Banque – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 10 Jan 2025 11:57:50 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Banque – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 La Banque Scotia poursuit ses investissements en Amérique du Nord https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/la-banque-scotia-poursuit-ses-investissements-en-amerique-du-nord/ Fri, 10 Jan 2025 11:57:50 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104819 Les autorités réglementaires autorisent sa participation supplémentaire dans KeyCorp. 

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La Banque Scotia a conclu l’acquisition d’une participation pro forma additionnelle d’environ 10 % dans KeyCorp. Cet investissement, effectué en contrepartie en espèces est d’environ 2,0 milliards de dollars américains, fait suite à l’obtention d’une approbation réglementaire du conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale américaine.

Le 12 août 2024, la Banque Scotia a déclaré avoir conclu une entente visant l’acquisition d’une participation pro forma d’environ 14,9 % dans KeyCorp pour une contrepartie totale d’environ 2,8 milliards de dollars américains. Un investissement initial d’environ 4,9 % a été clôturé le 30 août 2024, alors que la présente transaction conclut la deuxième étape de l’investissement.

« Notre investissement dans KeyCorp nous permet de déployer des capitaux aux États‑Unis de manière efficiente et peu risquée tout en augmentant le rendement pour nos actionnaires, a déclaré Scott Thomson, président et chef de la direction de la Banque Scotia. Nous sommes heureux d’avoir conclu cette transaction, qui témoigne de notre engagement à réaffecter le capital dans des marchés développés en Amérique du Nord plutôt que dans des marchés en développement. »

La réalisation des deux étapes de cette transaction devrait entraîner une diminution d’environ 55 points de base du ratio des actions ordinaires et assimilées de T1. Aux fins de la comptabilité, la participation d’environ 14,9 % de la Banque Scotia sera classée comme une participation dans une société associée.

Les actifs de la Banque Scotia sont évalués à environ 1 400 G$ de dollars canadiens au 31 octobre 2024.

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Les bénéfices des six grandes banques devraient augmenter en 2025 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-benefices-des-six-grandes-banques-devraient-augmenter-en-2025/ Fri, 10 Jan 2025 11:45:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104868 Selon DBRS.

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Avec la reprise attendue de la croissance économique et les nouvelles baisses de taux d’intérêt à venir, les perspectives pour les six grandes banques sont favorables, mais les risques sont fortement orientés à la baisse, prévient Morningstar DBRS.

Dans un nouveau rapport, l’agence de notation a déclaré que les perspectives économiques pour l’Amérique du Nord sont « généralement positives », ce qui devrait soutenir l’amélioration des bénéfices des six grandes banques au cours de l’exercice 2025.

« Nous prévoyons une croissance modeste du PIB au Canada, de 1,1 % en 2024, qui atteindra 1,8 % en 2025 et 1,9 % en 2026 », indique l’agence.

Et, comme les pressions inflationnistes s’atténuent au Canada, permettant une politique monétaire plus souple, cela devrait réduire la pression financière sur les ménages fortement endettés et améliorer les conditions de crédit.

En retour, les bénéfices des banques devraient bénéficier de la modération des provisions pour pertes de crédit au cours de l’exercice 2025, a déclaré DBRS.

« L’environnement de taux d’intérêt plus bas à l’approche de l’exercice 2025 apportera un certain soulagement en ce qui concerne les coûts du service de la dette, atténuant certaines inquiétudes liées aux prêts immobiliers garantis et aux risques hypothécaires ainsi qu’aux risques de crédit de gros », a déclaré l’agence.

L’agence de notation a ajouté qu’elle s’attendait également à ce que les banques génèrent une croissance progressive de leurs revenus au cours de l’année à venir.

« Nous prévoyons une croissance des activités de souscription et de conseil sur les marchés de capitaux, bien que la croissance des revenus de commissions provenant du négoce et de la gestion de patrimoine puisse être plus modérée après les bons résultats de [l’exercice] 2024 », a-t-elle noté.

Toutefois, l’incertitude politique accrue et les vents contraires géopolitiques pourraient mettre en péril le tableau économique positif et les perspectives d’amélioration des bénéfices des banques.

En particulier, les changements potentiels dans la politique commerciale des États-Unis et les risques posés par les conflits régionaux représentent des menaces potentielles pour les perspectives autrement améliorées, a noté le rapport.

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La Scotia vend ses activités en Colombie, au Costa Rica et au Panama https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-scotia-vend-ses-activites-en-colombie-au-costa-rica-et-au-panama/ Thu, 09 Jan 2025 11:26:50 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104850 En échange d’une participation dans une institution financière colombienne.

