Acquisition – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 12 Sep 2024 10:53:42 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Acquisition – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Clearlake Capital acquiert MV Credit https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/clearlake-capital-acquiert-mv-credit/ Thu, 12 Sep 2024 10:53:42 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102735 Cela devrait notamment renforcer ses capacités en matière de crédit privé.

L’article Clearlake Capital acquiert MV Credit est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
La société d’investissement Clearlake Capital Group acquiert MV Credit, un spécialiste paneuropéen du crédit privé, auprès de Natixis Investment Managers. L’acquisition qui devrait être finalisée au quatrième trimestre de 2024 devrait permettre d’accroître les capacités de la firme en matière de prêts directs et de crédits privés.

MV Credit est un spécialiste européen du crédit privé indépendant, avec 5,1 milliards de dollars (G$) d’actifs sous gestion (ASG). L’entreprise propose des solutions de fonds personnalisées aux investisseurs, incluant des stratégies de prêts directs de premier rang, de prêts directs subordonnés, de prêts hybrides et d’obligations adossées à des prêts.

« Le crédit fait partie de l’ADN de Clearlake depuis sa création et est au cœur de sa stratégie. Les antécédents exceptionnels de MV Credit et son expertise approfondie en matière de crédit privé s’alignent parfaitement sur nos activités de crédit existantes et renforcent notre présence continue en Europe, explique José E. Feliciano, cofondateur et associé gérant de Clearlake. Clearlake a déployé plus de 40 milliards de dollars d’investissements en dette et en actions privilégiées depuis 2006. Grâce à l’expertise de MV Credit, nous allons élargir nos capacités de prêt direct à l’échelle mondiale afin de mieux servir les sponsors et les autres clients, tout en élargissant l’offre de produits pour nos investisseurs. »

À l’issue de l’opération, les activités de crédit de Clearlake totaliseront plus de 28 milliards de dollars d’actifs sous gestion (ASG), portant les ASG globaux de la société à plus de 90 milliards de dollars. Clearlake comptera également plus de 230 professionnels et disposera de bureaux à Santa Monica, Dallas, Dublin, Londres, Singapour, Abu Dhabi, Paris et Luxembourg.

« Avec cette acquisition, les activités de crédit de Clearlake atteindront une taille significative, avec des actifs sous gestion de crédit qui passeront d’environ 6 milliards de dollars en 2020 à plus de 28 milliards de dollars aujourd’hui, résume Behdad Eghbali, cofondateur et associé gérant de Clearlake. Nous avons été très attentifs à la manière dont nous avons développé notre activité de crédit, et l’ajout de MV Credit, dont les capacités de prêt direct sont très complémentaires, nous offre de nouvelles opportunités de croissance stratégique. »

L’article Clearlake Capital acquiert MV Credit est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
RBC, la BN et la CIBC augmentent leur bénéfice https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/rbc-la-bn-et-la-cibc-augmentent-leur-benefice/ Thu, 29 Aug 2024 11:50:55 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102625 Au troisième trimestre.

L’article RBC, la BN et la CIBC augmentent leur bénéfice est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
La Banque Royale du Canada a annoncé une hausse de ses bénéfices au troisième trimestre, dépassant largement les attentes des analystes. Elle n’a enregistré qu’une augmentation modeste des fonds mis de côté pour les prêts potentiellement douteux, tandis que ses revenus ont grimpé.

La banque a dévoilé mercredi des bénéfices de 4,49 milliards de dollars (G$) au troisième trimestre, en hausse par rapport à 3,86 G$ un an plus tôt.

RBC a noté que l’inclusion des résultats de HSBC Canada a fait croître son bénéfice net de 259 M$ pour le trimestre.

Sur une base ajustée, RBC a gagné 3,26 $ par action, en hausse par rapport à un bénéfice ajusté de 2,83 $ par action il y a un an.

Les analystes s’attendaient en moyenne à un bénéfice ajusté de 2,97 $ par action, selon LSEG Data & Analytics.

« Bien que le degré d’incertitude et de volatilité géopolitiques soit plus élevé, nos activités diversifiées sont bien positionnées pour les changements macroéconomiques dans l’environnement opérationnel », a déclaré le président et chef de la direction, Dave McKay, lors d’une conférence téléphonique sur les résultats mercredi.

Les revenus ont totalisé 14,63 G$, en hausse par rapport à 12,98 G$ il y a un an, tandis que la provision pour pertes sur créances s’est élevée à 659 G$, en hausse par rapport à 616 M$ au même trimestre l’an dernier.

Bien que la banque ait mis de côté plus d’argent au total, la proportion de prêts faisant l’objet de provisions a diminué de 0,02 point de pourcentage par rapport à l’année dernière et de 0,14 point de pourcentage par rapport au trimestre précédent.

Le ratio de 0,27 % de prêts qui préoccupent la banque est bien inférieur à celui de 0,38 % attendu par les analystes, ce qui a contribué à la forte progression des bénéfices.

« Le crédit a été un point fort pour RBC, avec des provisions bien inférieures aux attentes », a déclaré l’analyste de Jeffries John Aiken dans une note.

