Dividendes – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 27 Sep 2024 20:18:23 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Dividendes – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Beaucoup d’argent devrait affluer vers les FNB axés sur les dividendes https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/beaucoup-dargent-devrait-affluer-vers-les-fnb-axes-sur-les-dividendes/ Wed, 09 Oct 2024 10:18:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103243 FOCUS FNB — Le contexte y est propice au retour.

L’article Beaucoup d’argent devrait affluer vers les FNB axés sur les dividendes est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Au cours des deux dernières années, plus de 200 milliards de dollars (G$) ont été dirigés vers les titres de revenu à court terme comme les certificats de placement garanti (CPG) et les fonds négociés en Bourse (FNB) de marchés monétaires et de compte d’épargne à intérêt élevé, constate une récente étude de CIBC Marchés des capitaux. Mais la baisse des taux d’intérêt va atténuer l’attrait de ces produits d’épargne et favoriser un exode vers les produits susceptibles de donner de meilleurs rendements, notamment des FNB de divers types, parfois plus exotiques.

Les véhicules à dividendes sont ainsi susceptibles de retrouver leur attrait. « Historiquement, les dividendes ont produit un tiers du rendement total des actions au Canada et 20 % aux États-Unis », fait ressortir l’étude. Leur attrait est d’autant plus fort qu’au Canada, les rendements de dividendes sont sensiblement plus musclés qu’aux États-Unis. « Présentement, le dividende anticipé sur le S&P/TSX est de 3,0 %, le double de ce qu’offre le S&P 500 », rapporte CIBC.

Cette faveur historique accordée aux titres à dividendes ne s’est certainement pas vérifiée au cours des dernières années. La très forte performance des actions des cinq années récentes a réduit l’impact des rendements de dividende. Toutefois, avec la baisse des taux, « on s’attend à ce que les dividendes fassent une plus forte contribution à nouveau », écrivent les auteurs de l’étude.

Un retour en force

Le contexte est propice au retour des dividendes. En faisant l’hypothèse d’un retour vers des rendements généraux plus traditionnels (ce que CIBC juge plus probable), « les dividendes vont devenir plus importants, même en considérant leur attrait à titre de simples générateurs de flux de trésorerie ».

Évidemment, ceux qui sont allés vers les produits de revenu à court terme comptent parmi les investisseurs les plus conservateurs, de telle sorte que, s’ils sortent de ces produits, on peut s’attendre à ce qu’ils aillent vers les produits à dividende fondamentaux qui offrent une solide diversification et une part d’appréciation du capital à long terme. De façon typique, ces investisseurs cherchent une différence dans le rendement de l’ordre de deux points de pourcentage, évalue CIBC. Ils sont donc susceptibles de tarder à quitter les produits d’épargne très conservateurs et, quand ils le feront, ils préféreront plus probablement des produits à dividende avec une longue feuille de route plutôt que des produits nouveaux et affriolants.

CIBC identifie une dizaine de FNB généraux de base où les rendements totaux sur douze mois, et notamment les rendements de dividendes sur la même période, ont été significatifs. C’est le cas au premier chef du FNB Global X actif actions privilégiées (HPR), lancé en novembre 2010, avec un rendement total de 33,1 % et un rendement en dividende de 4,5 %. Très proche, le Vanguard FNB indiciel FTSE canadien à dividende élevé (VDY), lancé en novembre 2012, affiche 22,2 % et 4,5 % respectivement.

Pour l’investisseur qui est prêt à se lancer dans les secteurs vedettes canadiens des financières, des services publics et des fiducies immobilières, un peu plus risqués parce que plus concentrés, CIBC repère une autre dizaine de candidats heureux. Dans les financières, le rendement total de 12 mois a été en moyenne de 27,2 % et le dividende, de 5,3 % ; dans les services publics, de 16,2 % et 5,9 % respectivement, dans les fiducies immobilières, de 19,2 % et 4,8 %.

L’attrait du synthétique exotique

Par contre, pour ceux qui sont prêts à prendre un peu plus de risque (et théoriquement à empocher plus de rendements), avec des FNB plus jeunes, l’offre est maintenant devenue diversifiée et attrayante, juge CIBC. Ici, l’investisseur plus entreprenant ne veut pas se contenter d’un rendement de 4 %, prêt à recourir aux options et à l’effet de levier pour amplifier les dividendes. Toutefois, dans ces produits, les performances sont inégales, certaines catégories de produit ayant bien fait, d’autres affichant des rendements inférieurs à leurs indices de référence.

Ici, les FNB avec ventes d’options d’achat couvertes se sont distingués. C’est le cas notamment du FNB Harvest de revenu Leaders des soins de santé (HHL) : rendement total sur 12 mois, 20,7 %, dividendes sur 12 mois, 8.0 %. Dans la catégorie des FNB alternatifs à effet de levier, CIBC repère le Fonds indiciel Rendement amélioré des banques et assureurs vie canadiens Evolve (BANK) : rendement total sur 12 mois, 24,9 %, dividendes sur 12 mois, 16,1 %.