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La Banque Scotia annonce lundi avoir signé une entente pour vendre ses activités bancaires en Colombie, au Costa Rica et au Panama à Davivienda en échange d’une participation de 20 % dans l’institution financière colombienne.

La banque torontoise affirme que l’accord soutient ses efforts d’efficacité opérationnelle sur ses marchés non essentiels.

Elle ajoute que la transaction lui donne également l’occasion de participer à une entreprise comptant une équipe de gestion chevronnée permettant d’être un acteur de premier plan.

Davivienda a plus de 50 ans d’expérience dans les opérations en Colombie, au Costa Rica, au Salvador, au Honduras, au Panama et à Miami.

La Banque Scotia indique qu’elle subira une perte de valeur après impôts d’environ 1,4 milliard de dollars (G$) au premier trimestre de 2025 dans le cadre de l’opération.

Elle estime également qu’elle essuiera environ 300 M$ de pertes supplémentaires à la clôture, principalement liées aux pertes de change.

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Les risques liés aux prêts s’atténuent https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-risques-lies-aux-prets-sattenuent/ Wed, 08 Jan 2025 11:55:13 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104888 Les banques s’inquiètent maintenant de l'incertitude politique.

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Les dirigeants des plus grandes banques canadiennes voient enfin les risques liés au renouvellement des prêts hypothécaires s’atténuer, mais les inquiétudes concernant les tarifs douaniers et l’incertitude politique prennent le dessus.

« Je pense que les tarifs peuvent faire beaucoup de dégâts », a déclaré mardi le chef de la direction de RBC, Dave McKay, lors d’une conférence des dirigeants de banques organisée par RBC Marchés des capitaux.

« Il est décevant d’entendre la rhétorique s’intensifier, alors que nous pensions qu’elle s’atténuait dans une certaine mesure », a-t-il ajouté.

Ces inquiétudes surviennent alors que le nouveau président américain Donald Trump a menacé d’imposer un tarif de 25 % sur les importations canadiennes et mexicaines en raison de ce qu’il dit être des préoccupations concernant la sécurité des frontières.

Dave McKay a affirmé que la question n’était pas seulement de savoir si les États-Unis imposeraient des tarifs, mais s’ils seraient larges ou ciblés, ainsi que la durée pendant laquelle ils pourraient rester en place.

« Cela suscite des inquiétudes chez tout le monde quant au fait que cela causera des dommages économiques, et nous ne sommes pas sûrs des objectifs qu’il essaie d’atteindre », a-t-il déclaré. La banque se prépare à divers scénarios, a indiqué Dave McKay.

L’incertitude politique au Canada

Le chef de la direction de la CIBC, Victor Dodig, a affirmé qu’il était également préoccupé par les risques, mais qu’il espérait que les dommages que les tarifs douaniers causeraient aux deux pays deviendraient évidents.

« Je suis sûr que les esprits sensés prévaudront en ce qui a trait à l’examen de la nature intégrée de notre économie et de la façon dont nous pouvons faire avancer les choses au profit des consommateurs et des entreprises américains et canadiens », a-t-il soutenu.

Il a affirmé que, quel que soit le résultat, la banque s’en sortira comme elle l’a fait pendant la pandémie, en contrôlant ce qu’elle peut – et le Canada devrait faire de même avec des mesures comme un accord de libre-échange interne.

« Commençons par régler les problèmes chez nous », a-t-il fait valoir.

Il ne sera toutefois pas facile de progresser à l’échelle du pays, le premier ministre Justin Trudeau ayant annoncé lundi qu’il avait demandé la prorogation du Parlement jusqu’au 24 mars et qu’il se retirerait après une course à la direction du Parti libéral.

L’incertitude quant à savoir qui dirigera les libéraux et ce qui se passera avec les élections de cette année affectera probablement les investissements au Canada, a déclaré le chef de la direction de la BMO, Darryl White.

« Que font les gens lorsqu’ils sont incertains? Ils attendent. Cette attente, qui est une conséquence naturelle de l’incertitude, commence à se faire sentir un peu au Canada », a-t-il indiqué.

Cela contraste avec les États-Unis, où il y avait eu plus d’incertitude il y a un an concernant le gouvernement, les taux d’intérêt et la politique réglementaire.

