Jean-Louis Trudeau s’est vu imposé une amende de 50 000 $ pour des opérations discrétionnaires dans les comptes d’une cliente par l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM).
Assurances M. Lagrange inc. et Jonathan Laurin écopent de pénalités administratives de respectivement 27 500 $ et 7 500 pour des manquements à la Loi sur la distribution de produits et services financiers.
Guillaume Fernandez écope d’une peine d’emprisonnement de quatre mois et d’amendes totalisant plus de 53 575 $ pour exercice illégal et placement sans prospectus.
Pour avoir effectué 30 opérations discrétionnaires non autorisées dans les comptes d’une cliente, un ancien conseiller, Jean Trudeau, est condamné à une amende de 50 000 $ et une interdiction de ré-inscription auprès de l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM).
Danielle Guilbault a été radiée pour une période de quatre ans par le comité de discipline de la Chambre de la sécurité financière (CSF).
PLANÈTE FINANCE - Pour avoir alerté la Commission du commerce à terme des marchandises (Commodity Futures Trading Commission) d’un conflit d’intérêts chez JP Morgan Chase, un ancien avocat de la Commission des valeurs mobilières (SEC) des États-Unis va recevoir 30 M$ américain (US).
Deux décisions rendues au printemps 2018 ont mis un terme à une poursuite pénale intentée par l’Autorité des marchés financiers (AMF) à l’encontre de David Dufour, Stéphane, Sandro Morelli et Serge Lapointe pour des manquements à la Loi sur les valeurs mobilières.
Cette année, les Autorités en valeurs mobilières (ACVM) ont dû composer avec les cryptomonnaies, en plus de prendre des mesures plus importantes pour stopper les fraudes sur options binaires, indique leur rapport annuel.
Serge Ollu s’est vu imposer des amendes totalisant 1 500 000 $ et une peine d'emprisonnement de 90 jours en lien avec des infractions de manipulation de marché.
Les tribunaux ont rendu une autre décision dans l’affaire Mount Real Corporation : trois ex-dirigeants de la société à l’origine de l’un des plus grands scandales financiers de l’histoire du Québec se sont vu imposer des peines de prison et plusieurs millions de dollars d’amendes.