cannabis – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Mon, 14 Oct 2019 20:23:42 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png cannabis – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Neptune Wellness Solutions crée un poste de chef du développement https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/neptune-wellness-solutions-cree-un-poste-de-chef-du-developpement/ Thu, 16 May 2019 12:36:23 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=58550 NOUVELLES DU MONDE – En tant que nouveau chef du développement, Martin Landry chapeaute dorénavant l’élaboration et la mise en pratique de la stratégie de développement corporatif de Neptune Wellness Solutions (Neptune).

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Neptune a créé le poste de chef du développement « afin de propulser la société dans sa nouvelle trajectoire de croissance ». Pour cette fonction, la société spécialisée dans l’extraction, la purification et la formulation de produits de santé et de bien-être a nommé Martin Landry, qui cumule 20 années d’expérience dans les marchés des capitaux et la comptabilité.

« Nous sommes extrêmement heureux que Martin se joigne à notre équipe dans ce nouveau poste de chef du développement et de la stratégie d’entreprise. Cette nomination reflète notre engagement absolu à former la meilleure équipe en vue de réaliser les initiatives corporatives stratégiques de la Société. En tant que professionnel de confiance aux vastes connaissances tant de l’industrie du cannabis que des biens de consommation, Martin jouera un rôle essentiel dans le développement et la mise en œuvre de la stratégie de Neptune visant à réaliser l’ambition de croissance de la Société », a déclaré Jim Hamilton, président et chef de la direction de Neptune.

Avant de travailler pour Neptune, Martin Landry occupait les fonctions de directeur général de la recherche sur les actions chez GMP Securities. Dans le cadre de ce poste, il a développé un vaste réseau au sein de l’industrie du cannabis et s’est classé au premier rang des analystes en actions canadiennes pour la recherche sur les petites capitalisations et les situations spéciales en 2017 et 2018.

« Je me joins à Neptune à un moment excitant pour contribuer au développement et à la mise en œuvre des priorités stratégiques de la Société. Aussi, j’ai très hâte de faire partie d’une équipe de direction qui se consacrera à la croissance de l’entreprise dans le marché mondial, et à tirer davantage parti des progrès remarquables déjà accomplis par Neptune dans le secteur des biens de consommation de santé et de bien-être », a souligné Martin Landry.

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Marché des PAPE au premier semestre : lenteur et constance https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/marche-des-pape-au-premier-semestre-lenteur-et-constance/ Tue, 03 Jul 2018 13:49:43 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=49378 Le marché des premiers appels publics à l'épargne (PAPE) au Canada a franchi la première moitié de 2018 avec des nouveaux capitaux mobilisés légèrement supérieurs à 1 milliards de dollars (G$), dans un marché lent mais constant, selon l'étude de PwC Canada sur le marché canadien des PAPE, publiée mardi.

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Onze nouvelles émissions sur l’ensemble des bourses ont permis de mobiliser 956 M$ au deuxième trimestre, dont quatre émissions à la TSX totalisant 948 M$, ce qui représente la part du lion des produits. Le plus important PAPE du trimestre, de 462 M$, était la double inscription de Ceridian HCM Holdings Inc. à la Bourse de New York et à la TSX.

Cette émission a porté les résultats du premier semestre sur toutes les bourses à 20 émissions, ce qui représente une valeur de 1.1 G$ pour la période. À la période correspondante de 2017, 16 émissions avaient généré 2,9 G$.

« Ce fut un trimestre lent mais constant assez typique du marché traditionnel des PAPE, explique Dean Braunsteiner, leader national du groupe PAPE de PwC Canada. Le comparer à l’exercice précédent est quelque peu injuste, puisque la très importante émission de Kinder Morgan a été réalisée à la période correspondante de 2017. »

Le trimestre s’est distingué par la présence d’émissions dans les secteurs de l’immobilier et du cannabis récréatif, explique Dean Braunsteiner, de même que par l’arrivée d’une société aurifère faisant ses débuts à la TSX. Des émissions fructueuses par de petites sociétés minières ont également fait leur apparition à la CSE et aux bourses de croissance.

L’incertitude généralisée du marché rend les prédictions pour la suite de 2018 difficiles, estime Dean Braunsteiner. « Si on se fie aux émissions à surveiller en ce moment, le marché des PAPE demeurera très traditionnel, avec de bonnes sociétés de taille moyenne dans la fourchette de 75 M$ à 150 M$ ».

« Mais bon nombre de sociétés ont actuellement une approche à deux volets : elles visent d’abord un PAPE, mais laissent la porte ouverte pour une acquisition privée. Compte tenu de la grande incertitude entourant l’ALENA et les échanges commerciaux en général, elles veulent avoir la souplesse de choisir une deuxième option. Le regroupement d’entreprises du secteur du cannabis récréatif est symptomatique de la situation : les sociétés semblent se diriger vers une entrée en bourse, mais sont acquises par des concurrents avant même de commencer leurs activités », ajoute-t-il.

Neuf nouvelles émissions à la CSE ont généré 10 M$ en financement au premier semestre de 2018, tandis que la bourse de croissance comptait cinq nouvelles émissions d’une valeur de 4 M$ pour la période.

PwC Canada effectue une étude du marché des PAPE au Canada depuis plus de 15 ans. Pour cette étude, les véhicules de placement tels que les produits structurés ne sont pas inclus dans les résultats globaux du sondage puisqu’ils ne représentent pas de nouveaux capitaux mobilisés pour des sociétés en exploitation. Les nouvelles émissions de sociétés qui sont créées à la suite d’une prise de contrôle inversée d’une société ouverte existante sont aussi exclues de l’étude.