« Vous pouvez dire ce que vous voulez sur le résultat, mais la plupart de cette incertitude a été levée, a noté Darryl White. Mettez de côté le drame, il y a clairement un programme de croissance auquel les gens adhèrent. »

Le « grand renouvellement » des prêts hypothécaires

L’incertitude sur le front politique contraste avec le marché hypothécaire canadien, qui est le principal sujet de préoccupation des banques depuis quelques années.

Les inquiétudes liées aux prêts hypothécaires s’atténuent depuis que la Banque du Canada a commencé à abaisser son taux d’intérêt directeur l’année dernière jusqu’à un taux désormais de 3,25 %. De nouvelles baisses de taux sont attendues dans les mois à venir.

Les emprunteurs ont bien géré le « grand renouvellement » des prêts hypothécaires, l’expression utilisée par les analystes pour décrire l’ajustement des emprunteurs à des taux beaucoup plus élevés que ceux auxquels ils avaient souscrit au début de la pandémie. Malgré les taux plus élevés, les niveaux de défaillance restent inférieurs à ceux d’avant la pandémie.

Environ 60 % des clients de la RBC devraient renouveler à des taux plus bas, a noté Dave McKay.

« Lorsque nous examinons les chocs globaux liés aux paiements, ils se sont considérablement décompressés », a-t-il soutenu.

De nombreux Canadiens sont toujours aux prises avec des paiements plus élevés, qui ont également pesé sur l’économie, mais cela ne fait que renforcer l’opinion selon laquelle la Banque du Canada continuera de réduire de manière prononcée les taux à court terme, a-t-il noté.

Le chef de l’exploitation de la TD, Raymond Chun, qui devrait prendre les fonctions de chef de la direction en avril, a déclaré que la banque avait déjà constaté une reprise de l’activité à la fin de l’année dernière.

« Nous avons certainement constaté une reprise notable au quatrième trimestre des ventes et des volumes hypothécaires au sein de la TD et dans l’ensemble du secteur, et ce, avant même que l’effet complet des deux baisses de 50 points de base ne se soit vraiment fait sentir », a-t-il fait valoir.

Raymond Chun a noté qu’environ un tiers des prêts hypothécaires qui doivent être renouvelés au cours des deux prochaines années seront probablement à des taux inférieurs.

« Du point de vue de la gestion du risque de crédit, vous avez probablement déjà vu le haut de la fourchette », a-t-il indiqué.

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Une commission sénatoriale réfléchit aux réformes de la politique monétaire https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/une-commission-senatoriale-reflechit-aux-reformes-de-la-politique-monetaire/ Mon, 16 Dec 2024 13:19:51 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104481 Le rapport met l’accent sur les demandes d’élargissement du mandat, de renforcement de la transparence et de l’obligation de rendre des comptes.

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Le comité sénatorial permanent des banques, du commerce et de l’économie estime qu’Ottawa devrait envisager d’élargir le mandat de la Banque du Canada pour qu’elle cible explicitement l’emploi en même temps que l’inflation, tout en prenant des mesures pour accroître la transparence de ses décisions en matière de fixation des taux.

Cette recommandation a été formulée le 3 décembre dernier, lorsque le Comité sénatorial permanent des banques, du commerce et de l’économie a publié son rapport intérimaire sur le cadre de la politique monétaire. Le comité y exhorte le Parlement à réexaminer le mandat et la législation de la Banque du Canada avant le renouvellement des accords entre le gouvernement et la banque centrale en 2026.

« La Banque du Canada continue d’être mise à l’épreuve par une économie mondiale complexe et incertaine, et le comité veut s’assurer que la politique monétaire de la banque soutient l’économie canadienne et offre de la transparence », explique le comité dans un communiqué, ajoutant que son rapport final contiendra des recommandations spécifiques.

Dans son rapport intérimaire, la commission a examiné si la législation de la banque devait être modernisée afin d’améliorer sa responsabilité et sa transparence, en particulier en ce qui concerne les décisions relatives à la fixation des taux. Il s’est également demandé si les indicateurs d’inflation de base de la banque étaient les meilleures mesures de l’inflation sous-jacente et si le mandat de la banque devait être élargi pour cibler les niveaux d’emploi en même temps que l’inflation.

Toutefois, le comité s’est abstenu de formuler des recommandations dans ces domaines.

« La complexité de ce sujet est telle que la commission estime qu’avant de proposer des prescriptions ou des recommandations spécifiques, elle doit mener une analyse plus approfondie et entendre davantage d’experts dans le domaine de la macroéconomie, en particulier des représentants d’autres banques centrales », précise la commission.

