Carry trade – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 28 Aug 2024 11:36:31 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Carry trade – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Les investisseurs doivent se préparer à une nouvelle volatilité des marchés https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-investisseurs-doivent-se-preparer-a-une-nouvelle-volatilite-des-marches/ Wed, 28 Aug 2024 11:36:31 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102518 « La seule certitude est l’incertitude », déclare un gestionnaire de portefeuille.

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Le mois a été mouvementé pour les investisseurs, les marchés ayant atteint des niveaux plancher effrayants avant de récupérer leurs pertes.

« C’est un peu un cliché sur le marché maintenant, mais je pense que la seule certitude est l’incertitude », affirme Nick Mersch, gestionnaire de portefeuille associé chez Purpose Investments à Toronto, lors d’une entrevue.

Au début du mois, un rapport sur la croissance de l’emploi aux États-Unis plus faible que prévu a ravivé les craintes d’un ralentissement soudain de la plus grande économie du monde. Les actions américaines ont alors fortement chuté, les indices S&P 500, Dow Jones et Nasdaq enregistrant le 5 août leur plus forte baisse en une journée depuis environ deux ans.

Dans le même temps, la décision de la Banque du Japon de relever les taux d’intérêt à des niveaux inégalés depuis 15 ans a entraîné un dénouement du « carry trade » du yen, qui consiste pour les investisseurs à emprunter dans des devises à faible taux d’intérêt pour investir dans des actifs à haut rendement. Le 5 août, le Nikkei 225, l’indice de référence du Japon, a ainsi chuté de 12 %, sa pire chute en une journée depuis 1987.

Le lendemain, l’indice composite S&P/TSX a également reculé, rejoignant la déroute des marchés boursiers mondiaux, qui s’est déroulée pendant un jour férié au Canada.

Au cours de cette débandade, l’indice de volatilité Cboe (VIX), la jauge de l’anxiété des investisseurs la plus observée à Wall Street, a enregistré sa plus forte hausse intrajournalière le 5 août, atteignant 65.

« Les événements survenus au cours du mois dernier ont été de véritables montagnes russes », observe Nick Mersch.

Le calme est plus ou moins revenu.

Le VIX s’est rapidement replié après son bond du début du mois d’août ; il a ouvert à 16,25 mercredi. La Banque du Japon a déclaré qu’elle adopterait une approche plus prudente en matière de relèvement des taux d’intérêt après le récent effondrement des marchés mondiaux. De plus, les récentes données économiques américaines ont contribué à renforcer l’optimisme.

Kevin McCreadie, PDG et directeur des investissements de la Société de gestion AGF, estime que le pire de la correction du marché serait derrière nous, étant donné la force du rebond des marchés boursiers américains, mais il prévient qu’il pourrait y avoir des effets persistants.

« Nous pensons qu’un grand nombre des questions qui ont contribué à la chute des cours ne sont toujours pas résolues, malgré les mouvements contraires des marchés boursiers », écrit Kevin McCreadie dans une analyse publiée le 21 août.

Nick Mersch partage le même sentiment. Il cite les données économiques, les décisions des banques centrales en matière de taux d’intérêt, les conflits géopolitiques et le commerce de l’intelligence artificielle « qui gonfle et redescend » parmi les facteurs qui créent un environnement macroéconomique incertain.

« Attendez-vous à beaucoup de volatilité au cours des prochains mois », prévient Nick Mersch.

Face à cette volatilité, Nick Mersch encourage la révision des portefeuilles.

« Il est très important pour de nombreux investisseurs, lors de ces périodes, de prendre du recul, de vérifier leurs notes, leur thèse, les fondamentaux de ces entreprises », soutient-il.

« L’un des moyens de se rassurer est de vérifier à nouveau sa thèse et de se demander si les tendances fondamentales de la croissance sont en sa faveur. »

Les investisseurs doivent également être conscients du niveau de risque qu’ils sont prêts à prendre, affirme Nick Mersch.

« Supposons que vous souhaitiez prendre neuf unités de risque — vous voulez être en quelque sorte à 90 % en position longue dans votre portefeuille. Et quand il y a des périodes où certains de ces multiples semblent un peu étirés […] vous pourriez vouloir retourner à la planche à dessin pour réduire le risque dans ces positions », déclare-t-il.

Nick Mersch conseille également de considérer les « secteurs mal-aimés du marché » en période de volatilité, tels que les services publics, l’immobilier et les sociétés de placement immobilier, qui ont été affectés par la hausse des taux d’intérêt, mais qui connaîtront probablement une croissance dans la période de baisse des taux à venir, ainsi que les actions de petite capitalisation.

