agence de notation – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 28 Mar 2024 11:36:22 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png agence de notation – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Les perspectives du secteur immobilier mondial restent sombres https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/les-perspectives-du-secteur-immobilier-mondial-restent-sombres/ Thu, 28 Mar 2024 11:36:22 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99842 Les taux d’intérêt élevés et le ralentissement de la croissance posent des défis majeurs.

L’article Les perspectives du secteur immobilier mondial restent sombres est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Dans un contexte de conditions financières toujours difficiles et de ralentissement de l’économie mondiale, les perspectives du secteur immobilier mondial restent négatives, selon Moody’s Investors Service.

Dans un nouveau rapport, l’agence de notation indique que les taux d’intérêt élevés posent toute une série de problèmes aux sociétés d’investissement immobilier et aux autres sociétés immobilières commerciales.

Selon Moody’s, ces taux élevés entraînent des coûts de financement élevés, une diminution de la liquidité du marché et une baisse de la valeur des biens immobiliers.

Alors qu’une baisse attendue des taux d’intérêt dans le courant de l’année devrait stimuler l’activité des transactions, le rapport note que « la valeur des actifs pourrait diminuer davantage si une économie en perte de vitesse devait freiner la demande de biens immobiliers ».

L’affaiblissement de la valeur des actifs pourrait entraîner un resserrement des conditions de prêt, les banques cherchant à réduire davantage leur exposition à l’immobilier commercial, en particulier dans des régions telles que les États-Unis.

« Nous nous attendons à ce que certains types de biens et certaines régions fassent preuve d’une plus grande résilience, mais nous voyons toujours le risque que les conditions de crédit pour les sociétés immobilières commerciales s’érodent davantage », indique le rapport.

Moody’s prévoit que le revenu locatif global augmentera de 1 à 3 % au cours des 12 à 18 prochains mois, mais que cela ne suffira pas à compenser l’impact négatif des taux d’intérêt élevés sur le secteur.

« Même si les taux devraient baisser cette année, ils resteront bien supérieurs aux niveaux historiques. Par conséquent, les coûts de financement plus élevés continueront à peser sur les bénéfices alors que les entreprises refinancent des dettes moins chères et cherchent à mettre en œuvre des initiatives de croissance », indique le rapport.

Dans le même temps, le ralentissement de l’économie pèsera sur la croissance du revenu d’exploitation au cours des 12 à 18 prochains mois, et les dépenses d’exploitation « resteront élevées, ce qui pèsera sur les marges à mesure que la demande ralentira ».

L’article Les perspectives du secteur immobilier mondial restent sombres est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
François Legault essaie de relativiser le déficit https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/francois-legault-essaie-de-relativiser-le-deficit/ Fri, 15 Mar 2024 10:21:15 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99660 Il le dit « nécessaire ».

L’article François Legault essaie de relativiser le déficit est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Le premier ministre François Legault a tenté de relativiser le déficit de 11 milliards de dollars (G$), mercredi.

La veille, son ministre des Finances, Eric Girard, avait causé la surprise en annonçant que le manque à gagner pour l’année 2024-2025 était presque quatre fois plus important que prévu, un record en nombre absolu.

En mêlée de presse à l’Assemblée nationale, François Legault a déclaré que le déficit annoncé équivaut à 1,5 % du produit intérieur brut (PIB). Vu sous cet angle, il est moins pire que certains déficits passés, a-t-il dit.

Par exemple, trois gouvernements du Parti québécois ont déjà fait des déficits entre 1,7 % et 4,7 % du PIB, et deux gouvernements du Parti libéral du Québec (PLQ) ont généré des déficits d’environ 3 %.

« Un et demi pourcent du PIB, je pense que c’est quelque chose de raisonnable », a-t-il plaidé.

Le premier ministre a aussi soutenu devant les journalistes que le vrai chiffre n’est pas 11 G$, mais 8,8 G$, parce qu’il ne faut pas tenir compte des versements au Fonds des générations, selon lui.

« Quand on parle, au niveau comptable, d’un déficit, c’est revenus moins dépenses, ok ? Cette année, c’est 8,8 G$. »

Ce déficit, de toute façon, il « l’accepte », car il était « nécessaire » de baisser les impôts l’an dernier pour la majorité des Québécois, tout comme il fallait investir « massivement » cette année en santé et en éducation.

« Je suis fier des choix qu’on a faits », a déclaré François Legault, qui a refusé de dire s’il craignait une décote.