Entre-temps, la commission a souligné que, d’après les témoignages reçus jusqu’à présent, les intervenants ont constamment demandé davantage de transparence et de responsabilité de la part de la banque. Il lui a été suggéré d’envisager des mesures dans ce sens, telles que l’instauration d’examens externes réguliers, l’obligation légale de rendre compte au Parlement et une révision du processus de sélection des sous-gouverneurs.

Elle a également fait état d’un large soutien en faveur d’un mandat élargi pour la politique monétaire, qui ciblerait l’emploi aussi bien que l’inflation. Dans un contexte d’incertitude économique accrue, « la politique monétaire devra être plus réactive et mieux coordonnée avec les autres mesures et acteurs économiques et budgétaires ».

« Les préoccupations géopolitiques, les pandémies et la transition énergétique, entre autres incertitudes, mettent à l’épreuve l’économie mondiale et la façon dont la Banque du Canada s’attaque à l’inflation. La législation vieille de 90 ans qui a façonné la banque est-elle toujours pertinente et efficace dans le contexte actuel ? C’est une question cruciale à laquelle il est urgent de répondre », souligne le sénateur Tony Loffreda, vice-président du comité, dans un communiqué.

« Le renouvellement prochain de l’accord sur le cadre de la politique monétaire du Canada marque un tournant pour la banque centrale. Notre commission examine sérieusement la façon dont la banque remplit son mandat et comment elle peut améliorer sa transparence et sa responsabilité », ajoute la sénatrice Pamela Wallin, présidente de la commission.

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Les banques américaines vont bénéficier d’une réglementation plus souple https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-banques-americaines-vont-beneficier-dune-reglementation-plus-souple/ Tue, 19 Nov 2024 12:07:28 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104089 Mais l’impact à long terme serait limité, selon DBRS Morningstar.

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Les résultats des élections américaines ont des implications pour le secteur bancaire américain, principalement en raison de la perspective d’une réglementation plus légère, affirme Morningstar DBRS.

Dans un nouveau rapport, l’agence de notation indique qu’elle ne voit pas d’impact immédiat sur le crédit du secteur en raison du résultat des élections.

« Alors que les résultats des élections américaines laissent entrevoir des perspectives de baisse de l’impôt sur les sociétés et de déréglementation, nous ne nous attendons pas à ce que les fondamentaux du crédit bancaire soient significativement impactés, conformément à notre opinion après l’élection de 2016 », signale le rapport.

Au cours de l’année écoulée, le secteur et les régulateurs se sont déjà affrontés au sujet de la mise en œuvre de la version finale des réformes mondiales des fonds propres, connues sous le nom de règles de fin de cycle de Bâle III aux États-Unis, ce qui a eu pour effet de tempérer les exigences des régulateurs.

Aujourd’hui, la perspective de régulateurs plus favorables aux banques pourrait entraîner un nouvel affaiblissement, ou un retard, de ces exigences finales en matière de fonds propres, selon DBRS Morningstar.

« Cependant, ces changements auraient probablement un impact plus significatif sur les banques régionales, tandis que les grandes banques mondiales d’importance systémique seraient probablement moins affectées », analyse l’agence – notant que la politique réglementaire sous l’administration Trump précédente a principalement bénéficié aux petites banques, et n’a aidé que marginalement les grandes banques mondiales.

« Tout changement attendra probablement la nouvelle direction de l’Office of the Comptroller of the Currency en 2025, et le travail associé aux règles révisées sera probablement mis en pause avant que la proposition ne soit soumise à une nouvelle période de consultation publique », avance l’agence.

De même, le pouvoir du Consumer Financial Protection Bureau pourrait être fortement réduit sous la direction d’un nouveau responsable.

« Toutefois, Donald Trump a fait campagne sur le plafonnement des taux d’intérêt des cartes de crédit à 10 %, ce qui aurait un impact significatif sur le secteur, si cette mesure était adoptée », tempère l’agence.

Enfin, l’environnement réglementaire pourrait être plus propice aux fusions et acquisitions sous le nouveau régime, selon le rapport.

« Le paysage des fusions et acquisitions pour les banques pourrait également bénéficier de délais d’approbation plus courts, ce qui pourrait accélérer les tendances de consolidation », prévoit le rapport, ajoutant que les conditions pour les transactions commencent déjà à s’améliorer « avec un environnement de taux d’intérêt plus favorable et des mesures de qualité des actifs stables, ainsi qu’une meilleure visibilité sur les exigences en matière de capital ».

