C’est ce que prétend Michael Burry, mais tous ne partagent pas son avis.
Les banques américaines se remettent à construire des obligations hypothécaires, cherchant plus particulièrement à raviver le « private-label market », qui avait pratiquement disparu après son explosion pendant la crise financière de 2008.
Les bénéfices des banques pourraient être sous pression dans les mois à venir, prévoit Fitch.
ZONE EXPERTS - Un indice qui fait parler de lui en période de turbulence boursière est le CBOE Volatility Index (VIX). Cet indice a reçu le surnom d’indice de la peur dans la communauté financière.
La Bourse américaine a connu une troisième semaine de déclin, mais a laissé la panique du 14 août qui a vu le Dow Jones perdre 800 points derrière elle.
Entre le ralentissement économique mondial et la guerre commerciale qui oppose les États-Unis à la Chine, les bénéfices des entreprises sont soumis à de fortes pressions. Partout dans le monde? Non, pas au Canada.
PLANÈTE FINANCE - À 9 406 000 milliards américains, la dette hypothécaire aux États-Unis au deuxième trimestre de 2019 a surpassé le sommet précédent, datant de 2008 (9 294 000 G$US).
Le temps est-il venu de se mettre à l’abri?
Après un mois de juillet ensoleillé, le mois d’août, historiquement nuageux en Bourse, démarre plutôt mal.
Le déclencheur d’une nouvelle crise financière ne sera plus le secteur bancaire classique, comme cela a été le cas en 2007-2008. Toutefois, il existe aujourd’hui d’autres risques, estiment deux analystes belges.