conseil d’administration – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 15 Nov 2024 11:27:02 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png conseil d’administration – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 La représentation féminine progresse chez les émetteurs https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/la-representation-feminine-progresse-chez-les-emetteurs/ Fri, 15 Nov 2024 11:27:02 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103872 Elle évolue moins vite dans les équipes de haute direction.

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La présence des femmes dans les conseils d’administration et à des postes de haute direction progresse chez les émetteurs, selon les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM). Les résultats de leur dixième examen annuel montrent une augmentation de la représentation féminine dans les instances décisionnelles de 574 émetteurs enregistrés à la Bourse de Toronto.

Dans cet exercice, les ACVM de 11 provinces et territoires ont recueilli des données sur la gouvernance des émetteurs, notamment sur la proportion de femmes aux postes décisionnels, les cibles de représentation féminine, la durée des mandats au conseil et les politiques de renouvellement. Les entreprises devaient également préciser si elles possèdent une politique écrite pour la recherche et la sélection de candidates.

Des progrès au sein des CA

D’après les ACVM, le pourcentage d’entreprises accueillant des femmes au sein de leur conseil d’administration (CA) est passé de 11 % à 29 % en dix ans. Aujourd’hui, 90 % des émetteurs ont au moins une femme dans leur CA, contre moins de la moitié il y a dix ans. De plus, 42 % des conseils comptent désormais trois femmes ou plus, une progression de 6 points en un an. Cependant, les femmes continuent d’être sous-représentées à la présidence des conseils, avec seulement 8 % des CA dirigés par une femme, un chiffre qui n’a pas évolué depuis l’an dernier.

Malgré cette progression, la proportion de postes d’administrateurs vacants pourvus par des femmes a reculé, passant de 43 % l’an dernier à 37 % en 2024.

La capitalisation boursière des entreprises influence aussi la représentation féminine : 31 % des entreprises dont la capitalisation est inférieure à 1 milliard de dollars (G$) comptent des femmes au CA, contre 36 % pour celles valorisées à plus de 10 G$.

Avancée plus lente à la haute direction

La progression des femmes à la haute direction des émetteurs reste plus timide. En 2024, 72 % des entreprises comptent au moins une femme à un poste de haute direction, en hausse par rapport à 60 % il y a dix ans, mais cette évolution est limitée à un point par an depuis deux ans. Par ailleurs, seuls 5 % des entreprises ont une présidente-directrice générale, et 16 % une cheffe des finances.

La majorité des émetteurs déclarent avoir adopté une politique sur la représentation féminine. Cependant, moins de la moitié d’entre eux se sont fixé une cible à atteindre.

La répartition des femmes aux postes de direction varie selon le secteur d’activité. Les services publics, l’immobilier et le secteur manufacturier comptent le plus grand nombre de femmes au sein des conseils d’administration. La biotechnologie, les mines et les services financiers affichent un retard.

On retrouve plus de femmes à la haute direction dans le commerce de détail, les services publics, l’immobilier et le manufacturier. Les secteurs des mines, de la biotechnologie, du pétrole et du gaz et de la technologie présentent le plus faible taux de représentation féminine. Les services financiers se situent dans la moyenne, avec 73 % des émetteurs ayant au moins une femme au CA et 64 % dans des postes de haute direction.

Nouvelle approche de la diversité

Par ailleurs, le rapport montre que les émetteurs ayant instauré une cible de représentation féminine, une politique écrite ou des durées limitées de mandat pour leurs administrateurs enregistrent un taux plus élevé de présence féminine dans leurs conseils.

Stan Magidson, président des ACVM et président-directeur général de l’Alberta Securities Commission, a annoncé que cet examen pourrait être le dernier sous cette forme, les ACVM envisageant de réviser les obligations d’information des émetteurs sur la diversité.

« Nous continuons de tendre vers un régime d’information harmonisé à l’échelle pancanadienne qui englobera plusieurs aspects de la diversité au-delà de la représentation féminine », a-t-il précisé. Une consultation sur ce sujet a eu lieu en avril 2023.

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Nouvel administrateur au CA de la Banque Laurentienne https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nouvel-administrateur-au-ca-de-la-banque-laurentienne/ Wed, 13 Nov 2024 12:01:44 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103900 NOUVELLES DU MONDE — Robert Ouellette intègre ce dernier à titre d’administrateur indépendant.