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Trois FNB du cannabis lancés en deux semaines https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/trois-fnb-du-cannabis-lances-en-deux-semaines/ Mon, 23 Apr 2018 14:07:38 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=47424 Entre le 1er et le 14 février derniers, trois fonds négociés en Bourse (FNB) consacrés au marché de la marijuana ont vu le jour au Canada. C’est le reflet d’un marché du «pot» devenu très «hot» grâce à la légalisation de l’usage récréatif du cannabis prévue pour septembre.

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Le premier, le Marijuana Opportunities Fund (MJJ) a été lancé par Redwood Asset Management le 1er février dernier. Il a été suivi, le 12 février, par l’Evolve Marijuana ETF (SEED), de Evolve Funds Group. Puis, le 14 février, Horizons Fonds négociés en Bourse y est allé de son Indice de producteurs émergents de marijuana (HMJR), le deuxième FNB lancé par cette société vouée au secteur de la marijuana.

Les deux premiers FNB, qui sont activement gérés, intègrent chacun une quinzaine de titres et réclament un frais de gestion de 0,75%. Celui de Horizons, pourtant passif puisqu’il suit l’indice du même nom, est composé de 26 titres de petite capitalisation et affiche un frais supérieur : 0,85%.

Depuis la légalisation au Canada de la marijuana pour usage médical en 2000, le marché n’a cru que modestement. Cependant, la légalisation prévue active les choses. «Tout se précipite et change rapidement avec le Canada, premier pays du G20 à légiférer, et le deuxième dans le monde après l’Uruguay, qui l’a fait il y a deux ans», lance Gregory Taylor, gestionnaire du FNB de Redwood.

Les projections de ventes balayent large, mais anticipent toutes des hausses substantielles. Gregory Taylor parle d’un marché de 7 ou 8 milliards de dollars (G$) au Canada en 2022, atteignant peut-être 120 G$ mondialement la même année. Raj Lala anticipe une croissance annuelle composée de 60% d’ici 2021. Chez Horizons, on mise plutôt sur un marché mondial de 24,5 G$US en 2021.

Un peu partout dans le monde, les choses bougent également, explique Gregory Taylor. Déjà depuis longtemps en Hollande, l’usage récréatif du cannabis est permis, tandis que l’Allemagne, l’Italie et l’Australie se préparent à légaliser son usage médical.

Au total, une vingtaine de pays considèrent différentes voies de légalisation. C’est sans compter qu’un plus grand nombre de pays a choisi de décriminaliser la marijuana. «De plus, avec l’exemple du Canada, on peut s’attendre à ce que le passage à la légalisation de l’usage récréatif s’accélère», ajoute le gestionnaire.

Tout cela compose un marché international naissant dans lequel les compagnies canadiennes ont pris une longueur d’avance. Par exemple, Canopy Growth Corporation, fondée en 2014, compte des ventes annuelles de 40 M$ et sa capitalisation boursière de 5,2 G$US, selon Marketwatch, «est probablement la plus importante au monde à l’heure actuelle», juge Gregory Taylor.

De plus, Canopy, en même temps que d’autres joueurs comme Aurora Cannabis et Aphria, est en voie d’implanter des surfaces de culture de cannabis en Europe, notamment une installation de 100 000 pieds carrés au Danemark.

Réserve chez les conseillers

Bien qu’ils reflètent un marché en pleine effervescence, les FNB du cannabis n’impressionnent pas les conseillers et gestionnaires à qui nous en avons parlé.

Des ratios cours/bénéfices de 506 pour Aurora et de 83 pour Aphria ne suscitent pas l’enthousiasme de Guillaume Desjardins-Tessier, conseiller associé chez Raymond James.

«On ne se porterait pas vers ce marché à ce moment-ci; c’est allé trop fort, trop vite, commente-t-il. L’évaluation des titres de compagnies est très forte quand on considère les ventes futures qu’on leur attribue.»

Sans tomber dans des pâmoisons psychédéliques, ce gestionnaire n’est pas sans trouver un attrait à ces FNB, notamment qu’ils permettent de diffuser le risque sur plusieurs titres. «Pour un secteur aussi risqué, c’est un avantage intéressant», note-t-il.

Cela dit, il n’écarte pas totalement l’idée : «On espère trouver un moment de repli qui nous offrirait un point d’entrée intéressant. Va-t-il se présenter? On ne sait pas. Si ce n’est pas le cas, on a bien d’autres opportunités qu’on peut poursuivre ailleurs.»

Pour Peter Guay, gestionnaire de portefeuille chez PWL Capital qui n’investit que dans des FNB, les trois offres présentes ne répondent nullement à ses besoins. «Je cherche une couverture des marchés mondiaux la plus efficace et la moins chère. Investir dans un FNB de marijuana impliquerait un pari dans un secteur très pointu. Je n’ai pas à prendre des paris de ce type dans mes portefeuilles.»

D’autres conseillers opposent au cannabis un refus catégorique. «C’est incroyable qu’on prenne une telle décision comme société de légaliser de la drogue!» s’exclame Sylvain de Champlain, président de De Champlain Groupe financier.

«J’ai vu des gens dans ma famille souffrir de ces produits, dit pour sa part Larry Bathurst, président de Planex Solutions financières. Je n’accepterais pas que de tels titres fassent partie de mes recommandations. Il s’agit de produits spéculatifs dont la valeur morale est questionnable. Si un client insistait pour en acquérir, je lui suggérerais de les acheter séparément via PEAK Transak.»

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