La performance du crédit contraste fortement avec celle d’autres banques qui ont publié leurs résultats jusqu’à présent, comme BMO, où l’aggravation de la situation des provisions a lourdement pesé sur les résultats.

Les emprunteurs toujours sous tension

Le chef de la gestion du risque de RBC, Graeme Hepworth, a toutefois averti que la banque constatait un stress financier chez les emprunteurs qui ne disparaîtra pas du jour au lendemain. La meilleure performance du trimestre était davantage liée au financement de gros, à la fois sur les marchés de capitaux et dans ses segments City National, par rapport aux trimestres précédents.

« Je ne lirais pas cela comme une indication définitive que nous avons maintenant franchi le cap. (…) Les tendances dans le commerce de détail sont toujours négatives », a-t-il déclaré.

Il a indiqué que la banque observe une augmentation des tensions sur presque tous les produits et s’attend à ce que cela se poursuive en 2025, car le chômage augmente et de plus en plus de consommateurs renouvellent leurs prêts hypothécaires à des taux plus élevés.

« Nous constatons toujours que le consommateur fait face à de nombreux vents contraires avec l’environnement actuel des taux. (…) Ce sont tous des facteurs qui nous rendent encore assez prudents jusqu’à la fin de cette année et au début de l’année prochaine », a-t-il fait valoir.

RBC n’a cependant pas seulement fait bonne figure sur le crédit, elle a aussi vu ses revenus d’intérêt augmenter dans sa division de banque de détail et ses bénéfices de gestion de patrimoine progresser grâce à la croissance des revenus.

RBC a déclaré que ses activités bancaires aux particuliers et aux entreprises ont généré 2,49 G$, en hausse par rapport à 2,13 G$ au même trimestre de l’exercice précédent.

La branche de gestion de patrimoine de la banque a généré 862 M$, en hausse par rapport à 663 M$ un an plus tôt, tandis que ses activités d’assurance ont enregistré 170 M$, en baisse par rapport à 215 M$ au même trimestre de l’année dernière.

Les activités de marchés de capitaux de RBC ont généré 1,17 G$ au cours de son dernier trimestre, en hausse par rapport à 949 M$ il y a un an.

L’institution financière a indiqué que son bénéfice net s’est élevé à 3,09 $ par action pour le trimestre clos le 31 juillet, comparativement à un bénéfice de 2,73 $ par action au même trimestre l’année dernière.

Prudence sur les acquisitions

Dave McKay a déclaré que la banque progressait dans le redressement de sa division City National établie aux États-Unis, et que la banque n’aborderait toute nouvelle acquisition aux États-Unis qu’avec une grande prudence.

« Je dirais que la barre est très haute, a affirmé le président et chef de la direction. C’est un marché très concurrentiel. »

RBC travaille également toujours à l’intégration de HSBC Canada, avec d’autres synergies à annoncer.

Et même si la banque accélère ses rachats d’actions et enregistre des bénéfices en hausse, Dave McKay prévient que l’environnement économique reste très incertain.

« Nous sommes en mesure d’absorber cette volatilité et de continuer à réaliser de bonnes performances à l’avenir, mais nous voulons nous assurer que vous êtes conscients que nous n’avons pas encore fait atterrir cet avion », a-t-il exposé.

Banque Nationale : croissance du bénéfice

La Banque Nationale a réalisé un bénéfice de 1,03 G$ au troisième trimestre, en hausse par rapport à 830 M$ à la même période il y a un an, grâce à la vigueur de ses activités.

La banque montréalaise a indiqué que son bénéfice net s’est élevé à 2,89 $ par action pour le trimestre qui a pris fin le 31 juillet, en hausse par rapport à 2,33 $ par action un an plus tôt.

Ses revenus ont totalisé 3,00 G$ au troisième trimestre, en hausse par rapport à 2,49 G$ au même trimestre l’année dernière.

La provision pour pertes sur créances, soit le montant qu’une banque met de côté pour couvrir les créances douteuses, s’est élevée à 149 M$, en hausse par rapport à 111 M$ un an plus tôt.

Sur une base ajustée, la Banque Nationale a gagné 2,68 $ par action au cours de son dernier trimestre, en hausse par rapport à un bénéfice ajusté de 2,18 $ par action au même trimestre l’an dernier.

L’estimation moyenne des analystes était d’un bénéfice ajusté de 2,49 $ par action, selon LSEG Data & Analytics.

Banque CIBC : le bénéfice augmente aussi

Le bénéfice de la Banque CIBC a augmenté d’une année à l’autre au troisième trimestre, notamment parce que l’institution financière a mis moins d’argent de côté pour les créances douteuses.

La CIBC rapporte que son bénéfice net s’est élevé à 1,80 G$, soit 1,82 $ par action, lors du trimestre qui a pris fin le 31 juillet, en hausse par rapport à 1,43 G$, ou 1,47 $ par action, pour la même période l’an dernier.

Ses revenus ont totalisé 6,60 G$, comparativement à 5,85 G$ il y a un an. Sa provision pour pertes sur créances s’est établie à 483 M$, en baisse par rapport à 736 M$ un an plus tôt.