« Retournez dans certains de ces secteurs peu aimés et sous appréciés du marché. Voyez si vous pouvez y trouver de la valeur », propose l’expert.

Et lorsque l’on assiste à une capitulation massive et à un effondrement des actions des grandes capitalisations, telles que les principaux acteurs de l’IA, Nick Mersch affirme qu’« il est peut-être temps de revenir à ses fondamentaux et de chercher un point d’entrée ».

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La volatilité des marchés rappelle la nécessité de préparer les portefeuilles https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-volatilite-des-marches-rappelle-la-necessite-de-preparer-les-portefeuilles/ Tue, 13 Aug 2024 10:52:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102158 Le rééquilibrage et des projections réalistes sont essentiels.

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Bien que les marchés boursiers se soient pour la plupart stabilisés mardi après une chute de trois jours, les professionnels de l’investissement estiment que la déroute mondiale souligne l’importance de se préparer à la volatilité.

« N’essayez pas de prédire l’évolution du marché, mais mettez en place une stratégie et préparez-vous à l’exécuter lorsque de tels événements se produisent », recommande Ashish Utarid, vice-président adjoint de la stratégie d’investissement chez IG Gestion de patrimoine à Edmonton, lors d’un entretien accordé mardi après-midi à Avdisor’s Edge.

Voici un aperçu de ce qui s’est passé au cours des derniers jours, de ce que cela pourrait signifier et de la façon dont les investisseurs devraient réagir.

Comment nous en sommes arrivés là

Le calme est revenu mardi, les actions américaines et japonaises ayant récupéré une grande partie de leurs pertes. Parallèlement, l’indice composite S&P/TSX était en baisse de 1,12 % à la clôture du marché mardi, dans le sillage de la déroute boursière mondiale de lundi, qui s’est déroulée pendant un jour férié au Canada.

L’effondrement du marché « a principalement commencé au Japon et s’est étendu à l’Amérique du Nord au cours des 72 dernières heures », explique Ashish Utarid. Il attribue ce phénomène au carry trade, où les investisseurs empruntent de l’argent sur des marchés à faibles taux d’intérêt, comme le Japon ou la Chine, pour l’investir sur des marchés offrant des taux plus élevés.

« Ainsi, les investisseurs, les fonds spéculatifs, les petits investisseurs empruntaient des yens japonais à un faible taux d’intérêt et les investissaient dans des actifs, des obligations, des actions et d’autres choses qui payaient un taux d’intérêt plus élevé. Cet arbitrage crée donc une opportunité de rendement gratuit, résume Ashish Utarid. Mais il n’y a pas de repas gratuit. »

Mais les choses ont pris un tournant lorsque la Banque du Japon a relevé ses taux d’intérêt la semaine dernière, alors que la faiblesse des données économiques américaines faisait craindre une récession dans la première économie mondiale.

Il a décrit la situation comme une boucle de rétroaction négative : « Vous vendez les actifs, vous payez le prêt, mais vous augmentez la valeur du yen, ce qui fait que votre transaction se renverse très rapidement. »

Selon lui, les marchés se sont retournés dans la nuit de dimanche à lundi. Mardi, un renversement était en cours.

« Cela ne signifie pas que le rebond sera durable. Cela signifie simplement que cette volatilité est normale », souligne Ashish Utarid.

John De Goey, gestionnaire de portefeuille chez Designed Securities à Toronto, affirme ne pas avoir été surpris par l’effondrement du marché.

« Je ne sais pas quel sera le résultat. Personne ne peut prévoir l’avenir avec fiabilité. Mais je pense qu’il y a plus de chances que ce soit le début d’une baisse importante que la plupart des gens du secteur ne sont pas prêts à reconnaître », analyse-t-il, citant les valorisations et les taux d’intérêt élevés, ainsi que des facteurs tels que le changement climatique et la géopolitique.

Répondre de manière responsable

John De Goey et Ashish Utarid estiment tous deux que les investisseurs devaient être prudents face à la volatilité des marchés, mais qu’ils ne devaient pas laisser les émotions ou les changements soudains des marchés faire dérailler leurs plans.

« Nous disons toujours qu’une correction négative de 10 % pourrait correspondre à un mardi normal sur les marchés des actions, commente Ashish Utarid. Il est tout à fait possible que cela se produise en fonction des communiqués économiques ou de la politique gouvernementale [ou] d’une élection. Tout peut influencer le sentiment des investisseurs. »

« Mais ce qui se passe ensuite, c’est la manière dont vous réagissez », précise-t-il.