Les divisions de fusions et d’acquisitions des banques pourraient également bénéficier d’une augmentation de l’activité de leurs clients.

Plus généralement, la perspective d’une forte augmentation des droits de douane, susceptible d’affecter négativement le commerce mondial et la croissance économique, entraînerait également des répercussions sur le secteur bancaire.

« L’impact des droits de douane potentiels sur certains secteurs du portefeuille de prêts des banques ou sur les chaînes d’approvisionnement des clients reste une inconnue, indique le rapport. Nous pensons que la prochaine administration augmentera les droits de douane, mais principalement de manière ciblée. Cependant, l’imposition de tarifs généralisés pourrait avoir un impact négatif sur de nombreux secteurs et augmenter les pressions inflationnistes. »

Dans un rapport distinct, DBRS Morningstar concluait que l’incertitude quant à la réalité de la future politique commerciale des États-Unis pourrait freiner l’investissement à court terme. En fin de compte, elle s’attend à ce que la nouvelle administration menace d’augmenter les droits de douane afin d’obtenir des concessions de la part des partenaires commerciaux des États-Unis.

« Le coût économique de la posture protectionniste pourrait dissuader l’administration Trump d’une application généralisée et agressive des droits de douane », estime l’agence de notation.

Une réglementation plus favorable à l’industrie pourrait également favoriser l’industrie de l’énergie avec des normes d’émission des véhicules plus faibles, l’ouverture de plus de terres fédérales pour le forage et des approbations plus faciles pour l’infrastructure énergétique, ajoute le rapport.

« Cependant, même avec un contrôle unifié des républicains, nous prévoyons que la majeure partie de la législation climatique du président Biden – la loi sur la réduction de l’inflation – demeurera en place, car de nombreux législateurs républicains soutiennent certains aspects de cette législation, tels que les incitations à la fabrication de batteries, le traitement des minéraux critiques et le développement de l’énergie nucléaire. »

Quant aux réductions d’impôts qui doivent expirer à la fin de 2025, celles-ci seront probablement prolongées, prédit DBRS Morningstar.

« Si les Républicains remportent la Chambre des représentants, nous pourrions même assister à de nouvelles réductions d’impôts, y compris une baisse du taux d’imposition des sociétés. Néanmoins, les législateurs risquent de se montrer réticents face à certaines des propositions de réduction d’impôts faites par Donald Trump pendant la campagne, telles que l’exonération fiscale des revenus de la sécurité sociale », estime le rapport.

Et, bien que les Républicains aient repris le contrôle du Sénat, ils seront limités, car leur majorité reste en deçà du seuil nécessaire pour vaincre les obstructions, de sorte que « la composition du Congrès continuera d’agir comme une contrainte sur la politique républicaine ».

À ce stade, l’impact économique global des résultats de l’élection et ses implications pour la politique fédérale au cours des deux prochaines années « semblent neutres pour la croissance et pourraient être légèrement inflationnistes, bien que l’impact cumulatif dépende des détails de la politique », selon le rapport.

« Les perspectives budgétaires et la tolérance du marché à l’égard de déficits plus élevés pourraient constituer un défi pour la prochaine administration », ajoute le rapport.

« Le déficit budgétaire américain reste une source d’inquiétude et la prolongation des réductions d’impôts l’aggravera. Si les décideurs politiques ne sont pas disposés à s’attaquer au déséquilibre budgétaire important et croissant du gouvernement, les indicateurs de la dette publique continueront à se détériorer à moyen terme et finiront par affaiblir les perspectives de croissance du pays et sa résistance aux chocs », conclut le rapport.

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Top des leaders : déposez votre candidature ! https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/top-des-leaders-on-attend-votre-candidature/ Mon, 16 Sep 2024 11:21:01 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103006 La période de soumission des dossiers est prolongée jusqu’au lundi 4 novembre.

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La période de mise en candidature pour le Top des leaders de l’industrie financière du Québec de Finance et Investissement a été prolongée et se termine le lundi 4 novembre.

Le Top des leaders de l’industrie financière du Québec vise à célébrer les succès des dirigeants et membres de la haute direction de l’industrie financière du Québec, notamment par l’intermédiaire d’un dossier éditorial complet qui sera publié en février prochain.

Le processus de mise en candidature est ouvert à tous. Nous invitons ainsi les entreprises et organisations de l’industrie à soumettre leur dossier avant le 4 novembre prochain.