Sur une base ajustée, la CIBC a réalisé un bénéfice de 1,93 $ par action au cours de son dernier trimestre, en hausse par rapport à un bénéfice ajusté de 1,52 $ par action pour le troisième trimestre de 2023.

Les analystes s’attendaient en moyenne à un bénéfice ajusté de 1,74 $ par action, selon LSEG Data & Analytics

L’article RBC, la BN et la CIBC augmentent leur bénéfice est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
CI achète deux firmes de conseil basées aux États-Unis https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/ci-achete-deux-firmes-de-conseil-basees-aux-etats-unis/ Wed, 21 Aug 2024 11:04:59 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102208 Celles-ci ont 8,1 milliards de dollars d’actifs combinés.

L’article CI achète deux firmes de conseil basées aux États-Unis est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
CI Financial a acquis deux conseillers en investissement enregistrés aux États-Unis, dont les actifs sous gestion totalisent 8,1 milliards de dollars (G$). Cette acquisition survient quelques mois après la finalisation de deux autres opérations similaires.

La société basée à Toronto a annoncé ces transactions le 8 août dernier, en même temps que ses résultats du deuxième trimestre.

Le 31 juillet, Corient, la société de gestion de patrimoine de CI basée à Miami, a conclu l’acquisition d’Emerald Multi-Family Office à Weston (Floride), dont les actifs s’élèvent à 7 G$, et de Byron Financial à Charlotte en Caroline du Nord, dont les actifs s’élèvent à 1,1 G$. Ces deux sociétés s’adressent à des clients très fortunés.

Le 31 mai, Corient a conclu l’acquisition de Paragon Advisors à Shaker Heights en Ohio, un bureau multifamilial qui gère 4,4 G$ d’actifs, et de Socius Family Office à Fort Lauderdale en Floride, qui gère 1,3 G$ et se spécialise dans les services aux joueurs professionnels de football et de basket-ball.

Avec ces quatre acquisitions, CI a ajouté 13,8 G$ d’actifs à son activité de gestion de patrimoine aux États-Unis, qui, à la fin du deuxième trimestre, représentait 234,1 G$ d’actifs.

Corient a emprunté 154 millions de dollars (M$) à CI Financial principalement pour financer les quatre acquisitions, a rapporté Amit Muni, directeur financier de CI Financial, lors d’une conférence téléphonique pour annoncer les résultats trimestriels. Pour sa part, CI Financial a puisé les fonds empruntés dans sa facilité de crédit auprès de ses prêteurs bancaires canadiens.

Chacune des entreprises acquises a été rebaptisée et intégrée à la plateforme Corient, précise CI.

L’entreprise informe également que le mois dernier, elle a embauché Francisco Tobias, un vétéran de 20 ans chez Citigroup, pour être directeur financier de Corient.

Entre fin 2019 et 2022, CI a réalisé plus de 30 transactions, directement ou indirectement, pour acquérir des firmes américaines de conseillers dans le cadre de sa stratégie d’entreprise plus large visant à développer ses activités aux États-Unis. L’année dernière, l’activité d’acquisition s’est ralentie.

En août 2023, CI a annoncé qu’elle rebaptisait son activité américaine CI Private Wealth sous le nom de Corient, un nom qui provient de l’une des firmes que CI Financial a acquises en 2022.

En juillet, CI Financial a déclaré un actif total de plus de 500 G$, comprenant ses activités de gestion d’actifs, de gestion de patrimoine au Canada, de garde de titres au Canada et de gestion de patrimoine aux États-Unis.

À la fin du deuxième trimestre, les actifs sous gestion, pour l’activité de gestion d’actifs, s’élevaient à 130,1 G$.

CI a enregistré des rachats nets de 332 M$ dans ses activités de gestion d’actifs de détail au Canada au deuxième trimestre, ce qui représente une amélioration par rapport aux rachats nets de 1,3 G$ enregistrés au premier trimestre, mais une baisse par rapport aux entrées nettes de 7 M$ enregistrées au même trimestre de l’année dernière.

Les actifs canadiens de gestion de patrimoine de la société s’élevaient à 95,6 G$ à la fin du deuxième trimestre, en hausse par rapport aux 93,8 G$ du trimestre précédent et aux 82,6 G$ à la fin du même trimestre de l’année précédente.

CI déclare un revenu net de 176,4 M$ au deuxième trimestre, contre une perte nette de 154,4 M$ au premier trimestre. Le total des recettes nettes s’est élevé à 986 M$ au deuxième trimestre, contre 645,7 M$ au premier trimestre. Les dépenses totales ont été de 754,7 M$, en baisse par rapport aux 768,3 M$ du premier trimestre.

Hors éléments non opérationnels, le bénéfice net ajusté est de 135,6 M$ au deuxième trimestre, contre 132,8 M$ au premier trimestre ; le revenu net total ajusté est de 731,3 M$, contre 698,6 M$ au premier trimestre ; et les dépenses totales ajustées sont de 507,9 M$, contre 470,3 M$ au trimestre précédent.

La dette totale de CI à la fin du premier trimestre s’élève à 3,6 G$, soit un niveau pratiquement inchangé par rapport au trimestre précédent.