« Ces produits spécialisés ont une utilité, soutient CIBC. Tout comme les FNB sectoriels constituent un véhicule utile pour la rotation sectorielle, ces produits peuvent être utiles aux investisseurs qui ont suffisamment d’appétit pour le risque, qui sont convaincus par la courbe des rendements et qui font confiance au gestionnaire de portefeuille pour prendre les bonnes décisions en matière d’effet de levier. Toutefois, ces produits peuvent se situer en dehors de la fourchette idéale pour un investisseur en dividendes typique qui penche du côté de l’aversion au risque. »

L’article Beaucoup d’argent devrait affluer vers les FNB axés sur les dividendes est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
La hausse de l’impôt sur les gains en capital entraîne une inversion des taux pour certains Canadiens https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-hausse-de-limpot-sur-les-gains-en-capital-entraine-une-inversion-des-taux-pour-certains-canadiens/ Mon, 16 Sep 2024 11:22:03 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102933 Dans quatre juridictions, les plus hauts revenus peuvent être soumis à un taux d’imposition plus élevé sur les gains en capital que sur les dividendes éligibles.

L’article La hausse de l’impôt sur les gains en capital entraîne une inversion des taux pour certains Canadiens est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Au cours du dernier quart de siècle, les personnes à hauts revenus au Canada ont supposé qu’elles paieraient moins d’impôts sur les gains en capital que sur les dividendes. Ce n’est plus le cas.

Pour les hauts revenus du Nouveau-Brunswick, des Territoires du Nord-Ouest, de la Saskatchewan et du Yukon, le taux d’imposition combiné fédéral/provincial (/territorial) des particuliers sur le montant des gains en capital de plus de 250 000 $ réalisés au cours d’une année dépasse désormais de deux à trois points de pourcentage le taux sur les dividendes éligibles.

Les conseillers de ces juridictions devront tenir compte de cette « inversion » lorsqu’ils recommanderont des stratégies de planification, prévient Ameer Abdulla, associé chez EY Canada à Waterloo (Ontario).

« Dans ces circonstances, il se peut que vous souhaitiez obtenir un dividende, par exemple, sur la vente d’une entreprise à une partie sans lien de dépendance, alors qu’historiquement, vous souhaitiez obtenir un gain en capital », résume-t-il.

Les gestionnaires de portefeuille devront peut-être adapter leur façon d’évaluer les investissements. « Une action de premier ordre peut en fait avoir un taux de rendement après impôt [attendu] plus élevé qu’une action de croissance, parce que les dividendes éligibles sont imposés plus favorablement qu’un gain en capital à taux élevé », calcule Ameer Abdulla.

Les dividendes éligibles sont ceux distribués par une société publique ou une société privée dans la mesure où son revenu est soumis au taux général de l’impôt sur les sociétés. Ces dividendes sont éligibles à un crédit d’impôt pour dividendes amélioré.

La décision du gouvernement fédéral d’augmenter le taux d’inclusion des gains en capital (TIGC) de 50 % à 66,7 % sur les gains supérieurs à 250 000 $ réalisés par un particulier, à compter du 25 juin, a réduit les avantages fiscaux des gains en capital dans toutes les provinces et tous les territoires par rapport aux dividendes.

C’est ce qui a conduit à l’inversion (voir tableau). (Par exemple, les dividendes admissibles au Nouveau-Brunswick sont imposés à 32,40 %, soit 2,6 points de pourcentage de moins que le taux plus élevé des gains en capital. La différence est la plus importante au Yukon (3,07 points de pourcentage).

Taux maximums d’imposition combinés fédéral/provincial des particuliers, 2024

Dividendes éligibles Dividendes non-éligibles Gain en capital, taux réduit Gain en capital, taux plus élevé revenu ordinaire
Saskatchewan 29,64 % 41,34 % 23,75 % 31,67 % 47,50 %
Nouveau Brunswick 32,40 % 46,83 % 26,25 % 35,00 % 52,50 %
Territoires du N.-O. 28,33 % 36,82 % 23,53 % 31,37 % 47,05 %
Yukon 28,93 % 44,04 % 24,00 % 32,00 % 48,00 %

Aucune des quatre juridictions concernées n’a introduit de modifications fiscales récentes ayant conduit à l’inversion des taux, rapporte Ameer Abdulla.

« C’est simplement que les provinces agissent dans une direction en fonction de leurs priorités fiscales, et que le gouvernement fédéral agit de manière à faire avancer ses priorités fiscales, ce qui les amène parfois à se contrecarrer », assure-t-il.

La dernière fois que les taux d’imposition combinés des dividendes ont été égaux ou inférieurs à ceux des gains en capital, c’était dans les années 1990, lorsque le taux d’imposition des dividendes était de 75 %.

À l’époque, « il était prévu de convertir ce qui aurait été un gain en capital en dividende », se rappelle Ameer Abdulla.

Ryan Minor, directeur de la fiscalité chez CPA Canada à Toronto, a déclaré que l’impact de l’inversion des taux se fera probablement sentir lors de la planification de la succession d’une entreprise.

Les clients qui vendent une entreprise peuvent vouloir réaliser des gains en capital dans la mesure où ils peuvent bénéficier de l’exonération cumulative des gains en capital ou de la nouvelle incitation pour les entrepreneurs canadiens, tempère Ryan Minor, même si le taux d’imposition sur les gains en capital est plus élevé.

Toutefois, au-delà des exonérations, un propriétaire d’entreprise peut envisager de recevoir au moins une partie du produit de la vente sous la forme de dividendes éligibles, estime Ryan Minor.

« Il est possible de créer un billet avec un dividende éligible et de le vendre », dit-il.

Selon Ameer Abdulla, les clients fortunés qui s’attendent à recevoir d’importants dividendes admissibles pourraient envisager de déménager dans une province où l’inversion est possible.