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Robert Ouellette a été nommé à titre de nouvel administrateur indépendant du conseil d’administration (CA) de la Banque Laurentienne du Canada le 1er novembre dernier. Cette nomination s’inscrit dans le désir du CA d’améliorer son efficacité globale.

Tout au long de ses 35 ans de carrière, Robert Ouellette a occupé plusieurs postes de haute direction dans les domaines des services financiers, de l’ingénierie, des services professionnels et de la technologie.

Ingénieur de formation et consultant expérimenté en gestion, spécialisé en technologie de l’information, gestion des risques, conformité et contrôles, il est un atout précieux au sein du Comité des technologies de l’information de la Banque.

Il est membre du conseil d’administration de Promutuel Assurance et du conseil consultatif de Valital Technologies.

« Nous sommes ravis d’accueillir M. Ouellette au conseil d’administration de la Banque, assure Michael Boychuk, président du conseil d’administration de la Banque Laurentienne. L’étendue et la profondeur de son expérience en technologie de l’information et en gestion des risques seront essentielles à la Banque, alors que nous continuons d’investir dans le développement de notre infrastructure technologique pour améliorer l’efficacité et l’expérience client. »

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Nominations au CA de BMO https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nomination-au-ca-de-bmo/ Wed, 06 Nov 2024 12:15:16 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103818 NOUVELLES DU MONDE – Le conseil d’administration accueille deux nouveaux membres.

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Diane Cooper et Brian McManus siégeront désormais au conseil d’administration (CA) de la Banque de Montréal (BMO).

« Nous sommes heureux d’accueillir Diane et Brian au sein du conseil d’administration, assure George Cope, président du CA. Ils apportent chacun des compétences et une expérience significatives et constitueront un complément précieux à notre conseil. »

Diplômée d’un baccalauréat et d’une maîtrise en administration des affaires de l’Université Baker, Diane Cooper a occupé divers postes de direction dans les domaines du financement des franchises, de l’immobilier et du crédit à la consommation au sein de GE Capital. Elle a notamment été présidente et directrice générale des activités de distribution commerciale de cette firme et y a également supervisé les départements de financement des équipements et de financement des franchises.

Actuellement, elle est présidente du comité de surveillance des risques et des capitaux de BMO Financial Corp, la filiale américaine de BMO. Elle est aussi membre du conseil d’administration de BMO Bank N. A. et présidente du comité des risques de StoneX Group.

De son côté, Brian McManus détient un baccalauréat en administration des affaires de l’Université McGill ainsi qu’une maîtrise en administration des affaires de l’Ivey School of Business de l’Université Western Ontario. Actuellement, il est chef de la direction de Polycor, un leader mondial dans l’industrie de la pierre naturelle en plus d’être membre du CA et président du comité de vérification de Metro. Avant d’occuper son poste actuel, il était directeur général et chef de la direction d’Uni-Select, après avoir dirigé Stella-Jones pendant plusieurs années.

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Le mentorat comme moteur de réussite pour les dirigeantes https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/le-mentorat-comme-moteur-de-reussite-pour-les-dirigeantes/ Thu, 08 Aug 2024 09:58:47 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102037 DÉVELOPPEMENT - Il fait souvent la différence dans l’atteinte des résultats.

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Le mentorat joue un rôle essentiel dans le développement professionnel des femmes qui sont de plus en plus nombreuses à accéder à des postes de direction. Ce soutien entre pairs contribue de manière significative à renforcer leurs compétences et leurs habiletés, grâce au partage d’expériences concrètes et aux conseils pratiques. Il aide également à surmonter les obstacles spécifiques auxquels elles peuvent être confrontées dans des environnements qui restent majoritairement masculins.

« C’est un engagement de temps et d’énergie pour aider une autre personne à façonner sa pensée et ses compétences, tout en la soutenant à chaque étape de son parcours », explique Alison McGill, productrice de balado et créatrice de contenus basée à Toronto, dans un article publié sur le site Notable Life.

Shannon Giang, fondatrice de FIKA Beauty, reconnait également l’impact du mentorat, qui « crée une communauté solide et un réseau de soutien, essentiels dans les périodes de stress ou d’incertitude ». Il fournit un endroit pour « reprendre votre souffle, échanger des idées et repartir en étant inspirée à nouveau », ajoute-t-elle.

L’impact du mentorat féminin se fait sentir tout au long de la carrière. Il favorise la rétention dès l’embauche à un nouveau poste et aide à gravir les échelons. Ses bénéfices ne se limitent pas aux individus. Les organisations qui favorisent la diversité et l’inclusion par le biais de programmes de mentorat enregistrent de meilleures performances. En créant un environnement plus inclusif, elles favorisent l’innovation et la croissance.