La société rapporte également un dividende trimestriel de 0,20 $ par action.

L’article CI achète deux firmes de conseil basées aux États-Unis est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Guardian Capital Group continue d’acquérir https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/guardian-capital-group-continue-dacquerir/ Mon, 08 Jul 2024 10:44:43 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101664 Après la torontoise Galibier Capital Management, la firme finalise l'achat de l’américaine Sterling Capital Management.

L’article Guardian Capital Group continue d’acquérir est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Guardian Capital Group, une société mondiale de gestion de placements, a confirmé récemment la conclusion d’une entente relative à l’acquisition de Galibier Capital Management, une société de gestion de placements indépendante de Toronto.

Fondée en 2012, Galibier fournit des services de conseil en investissement à une clientèle composée de sociétés, de régimes de retraite, de fondations caritatives et de fonds de dotation.

Sous réserve des conditions de clôture habituelles, y compris l’obtention des approbations réglementaires, la transaction devrait être conclue à l’été 2024. Une fois la transaction complétée, Galibier continuera d’être dirigée par son équipe de gestion et d’investissement actuelle. L’acquisition devrait ajouter plus de 1 milliard de dollars canadiens (G$) aux actifs sous gestion de Guardian.

George Mavroudis, président et chef de la direction de Guardian, s’est dit ravi que Galibier rejoigne le groupe de sociétés de Guardian. « Son approche, sa philosophie et son processus d’investissement distinctifs seront un ajout bienvenu à l’expertise existante de Guardian en matière de gestion de portefeuille. »

L’acquisition de Galibier survient au moment où Gardian confirme la conclusion de l’achat de Sterling Capital Management LLC. Il s’agit d’une autre société de gestion de placements, dont le siège social, dans ce cas, est situé à Charlotte, en Caroline du Nord, aux États-Unis. Cette transaction avait été annoncée en février 2024.

Sterling a été fondée en 1970 et fournit des services de conseil en investissement par l’entremise de six équipes d’investissement distinctes. Ces équipes fournissent conjointement une gamme complète de solutions à revenu fixe, d’actions actives concentrées et de solutions multi-actifs.

L’ajout de Sterling au groupe de sociétés de Guardian fera bondir ses actifs sous gestion et sous administration d’environ 77 G$US (106 G$ canadiens). L’équipe de direction actuelle de Sterling demeure en poste et les équipes d’investissement continueront à opérer de manière autonome et selon les mêmes processus.

« Nous pensons que l’ajout stratégique de Sterling est une opportunité passionnante d’étendre notre croissance commerciale aux États-Unis », a déclaré George Mavroudis. Il s’est dit optimiste « quant au potentiel de croissance de l’organisation combinée » au sud de la frontière.

Guardian est connue au Québec pour avoir vendu trois réseaux de distribution Worldsource au Mouvement Desjardins en mars 2023. La transaction, évaluée à 750 M$, incluait notamment IDC WIN, le plus important agent général d’assurance canadien.

Guardian Capital Group, fondée en 1962, est une société de gestion d’investissements qui, par l’intermédiaire de ses filiales, dessert des clients institutionnels, de détail et privés. Au 31 mars 2024, la société affichait un actif total de 61,3 G$ de dollars canadiens.

L’article Guardian Capital Group continue d’acquérir est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Acquisition de la CWB par la Banque Nationale https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/acquisition-de-la-cwb-par-la-banque-nationale/ Thu, 27 Jun 2024 10:56:02 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101560 Quel sera l’impact sur le secteur de la gestion de patrimoine ?

L’article Acquisition de la CWB par la Banque Nationale est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
D’anciens dirigeants de la Banque Nationale du Canada affirment que la décision d’acheter la Banque canadienne de l’Ouest (CWB) est très logique.

« C’est un grand coup de pouce pour la Banque Nationale, qui sera certainement un excellent nouveau partenaire pour CWB », estime John Cucchiella, président de SMEx Advisory et associé chez First North Consulting à Toronto. « Culturellement, ils sont alignés. »

« Je suis très optimiste quant à [l’acquisition] », indique pour sa part Charlie Spiring, fondateur et président de Wellington-Altus Private Wealth Inc., à Winnipeg.

Charlie Spiring, qui a également fondé Wellington West Holdings Inc., à Winnipeg, a vendu cette entreprise à la Financière Banque Nationale Ltée (FBN) en 2011. Il a été vice-président du comité exécutif de la FBN de 2011 à 2016.

« Je suis toujours l’un des plus importants actionnaires individuels [de la Banque Nationale], alors je demeure attentif à la performance de l’action et au chemin que les choses empruntent », signale-t-il. « Lorsque je siégeais au conseil d’administration il y a une dizaine d’années, nous avons examiné cette potentielle transaction. J’étais un grand fan. »

Si elle est approuvée, l’entente étendrait la portée de la Banque Nationale à l’extérieur de son bastion québécois, puisque la CWB compte 39 succursales dans l’Ouest canadien et en Ontario. John Cucchiella fait également l’éloge des activités commerciales de CWB.