« À l’échelle appropriée, les personnes qui sont mobiles de toute façon [pourraient envisager] de déménager — ce type de planification n’est pas nouveau, estime Ameer Abdulla. Cette inversion ajoute un peu de piquant aux endroits que les gens envisagent ou mettent sur leur liste restreinte. »

Ameer Abdulla prévoit que les taux inversés seront pris en compte dans les discussions avec les clients constitués en société en novembre et décembre sur la manière de structurer la rémunération.

« C’est à ce moment-là qu’on en parlera le plus, si les gens ne le savent pas déjà ou n’en ont pas été informés », avance-t-il.

L’article La hausse de l’impôt sur les gains en capital entraîne une inversion des taux pour certains Canadiens est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Ce que nous disent les flux nets de FNB au Canada https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/laurent-boukobza/ce-que-nous-disent-les-flux-nets-de-fnb-au-canada/ Wed, 14 Aug 2024 09:51:32 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102088 ZONE EXPERTS – Le secteur a connu un premier semestre de 2024 robuste, marqué notamment par la politique monétaire.

L’article Ce que nous disent les flux nets de FNB au Canada est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Le secteur des fonds négociés en Bourse (FNB) au Canada est en plein essor. Avec une gamme variée de produits et de stratégies, allant des fonds gérés activement aux fonds indiciels en passant par des produits plus spécialisés, les conseillers et les investisseurs ont l’embarras du choix. Et le marché des FNB au Canada semble prêt à poursuivre sa croissance et sa diversification.

Voici un examen des tendances et des statistiques qui ont façonné les flux (créations nettes et rachats nets) de FNB au Canada au cours du premier semestre de 2024.

Au 30 juin 2024, l’actif sous gestion des FNB canadiens s’élevait à 455,2 milliards de dollars (G$). Le secteur a enregistré des entrées de fonds mensuelles comprises entre 4 et 9,7 G$ depuis le début de l’année, portant les créations nettes cumulatives, en milieu d’année, à un niveau record de 33,3 G$[1].

Dans les six premiers mois de 2024, les marchés mondiaux ont fait preuve d’une grande dynamique positive, comme en fait foi la progression des indices suivants[2] :

  • S&P 500 : 19,38 %
  • Indice composite TSX : 4,69 %
  • NASDAQ : 23,56 %
  • MSCI World TR CAD : 16,63 %
  • MSCI EM : 10,74 %

Dans le secteur des titres à revenu fixe, l’incertitude quant au calendrier et à l’ampleur des baisses de taux d’intérêt au Canada et aux États-Unis a une fois de plus contribué à accroître la volatilité des obligations sur l’ensemble des courbes des rendements. Les performances à la mi-année varient de légèrement négatives à légèrement positives selon les échéances, bien en dessous de leur rendement à échéance actuel.

Dans ce contexte, les investisseurs semblent avoir commencé à repositionner leur allocation à la catégorie d’actifs, avec un apport massif de capitaux de 12,1 G$ depuis le début de l’année pour les titres à revenu fixe, dont 6,8 G$ pour le seul mois de juin. [3].

Des 33,3 G$ de créations nettes pour les six premiers mois de 2024, 19 G$ ont été investis dans les actions.

Si l’on examine les 19 G$ d’entrées nettes dans les FNB d’actions, plus de 70 % ont été investis dans des stratégies indicielles pondérées en fonction de la capitalisation boursière.

Les stratégies de dividendes et de revenus et l’investissement factoriel ont attiré près de 2,8 G$, les stratégies non-indicielles représentant désormais plus de 30 % de l’actif géré en FNB canadiens.

Les FNB multiactifs ont reçu 2,2 G$ durant le premier semestre de 2024, confirmant ainsi leur forte dynamique.

Les stratégies multiactifs sont des solutions à guichet unique qui continuent d’attirer les investisseurs particuliers et les gestionnaires de patrimoine. Elles représentent une solution à faible coût pour créer une base (ou la totalité) d’un portefeuille. Ce type de FNB est souvent composé de fonds qui capturent du bêta du marché à un coût minimal.

Ces FNB multiactifs offrent un rééquilibrage régulier, respectant la pondération cible choisie, ainsi que la tolérance au risque établie.

Les flux entrants de FNB de titres à revenu fixe se sont concentrés sur les titres à revenu fixe canadiens. Plus de 83 % des 12,1 G$ ont été investis dans des titres à revenu fixe domestiques, dont 2,3 G$ dans des obligations à ultra-court terme et des titres du marché monétaire. Ces derniers types de FNB sont ainsi utilisés comme option de remplacement aux liquidités qui sont devenues beaucoup plus attrayantes aux niveaux actuels des taux d’intérêt.

Le positionnement sur le marché total et agrégé en prévision des baisses de taux (deux baisses de 25 points de base de la Banque du Canada au moment de la rédaction de cet article) a contribué à l’afflux important de capitaux.

Les obligations de sociétés canadiennes offrant des rendements attrayants dans une économie relativement robuste et émises par des sociétés de qualité ont également contribué à l’élan positif des FNB d’obligations de sociétés canadiennes.

Que nous apprennent les créations nettes de FNB canadiens ?