Pamela Steer, présidente et chef de la direction de CPA Canada, défend vigoureusement une augmentation de la présence féminine dans les postes de direction, arguant que la société dans son ensemble y gagnerait. Dans un article publié sur cpacanada.ca, elle déplore qu’il y ait encore plus d’hommes que de femmes à la tête des grandes entreprises.

Un déséquilibre qui perdure

En effet, malgré les avancées, le déséquilibre entre les sexes dans les postes de direction persiste, selon Julie Savard-Shaw, directrice générale du Projet Prospérité. L’organisme en faveur de la promotion économique des femmes a publié en début d’année son Rapport annuel 2024 sur le rendement en matière d’équité des genres et de leadership.

Les données indiquent certaines améliorations, mais le Canada est encore loin d’atteindre la parité des genres dans les postes de direction, en particulier pour les femmes appartenant à des groupes minoritaires.

Parmi les administrateurs de sociétés, la représentation des femmes est en hausse de 2,9 %, de 5,5 % à la haute direction et de 1,2 % chez les candidates à des postes de cadre supérieur. Le rapport s’appuie sur les données transmises par de grandes sociétés publiques au Canada, des sociétés privées, des sociétés d’État fédérales et provinciales, des coopératives et des filiales canadiennes de sociétés étrangères.

Finance et assurance : les femmes mieux représentées

Peu de secteurs dépassent 40 % de représentation féminine à tous les niveaux de leadership. Toutefois, le secteur de la finance et de l’assurance se démarque en ce qui concerne les candidates à des postes supérieurs (45,4 %).

Une donnée qui rejoint les résultats d’une première étude sur la diversité du secteur de la finance et de l’assurance menée par Finance Montréal en collaboration avec Mercer et Conseil emploi métropole. Publiée en novembre 2023, elle révèle que, dans l’ensemble des postes, les femmes (45 %) sont pratiquement à parité avec les hommes (55 %) dans l’industrie. La proportion est moins équitable chez les gestionnaires et les cadres supérieurs (39 % et 24 % de femmes respectivement).

Ces résultats laissent voir que l’accès à des postes de responsabilités et de rémunération élevées reste un défi pour les femmes.

Pour améliorer la situation, Pamela Steer insiste sur la nécessité de passer de l’égalité des chances à l’équité, qui implique de fournir à chacun les moyens d’atteindre des résultats égaux en valorisant ses talents uniques. En ce sens, les programmes de mentorat sont de bons outils à mettre en place.

Les entreprises de la finance et de l’assurance semblent avoir pris le pas. Parmi les entreprises participantes à l’étude sur la diversité de Mercer, 40 % ont indiqué avoir mis en place un programme officiel de mentorat dans le cadre de leur politique liée à la diversité, l’équité et l’inclusion (DÉI).

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Mandats prolongés au c.a. de la Banque du Canada https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/mandats-prolonges-au-c-a-de-la-banque-du-canada/ Fri, 26 Jul 2024 11:36:53 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101940 NOUVELLES DU MONDE – Trois administrateurs sont visés par cette annonce.

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L’honorable Chrystia Freeland, vice-première ministre et ministre des Finances, a annoncé la prolongation des mandats de David Dominy, Raymond E. Ivany et Mariette Mulaire au conseil d’administration de la Banque du Canada.  Cette prolongation se poursuivra jusqu’au 28 février 2027.

David Dominy a été nommé membre du Conseil d’administration de la Banque du Canada en janvier 2023. Il compte plus de 25 années d’expérience comme chef de la direction, plus récemment – de 2014 à 2022 – au sein de la plus grande entreprise de services monétaires au pays appartenant à des intérêts canadiens, FIRMA Corporation Cambiste. Depuis 2003, il offre aussi des services de placement et de conseil à titre de président de 3D Capital Inc.

Il a auparavant été directeur de la Société d’assurance-dépôts du Canada, de 2018 à 2022, notamment. David Dominy est titulaire d’une maîtrise en gestion des finances et de la comptabilité de l’École de gestion Kellogg à l’Université Northwestern et d’un baccalauréat ès arts en mathématiques de l’Université de Winnipeg. Il détient également le titre IAS.A de l’Institut des administrateurs de sociétés.