Quant au secteur de la gestion de patrimoine, la Banque Nationale « reprend une division qui peut très bien s’intégrer à la Financière Banque Nationale », a-t-il déclaré.

John Cucchiella, qui a été premier vice-président à la Banque Nationale de 2016 à 2018, croit également que les deux organisations partagent une culture entrepreneuriale. Par conséquent, les conseillers de CWB « trouveront que ce sera une excellente maison », dit-il.

Au 30 avril, la division de gestion de patrimoine de CWB supervisait 11,2 milliards de dollars (G$) d’actifs, soit : 8,8 G$ d’actifs sous gestion et administration, et 2,4 G$ d’actifs sous conseils (principalement liés à ses activités de services aux Autochtones). En comparaison, l’actif supervisé était de 10,0 G$ au 31 octobre 2023.

John Cucchiella et Charlie Spiring soulignent l’importance de communiquer avec le personnel au cours des mois à venir.

« C’est une bonne affaire sur papier et a le potentiel est grand à moyen et long terme, estime Charlie Spiring. Mais il faut avoir la bonne culture et parvenir à faire intégration adéquate. Il ne faut pas sous-estimer cet aspect. »

La Banque Nationale du Canada a refusé de commenter.

Implications pour BNRI

La consolidation dans l’industrie signifie généralement des défis et des difficultés pour les plus petits joueurs. Toutefois, le rapprochement actuel pourrait avoir pour effet de soutenir les petites sociétés de conseils financiers.

Wellington-Altus utilise les services de Banque Nationale Réseau Indépendant (BNRI) pour ses services administratifs, de garde et d’exécution des opérations. Charlie Spiring indique avoir reçu l’assurance que BNRI demeurait une priorité pour la Banque Nationale.

« CWB apporte beaucoup en matière technologique, avance Charlie Spiring. CWB pourrait ajouter de la valeur à l’offre déjà solide proposée par la Banque Nationale. »

Jared Rabinowitz, directeur et associé fondateur de Quintessence Wealth, à Toronto, croit lui aussi que l’acquisition de CWB sera positive pour les clients de BNRI.

Jared Rabinowitz indique qu’il est rassurant pour les clients d’une petite société de gestion de portefeuille comme la sienne d’avoir une grande banque comme dépositaire. « Cependant, lorsqu’il est question de l’Ouest canadien, la reconnaissance de la marque de la Banque Nationale est loin d’être comparable à celle des Big Five, rappelle-t-il. Heureusement, bien que la CWB ne soit pas une très grande banque, elle est beaucoup plus reconnue en Alberta et en Colombie-Britannique, ce qui est avantageux pour nous. »

Un autre trait avantageux concerne les prêts.

« Les prêts sur liquidité sont vraiment essentiels à la croissance de l’univers dans lequel nous nous trouvons », affirme Rabinowitz, en référence aux firmes indépendantes. « La plupart des banques [font] des prêts adossés à des actifs ; ils ne comprennent pas les prêts sur liquidité. » Les prêts adossés à des actifs tiennent compte du bilan de l’emprunteur, tandis que les prêts sur liquidité tiennent compte des revenus actuels et futurs.

CWB Maxium Financial est l’un des rares prêteurs à accorder des prêts sur liquidité à des sociétés de gestion de patrimoine, indique Jared Rabinowitz, un autre exemple étant Care Lending Group, basé à Newmarket, en Ontario.

Le transfert de CWB Maxium à la Banque Nationale « fournira des synergies supplémentaires, un bilan plus important et peut-être une plus grande motivation, car [ces prêts] profitent directement à la croissance de BNRI », suggère-t-il — plus l’espace indépendant est fort, mieux c’est pour BNRI.

Bien que les acquisitions soient l’occasion pour une organisation de revoir son offre de produits et services, Jared Rabinowitz affirme ne pas avoir d’inquiétudes particulières quant à la réduction des opérations de prêt de liquidité de la Banque Nationale par la CWB. Il cite BNRI comme un facteur de différenciation pour la Banque Nationale par rapport aux autres grandes banques, ainsi que la croissance de firmes indépendantes telles que Quintessence et Wellington-Altus.

« Il est vraiment logique que [la Nationale] redouble d’efforts pour soutenir ce type de croissance », affirme Jared Rabinowitz.

« Les affaires continuent de se dérouler comme d’habitude chez CWB, en attendant que les approbations requises par les actionnaires de CWB et les autorités réglementaires soient obtenues et que la transaction soit conclue, ce que nous prévoyons de poursuivre jusqu’à la fin de 2025 », a déclaré la banque dans un communiqué sur le site Web de Maxium.

L’article Acquisition de la CWB par la Banque Nationale est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Fiera Capital rachète les actions que détenait le Mouvement Desjardins https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/fiera-capital-rachete-les-actions-que-detenait-le-mouvement-desjardins/ Fri, 21 Jun 2024 16:33:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101516 Dans le cadre d’une opération de 53 millions de dollars canadiens.

L’article Fiera Capital rachète les actions que détenait le Mouvement Desjardins est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
La haute direction de Fiera Capital et certains membres de son conseil d’administration mettent la main sur la totalité des actions détenues par le Mouvement Desjardins.