Les investisseurs ont continué à investir dans les principaux indices d’actions, récompensés par la forte performance du marché et une dynamique positive : les FNB d’actions se sont également bien comportés, recueillant plus de 19 G$. Les FNB d’actions américaines ont été particulièrement populaires, contribuant à hauteur de 8,7 G$, suivis par les FNB d’actions internationales avec 7,7 G$, et les FNB d’actions canadiennes avec 2,5 G$.[4]

De plus, les flux de FNB de titres à revenu fixe, principalement les titres à revenu fixe canadiens, sont un bon indicateur de l’assouplissement monétaire à venir perçu par le marché et des attentes en matière de réduction des taux. En effet, l’inflation se rapproche de la fourchette souhaitée, le chômage augmente et l’économie domestique montre des signes de ralentissement.

À quoi s’attendre pour le second semestre de 2024 ?

Dans le contexte actuel, voici quelques-unes des réflexions que les chefs des investissements chez Placements Mackenzie, Steve Locke et Lesley Marks, ont récemment partagé sur leurs attentes pour le second semestre 2024, après un début d’année en fanfare… [5] [6]

Les baisses de taux d’intérêt des banques centrales devraient dominer la trajectoire des obligations au second semestre, en particulier si la Réserve fédérale américaine (Fed) se joint à l’assouplissement de la politique monétaire. La duration devrait être récompensée dans ces conditions d’assouplissement.

« En outre, de nombreux investisseurs reconnaissent les besoins énormes et cumulés de financement de la transition énergétique pour les années à venir. La bonne nouvelle pour les investisseurs : de nombreux types de dette durable offrent des rendements attrayants et un large choix. » [7]

La transition énergétique reste un thème sur lequel il est possible d’investir, car le passage à des énergies plus propres est motivé par des considérations économiques (la croissance démographique stimule la demande d’énergie), la rareté des ressources (manque d’investissement dans les réserves croissantes de combustibles fossiles) et les changements climatiques. Cette transition offre d’importantes opportunités de marché, en particulier dans les domaines de l’efficacité énergétique, des transports, du traitement des eaux et de l’agriculture. Le développement d’infrastructures durables stimulera également la demande de ressources telles que le cuivre, le nickel et le lithium.

En outre, l’intersection de la transition énergétique et de la révolution de l’intelligence artificielle (IA) mettra à rude épreuve le système électrique mondial. En effet,l’IA générative consomme beaucoup plus d’énergie que les méthodes traditionnelles, ce qui souligne la nécessité d’améliorer l’infrastructure électrique.

Les investisseurs se concentrent de plus en plus sur le potentiel de transformation de l’IA, en particulier de l’IA générative, en investissant dans des géants technologiques établis comme Nvidia et Microsoft. L’adoption généralisée de l’IA générative devrait considérablement stimuler la productivité et révolutionner la vie quotidienne.

Au-delà des grandes entreprises technologiques, il existe des opportunités d’investissement dans les logiciels, le matériel, les services et les industries qui soutiennent la croissance de l’IA. Toutefois, les investisseurs doivent évaluer avec soin et élaborer des stratégies pour naviguer entre les risques et les avantages des technologies transformatives.

Dans un marché concentré et peu diversifié, les conseillers peuvent aider leurs clients à maintenir des portefeuilles diversifiés capables de résister à différentes conditions de marché. Les principaux thèmes d’investissement comprennent les obligations d’entreprises, les options de dette durable, la transition énergétique et le potentiel de transformation de l’IA.

Dans l’ensemble, l’intersection de l’énergie propre et de l’IA présente à la fois des opportunités et des défis, d’où la nécessité pour les investisseurs de rester informés et d’allouer leurs ressources de manière stratégique.

Laurent Boukobza est vice-président, FNB, chez Placements Mackenzie

Clause de non-responsabilité : Les placements dans les fonds communs peuvent donner lieu à des commissions de vente et de suivi, ainsi qu’à des frais de gestion et autres. Veuillez lire le prospectus avant d’investir. Les fonds communs ne sont pas des placements garantis, leur valeur varie fréquemment et leur rendement antérieur peut ne pas se reproduire. Le contenu de ce commentaire (y compris les faits, les perspectives, les opinions, les recommandations, les descriptions de produits ou titres, ou les références à des produits ou titres) ne doit pas être pris ni être interprété comme un conseil en matière de placement ni comme une offre de vendre ou une sollicitation d’offre d’achat, ou une promotion, recommandation ou commandite de toute entité ou de tout titre cité. Bien que nous nous efforcions d’assurer son exactitude et son intégralité, nous ne sommes aucunement responsables de son utilisation.

[1] Source : CETFA.ca

[2] Source : Mackenzie Investments

[3] Source : National Bank Financial – Market Research

[4] Canadian ETF Industry Recap: June 2024 – The Globe and Mail

[5] Investable themes for 2024’s second half | Investment Executive

[6] mackenzieinvestments.com/content/dam/mackenzie/en/insights/mi-2024-midyear-outlook-en.pdf

[7] mackenzieinvestments.com/content/dam/mackenzie/en/insights/mi-2024-midyear-outlook-en.pdf

L’article Ce que nous disent les flux nets de FNB au Canada est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Règles révisées sur l’IMR et transfert intergénérationnel d’entreprise https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/regles-revisees-sur-limr-et-transfert-intergenerationnel-dentreprise/ Fri, 28 Jun 2024 10:30:37 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101558 Les projets de loi d’exécution du budget C-59 et C-69 ont reçu la sanction royale.

L’article Règles révisées sur l’IMR et transfert intergénérationnel d’entreprise est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Une série de mesures fiscales et de planification successorale ont désormais force de loi.

Les projets de loi C-59 et C-69, qui comprennent des mesures provenant des deux derniers budgets fédéraux et de l’énoncé économique de l’automne 2023, ont tous deux reçu la sanction royale le 20 juin.