Les agences de notation « comprennent », dit Eric Girard

Plus tôt dans la journée, Eric Girard a expliqué que les agences de notation ont été avisées de l’ampleur du déficit avant le dépôt du budget.

Dans les prochains jours, « elles vont certainement dire que le déficit est élevé, mais que c’est positif qu’on maintient les objectifs de réduction de dette et de retour à l’équilibre budgétaire », selon lui.

Pour l’instant, l’ensemble des agences donnent au Québec une cote de crédit minimale de catégorie AA.

Une décote ferait en sorte qu’il deviendrait plus coûteux d’emprunter, ce qui se traduirait, pour les Québécois, par une augmentation des dépenses liées à la dette.

Le ministre Girard croit que les agences de notation « comprennent » la situation, malgré le fait que le Québec ne déposera pas de plan de retour à l’équilibre budgétaire avant 2025.

« Je m’attends à ce qu’elles reconnaissent que la situation actuelle est difficile, qu’on pose des gestes […] responsables et qu’on [s’est engagé] au retour à l’équilibre budgétaire », a-t-il déclaré.

Le ministre a indiqué qu’il y aura des rencontres formelles avec les agences en mai, et que celles-ci feront par la suite une évaluation complète et indépendante de la situation financière du Québec.

« Présentement, notre perspective est stable », a-t-il affirmé, expliquant qu’avant d’être décotés, les gouvernements reçoivent normalement un avertissement sous forme de « perspective négative ».

Les Kings de la dette, accuse le PLQ

Les caquistes sont les « Kings de la dette et des déficits », a raillé le chef intérimaire du PLQ, Marc Tanguay, faisant allusion à la subvention octroyée pour que les Kings de Los Angeles viennent disputer deux matchs à Québec.

« La Coalition avenir Québec (CAQ) a dépensé comme des marins en cavale […] et on n’a même pas les services aujourd’hui. Tout est pire », a-t-il lancé en point de presse.

Selon l’Association des économistes québécois, depuis cinq ans, la croissance des dépenses par habitant au Québec a été plus rapide (36 %) que la moyenne canadienne (27 %).

Marc Tanguay a vanté les mérites de l’ancien gouvernement libéral de Philippe Couillard, qui se compare avantageusement, selon lui, à cette CAQ qu’il juge dépensière.

« Il y avait une rigueur qui a été mise de l’avant en 2014-2018, et les services étaient mieux donnés, plus efficaces qu’ils ne le sont aujourd’hui. […] On leur a laissé 7 G$, puis ils l’ont “flobbé” », a-t-il pesté.

L’article François Legault essaie de relativiser le déficit est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Les perspectives de notation des banques s’améliorent https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-perspectives-de-notation-des-banques-sameliorent/ Tue, 12 Dec 2023 12:10:59 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97858 Les banques s'adaptent à un environnement de taux plus élevés.

L’article Les perspectives de notation des banques s’améliorent est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Alors que les grandes banques canadiennes s’adaptent aux effets des taux d’intérêt plus élevés, Fitch Ratings a relevé leur perspective de notation à neutre pour 2024.

Le passage d’une perspective détériorée à une perspective neutre reflète l’acclimatation du secteur à l’environnement de taux d’intérêt « plus élevés pendant plus longtemps », déclare l’agence de notation.

« Dans le contexte économique actuel et la normalisation plus lente de la qualité du crédit, nous nous attendons à ce que la rentabilité des banques canadiennes se stabilise », rapporte Maria-Gabriella Khoury, directrice principale chez Fitch Ratings, dans un communiqué.

Dans l’ensemble, les bénéfices des banques seront mis à mal par la faible croissance des prêts et la faiblesse du marché de la banque d’investissement, qui pourrait peser sur les revenus, selon l’agence.

En outre, la qualité des actifs devrait continuer à se détériorer, les ménages étant confrontés à une inflation élevée et à des coûts d’intérêt croissants.

« Les niveaux élevés d’endettement des ménages canadiens restent une préoccupation majeure en matière de crédit », souligne Fitch Ratings.

Toutefois, l’agence s’attend à ce que ces tendances soient compensées par l’amélioration des rendements des actifs et des efficiences opérationnelles.

Dans le même temps, on s’attend à ce que les organismes de réglementation bancaire continuent de resserrer « autour de la marge », assure Fitch Ratings, notant que les exigences de Bâle III pour le risque de marché et le risque d’ajustement de l’évaluation du crédit entrent en vigueur au début de 2024.