Ashish Utarid recommande aux investisseurs de remettre leur allocation d’actifs « en ligne » en révisant leurs portefeuilles et en les rééquilibrant si nécessaire. Et bien qu’il puisse être tentant pour les investisseurs qui disposent d’un tas de liquidités de sauter sur une opportunité de baisse du marché, il est important de faire une pause et de réfléchir à la stratégie.

« Il n’est pas nécessaire de se précipiter sur le marché. Vous pouvez échelonner vos investissements dans le temps, comme tout investisseur discipliné, rappelle Ashish Utarid. Nous croyons qu’il faut s’en tenir à ce plan financier et ne pas réagir à chaud lorsque les marchés sont volatils. »

John De Goey pense que la déroute mondiale ne devrait pas susciter de réactions majeures de la part des investisseurs. Ils devraient plutôt s’assurer qu’ils restent cohérents avec leur plan d’investissement et leur déclaration de politique d’investissement.

« Ils ne devraient pas réagir, car ce que nous avons vu jusqu’à présent est tout à fait conforme au comportement normal des marchés, résume-t-il. Il n’y a rien de particulièrement remarquable. »

Vérifier l’optimisme

Bien que les marchés semblent reprendre leurs positions, les investisseurs ne doivent pas tomber dans le piège de l’optimisme, avertit John De Goey.

« Il n’y a rien de mal à être confiant, mais il y a des problèmes à être trop confiant », continue-t-il.

Pour obtenir des projections d’investissement réalistes, John De Goey se réfère aux lignes directrices de FP Canada en matière d’hypothèses de projection et tient compte des frais de conseil et de gestion de portefeuille pour obtenir des rendements prévisionnels.

Ashish Utarid souligne que sa société s’appuie sur une « tonne de données macroéconomiques » pour établir ses perspectives.

« Notre équipe surveille la situation macroéconomique et formule ensuite des recommandations sur l’allocation d’actifs d’un point de vue géographique. Nous laissons la sélection des titres à nos sous-conseillers et aux experts sur le terrain. »

En outre, « nous avons nos modèles qui examinent les quatre ou cinq résultats différents qui pourraient se produire — les choses restent les mêmes, ou il y a un scénario haussier ou un scénario baissier », dit Ashish Utarid. « À partir de là, nous avons des fourchettes. »

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Ce qui se serait passé lundi sur les marchés https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/ce-qui-se-serait-passe-lundi-sur-les-marches/ Thu, 08 Aug 2024 15:56:46 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102181 Les carry trades sont probablement en cause, selon un analyste.

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Alors que la plupart se demandent encore ce qui s’est passé ce jour-là, Craig Basinger, stratège en chef des marchés chez Purpose Investments, s’est penché sur la question.

Selon lui, la volatilité qui a entraîné la chute des marchés d’actions lundi dernier ressemble à un dénouement très rapide de carry trade, appelé en français une opération spéculative sur écart de rendement, une stratégie très populaire.

Qu’est-ce qu’un carry trade ?

Un carry trade, explique-t-il, consiste à emprunter dans un pays où les taux d’intérêt sont bas pour l’investir dans un pays offrant des rendements plus élevés.

Ainsi, un investisseur pourrait vendre à découvert une obligation japonaise, convertir ses yens en dollars américains, puis utiliser ces dollars pour acheter des obligations du Trésor américain ou des actions américaines.

Cette stratégie peut contribuer à affaiblir la valeur du yen tout en renforçant celle du dollar américain et des actifs financiers américains offrant des rendements plus élevés, comme l’explique Craig Basinger.

Lorsque les taux d’intérêt ont augmenté dans la plupart des juridictions à partir de 2022, y compris aux États-Unis, et que les taux d’intérêt sont restés bas au Japon, la stratégie du carry trade était lancée ! Les investisseurs ont alors emprunté au Japon à des taux très bas pour investir aux États-Unis, que ce soit dans des bons du Trésor ou sur le marché boursier américain.

Lorsque le carry trade est défait, le processus inverse se produit : l’investisseur vend les titres américains à rendement élevé, convertit les dollars en yens, et rachète les obligations japonaises précédemment vendues à découvert. Cette série de transactions entraîne une appréciation du yen, une dépréciation du dollar, et une baisse des titres générateurs de rendements élevés.

Que s’est-il passé ?

Ces transactions seraient l’une des causes de la chute des marchés lundi. L’auteur de la note estime que certains indices laissent croire qu’un grand nombre d’investisseurs ont probablement voulu inverser un carry trade au même moment.