« Ces deux projets de loi omnibus ont mis en œuvre des mesures législatives importantes que les contribuables et les fiscalistes attendaient pour recevoir la sanction royale », souligne John Oakey, vice-président de la fiscalité à CPA Canada.

Le projet de loi C-59, qui a été déposé pour la première fois en novembre 2023, contenait des mesures législatives visant à mettre en œuvre les propositions clés suivantes :

  • Changements apportés aux transferts intergénérationnels d’entreprises qui ont lieu à partir du 1erjanvier 2024. Deux mises à jour ont été apportées au projet de loi d’août 2023 :
    • Les parents qui souhaitent vendre leur entreprise à leurs enfants n’ont plus besoin de contrôler l’entreprise immédiatement avant la vente.
    • Les propriétaires d’entreprise qui ont vendu en tout ou en partie leur entreprise à leur enfant en vertu des règles actuelles, promulguées par le projet de loi C-208 en 2021, ne seront pas empêchés d’utiliser le nouveau cadre pour vendre le reste de leur entreprise, ou une autre entreprise, à leur enfant.
  • Modifications de la règle générale anti-évitement (RGAE). La pénalité sera désormais calculée à hauteur de 25 % de l’impôt supplémentaire dû par un contribuable à la suite de l’application de la RGAE.
  • L’impôt de 2 % sur les rachats d’actions qui s’applique, à compter du 1erjanvier 2024, à la valeur nette annuelle des rachats d’actions par les sociétés publiques et certaines fiducies et sociétés de personnes publiques.
  • Faire de la planification qui aboutit au statut de société privée non contrôlée par le Canada (SPCC) une opération à déclarer afin que l’Agence du revenu du Canada puisse déterminer si la société est une « SPCC importante ».
  • Permettre à un membre de la famille admissible d’être le titulaire successeur d’un REEI à la suite du décès du dernier titulaire de ce régime qui était également un membre de la famille admissible.
  • Modification du traitement fiscal des dividendes sur les actions canadiennes pour les institutions financières, ce qui pourrait entraîner une augmentation des frais pour les produits d’investissement.
  • Les fiducies d’actionnariat salarié, avec une incitation fiscale améliorée. Le budget fédéral de 2024 a également clarifié certains éléments des fiducies de propriété des employés, ces changements étant prévus dans le projet de loi C-69.
  • Modifications fiscales des conventions de retraite.

Le projet de loi C-69 a été déposé en avril et contient des dispositions législatives visant à mettre en œuvre les principales propositions suivantes :

Aucun des deux projets de loi ne contient l’augmentation de l’exonération à vie des gains en capital et l’incitation pour les entrepreneurs canadiens.

Aucun projet de loi n’a non plus été déposé pour mettre en œuvre l’augmentation du taux d’inclusion des gains en capital, qui entrera en vigueur le 25 juin. Un avis de voies et moyens a été publié le 10 juin et le gouvernement a indiqué qu’un projet de loi serait déposé à la fin du mois de juillet.

Le projet de loi C-59 contient un amendement relatif à la vérité dans la publicité qui obligerait les entreprises à fournir des preuves à l’appui de leurs déclarations environnementales.

Cette disposition s’applique à toutes les entreprises et à tous les secteurs économiques. Le texte du projet de loi stipule que les entreprises ne doivent pas faire d’allégations au public sur ce qu’elles font pour protéger l’environnement ou atténuer les effets du changement climatique, à moins que ces allégations ne soient fondées sur une « justification adéquate et appropriée, conformément à une méthodologie internationalement reconnue ».

Dans une première réaction à l’amendement, le groupe de sociétés d’exploitation des sables bitumineux Pathways Alliance a supprimé tout le contenu de son site web et de ses flux de médias sociaux, tandis qu’un important groupe de l’industrie pétrolière et gazière a également modifié son site web.

La Chambre des communes est en vacances d’été et le Sénat terminera ses travaux à la fin du mois. Les deux chambres reprendront leurs travaux le 16 septembre.

(Avec la collaboration de La Presse Canadienne)

L’article Règles révisées sur l’IMR et transfert intergénérationnel d’entreprise est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
FNB pour les amoureux des dividendes https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fnb-pour-les-amoureux-des-dividendes/ Wed, 14 Feb 2024 01:16:33 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98960 FOCUS FNB - On les trouve dans les fonds actifs, passifs et basés sur des facteurs.

L’article FNB pour les amoureux des dividendes est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Les quelque deux douzaines de fonds négociés en Bourse (FNB) de la catégorie des actions canadiennes de dividende et de revenu forment un microcosme de l’univers général des FNB.

Les fonds passifs basés sur la capitalisation boursière adoptent une approche traditionnelle. À l’autre extrémité du spectre des stratégies, on trouve les mandats entièrement actifs, une nouvelle catégorie de FNB historiquement associée aux fonds communs de placement.

Les approches à bêta stratégiques se situent quelque part entre les deux. Ni passives ni totalement actives, elles reposent sur la sélection de facteurs quantifiables.

Comme l’indiquent les performances passées, chacune de ces trois stratégies principales – passive, pleinement active et fondée sur des facteurs – peut générer des rendements supérieurs à la moyenne.

L’une des stratégies les plus simples, et parmi les plus efficaces au cours des dix dernières années, est celle du Vanguard FNB indiciel FTSE canadien à dividende élevé (VDY), ayant un actif de 2,4 milliards de dollars (G$).