L’article Les perspectives de notation des banques s’améliorent est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Moody’s abaisse la note de plusieurs banques américaines https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/moodys-abaisse-la-note-de-plusieurs-banques-americaines/ Mon, 14 Aug 2023 11:28:54 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95555 Le financement et les risques immobiliers ont contribué à cette décision.

L’article Moody’s abaisse la note de plusieurs banques américaines est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Invoquant l’impact du resserrement des conditions financières, les tensions dans le secteur bancaire et les risques posés par l’immobilier commercial, Moody’s Investors Service a revu à la baisse les notes attribuées à un certain nombre de banques américaines de taille moyenne.

Les rapports financiers du deuxième trimestre ont révélé l’impact de la hausse des coûts de financement sur les bénéfices des banques, a déclaré Moody’s, une situation qui continuera à réduire la rentabilité des banques et à affaiblir leur capacité à générer du capital en interne pour une certain temps.

L’agence de notation a ainsi abaissé la note de dix banques, dont M&T Bank, Pinnacle Financial Partners et Commerce Bancshares. Elle a également placé les notes de six autres institutions sous surveillance en vue d’un éventuel abaissement, dont U.S. Bancorp, State Street, Northern Trust et Bank of New York Mellon Corp.

« Certaines banques ont réduit la croissance de leurs prêts, ce qui préserve leur capital mais ralentit également l’évolution de la composition de leurs prêts vers des actifs à plus haut rendement, alors même que leurs coûts de financement augmentent, ce qui pèse sur leur rentabilité », a noté Moody’s.

En même temps, la hausse des taux d’intérêt continue de peser sur la valeur des titres et des prêts à taux fixe des banques, ce qui contribue à poser des risques de liquidité.

Les banques américaines de taille moyenne sont généralement soumises à des exigences de fonds propres moins élevées que les plus grandes institutions bancaires, rappelle l’agence.

Toutefois, « dans le contexte actuel, certaines banques américaines, en particulier celles dont les pertes économiques importantes dues à la hausse des taux d’intérêt ne sont pas prises en compte dans leurs ratios de fonds propres réglementaires, sont moins résistantes et plus vulnérables à une perte de confiance des investisseurs », a suggéré Moody’s.

Enfin, l’agence de notation a indiqué que les banques de petite et moyenne taille sont plus exposées aux risques dans le secteur de l’immobilier commercial, qui sont élevés en raison du ralentissement de l’économie, de la baisse de la demande d’espaces de bureaux et de la hausse des taux d’intérêt.

« Ces forces sont susceptibles d’entraîner une détérioration de la qualité des actifs des prêts dans certains secteurs de l’immobilier commercial, ce qui exercera une pression supplémentaire sur les profils de crédit des banques ayant une exposition plus importante à ces secteurs », a déclaré l’agence de notation.

L’article Moody’s abaisse la note de plusieurs banques américaines est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Abaissement de la note de solvabilité des États-Unis https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/abaissement-de-la-note-de-solvabilite-des-etats-unis/ Tue, 08 Aug 2023 11:47:28 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95506 Cela ne nuira pas à celle des entreprises, estime Fitch.

L’article Abaissement de la note de solvabilité des États-Unis est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
L’abaissement de la note de solvabilité des États-Unis n’aura pas d’impact immédiat sur les notations des entreprises américaines. Toutefois, les entreprises demeurent confrontées à plusieurs risques, selon Fitch Ratings.

Le 1er août, Fitch a fait passer la note de AAA, qui est la plus élevée, à AA+, évoquant des préoccupations croissantes concernant le fardeau de la dette publique et la détérioration de la gouvernance. Elles seraient à l’origine des impasses répétées touchant la limite de la dette et d’une baisse de confiance envers la gestion budgétaire du pays.

Ce recul de la note n’aura pas de conséquences immédiates sur la notation des sociétés américaines, a déclaré Fitch, car il n’y a pas de lien direct entre la notation de la solvabilité de l’État et celle des entreprises. Son évaluation de l’environnement opérationnel – qui tient compte des conditions économiques et financières et de la gouvernance systémique – « devrait rester à un niveau où elle ne limitera pas les notations ».

Cependant, il existe des risques à court terme pour les notations des entreprises en raison du resserrement des conditions financières et du ralentissement de l’économie, a déclaré Fitch.

« Un coût plus élevé et durable du capital d’emprunt et la gravité du ralentissement économique restent les plus grandes sources de risque », selon l’agence, notant qu’elle avait récemment revu à la baisse ses prévisions de PIB américain pour 2024 et relevé ses prévisions de taux d’intérêt.