Le gestionnaire montréalais d’actifs a annoncé vendredi le rachat de la participation de Desjardins équivalente à 6,8 % des actions en circulation de la société.

La transaction est d’une valeur de 53 millions de dollars (M$) avec l’achat des titres au prix de 7,25 $ chacun. L’opération totalise plus de sept millions d’actions de catégorie B (avec droit de vote) et d’actions de catégorie A (avec droit de vote subordonné).

Dans un communiqué, Fiera explique qu’une partie du prix d’achat total a été financée au moyen d’une facilité de crédit de 20 M$ mise à la disposition par une banque canadienne à une société constituée par des membres de la haute direction.

Du montant de 53 M$, près de 14 M$ proviennent du fondateur de Fiera, Jean-Guy Desjardins, qui a acheté une part des actions.

En avril dernier, Fiera avait indiqué que Desjardins, un actionnaire de longue date, souhaitait se départir de sa participation.

Les deux organisations ont souligné vendredi que leurs relations d’affaires demeurent malgré le rachat des actions.

« Desjardins a été un partenaire important et apprécié depuis la création de notre entreprise, et elle nous a soutenus au cours des deux dernières décennies », a déclaré Jean-Guy Desjardins, président du conseil et chef mondial de la direction de Fiera, par voie de communiqué.

« Cette transaction s’inscrit dans notre stratégie d’investissement », a pour sa part commenté le président et chef de la direction du Mouvement Desjardins, Guy Cormier.

« Fiera Capital demeure un partenaire d’affaires important pour Desjardins. Nous allons poursuivre notre relation d’affaires avec Fiera notamment au niveau de la gestion de nos fonds fiduciaires », a-t-il ajouté.

Desjardins a été un partenaire de la première heure de Fiera. En 2003, Desjardins a vendu sa participation majoritaire dans Elantis à Jean-Guy Desjardins. Cette transaction sera le premier chapitre de la création de Fiera. Elle a permis à M. Desjardins de se relancer en affaires après avoir vendu TAL Gestion globale d’actifs à la Banque CIBC.

L’article Fiera Capital rachète les actions que détenait le Mouvement Desjardins est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
La Banque Nationale poursuit son expansion dans l’ouest canadien https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/la-banque-nationale-poursuit-son-expansion-dans-louest-canadien/ Thu, 13 Jun 2024 11:43:05 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101411 Et la consolidation du secteur bancaire canadien.

L’article La Banque Nationale poursuit son expansion dans l’ouest canadien est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
La Banque Nationale du Canada a annoncé mardi l’acquisition de la Banque canadienne de l’Ouest (CWB) dans le cadre d’un échange d’actions évalué à environ 5 milliards de dollars (G$).

« Cette transaction est axée sur la croissance et réunit deux grandes banques ayant une empreinte complémentaire dans les services bancaires aux particuliers et aux entreprises, et soutient nos objectifs dans l’Ouest canadien et partout au pays », a déclaré Laurent Ferreira, président et chef de la direction de la Banque Nationale, dans un communiqué.

« CWB a développé une franchise bancaire attrayante avec une réputation de service exceptionnel et de relations étroites avec les clients dans un certain nombre d’industries et de gammes de services prioritaires, » a-t-il ajouté.

La transaction s’est effectuée avec le concours de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) qui a fait un investissement de 500 M$ dans la Banque Nationale du Canada À la suite de cette transaction, la CDPQ se hissera au deuxième rang des plus importants actionnaires de la Banque Nationale. La première participation de la CDPQ dans la Banque Nationale du Canada remonte à plus de 40 ans.

« La CDPQ est fière de poursuivre son engagement de longue date envers la Banque Nationale en prenant part à cette acquisition transformative qui lui permettra d’exécuter un nouveau pan de son plan d’expansion », a indiqué Vincent Delisle, premier vice-président et chef des Marchés liquides de la CDPQ. « Cet investissement est parfaitement aligné avec notre stratégie d’élargir la portée des entreprises du Québec afin de consolider leur position de leader dans leur secteur. »

Dans un communiqué, Chris Fowler, chef de la direction de CWB, a fait l’éloge de l’envergure de la Banque Nationale, de son expertise complémentaire du marché et de ses capacités technologiques.

« La Banque Nationale peut accroître ses activités bancaires et de gestion de patrimoine et proposer des produits et services plus compétitifs pour offrir aux clients plus d’options et une meilleure valeur », a déclaré la banque dans un communiqué.

En 2022, CWB Groupe financier a regroupé ses cinq sociétés de gestion privée traditionnelles sous la nouvelle plateforme de marque CWB Gestion de patrimoine. Il s’agit de T.E. Wealth, Doherty & Bryant Financial Strategists, Leon Frazer & Associates, CWB Wealth Management (fondée à l’origine sous le nom d’Adroit Investment Management) et CWB McLean & Partners.

CWB Gestion de patrimoine se concentre sur la satisfaction des besoins de gestion de patrimoine des propriétaires d’entreprises fortunés.