Tout d’abord, la stratégie classe les actions de grande, moyenne et petite capitalisation en fonction de leurs prévisions annuelles de rendement des dividendes. Elle descend ensuite dans la liste jusqu’à ce que la capitalisation boursière combinée représente 50 % de l’univers total. Enfin, les actions qui atteignent ce seuil sont pondérées en fonction de leur capitalisation boursière.

« Il s’agit d’une méthodologie simple qui a résisté à l’épreuve du temps », observe Sal D’Angelo, responsable des produits chez Placements Vanguard Canada, société basée à Toronto.

Sal D’Angelo note que le FNB se situe dans le quartile supérieur de son groupe de référence sur les trois, cinq et dix dernières années. Et ce, malgré le fait que la stratégie ne tente pas de sélectionner les titres en fonction d’attributs de qualité telles que la croissance des dividendes, la solidité financière ou les ratios de distribution.

Selon Sal D’Angelo, le coût est un facteur important pour expliquer les bonnes performances du FNB. Son ratio de frais de gestion (RFG) de 0,22 % est l’un des plus bas de sa catégorie, et cet avantage en matière de coûts s’est accru au fil du temps.

La forte pondération du FNB Vanguard en titres de sociétés financières et énergétiques – actuellement 56 % et 28 %, respectivement – joue également en sa faveur, car ces secteurs se sont bien comportés historiquement, souligne Sal D’Angelo. Mais cela fait en sorte que le portefeuille est soumis à un risque de concentration sectorielle plus élevé que certains de ses concurrents.

Le FNB actif de dividendes canadiens Dynamique (DXC), géré par la société torontoise Gestion d’actifs 1832 et dont la valeur de l’actif s’élève à 180 millions de dollars (M$), adopte une approche radicalement différente de l’investissement dans les dividendes.

Le rendement en dividendes est « la dernière partie du processus », mentionne le gestionnaire principal Don Simpson, et l’équipe de Dynamique ne s’appuie pas sur des critères quantitatifs. Elle s’attache plutôt à identifier les entreprises bien gérées et rentables qui peuvent augmenter leurs dividendes et générer des rendements totaux supérieurs au fil du temps.

« Chaque fois que l’on présente le rendement comme la raison d’être d’un investissement, rapporte Don Simpson, on se retrouve souvent dans des situations où les gens se demandent simplement comment ils peuvent continuer à payer le dividende, plutôt que comment l’entreprise va continuer à croître. »

L’article FNB pour les amoureux des dividendes est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Année difficile pour les fonds de placements immobiliers https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/annee-difficile-pour-les-fonds-de-placements-immobiliers/ Fri, 05 Jan 2024 11:38:38 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98339 Mais « l'horizon est sur le point de s'éclaircir », estime un expert.

L’article Année difficile pour les fonds de placements immobiliers est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
L’année s’annonce encore difficile pour les fonds de placements immobiliers qui investissent dans les espaces de bureau, mais certains gestionnaires de portefeuille croient que le secteur offre des occasions pour les investisseurs à long terme.

« L’horizon est sur le point de s’éclaircir pour les fonds immobiliers dans les espaces de bureau, estime Michael McNabb, gestionnaire de portefeuille chez Purpose Investments, dans un courriel. On ne peut nier qu’ils sont bon marché, mais les propriétaires de bureaux sont confrontés à de nombreux vents contraires. »

« Je pense que beaucoup d’investisseurs oublient qu’il s’agissait de la classe d’actif la plus en vogue dans l’industrie à l’approche de 2020 », ajoute-t-il, alors que les taux d’inoccupation des bureaux étaient extrêmement serrés et que les investisseurs affluaient vers le secteur pour ses dividendes mensuels.

Après la pandémie, Michael McNabb a remarqué que la circulation piétonne dans le réseau de passerelles souterraines au cœur du centre-ville de Toronto était encore très faible, en particulier les lundis et vendredis. « Le bureau n’est pas mort, mais je crois qu’il a changé. »

Le télétravail a fait des ravages dans l’industrie des espaces de bureaux, de nombreux employeurs ayant réévalué leurs besoins. Les entreprises ont également envisagé de réduire la taille de leurs actifs immobiliers afin de réduire leurs dépenses et de s’adapter au ralentissement de l’économie.

« Il est probable que 10 à 15 % de la demande ait été détruite de façon permanente avec la tendance (au télétravail) », a déclaré Maria Benavente, vice-présidente et gestionnaire de portefeuille axé sur l’immobilier chez Fonds Dynamique. « Nous croyons que ce marché continuera d’être un marché de gagnants et de perdants. »

Le taux national d’inoccupation des bureaux est passé à 14,1 % au troisième trimestre de 2023, contre 13 % à la même période l’an dernier, selon un rapport de Colliers Canada publié en septembre.

Les taux d’inoccupation des bureaux augmentent depuis trois ans et demi et continueront probablement de grimper à court terme, car le travail à distance est toujours répandu, prévoit Colliers Canada. Au même moment, les loyers moyens des espaces de bureau ont atteint un niveau record de 21,08 $ le pied carré.

John Duda, président des services de gestion immobilière de Colliers au Canada, anticipe une « lente augmentation » de l’absorption des espaces de bureaux d’ici la fin de 2024, mais il ne « s’attend pas à un revirement radical ».

Une partie du problème réside dans la disparité entre ce que veulent les employeurs et les travailleurs. » Ce qui a empêché un retour massif au bureau, c’est le déséquilibre du marché de l’emploi », pointe John Duda en entrevue.