Pour être admissibles au Top des leaders, les candidats doivent avoir un impact significatif sur les décisions stratégiques de leur organisation ou sur ses activités québécoises. Les personnes qui exercent leurs activités dans les secteurs public ou parapublic, de l’assurance de dommages et de la réglementation ne sont pas admissibles. Les leaders n’ont toutefois pas à résider au Québec pour soumettre leur candidature, à condition qu’ils dirigent les activités québécoises d’une entreprise de l’industrie financière.

Cette initiative n’est pas un programme de récompenses ni un exercice de classement. L’inclusion des leaders n’est pas basée sur le chiffre d’affaires ou les actifs d’une firme.

Voici les cinq catégories d’entreprises pour lesquelles le dirigeant principal ou le chef des activités québécoises de cette société, ainsi que les membres de la haute direction sont invités à poser leur candidature :

Les sociétés de courtage de valeurs mobilières ou en assurance de personnes, comme les courtiers en épargne collective, les agents généraux, les cabinets multidisciplinaires qui distribuent des produits et services financiers, etc. : Pour consulter et remplir le formulaire de participation, cliquez ici ;

Les courtiers de plein exercice en valeurs mobilières : Pour consulter et remplir le formulaire de participation, cliquez ici ;

Les sociétés de gestion de portefeuille indépendantes (non liée à une institution financière): Pour consulter et remplir le formulaire de participation, cliquez ici ;

Les institutions financières à portée nationale, comme les banques et les coopératives financières : Pour consulter et remplir le formulaire de participation, cliquez ici ;

Les compagnies d’assurance de personnes (les assureurs de dommages sont exclus) : Pour consulter et remplir le formulaire de participation, cliquez ici ;

Leaders / Cadres de l’industrie financière

Finalement, les cadres, membres de la haute direction, chefs de division qui travaillent au sein des types d’entreprises mentionnés précédemment, ainsi que des entreprises de technologie financière, sont aussi invités à postuler. On vise ici à souligner les réussites, non pas du chef de la direction ou du président-directeur général, mais plutôt celles d’un cadre de haut niveau ou d’un responsable d’un secteur d’activité ou d’une division dont le bilan est enviable, et dont les réalisations découlant de son leadership ont un caractère exceptionnel.

Pour consulter et remplir le formulaire de participation, cliquez ici.

Cliquez sur la catégorie qui vous convient le mieux pour trouver les formulaires à compléter.

Pour toutes questions sur le processus de mise en candidature ou pour soumettre celle-ci, veuillez nous écrire à l’adresse courriel : topleaders@newcom.ca

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Banque Laurentienne : bénéfice à la baisse https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/banque-laurentienne-benefice-a-la-baisse/ Fri, 30 Aug 2024 12:51:03 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102637 Au troisième trimestre.

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La Banque Laurentienne du Canada a réalisé un bénéfice de 34,1 millions de dollars (M$) au cours de son troisième trimestre, en baisse par rapport à 49,3 M$ à la même période l’an dernier.

La banque montréalaise a précisé que son bénéfice s’est élevé à 67 cents par action lors du trimestre qui a pris fin le 31 juillet, comparativement à un bénéfice de 1,03 $ par action un an plus tôt.

Ses revenus ont totalisé 256,5 M$ au troisième trimestre, en baisse par rapport à 260,8 M$ pendant le même trimestre l’année dernière.

Sa provision pour pertes sur créances s’est élevée à 16,3 M$, en hausse par rapport à 13,3 M$ il y a un an.

Sur une base ajustée, la Banque Laurentienne a réalisé un bénéfice de 88 cents par action au cours de son plus récent trimestre, comparativement à un bénéfice ajusté de 1,22 $ par action au troisième trimestre de l’an dernier. Les analystes s’attendaient en moyenne à un bénéfice ajusté de 86 cents par action, selon LSEG Data & Analytics.

« Depuis le dévoilement de notre plan stratégique, nous réalisons des progrès à l’égard de nos priorités, notamment par l’examen des rôles directement liés à l’expérience client et la simplification de notre organisation. Nous continuons de mettre à profit nos spécialisations et d’investir dans la technologie pour renforcer nos assises », a déclaré Éric Provost, président et chef de la direction.

À cet égard, la Banque Laurentienne a réalisé deux transactions en droite ligne avec l’orientation stratégique énoncée, qui vise à simplifier son organisation et à se concentrer sur les secteurs d’activités dans lesquels elle croit pouvoir se démarquer et faire preuve de compétitivité.