Raymond Ivany a été nommé au conseil d’administration de la Banque du Canada en septembre 2018. Il est consultant privé dans les domaines de la stratégie, de la gouvernance et du leadership, et également administrateur de la Nova Scotia Power Incorporated. Il a été nommé membre de l’Ordre de la Nouvelle-Écosse en 2017 et a reçu l’Ordre du Canada en 2020.

Sa carrière dans l’enseignement supérieur s’est déployée sur plus de trois décennies, d’abord à titre de membre du corps professoral de l’University College of Cape Breton (maintenant connu sous le nom de l’Université Cape Breton), où il a également été doyen et vice-président directeur. Il est président émérite de l’Université Acadia à Wolfville, en Nouvelle-Écosse, et a été nommé président et directeur général du Collège communautaire de la Nouvelle-Écosse en 1998. Il a aussi été président et vice-chancelier de l’Université Acadia de 2009 à 2017. À sa retraite, l’Université Acadia lui a décerné la prestigieuse médaille Arthur L. Irving pour son leadership et ses contributions.

Raymond Ivany a obtenu son baccalauréat ès arts et un diplôme en technologie industrielle de l’Université Cape Breton ainsi qu’une maîtrise ès sciences en santé environnementale de l’East Tennessee State University. Par la suite, il a été chercheur universitaire au Department of Environmental Science and Physiology de l’Université Harvard au sein de la Harvard T.H. Chan School of Public Health.

Mariette Mulaire a été nommée membre du conseil d’administration de la Banque du Canada en juin 2018. En 2022, elle a été nommée au poste de conseillère stratégique pour la World Trade Centres Association à son siège social à New York. Elle a été présidente-directrice générale du World Trade Centre Winnipeg de son ouverture officielle, en avril 2012, jusqu’en 2022.

Durant son parcours dans le domaine du développement économique, elle a occupé pendant dix ans les fonctions de directrice générale du Conseil de développement économique des municipalités bilingues du Manitoba (CDEM) et a travaillé dans les ministères de la Diversification de l’économie de l’Ouest (maintenant PrairiesCan) et du Patrimoine canadien.

Mariette Mulaire a reçu l’Ordre des francophones d’Amérique en 2010, la mention Femme de distinction de la YMCA-YWCA, dans la catégorie « Leadership », en 2011, et la Médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II en 2012. En 2015, le Commissariat aux langues officielles lui a décerné le Prix d’excellence – Promotion de la dualité linguistique. En 2017, elle a obtenu le Prix Riel et le Prix Maurice-Gauthier, en reconnaissance de son engagement soutenu dans la promotion de la dualité linguistique, au Manitoba et au Canada.

Mariette Mulaire est titulaire du titre national de gestionnaire professionnelle de l’Institut canadien de gestion (ICG) et a obtenu le titre de professionnelle accréditée en commerce international (PACI), décerné par le Forum pour la formation en commerce international (FITT).

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La Banque Nationale nomme un membre de l’Ouest canadien à son CA https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/la-banque-nationale-nomme-un-membre-de-louest-canadien-a-son-ca/ Fri, 19 Jul 2024 10:35:56 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101857 NOUVELLES DU MONDE – Scott Burrows est un spécialiste du secteur de l’énergie.

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La Banque Nationale du Canada accueille Scott Burrows, président et chef de la direction de Pembina Pipeline Corporation, au sein de son conseil d’administration (CA). À compter du 1er août 2024, Scott Burrows agira à titre d’administrateur et membre du comité d’audit.

Scott Burrows dirige Pembina Pipeline, une société de Calgary spécialisée dans le transport et le stockage du pétrole et du gaz naturel, depuis février 2022, en plus de siéger au conseil d’administration. Depuis 2010, il y a occupé divers postes de gestion, dont celui de directeur financier pendant environ sept ans. Il y a également exercé le rôle de vice-président des marchés financiers et de vice-président du développement de l’entreprise et des relations avec les investisseurs. Avant de se joindre à Pembina Pipeline, Scott Burrows a été associé directeur chez Scotia Capital à Calgary pendant près de sept ans.

Robert Paré, président du CA de la Banque Nationale, affirme que l’expérience de Scott Burrows en matière de fusions et acquisitions, d’offres publiques à l’épargne et d’émissions d’obligations et de dettes, tout particulièrement dans l’Ouest canadien, sera un atout important pour le conseil d’administration alors que la Banque Nationale accélère sa croissance dans cette région. En juin, l’institution financière montréalaise a fait l’acquisition de la Banque canadienne de l’Ouest (CWB), qui possède une forte présente en Alberta et en Colombie-Britannique.