Les employés ont eu beaucoup de pouvoir et ils peuvent décider de ne pas venir au bureau, souligne John Duda. « Ça commence toutefois à changer et nous le remarquons particulièrement dans les centres-villes; le niveau d’occupation a augmenté de manière très significative. »

Le sentiment reste assez négatif à l’égard du secteur et il est difficile de prévoir le moment de la reprise, a déclaré Maria Benavente, soulignant que le marché de Calgary avait encore du mal à se remettre de l’effondrement des prix du pétrole en 2014, avant même la pandémie.

« L’immobilier dans le segment des bureaux est un investissement de style valeur, une stratégie qui nécessite de la patience et de la tolérance à l’égard de la volatilité », souligne-t-elle.

« Nous pensons qu’il y a certaines aubaines; cependant, les investisseurs doivent être sélectifs et porter une attention particulière au bilan, aux liquidités et au ratio de paiement du dividende. Nous avons vu de nombreux fonds contraints de réduire leurs dividendes, parfois même deux fois. »

Les fonds immobiliers de bureaux se porteront bien lorsque l’économie commencera à se redresser et que les entreprises reviendront au mode embauche, a souligné Maria Benavente. Pour que l’activité reprenne, les banques doivent également être mieux disposées à prêter aux propriétaires de bureaux.

Michael McNabb affirme qu’il reste très prudent à l’égard du secteur et souhaite voir les taux d’inoccupation s’améliorer, mais il estime que les investisseurs à plus long terme pourraient commencer à viser des sociétés de meilleure qualité, ce qui pourrait s’avérer un bon investissement à terme.

« L’immobilier commercial suit la règle économique simple de l’offre et de la demande ? et actuellement l’offre dépasse largement la demande », résume Michael McNabb.

L’article Année difficile pour les fonds de placements immobiliers est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Attention aux changements apportés à la déduction des dividendes https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/attention-aux-changements-apportes-a-la-deduction-des-dividendes/ Mon, 11 Dec 2023 11:23:31 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97841 Ils pourraient avoir un impact sur les produits financiers.

L’article Attention aux changements apportés à la déduction des dividendes est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Le gouvernement fédéral s’apprête à modifier le traitement fiscal des dividendes d’actions canadiennes pour les institutions financières, ce qui pourrait se traduire par une augmentation des frais liés aux produits d’investissement.

La « déduction pour dividendes reçus » permet aux sociétés de demander une déduction sur les dividendes reçus d’actions de sociétés canadiennes, excluant de fait les dividendes du revenu.

Toutefois, dans le budget 2023, le gouvernement a déclaré que la déduction est en contradiction avec les règles qui exigent que les gains sur les biens évalués à la valeur du marché soient inclus dans le revenu ordinaire. Par conséquent, à compter du 1er janvier 2024, le gouvernement refuse la déduction des dividendes reçus par les institutions financières sur les actions qui sont des biens évalués à la valeur du marché.

Dans un rapport publié le 28 novembre dernier, Valeurs Mobilières TD indique que l’élimination de la déduction pour dividendes aura probablement un impact sur certains produits financiers.

« Votre sympathique courtier canadien vient de voir ses impôts augmenter, et l’élimination de certaines des déductions fiscales antérieures se répercutera probablement sur certains des produits financiers qu’il offre », peut-on lire dans le rapport.

La Banque TD a déclaré que les bureaux qui ont une position longue sur les actions canadiennes pour se couvrir ou pour compenser l’exposition seront touchés. « De nombreux produits financiers au Canada ont une action canadienne comme sous-jacent, a noté la banque. Les changements fiscaux sont susceptibles d’avoir un impact sur la tarification de certains de ces produits financiers.

En ce qui concerne les fonds négociés en Bourse (FNB), le rapport indique que l’impact serait différent selon les types de transactions utilisées par les entreprises, notant que la plupart des courtiers gardent de faibles stocks de FNB et d’actions.

« Une chose est certaine, le retrait de la suppression de la prescription de dividendes sera ressenti non seulement par les banques et leurs divisions de marchés de capitaux, mais aussi par les investisseurs institutionnels et de détail », affirme le rapport.

Dans son énoncé économique d’automne de la semaine dernière, le gouvernement libéral a prévu une exception à la nouvelle mesure pour les « actions privilégiées imposables ».

Le budget 2023 estimait que l’élimination de la déduction des dividendes perçus rapporterait 3,15 milliards de dollars sur cinq ans à partir de 2024. L’exposé économique estime que l’exception réduirait ce montant de 215 millions de dollars.

La mesure a été incluse dans un avis de motion de voies et moyens déposé le 28 novembre à la Chambre des communes en vue de présenter un projet de loi tiré du budget 2023 et de l’énoncé économique de l’automne.

L’article Attention aux changements apportés à la déduction des dividendes est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
La Banque Laurentienne annonce un recul des résultats nets https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-banque-laurentienne-annonce-un-recul-des-resultats-nets/ Thu, 07 Dec 2023 12:52:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98051 À son 4e trimestre et à l'exercice 2023.

L’article La Banque Laurentienne annonce un recul des résultats nets est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
La Banque Laurentienne du Canada rapporte qu’au quatrième trimestre de l’exercice de cette année, elle a réalisé un bénéfice net de 30,6 millions de dollars (M$), ou 0,67 $ par action diluée, comparativement à un résultat net de 55,7 M$, ou 1,26 $ par action diluée lors du trimestre correspondant de l’exercice 2022.