Le 2 août 2024, l’institution financière a d’abord clôturé la vente d’actifs administrés de la division Services aux particuliers du courtage de plein exercice de VMBL à iA Gestion privée de patrimoine inc., une filiale en propriété exclusive d’Industrielle Alliance, Assurance et services financiers.

La transaction comprend le transfert de plus de 2 G$ d’actifs administrés de VMBL à iA Gestion privée de patrimoine. La Banque s’attend à comptabiliser un produit net tiré de la transaction d’environ 12 M$, soit 10 M$ après impôts sur le résultat, au cours de l’exercice 2024, principalement au quatrième trimestre.

Puis, le 12 août 2024, la Banque a annoncé avoir conclu une entente en vue de la vente d’actifs administrés de la division de courtage à escompte de VMBL à CISI, une filiale en propriété exclusive de CI Financial Corp.

La transaction comprend le transfert de près de 250 M$ d’actifs administrés de VMBL à Négociation directe CI, une plateforme d’investissement en ligne à l’usage des investisseurs qui pratiquent la négociation autogérée et une division de CISI. Sous réserve de l’obtention des approbations réglementaires, la transaction devrait être conclue avant la fin de l’année civile. Le produit net de cette transaction ne devrait pas avoir d’incidence importante sur la situation financière de la Banque.

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Un retraité se fait voler 740 000 $ en croyant aider la justice https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/un-retraite-se-fait-voler-740-000-en-croyant-aider-la-justice/ Fri, 23 Aug 2024 11:00:12 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102439 PLANÈTE FINANCE – Victime d’une arnaque sur Internet.

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L’automne dernier, Barry Heitin, avocat à la retraite de 76 ans résidant à Arlington, en Virginie, a vu disparaître presque 740 000 dollars de ses économies dans une arnaque en ligne sophistiquée. Pendant près de trois mois, il a cru aider les autorités à protéger ses fonds et à capturer des voleurs. En réalité, il participait involontairement au pillage de ses propres comptes bancaires, selon un article du New York Times.

Les cybercriminels visent de plus en plus souvent les Américains de plus de 60 ans, attirés par leurs comptes de retraite bien garnis, signale le média. Leurs techniques se raffinent. Ils sévissent sur les sites de rencontre, les réseaux sociaux, les applications de messagerie ou par le biais de logiciels malveillants. Une fois l’arnaque réalisée, il est quasiment impossible pour les victimes de récupérer l’argent disparu, car les fonds sont souvent transférés à l’étranger ou blanchis via des portefeuilles de cryptomonnaies.

Les arnaques sont dignes de scénarios de film, selon l’auteure. Les escrocs se font passer pour des fonctionnaires, des techniciens d’assistance technique ou des prétendants amoureux. Ils enseignent aux victimes comment contourner les mesures de prévention des fraudes des institutions financières, tout en utilisant des tactiques de manipulation psychologique comme l’isolement, le sentiment d’urgence ou l’exploitation de la confiance.

Pris dans une fausse enquête

Les problèmes de Barry Heitin ont commencé en septembre 2023 lorsqu’il n’a pas réussi à se connecter à son compte de retraite. Plus tard, quand il a essayé de nouveau, un message à l’écran l’a invité à appeler un numéro, censé être celui du service antifraude de son fournisseur.

Il a alors été mis en contact avec une personne prétendant être un agent d’enquête sur la fraude. Celle-ci l’a informé que quelqu’un tentait d’accéder à son compte et l’a dirigé vers un complice se faisant passer pour un employé de la banque où il détenait ses comptes.

Cet individu lui a dit que deux transactions de 10 000 $ avaient été effectuées sur ses comptes pour l’achat d’images d’abus sexuels sur des enfants via un site en Chine. Il a convaincu le retraité qu’il pouvait aider à arrêter un réseau de criminels tout en protégeant ses économies, à condition d’agir rapidement. Le retraité, pensant faire le bon choix, a donné aux escrocs l’accès à son ordinateur, leur permettant ainsi de vider progressivement ses comptes bancaires.

Le déclin de ses économies

Après avoir retiré 113 000 $ de ses comptes courants et d’épargne, Barry Heitin a été incité à transférer ses économies dans des comptes où il pourrait, soi-disant, plus facilement effectuer des transactions. Pour retirer des fonds de son compte de pension et de son compte de courtage, il a prétexté l’achat d’une propriété au Canada pour ses enfants. Cependant, son conseiller, suspectant une fraude, a contacté la banque, qui a confirmé qu’aucune transaction immobilière n’avait été effectuée. Sous la pression des escrocs, le retraité a alors prétendu avoir besoin de cet argent pour acheter de l’or, mais la banque, flairant une arnaque, a refusé de lui remettre les fonds.