Scott Burrows est titulaire d’un baccalauréat en commerce de l’Université de la Colombie-Britannique (UBC) et porte le titre de Chartered Financial Analyst.

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L’activisme des actionnaires en hausse https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/lactivisme-des-actionnaires-en-hausse/ Thu, 04 Jul 2024 10:51:11 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101657 PLANÈTE FINANCE - Selon un rapport de Lazard.

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Les campagnes des fonds activistes ont atteint des niveaux records au premier semestre 2024, selon le plus récent rapport de Lazard sur l’activisme des actionnaires.

Le phénomène des campagnes activistes, qui consistent pour un actionnaire minoritaire à entrer au capital d’une société cotée en vue d’influer sur sa gouvernance ou sa stratégie, ne cesse de prendre de l’ampleur, ce qui reflète une évolution importante des marchés financiers mondiaux.

D’après les données de Lazard, les campagnes des fonds activistes ont augmenté de 29 % au premier semestre 2024 par rapport à la moyenne des cinq dernières années, dépassant de 7 % le record précédent du premier semestre 2023. Au total, 147 campagnes activistes ont été recensées pour les six premiers mois de l’année, faisant de ce semestre le plus chargé jamais enregistré.

L’univers des actionnaires activistes s’étend également : près de la moitié des activistes recensés en 2024 sont de nouveaux venus (46 % comparativement à 42 % pour l’année 2023). Cette tendance indique que de nombreux fonds sont devenus activistes récemment, voyant dans cette pratique un moyen efficace pour impulser un changement stratégique, signale Lazard.

Légère diminution en Amérique du Nord

En Amérique du Nord, le nombre de nouvelles campagnes a diminué de 3 % par rapport à l’année précédente, ce qui s’explique principalement par un ralentissement au Canada, rapporte Lazard.

Sur les 147 campagnes lancées au premier semestre 2024, près de la moitié (66) ont eu lieu sur le continent nord-américain. Les États-Unis demeurent toutefois un terrain de jeu majeur pour les activistes, avec un total de 62 campagnes lancées au premier semestre.

Le fonds d’investissement américain Eliott Management (30 milliards de dollars d’actifs sous gestion) se distingue avec 11 campagnes lancées au début de 2024, dont six aux États-Unis, trois en Asie et deux en Europe. Le fonds a notamment investi dans Match Group (Tinder), où il a notamment milité pour de nouvelles nominations au conseil d’administration afin d’améliorer les performances du groupe.

Le fonds Barington Capital, actionnaire de Mattel cette année, a lui aussi exercé des pressions en début d’année pour influencer la stratégie du fabricant de jouets à l’égard de deux de ses marques phares, Fisher Price et American Girl.

En 2022, les investisseurs activistes ont demandé le renvoi du personnel de 60 entreprises américaines, soit une augmentation de 46% en données annualisées, selon le cabinet de recherche Insightia. D’après Goldman Sachs, une entreprise sur quatre du S&P 500 a un investisseur activiste au sein de son actionnariat.

Parmi les autres exemples récents, Elliott Investment Management a ciblé Southwest Airlines. Starboard Value s’est attaquée à Autodesk. Jana Partners a fait pression pour obtenir des changements chez Wolfspeed.

En 2018, le Canada se classait au troisième rang mondial des pays touchés par des campagnes d’activisme (204 campagnes), derrière les États-Unis et l’Australie, selon un rapport de Deloitte. Le secteur des ressources était le plus touché, tandis que l’immobilier, les produits de consommation et le cannabis étaient également dans la mire.

Montée en puissance de l’Asie et de l’Europe

La région Asie-Pacifique connaît une explosion du nombre de campagnes activistes, avec 43 campagnes pour les six premiers mois de l’année, presque le même nombre que pour toute l’année 2023. La Bourse de Tokyo, qui exige désormais la communication des plans visant à améliorer la performance du capital pour les entreprises sous-évaluées, constitue un point d’entrée pour les activistes, explique Lazard.

En Europe, les campagnes ont touché davantage de pays que lors des années précédentes. Et parmi les 39 investisseurs ayant lancé des campagnes en Europe au premier semestre, 36 % étaient des nouveaux venus.

