5 septembre 2023.

Jordy Chilcott sera ainsi responsable de la mise en œuvre de la stratégie commerciale de la société au Canada. Ses efforts porteront sur la croissance des activités de Gestion de placements Manuvie au Canada « en analysant et en optimisant le réseau de distribution de la société, en élaborant et en commercialisant de nouveaux produits de placement ainsi qu’en maintenant et en augmentant la clientèle », lit-on dans un communiqué. Il sera également responsable de la stratégie visant les comptes principaux et des relations stratégiques avec les partenaires, en plus de collaborer avec des gestionnaires externes au sein de la plateforme de Gestion de placements Manuvie.

« Nous sommes ravis d’accueillir Jordy dans notre équipe, car il jouera un rôle de premier plan dans la croissance de nos services aux particuliers au Canada », a déclaré Leo M. Zerilli, CIMA, chef, Gestion de patrimoine et d’actifs, Canada, Gestion de placements Manuvie. Celui-ci compte sur la vaste expérience de Jordy Chilcott pour apporter de nouvelles perspectives sur les modèles d’affaires de gestion d’actifs et de gestion de patrimoine.

Auparavant, Jordy Chilcott a été président de Wellington-Altus Gestion privée ainsi que président-directeur de Groupe Solutions Wellington-Altus et vice-président directeur de la Financière Wellington-Altus inc. Il a aussi été président de Placements mondiaux Sun Life, ainsi que vice-président principal, Solutions de placement, en plus d’occuper divers postes de haute direction à la Banque Scotia, où il a supervisé de nombreuses sociétés de gestion d’actifs au Canada, au Mexique et en Asie, et il a été président et chef de la direction de Fonds Dynamique.

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Wellington Altus revoit sa structure de soutien aux conseillers https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/wellington-altus-revoit-sa-structure-de-soutien-aux-conseillers/ Wed, 02 Aug 2023 10:08:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95270 NOUVELLES DU MONDE – Et remanie son équipe de direction.

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La Financière Wellington Altus annonce plusieurs remaniements dans son équipe de direction. Ces changements s’inscrivent dans la planification stratégique effectuée au cours des six derniers mois par la firme, qui vise à doubler l’actif sous gestion, notamment par l’amélioration du soutien aux conseillers.

Dans la foulée, Jordy Chilcott, président de Wellington Altus Gestion privée depuis mars 2022, quitte le navire pour retourner à la gestion d’actifs. Il sera remplacé par Dennis Stewner, actuellement vice-président directeur, chef des opérations et chef des finances, qui présidera également la division assurance, sous réserve de l’obtention des approbations réglementaires.

Frank Laferriere, qui a été embauché en juin en provenance de la société de gestion de patrimoine ontarienne Mandeville, devient quant à lui vice-président directeur, Stratégie numérique et conformité. Il assumera également les fonctions de président de Wellington-Altus États-Unis.

L’entreprise crée par ailleurs un poste de chef de l’expérience professionnelle, afin d’améliorer l’expérience des conseillers. Relevant du chef des opérations, ce responsable aura notamment pourr tâche de renforcer l’équipe de conseillers. La firme recrute actuellement pour combler cet emploi.

« Depuis la genèse de la société en 2017, nous nous sommes concentrés à fournir aux conseillers un soutien inégalé et la liberté de faire ce qui est bon pour leurs clients grâce à une approche agile dirigée par les meilleurs du secteur. L’arrivée d’un chef de l’expérience professionnelle viendra compléter cette nouvelle phase de notre parcours », a déclaré le fondateur et chef de la direction, Shaun Hauser.

Basée à Winnipeg, La Financière Wellington Altus a ouvert un bureau à Montréal en septembre 2022. La société déclarait récemment avoir un actif sous gestion de plus de 25 milliards de dollars (G$).

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Wellington-Altus accueille Jon Kilfoyle https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/wellington-altus-accueille-jon-kilfoyle/ Mon, 01 May 2023 11:41:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=93218 NOUVELLES DU MONDE – Celui-ci intègre l’équipe de direction de la compagnie.

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La Financière Wellington-Altus (Wellington Altus), société mère de Wellington-Altus Conseil Privé et de Wellington-Altus Gestion Privée, a nommé Jon Kilfoyle au poste de vice-président directeur, Produits et plateformes. La firme, qui a procédé à plusieurs nominations importantes depuis le début de l’année, continue ainsi d’étoffer son équipe de direction afin de poursuivre sa croissance.