Un carry trade est en fait prendre une position vendeur sur le yen. Le yen est resté relativement stable, à 110 yens pour un dollar, pendant des années, jusqu’à ce que la Réserve fédérale (Fed) commence à relever ses taux, tandis que la Banque du Japon maintenait les siens autour de zéro.

Le yen a ensuite continué de se déprécier, passant de 110 yens pour un dollar en mars 2022 à 160 yens pour un dollar en juillet dernier.

Craig Basinger considère cela comme une dévaluation significative d’une monnaie majeure sur une période relativement courte.

Pour ceux qui ont utilisé le carry trade, cette situation a augmenté la rentabilité. En empruntant en yens, dont la valeur était en baisse, les investisseurs pouvaient réaliser des gains plus importants sur le différentiel de rendement et sur la devise elle-même, rendant la stratégie encore plus lucrative.

Maintenant, il semble qu’il y ait eu une bousculade vers la sortie, observe-t-il.

Au cours des deux dernières semaines, le yen est passé de 162 à 144 yens pour un dollar, les plus fortes hausses quotidiennes ayant été enregistrées lors des dernières séances.

Personne ne semble avoir une idée de ce qui a déclenché cette appréciation apparente, si ce n’est peut-être la faiblesse des données économiques américaines qui a augmenté les attentes de réduction des taux de la part de la Fed. Ainsi, la rentabilité du carry trade commencerait à diminuer.

Pourquoi s’agit-il d’un dénouement rapide des positions de carry trade ?

Pour Craig Basinger, trois indices laissent croire qu’il s’agit d’un dénouement rapide de carry trade :

  1. Le yen s’est beaucoup apprécié, très rapidement, sans véritable raison économique.
  2. Le dollar américain était en baisse le lundi 5 août. On pourrait penser qu’au cours d’une telle journée d’aversion au risque, le dollar américain, souvent considéré comme une monnaie refuge, aurait augmenté. Ce n’est pas le cas, car les gens vendaient des dollars américains pour couvrir leurs positions vendeurs sur le yen.
  3. La semaine dernière, avec des données économiques plus faibles, les rendements obligataires américains ont continué de baisser. Lors d’une grosse journée d’aversion au risque comme le 5 août, on pourrait penser que les rendements vont baisser… ce qui n’est pas le cas. En fait, les rendements les plus courts ont augmenté. Le dénouement des positions longues de leur carry trade ont amené les gens à vendre des bons du Trésor.

Si d’autres éléments peuvent aussi entrer en ligne de compte, la question la plus importante, selon le stratège en chef des marchés chez Purpose Investments, n’est pas vraiment de savoir pourquoi cela s’est produit, mais bien de savoir ce qui se passera ensuite.

À quoi s’attendre ?

Les grands mouvements de marché comme celui-ci exposent souvent ceux qui ont trop d’effet de levier. Et il est difficile de déterminer quelle a été l’ampleur du carry trade. Certains estiment qu’il est à moitié dénoué, mais c’est vraiment difficile à dire, pense Craig Basinger.

La bonne nouvelle, d’après lui, c’est qu’à moins que ce « carrymageddon » ne se propage pour causer d’autres dommages ou saigne l’économie réelle, cela pourrait s’avérer être une occasion d’achat.

Si tout le monde est devenu plus conscient que la croissance économique du début de 2024 a ralenti, il semble trop tôt pour s’inquiéter au sujet d’une éventuelle récession.

« Nos indicateurs de cycle de marché ont légèrement baissé, mais ils restent corrects », écrit-il.

Si l’économie continue de croître, même à un rythme plus lent, une correction peut représenter une opportunité intéressante. Cependant, il est crucial de choisir le bon moment pour en profiter, et les données disponibles à cet égard sont plutôt partagées.

Deux indicateurs fiables ont signalé des opportunités d’achat lundi : le pic de l’indice de volatilité VIX et le fait que l’indice de force relative (RSI) du S&P 500 ait franchi la barre des 30.

Au cours des 30 dernières années, observe-t-il, cette combinaison a constitué un signal très fiable, la plus grande exception étant en 2008.

Donc, à moins de penser que le système financier est au bord de l’effondrement, ce signal de lundi semble encourageant, fait valoir l’analyste.

La voie de la prudence

Pour le stratège en chef des marchés chez Purpose Investments, la diversification et les portefeuilles bien construits demeurent la voie à suivre, la prudence s’imposant.

Selon lui, la volatilité des marchés au second semestre de 2024 s’avérera beaucoup plus difficile qu’au premier semestre.

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