Bluebell Capital (250 millions d’euros d’actifs) s’est montré particulièrement agressif sur le Vieux Continent avec trois nouvelles campagnes au premier semestre 2024. Le fonds d’investissement alternatif britannique a notamment demandé au dirigeant de BP d’abandonner son objectif de baisse de la production de pétrole et gaz afin de maximiser la valeur actionnariale, selon le Financial Times. Le fonds londonien, entré au capital du groupe français Worldline, a par ailleurs réclamé une refonte de la gouvernance chez ce dernier, en plus de proposer un cadre sortant de Google pour remplacer le PDG sortant de Telecom Italia.

Selon Christopher Couvelier, responsable des activités de conseil aux actionnaires en Europe chez Lazard, de nombreux fonds sont devenus activistes récemment « car cette pratique peut s’avérer efficace pour impulser un changement stratégique ».

Impact sur les entreprises ciblées

Les entreprises ciblées par les activistes voient leur PDG partir en général dans les 12 mois suivant le lancement de la campagne, ce qui constitue un rythme presque deux fois plus élevé que celui des sociétés non ciblées du Stoxx 600, un indice boursier composé de 600 des principales capitalisations boursières européennes, selon Lazard

Cependant, les investisseurs activistes ont moins bien réussi à pénétrer les conseils d’administration en 2024, car les entreprises se sont défendues efficacement, selon des données de Barclays.

En début d’année, Disney a par exemple fait barrage aux fonds spéculatifs Trian Fund Management et Blackwells Capital, qui voulaient infiltrer son conseil.

Malgré cela, 24 sièges à des conseils d’administration d’entreprises ont été obtenus par les principaux fonds spéculatifs activistes au cours du premier semestre 2024, contre 29 pour l’ensemble de l’année 2023.

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Renouveau à la présidence du c.a. de Revenu Québec https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/renouveau-a-la-presidence-du-c-a-de-revenu-quebec/ Tue, 11 Jun 2024 11:34:38 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100913 NOUVELLES DU MONDE - Le Conseil des ministres en a fait l’annonce.

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Le Conseil des ministres a procédé à la nomination de Sylvie Pinsonnault à titre de présidente du conseil d’administration de Revenu Québec. Elle amorcera son mandat le 10 juin prochain.

Sylvie Pinsonnault a travaillé dans le milieu financier pendant quelque 35 ans, incluant près de 23 années au sein d’Investissement Québec. Elle y a occupé successivement les fonctions de première vice-présidente et de membre du comité de direction, ainsi que de vice-présidente dans divers secteurs de l’organisation, notamment ceux liés aux fonds d’investissement, au capital de risque, aux mesures fiscales, aux solutions d’affaires, aux stratégies, au développement durable et à l’innovation.

Sylvie Pinsonnault possède également une vaste expérience en administration de sociétés. Elle a siégé à plusieurs conseils d’administration, par exemple ceux de l’Association des femmes en finance du Québec, de Finance Montréal et du Conseil de l’innovation du Québec.

« Au nom des membres du comité de direction et de tout le personnel de Revenu Québec, je souhaite la bienvenue à Mme Sylvie Pinsonnault. Son leadership inspirant et son engagement au service du développement économique du Québec, sans compter son travail pour faire avancer la cause des femmes, témoignent du profil remarquable de la personne qui se joint à notre équipe. Je tiens également à remercier M. Florent Gagné pour sa grande contribution comme président du conseil d’administration de Revenu Québec, et ce, depuis les débuts de l’Agence », a déclaré Christyne Tremblay, présidente-directrice générale de Revenu Québec.

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Élections au CA de la CSF https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/elections-au-ca-de-la-csf/ Tue, 02 Apr 2024 11:06:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99736 NOUVELLES DU MONDE — La période de mise en candidature est ouverte.

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La Chambre de la sécurité financière (CSF) cherche des candidatures pour pourvoir trois postes sur son conseil d’administration (CA). Ces administrateurs seront choisis parmi les représentants en assurance de personnes, les représentants de courtier en épargne collective et les planificateurs financiers.

Pour rappel, le CA de la CSF est composé de 13 administrateurs dont huit sont élus parmi ses membres et cinq sont indépendants et nommés par le ministre des Finances du Québec.

Choisis en fonction de leur profil de compétences et selon des critères précis, ces administrateurs ont pour missions de veiller au bon fonctionnement de la CSF et de prendre position sur les questions pouvant avoir une incidence sur l’exercice de la profession et sur la protection des consommateurs de produits et services financiers.