Finalement, il a transféré son compte de retraite vers une institution financière moins vigilante. En moins de deux semaines, il a retiré 834 000 $ et transféré l’argent dans divers comptes bancaires. Selon Robert Rabinowitz, l’avocat de la victime, cette activité aurait dû alerter la banque, car elle présente les signes classiques d’un potentiel blanchiment d’argent.

Le cauchemar du retraité a duré trois mois. Finalement, en novembre, des agents du FBI l’ont informé qu’il était l’une des sept victimes d’une arnaque basée en Inde. En plus de la perte de ses économies, le retraité floué doit aussi payer une facture de près de 285 000 $ en impôts sur les retraits effectués de ses comptes de retraite.

Aujourd’hui, Barry Heitin reconnaît qu’il aurait dû agir autrement. Avec le soutien de sa famille, il tente de tourner la page et de récupérer une partie de l’argent perdu de sa retraite.

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BNP Paribas sur le point d’acquérir AXA Investment Managers https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/bnp-paribas-sur-le-point-dacquerir-axa-investment-managers/ Fri, 16 Aug 2024 12:06:17 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102299 La première banque de l’Union européenne est engagée en négociations exclusives avec AXA en vue de cette acquisition.

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Le Groupe BNP Paribas prévoit d’acquérir 100 % d’AXA Investment Managers (AXA IM). La transaction est évaluée à 5,1 milliards d’euros (7,7 milliards de dollars canadiens), soit un multiple de 15 fois les bénéfices de 2023. Elle devrait être complétée à l’été 2025.

Selon les termes de l’opération envisagée, AXA et BNP Paribas concluraient également un partenariat stratégique à long terme dans le cadre duquel BNP Paribas fournirait des services de gestion d’investissements à AXA.

Le rapprochement d’AXA Investment Managers et de BNP Paribas, qui prévoit de déléguer la gestion des actifs d’assurance et d’épargne de sa division d’assurance, BNP Paribas Cardif, à la nouvelle plateforme une fois l’acquisition complétée, donnerait naissance à un gestionnaire d’actifs européen de premier plan, avec un total d’actifs sous gestion de 1,5 trillion d’euros.

« Ce projet positionnerait le Groupe BNP Paribas comme un acteur européen leader de la gestion d’actifs de long terme. Bénéficiant ainsi de la taille critique tant dans les actifs cotés que privés, il servirait d’autant plus efficacement ses clients assureurs, fonds de pension, réseaux bancaires et distributeurs. Le partenariat stratégique noué avec AXA, pierre angulaire de ce projet, confirmerait la capacité de nos deux groupes à unir leurs forces. Ce projet majeur, générateur de croissance dans la durée, constituerait un axe puissant de développement pour notre Groupe. », a déclaré Jean-Laurent Bonnafé, Administrateur, Directeur général, BNP Paribas.

Du côté d’AXA, on indique que l’intention de se retirer de l’activité de gestion d’actifs souligne encore la stratégie du Groupe visant à simplifier son modèle d’affaires et à se concentrer sur ses activités d’assurance principales.

« La cession d’AXA Investment Managers concrétise la réussite d’une activité créée et développée au sein du Groupe AXA. Au cours des 25 dernières années, nous avons construit une plateforme exceptionnelle, synonyme aujourd’hui d’une expertise reconnue en matière d’investissement, d’une attention permanente aux besoins des clients et d’une performance établie en matière de développement durable. Grâce à la qualité du travail de ses équipes, AXA IM est aujourd’hui un acteur clef du secteur, et le numéro 1 en Europe sur les placements ‘Alternatifs’ » a déclaré Thomas Buberl, Directeur général d’AXA dans un communiqué.

« En combinant nos forces à celles de BNP Paribas, AXA Investment Managers deviendrait un gestionnaire d’actifs de taille mondiale, avec une plus forte présence globale et une plus large gamme de services, et un objectif commun de renforcer leur position de leader dans l’investissement responsable. Je voudrais remercier tous les collaborateurs d’AXA IM pour leur engagement permanent et leur volonté constante de créer de la valeur pour nos clients », a ajouté le dirigeant.

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