Au 31 octobre 2023, CWB gérait et administrait 7,9 G$ de dollars d’actifs sous gestion et administration sur sa plateforme CWB Gestion de patrimoine, et 2,1 G$ de dollars d’actifs sous conseil dans ses activités de services aux Autochtones, pour un total de 10 G$ de dollars d’actifs sous surveillance. Cela se compare à 9,6 G$ de dollars d’actifs sous administration au 31 octobre 2022.

La CCB compte 39 succursales dans l’Ouest canadien et en Ontario, et elle a ouvert une succursale à Toronto en janvier. Le nouveau centre régional de gestion de patrimoine et le centre bancaire devaient aider la CCB à cibler les clients propriétaires d’entreprise comme solution de rechange aux six grandes banques.

L’Alberta et la Colombie-Britannique représentent environ 24 % de l’actif sous administration de la Banque Nationale.

Le communiqué indique que les cadres et les dirigeants continueront d’être basés à Edmonton.

Cette décision poursuit la consolidation du secteur bancaire canadien.

En novembre 2022, le Groupe HSBC a accepté de vendre ses activités bancaires au Canada à la Banque Royale du Canada. La transaction a été conclue en mars 2024.

En juillet 2023, la Banque Laurentienne a lancé un examen stratégique pour « maximiser la valeur pour les actionnaires et les parties prenantes » qui aurait pu mener à une vente. Cependant, aucun acheteur n’a émergé.

L’achat de la Banque Nationale sera assujetti à l’approbation des deux tiers des voix exprimées par les actionnaires de la CCB lors d’une assemblée extraordinaire qui devrait se tenir en septembre. Il sera également soumis à d’autres approbations habituelles.

(Avec la contribution de Rudy Mezzetta et de La Presse canadienne)

L’article La Banque Nationale poursuit son expansion dans l’ouest canadien est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
iAGPP s’attend à une transition en douceur pour les conseillers de la Laurentienne https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/iagpp-sattend-a-une-transition-en-douceur-pour-les-conseillers-de-la-laurentienne/ Thu, 11 Apr 2024 11:20:05 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100090 Les deux entreprises utilisent les mêmes fournisseurs, et iAGPP a de l’expérience dans le recrutement de conseillers d’entreprise.

L’article iAGPP s’attend à une transition en douceur pour les conseillers de la Laurentienne est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
iA gestion privée de patrimoine (iAGPP) s’attend à signer avec 31 conseillers suite à son acquisition de la division de services complets aux particuliers de Valeurs mobilières Banque Laurentienne.

La semaine prochaine, l’équipe de direction de iAGPP se rendra dans six succursales de la Banque Laurentienne pour rencontrer les 31 conseillers — en tant que groupe et individuellement — afin de comprendre leurs pratiques, rapporte Adam Elliott, premier vice-président de iAGPP.

Adam Elliott a salué l’esprit d’entreprise des conseillers, qui « correspond parfaitement à [leur] proposition de valeur ».

Il s’attend à ce que la transition se fasse en douceur, compte tenu de l’expérience récente de l’entreprise en matière de recrutement de conseillers d’entreprise et de conseillers indépendants.

« Il n’est pas inhabituel pour nous de voir des conseillers passer d’un modèle d’entreprise à notre modèle indépendant, explique Adam Elliott. Nous disposons d’une équipe de transition qui, en fonction de la taille du cabinet, se rendra au bureau du nouveau conseiller et travaillera avec lui pendant une ou deux semaines pour le familiariser avec tous les outils de notre plateforme. »

Selon Adam Elliott, iAGPP et la Laurentienne utilisent souvent les mêmes fournisseurs, y compris Croesus. « Le processus de conversion [et] de formation sera donc moins important que si les conseillers venaient d’une entreprise qui utilisait des logiciels différents. »

iAGPP travaillera également avec les conseillers de la Laurentienne pour les aider à trouver de nouveaux locaux, car ils travaillaient auparavant dans les succursales de la Laurentienne.

Adam Elliott assure que l’acquisition de ce segment d’activités de la Laurentienne stimulera la croissance déjà robuste de iAGPP.

« Nous avons connu une année record l’an dernier en termes de recrutement de conseillers, et nous sommes en passe de la battre cette année, si l’on en croit le nombre de conseillers qui nous ont rejoints au cours du premier trimestre », se réjouit-il.

iAGPP a ajouté 39 conseillers représentant 2,3 milliards de dollars (G$) d’actifs en 2023, ainsi que neuf équipes représentant 1,3 G$ d’actifs en 2024 jusqu’à présent.

La transaction avec la Laurentienne comprend environ 16 000 comptes clients et plus de 2 G$ d’actifs sous administration, ce qui représente environ 4 % des actifs sous administration de iAGPP. La transaction devrait être finalisée au cours de l’été, sous réserve de l’approbation des autorités de réglementation.

L’article iAGPP s’attend à une transition en douceur pour les conseillers de la Laurentienne est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
La Laurentienne vend des actifs de sa division de courtage https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/la-laurentienne-vend-des-actifs-de-sa-division-de-courtage/ Mon, 08 Apr 2024 11:48:46 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100048 La transaction porte sur 16 000 comptes, 2 G$ d’actifs et 30 conseillers.