« Nous nous attendons à ce que le resserrement de la Fed pousse l’économie américaine dans une légère récession en [quatrième trimestre de 2023 et premier trimestre de 2024], alors que le plein effet du resserrement monétaire sur le marché du travail, les dépenses de consommation et les investissements des entreprises se manifeste », indique le rapport.

Une période plus longue de taux d’intérêt élevés entraînera également une augmentation des charges d’intérêts, en particulier pour les entreprises qui doivent refinancer leur dette dans les mois à venir, a déclaré Fitch.

« Nous nous attendons aussi à ce que les émetteurs d’entreprises soient confrontés à des taux d’intérêt durablement plus élevés en s’écartant du coût historiquement bas de la dette enregistrée au cours de la décennie qui a suivi la crise financière mondiale, car une inflation sous-jacente toujours élevée est susceptible d’empêcher des baisses de taux jusqu’en mars 2024 », déclare Fitch.

L’article Abaissement de la note de solvabilité des États-Unis est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Les banques américaines font face à des défis croissants https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-banques-americaines-font-face-a-des-defis-croissants/ Tue, 02 May 2023 10:55:06 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=93316 Estime Moody’s, qui a abaissé la note de 11 institutions américaines.

L’article Les banques américaines font face à des défis croissants est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Le système bancaire américain n’est pas encore tiré d’affaire, selon Moody’s Investors Service. L’agence de notation a revu à la baisse son évaluation du secteur et a dégradé certaines banques, invoquant des risques élevés liés aux taux d’intérêt et de financement.

Moody’s a abaissé ses perspectives macroéconomiques sur le système bancaire américain, citant l’impact du resserrement des conditions financières, du durcissement des positions de financement et de la faiblesse de l’environnement opérationnel, qui pèsent sur la solidité du crédit de certaines banques.

Parallèlement au risque accru de taux d’intérêt, Moody’s a déclaré qu’il y avait « des implications négatives sur le crédit pour le secteur bancaire américain qui vont au-delà des défis de financement immédiats à la pression à la baisse sur les bénéfices des banques, combinées dans certains cas à une capitalisation plus faible et à des risques liés à l’immobilier commercial ».

En conséquence, l’agence de notation a abaissé la note de 11 banques américaines et ses perspectives de notation sur neuf autres.

« La baisse des valorisations des titres a été le premier avertissement de la croissance des risques de taux d’intérêt et de [gestion actif-passif] parmi les banques américaines, mais des tensions plus larges dans la [gestion actif-passif] de certaines banques sont de plus en plus évidentes alors qu’elles font face au dénouement de la politique monétaire non conventionnelle et aux taux d’intérêt élevés et en hausse », a déclaré Moody’s dans un rapport.

Bien que la stabilité des dépôts ait toujours été une force du secteur bancaire américain, Moody’s a déclaré que les récentes tensions de financement ont incité à reconsidérer la stabilité des dépôts et leur importance opérationnelle, ce qui « a des implications pour le financement, ainsi que pour la composition des actifs et la rentabilité des banques ».

En outre, certaines banques sont confrontées à une baisse des revenus nets d’intérêts et des marges, a-t-il noté, et les expositions à l’immobilier commercial représentent un risque croissant « compte tenu des taux d’intérêt élevés, de la hausse du chômage et de la réduction de la disponibilité du crédit pour le secteur », a-t-il déclaré.

Dans cet environnement, les banques dont les fonds propres sont plus faibles sont confrontées à des « défis accrus », a déclaré Moody’s.

« Les banques disposant d’un coussin de fonds propres plus petits peuvent avoir une sensibilité accrue à la clientèle, ce qui entraîne des difficultés à conserver les dépôts non assurés, et les oblige à recourir beaucoup plus à des dépôts à coût plus élevé et à des emprunts de gros pour éviter la vente forcée d’actifs à taux fixe. Une telle vente forcée pourrait cristalliser les pertes latentes sur ces actifs et déprécier les ratios de fonds propres réglementaires des banques », a-t-il déclaré.

L’article Les banques américaines font face à des défis croissants est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
La quatrième édition des directives d’évaluation des risques https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/aima/la-quatrieme-edition-des-directives-devaluation-des-risques/ Fri, 31 Mar 2023 11:28:32 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92862 ZONE EXPERTS - Pour les fonds spéculatifs, les fonds communs de placement alternatifs et les fonds de crédit privés au Canada.

