La reprise économique qui suivra la pandémie de COVID-19 sera probablement plus lente et plus inégale qu'on ne l'a d'abord imaginée, a prévenu mercredi le grand patron de la Banque Royale.
Si l’on observe beaucoup de différences entre les deux crises, on peut également voir des similitudes, selon cet expert.
Après les petites et moyennes entreprises (PME), d'autres secteurs ébranlés par la pandémie de COVID-19 pourraient bien recevoir un coup de pouce de la part du gouvernement Trudeau, qui ne semble pas vouloir fixer de limite quant à l'ampleur des deniers publics nécessaires pour traverser la crise.
En raison du poids de l'empire du Milieu dans l'économie planétaire et de la mondialisation du tourisme, l'épidémie de pneumonie virale survenue en Chine taraude les investisseurs. Et si le coronavirus faisait trébucher ou chuter les places boursières, à l'image de l'épidémie de SRAS en 2003 ?
L'économiste en chef et vice-président principal de la Banque Scotia a minimisé mercredi la probabilité d'une récession, mais il s'attend néanmoins à une diminution des taux d'intérêt.
Les personnes les plus riches de la planète ont pris leurs dispositions pour affronter les turbulences auxquelles ils s’attendent sur les marchés en 2020.
Hilda Applbaum donne les raisons de son optimisme pour les marchés, malgré les doutes entourant les perspectives de l’économie mondiale.
Les avantages de la gestion discrétionnaire de portefeuille sont bien connus, mais les risques qu'elle présente le sont moins. Et ceux-ci pourraient causer quelques maux de tête aux conseillers et aux firmes de courtage quand les marchés boursiers subiront un recul important.
Dans le cycle actuel, on peut observer plusieurs signes annonciateurs d’un cycle financier qui est sur sa fin, conduisant ainsi au risque potentiel d’une crise systémique, écrivent Oliver Klein, directeur général de la BRED et Éric Lombard, directeur général de la Caisse des Dépôts. Cela serait dû, selon eux, aux « effets pervers » des taux d’intérêt durablement bas.
ZONE EXPERTS - Ray Dalio est un gestionnaire d’un des plus gros hedge fund américain, Bridgewater Associates, il est milliardaire et serait le 58e homme le plus riche au monde selon un classement de Bloomberg de juin 2019. Il croit que l’histoire dans le monde financier a tendance à se répéter et que l’on aurait intérêt à bien comprendre le passé pour envisager l’avenir. En 2007 Bridgewater avait prévenu les investisseurs qu’une crise financière pointait à l’horizon et l’histoire lui a donné raison.