L’article La Laurentienne vend des actifs de sa division de courtage est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
La Banque Laurentienne vend sa division de courtage de détail à service complet à iA Groupe financier pour un prix non divulgué.

Les deux entreprises ont annoncé la conclusion d’une entente qui prévoit l’acquisition par iA gestion privée de patrimoine (iAGPP) de la division de courtage de détail à service complet de Valeurs mobilières Banque Laurentienne qui comprend environ 16 000 comptes clients et plus de 2 milliards de dollars d’actifs sous administration.

Les quelque 30 conseillers de l’entreprise seront également invités à passer à iAGPP.

« Cette acquisition soutiendra la forte croissance de iA gestion privée de patrimoine et élargira sa présence, a commenté Stephan Bourbonnais, vice-président exécutif, gestion de patrimoine, de iA Groupe financier, et président et chef de la direction de iAGPP, dans un communiqué. Nous sommes impatients d’accueillir ces nouveaux conseillers et de les aider à continuer à assurer l’avenir financier de leurs clients en toute confiance. »

La transaction devrait être finalisée au cours de l’été, sous réserve de l’approbation des autorités réglementaires.

La Banque Laurentienne a déclaré que l’opération s’inscrivait dans sa stratégie de « simplification et de concentration sur les secteurs d’activité où elle peut gagner et être plus compétitive ».

La semaine dernière, la banque a également annoncé dans un communiqué que Kelsey Gunderson, vice-présidente exécutive et chef des marchés des capitaux, quitterait ses fonctions le 12 avril et serait remplacée par Brian Doyle, directeur financier des marchés des capitaux. Brian Doyle est maintenant chef intérimaire des marchés des capitaux et président et chef de la direction intérimaire de Valeurs mobilières Banque Laurentienne.

Le communiqué indique également que la banque dévoilera son plan stratégique révisé plus tard ce printemps.

L’article La Laurentienne vend des actifs de sa division de courtage est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Gestion de placements Manuvie acquerra CQS https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/gestion-de-placements-manuvie-acquerra-cqs/ Tue, 28 Nov 2023 13:10:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97627 Afin de donner un accès élargi à la gamme de produits de la société à ses clients.

L’article Gestion de placements Manuvie acquerra CQS est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Gestion de placements Manuvie a conclu une entente en vue d’acquérir le gestionnaire londonien multisectoriel d’instruments de crédit non traditionnels CQS. Cette acquisition permettra aux clients de Manuvie d’avoir un accès élargi à la gamme complémentaire de solutions de placement mondiales de CQS.

Suite à l’acquisition, Gestion de placements Manuvie compte conserver les processus et la philosophie de placement rigoureuse de CQS, d’ailleurs la firme continuera d’être dirigée par Soraya Chabarek, cheffe de la direction de CQS. Elle et ses clients bénéficieront simplement du soutien en capital de Gestion de placements Manuvie qui a bien l’intention d’investir continuellement dans l’entreprise et de soutenir sa croissance dans le sens de ses stratégies.

« Nous sommes heureux de conclure cette entente, que nous considérons comme avantageuse pour les deux sociétés, de même que pour ceux qui investissent avec CQS depuis des décennies, assure Paul Lorentz, président et chef de la direction, Gestion de placements Manuvie. CQS apporte à notre portefeuille un solide processus de placement éprouvé, des résultats convaincants, une expertise des multiples cycles du marché et une culture ayant attiré à la fois des talents et des flux dans l’entreprise. Nous voyons cette occasion d’un très bon œil, puisque les capacités de CQS s’avèrent complémentaires à nos activités liées aux solutions existantes en titres à revenu fixe et en options multiactifs, et enrichissent splendidement notre offre de crédit mondiale. »

Soraya Chabarek considère quant à elle Manuvie comme un « partenaire d’affaires idéal à long terme. « Nos cultures axées sur le client nous rapprochent, et en combinant le soutien de sa solide plateforme et de sa distribution mondiale à l’autonomie de nos équipes de placement, nous veillerons à continuer d’offrir à notre clientèle des rendements attrayants à long terme. »

Fondée en 1999 par Lord Hintze en tant que gestionnaire de fonds de couverture, CQS a ensuite évolué sous la direction de Soraya Chabarek, qui s’y est jointe en 2012. Au 31 octobre 2023, l’actif sous gestion de la plateforme de crédit de CQS s’élèvera à environ 13,5 milliards (USD).

Aujourd’hui, CQS propose des instruments de crédit non traditionnel incluant le crédit aux entreprises (prêts et obligations), les titres adossés à des créances (TAC), les obligations structurées adossées à des prêts, le capital réglementaire, les obligations convertibles et les titres de crédit structurés.

À noter que le fonds de couverture du fondateur, Lord Hintze, le fonds Directional Opportunities Fund, et certains mandats connexes ne sont pas inclus dans la transaction. Lord Hintze compte ainsi créer sa propre société dans laquelle il continuera à gérer son fonds pour le compte des investisseurs.

La transaction devrait être conclue au début de l’année 2024, selon les conditions de signature d’usage et après l’obtention des autorisations réglementaires.

L’article Gestion de placements Manuvie acquerra CQS est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>