L’article La quatrième édition des directives d’évaluation des risques est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Alors que les défis de la distribution par les courtiers en matière de cotes de risque se poursuivent, AIMA et AICA ont mis à jour les données qui sous-tendent leur système de cotes de risque pour une quatrième édition. Le but étant de préconiser un meilleur alignement des cotes de risque de détail des sociétés de courtage en valeurs mobilières avec les rendements historiques ajustés au risque des fonds au sein des indices de stratégie.

Depuis la publication de la première édition en janvier 2019, il y a eu un certain alignement positif des notations de risque internes avec les rendements historiques ajustés au risque des fonds d’investissement, mais des défis subsistent, et il y a de nombreux cas où les fonds privés sont automatiquement notés à haut risque, malgré une faible volatilité historique. Il en résulte une limitation du nombre d’investisseurs de détail qui peuvent investir dans ces produits, ainsi que du montant qu’ils peuvent allouer, bien que ces stratégies affichent souvent une volatilité inférieure à celle des grands indices.

Pour faciliter l’accès équitable des investisseurs à des structures de fonds diversifiées, réduisant le risque et offrant des rendements non corrélés, les associations préconisent que les systèmes internes de notation du risque des courtiers soient révisés afin de mieux refléter les données historiques ajustées au risque des fonds au sein des indices.

Dans les quatre éditions, aucune stratégie n’a changé de catégorie, bien que les marchés aient connu une volatilité accrue tout au long de la période. Les stratégies d’arbitrage convertible et d’arbitrage de volatilité ont été ajoutées à cette édition.

Pour voir ce tableau en grand format, cliquez ici.

Pour voir ce tableau en grand format, cliquez ici.

L’accès équitable aux plates-formes de courtage reste une question centrale pour les gestionnaires d’investissements alternatifs et, une fois l’accès obtenu, des notations de risque souvent trop élevées ou des limites d’allocation alternatives rendent la distribution aux investisseurs canadiens encore plus difficile. Il s’agit là d’une question centrale pour AIMA, qui s’efforce de garantir un accès équitable aux produits pour les investisseurs canadiens.

L’article La quatrième édition des directives d’évaluation des risques est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Une entreprise sur cinq est décotée en raison du climat https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/une-entreprise-sur-cinq-est-decotee-en-raison-du-climat/ Mon, 13 Mar 2023 12:17:31 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92430 Selon l'agence Fitch.

L’article Une entreprise sur cinq est décotée en raison du climat est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Les risques climatiques pourraient entraîner une dégradation de la note de crédit d’un cinquième des entreprises mondiales d’ici 2035, selon un nouveau rapport de Fitch Ratings.

Citant sa nouvelle mesure de notation de la vulnérabilité climatique, l’agence de notation a déclaré que seulement environ 2% des entreprises mondiales devraient faire face à des scores de risque climatique élevés d’ici 2025, signalant une menace importante de déclassement. Mais cette part passera à près de 20% d’ici 2035.

Les entreprises dont les scores de risque de vulnérabilité climatique sont élevés sont considérées comme risquant une dégradation de leur note en raison de leur exposition à une transition rapide vers une économie à faibles émissions de carbone entre 2025 et 2050.

« Les principaux facteurs de risques de transition sont la baisse de la consommation de pétrole après 2025 ou 2030, selon la région, la baisse de l’utilisation du gaz naturel, l’élimination progressive du charbon (bien qu’elle varie également considérablement d’une région à l’autre), une forte poussée en faveur de la réduction des émissions dans l’industrie lourde et les bâtiments, et l’élimination rapide des véhicules à moteur à combustion interne sur les marchés clés. », a expliqué Fitch.

Les secteurs comptant la plus grande proportion d’entreprises à risque élevé sont les producteurs de pétrole et de gaz, les pipelines et les sociétés énergétiques du secteur intermédiaire, a-t-il noté, les entreprises de ces secteurs représentant près de la moitié des émetteurs présentant un risque climatique élevé.

Les entreprises qui tombent juste en dessous du seuil de risque « élevé » sont également potentiellement vulnérables à la rétrogradation, a déclaré Fitch, car ces entreprises « ont des modèles commerciaux qui devront s’adapter, parfois par le biais d’investissements en capital importants », pour faire face à leurs risques de transition. Cela inclut les compagnies aériennes et les entreprises de matériaux de construction, a-t-il déclaré.

L’article Une entreprise sur cinq est décotée en raison du climat est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>