Pour le moment, les membres du CA de la CSF sont :

  • Gino-Sébastian Savard, B.A., A.V.A. — président du conseil d’administration
  • Anne Côté, LL. B., D.S.A, IAS. A — vice-présidente, Présidente du comité gouvernance et éthique
  • Sylvain De Champlain, A.V.A., Pl. Fin. — Vice-président, Président du comité des ressources humaines et Président du comité de la vigie réglementaire et de la conformité des pratiques
  • Daniela Altgauzen
  • Guy Barbeau, MBA, CCP
  • Richard Blain, MBA, IAS.A, Fellow CRHA
  • Nancy Chahwan
  • Chantal Jobin, B.A.A., CPA, CGA
  • Jean-Sébastien Jutras, Pl. Fin.
  • Eddie Leschiutta, FCPA, IAS. A
  • Suzie Prince, CRHA, CPA, MBA, ASC — Présidente du comité d’audit et finances
  • Alain C. Roy, A.V.C., B.B.A
  • Jean-Philippe Vézina, Pl. Fin., M.Fisc. — Président du comité de la formation et du développement professionnel

La période de mise en candidature est maintenant ouverte, et ce, jusqu’au 19 avril 2024.

La période de vote, qui se fera en ligne, se tiendra du 29 avril au 23 mai 2024.

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BMO va entreprendre cette année un audit sur l’équité raciale https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/bmo-va-entreprendre-cette-annee-un-audit-sur-lequite-raciale/ Tue, 02 Apr 2024 11:06:27 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99871 Comme elles s’y étaient engagées, les six grandes banques canadiennes ont augmenté le nombre de personnes noires au sein de leurs conseils d’administration.

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La Banque de Montréal (BMO), qui avait promis d’effectuer un audit sur l’équité raciale en novembre à la suite d’un engagement de la part des actionnaires, commencera celui-ci cette année. Comme la Banque Royale du Canada, la BMO effectuera l’audit en deux parties : l’examen de 2024 portera sur l’équité en matière d’emploi, et celui de 2025 sur les pratiques commerciales de la banque, a indiqué un porte-parole à Advisor.ca.

Les résultats seront rendus publics une fois les examens terminés.

Depuis la saison des procurations de l’an dernier, les six grandes banques, à l’exception de la Banque Scotia, se sont engagées à effectuer des vérifications de l’équité raciale en réponse à l’engagement d’actionnaires activistes. L’audit de la Banque TD a été achevé l’année dernière.

En outre, toutes les grandes banques qui ont signé un engagement largement médiatisé visant à augmenter le nombre de Noirs au sein des conseils d’administration d’ici à 2025 ont atteint cet objectif.

Pour rappel, en 2020, la BMO, la Banque de Nouvelle-Écosse, la CIBC et la Banque Nationale du Canada ont signé l’engagement BlackNorth, qui demande aux signataires de s’engager à ce que les Noirs occupent au moins 3,5 % des postes au sein des conseils d’administration d’ici à 2025, entre autres objectifs.

Les conseils d’administration des six grandes banques comptent entre 13 et 15 membres, de sorte que l’ajout d’un administrateur noir répond à cette exigence.

À un an de l’échéance, les quatre signataires ont atteint leur objectif. La BMO a nommé un administrateur noir en août 2023, la Banque Nationale en avril 2021 et la Banque Scotia en juin 2022. La CIBC compte un membre noir au sein de son conseil d’administration depuis 2017.

La CIBC a également atteint l’un de ses objectifs d’équité raciale fixés en 2021, à savoir qu’au moins 4 % des postes de direction approuvés par le conseil d’administration soient occupés par des membres de la communauté noire d’ici à la fin de 2023. L’année dernière, la banque a mis à jour cet objectif, visant à atteindre au moins 5 % d’ici 2025.

Les banques ont également augmenté le nombre de membres autochtones au sein de leurs conseils d’administration : trois banques ont nommé des administrateurs autochtones cette année, contre deux l’année dernière. Allant encore plus loin, la Banque Toronto-Dominion propose deux administrateurs autochtones, contre un seul l’année dernière.

Les assemblées générales annuelles des banques ont lieu en avril. Voici un aperçu des conseils d’administration proposés par chaque institution :

Banque de Montréal

 

État d’avancement de l’audit sur l’équité raciale : En novembre, la Commission s’est engagée à réaliser un audit sur l’équité raciale à la suite de l’engagement pris par les actionnaires. L’audit commencera cette année et se concentrera d’abord sur les pratiques d’emploi, puis sur les pratiques commerciales.