Jon Kilfoyle sera chargé de mettre l’accent sur l’amélioration de la gamme de produits et de plateformes de la société afin d’offrir aux clients des solutions personnalisées. Dans le cadre de ses fonctions, il sera amené à superviser à la fois la gestion des actifs de la société et la plateforme américaine à titre de président de Gestion d’actifs Wellington-Altus et de Wellington-Altus États-Unis. « Il s’agit de la bonne personne, au bon moment, pendant notre ascension », a déclaré Shaun Hauser, fondateur et chef de la direction de Wellington-Altus.

Vétéran du secteur, Jon Kilfoyle s’est joint à Wellington-Altus après avoir occupé divers postes de direction au sein du secteur de la gestion de patrimoine chez Wellington West Capital, Financière Banque Nationale et RBC Dominion valeurs mobilières. Plus récemment, il a occupé le poste de vice-président principal, Placements, au sein de IG Gestion de patrimoine, et il a dirigé l’élaboration de solutions de placement pour les clients fortunés.

« L’équipe de direction de Wellington-Altus cultive un environnement axé sur la collaboration et cherche proactivement à obtenir les commentaires des équipes de conseillers », a indiqué Jon Kilfoyle. Le gestionnaire est diplômé du CFA Institute.

Basée à Winnipeg, Wellington Altus s’est implantée dans la belle province il y a un peu plus d’un an et a ouvert un bureau à Montréal l’automne dernier. La société a connu une croissance importante de l’actif sous gestion, qui a atteint près de 20 milliards de dollars (G$). L’an dernier, elle a ajouté 6,5 G$ d’actifs, principalement par le biais du recrutement, et compte environ 90 équipes de conseillers, selon Investment Executive.

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Wellington-Altus accueille Dennis Stewner https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/wellington-altus-accueille-dennis-stewner/ Fri, 20 Jan 2023 13:04:05 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=91231 NOUVELLES DU MONDE – Celui-ci intègre l’équipe de direction de la compagnie.

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La Financière Wellington-Altus (Wellington-Altus) procède à quelques changements au sein de son équipe de direction en y accueillant notamment Dennis Stewner.

Ce dernier, qui possède une expérience directe dans des situations discernables de croissance, remplacera ainsi Trevor Coates, vice-président directeur et chef des finances, qui avait annoncé à l’automne 2022 qu’il comptait bientôt prendre sa retraite.

Dennis Stewner rejoint ainsi la compagnie à titre de vice-président directeur, chef de l’exploitation et chef des finances, sous réserve de toutes les approbations réglementaires. Trevor Coates restera toutefois quelques mois pour soutenir son remplaçant et aider à la transition.

Dennis Stewner possède plus de 25 ans d’expérience dans le secteur des services financiers au Canada. Il possède de l’expertise dans les domaines de la gestion financière et des immobilisations, de la communication de l’information financière, de la conformité et de la mise à l’échelle des opérations.

« Trouver quelqu’un avec la feuille de route de Dennis à ce moment-ci de notre parcours ne pouvait mieux tomber, explique Shaun Hauser, chef de la direction et cofondateur de Wellington-Altus. Je suis extrêmement rassuré par l’expérience directe qu’a acquise Dennis dans le secteur et qui lui servira dans ses fonctions de dirigeant à Wellington-Altus. En outre, il a récemment fait partie d’une équipe ayant géré une très forte croissance pendant de longues périodes, ce qui nous sera tout aussi profitable. »

Avant d’accepter ce nouveau poste, Dennis Stewner était chef des finances et chef de l’exploitation à People Corporation. Il a également été vice-président et directeur national à la Financière Banque Nationale, Gestion de patrimoine, supervisant les activités canadiennes de courtage à service complet à l’extérieur du Québec et a occupé plusieurs postes de haute direction, dont ceux de chef de l’exploitation et de chef des finances à Wellington West Holdings Inc.

Titulaire d’un baccalauréat en commerce (avec distinction) de l’Université du Manitoba, Dennis Stewner est comptable professionnel agréé.

« Je suis ravi de me joindre à la société de gestion de patrimoine qui connaît la croissance la plus rapide au Canada, a déclaré Dennis. L’entreprise est bien placée pour poursuivre sa trajectoire de croissance rapide, et je me réjouis à l’idée de soutenir ce parcours grâce à mon expérience de la gestion financière et des immobilisations, ainsi que de la mise à l’échelle des opérations. »

En plus de cet ajout de taille, Wellington-Altus a également promu Gilles Belair au poste de vice-président principal des finances et qu’il travaillera en étroite collaboration avec Dennis Stewner.

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