Statut du conseil d’administration, 2024 :

  • Six des 13 candidats sont des femmes (46 % ; objectif de 33 %).
  • Deux des 13 candidats s’identifient comme des personnes de couleur (15 % ; pas d’objectif)
  • Un candidat s’identifie comme Noir (8 % ; objectif de 3,5 %).
  • Aucun candidat ne s’identifie comme autochtone (pas d’objectif).

Banque de Nouvelle-Écosse

 

Statut de l’audit sur l’équité raciale : Aucun audit officiel n’a été signalé ; aucune résolution d’actionnaire ne demande un tel audit en 2024.

Statut du conseil d’administration :

  • Cinq des 14 candidats sont des femmes (36 % ; objectif de 30 %).
  • Deux des 14 candidats s’identifient comme des personnes de couleur (14 % ; pas d’objectif).
  • Un candidat est noir (7 % ; objectif de 3,5 %).
  • Aucun candidat ne s’identifie comme autochtone (pas d’objectif).

CIBC

 

Statut de l’audit sur l’équité raciale : « La CIBC a engagé un tiers indépendant pour entreprendre une évaluation de l’équité raciale en deux phases sur nos politiques d’emploi et nos pratiques commerciales en 2024 et 2025, indique la banque dans son rapport sur le développement durable 2023. Un rapport final, comprenant des recommandations et un plan d’action, sera inclus dans nos divulgations de l’exercice 2026. »

Statut du conseil d’administration :

  • Six des 13 candidats sont des femmes (46 % ; objectif de 40 %).
  • Deux des 13 candidats s’identifient comme des personnes de couleur (15 % ; pas d’objectif).
  • Un candidat s’identifie comme Noir (8 % ; objectif de 3,5 %)
  • Un candidat s’identifie comme autochtone (8 % ; pas d’objectif)
  • Un des 13 candidats s’identifie comme membre de la communauté LGBTQ+ (8 % ; pas d’objectif)

Banque Nationale du Canada

 

État d’avancement de l’audit sur l’équité raciale : Un travail d’audit est en cours concernant les principes de la banque responsable, et la banque collaborera avec SHARE sur d’autres travaux d’audit relatifs à l’équité raciale.

Statut du conseil d’administration :

  • Six des 13 candidats sont des femmes (46 % ; objectif de 40 %).
  • Un des 13 candidats est une minorité visible (8 % ; pas d’objectif).
  • Ce candidat est noir (8 % ; objectif de 3,5 %).
  • Aucun candidat ne s’est identifié comme autochtone (pas d’objectif).

Banque Royale du Canada

 

État d’avancement de l’audit sur l’équité raciale : La banque s’est engagée à réaliser un audit sur l’équité raciale en novembre à la suite de l’engagement des actionnaires. La banque prévoit d’achever l’audit des pratiques d’emploi en matière d’équité raciale par une tierce partie d’ici à la fin décembre 2024. Toujours d’ici la fin de 2024, la banque a déclaré qu’elle procéderait à un audit de ses pratiques commerciales par un tiers spécialisé dans l’équité raciale, l’audit devant avoir lieu en 2025.

Statut du conseil d’administration :

  • Cinq des 13 candidats sont des femmes (38 % ; objectif de 35 %) ; la banque a également nommé une femme au conseil d’administration en février.
  • Quatre des 13 candidats s’identifient comme Noirs, autochtones, personnes de couleur et/ou LGBTQ+ (31 % ; pas d’objectif).
  • Un candidat s’identifie comme autochtone (8 % ; pas d’objectif).

Banque Toronto-Dominion

Statut de l’audit sur l’équité raciale : La TD a été la première des six grandes banques, et l’une des premières entreprises au Canada, à accepter de réaliser un audit à la suite de la pression exercée par les actionnaires. L’audit de la banque a été achevé en 2023. L’audit a été salué pour son caractère novateur, mais l’actionnaire qui l’avait demandé a fait remarquer qu’il comportait des « limites importantes » parce qu’il ne couvrait que les pratiques en matière d’emploi et la culture de l’entreprise, et non les pratiques commerciales.

Statut du conseil d’administration :

  • Sept des 15 candidats sont des femmes (47 % ; objectif de 30 %-40 %).
  • Dix des 15 candidats s’identifient à une minorité visible, à une personne autochtone, à 2SLGBTQ+ ou à une personne handicapée (67 % ; pas d’objectif).
  • Deux candidats sont autochtones (13 % ; pas d’objectif)
  • Un candidat est noir (7 % ; pas d’objectif)

L’article BMO va entreprendre cette année un audit sur l’équité raciale est apparu en premier sur Finance et Investissement.

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