La direction de l’institution basée à Montréal fait remarquer que les résultats du quatrième trimestre comprennent une incidence négative avant impôts de 5,3 M$ liée à la panne du système central survenue en septembre. Les résultats comprennent aussi des charges de restructuration et des charges liées à l’examen stratégique de 15,9 M$.

Le bénéfice net ajusté a été de 44,7 M$, ou 1,00 $ par action diluée ajustée, par rapport à 57,8 M$, ou 1,31 $ par action diluée ajustée pour le quatrième trimestre de l’exercice 2022.

Pour l’ensemble de l’exercice 2023, la Banque Laurentienne déclare un bénéfice net de 181,1 M$, ou 3,89 $ par action diluée, comparativement à un résultat net de 226,6 M$, ou 4,95 $ par action diluée pour l’exercice qui a pris fin un an plus tôt, le 31 octobre 2022.

Le président et chef de la direction de la Banque Laurentienne, Éric Provost, affirme que l’institution s’affaire à rationaliser les activités de la Banque et à revoir en profondeur son plan stratégique afin de se concentrer à demeurer une institution québécoise solide.

Éric Provost a pris la tête de la banque au début du mois d’octobre peu après avoir été nommé chef de groupe des services bancaires aux particuliers et aux entreprises. Il a succédé à Rania Llewellyn.

Michael Boychuk a quant à lui été nommé président du conseil d’administration. Il a remplacé Michael Mueller.

En marge de la publication des résultats du quatrième trimestre, le conseil d’administration de la Banque Laurentienne a déclaré un dividende trimestriel régulier de 0,47 $ par action sur les actions ordinaires payable le 1 février prochain.

L’article La Banque Laurentienne annonce un recul des résultats nets est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Hausse du profit pour la Financière Sun Life https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/hausse-du-profit-pour-la-financiere-sun-life/ Tue, 14 Nov 2023 11:50:01 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97508 Pour son 3e trimestre.

L’article Hausse du profit pour la Financière Sun Life est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
La Financière Sun Life a affiché lundi un bénéfice du troisième trimestre de 871 millions de dollars (M$), en hausse par rapport à celui de 111 M$ qu’elle avait réalisé lors de la même période un an plus tôt.

Le bénéfice par action de l’assureur torontois s’est établi à 1,48 $, alors qu’il avait été de 19 cents au troisième trimestre précédent.

La Sun Life a notamment attribué la hausse de son résultat à l’incidence favorable des marchés reflétant principalement les taux d’intérêt.

Lire également : La Sun Life : la créativité pour façonner l’avenir de l’assurance

Le bénéfice net sous-jacent s’est établi à 930 M$, ce qui représentait une légère baisse par rapport à celui de 949 M$ enregistré un an plus tôt.

L’assureur a indiqué avoir complété au cours du trimestre son acquisition du fournisseur de services virtuels de santé et de mieux-être Dialogue au cours du trimestre.

En outre, la Sun Life a annoncé qu’elle verserait, le 29 décembre, un dividende de 78 cents par action aux actionnaires ordinaires inscrits en date du 29 novembre. Il s’agit d’une augmentation de 3 cents, soit 4 %, par rapport au dividende du trimestre précédent.

L’article Hausse du profit pour la Financière Sun Life est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
IG Gestion de patrimoine introduit de nouveaux fonds Profil https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/ig-gestion-de-patrimoine-introduit-de-nouveaux-fonds-profil/ Mon, 06 Nov 2023 13:15:12 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97131 PRODUITS - Axés sur les revenus et les dividendes.

L’article IG Gestion de patrimoine introduit de nouveaux fonds Profil est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
IG Gestion de patrimoine élargit sa gamme de solutions de placement Profil avec le lancement de deux nouveaux Portefeuilles de revenu mensuel bonifié Profil et d’un Fonds privé d’actions canadiennes de dividendes et de revenu Profil.

Ces véhicules d’investissement sont conçus pour fournir aux investisseurs un revenu stable et une appréciation du capital grâce à une exposition aux sociétés canadiennes versant des dividendes.

Les nouveaux Portefeuilles de revenu mensuel bonifié Profil, notamment le Portefeuille Équilibré canadien à revenu fixe et le Portefeuille Équilibré canadien neutre, ciblent une distribution annuelle stable de 5 % et 6 % respectivement, payée mensuellement.

« Les Portefeuilles visent à rendre les rentrées de fonds que les clientes et clients reçoivent de leurs placements plus prévisibles, en mettant l’accent sur l’efficience fiscale, ce qui peut favoriser la longévité de leurs placements axés sur le revenu », a précisé Todd Asman, vice-président exécutif chez IG Gestion de patrimoine.

Placements Mackenzie agira à titre de sous-conseiller en valeurs pour les Portefeuilles.

Quant au Fonds privé d’actions canadiennes de dividendes et de revenu Profil, il mise sur le potentiel de croissance et de revenu en se concentrant sur des titres canadiens à dividendes. Ce fonds, qui sera sous-conseiller par Placements Mackenzie et Fonds Dynamique, investit dans des entreprises de qualité, évaluées à un prix avantageux, et qui présentent des perspectives de rendement et de croissance de dividende supérieures à la moyenne. Le Fonds pourrait également sélectionner des entreprises qui peuvent accroître leurs dividendes au fil du temps.

L’article IG Gestion de patrimoine introduit de nouveaux fonds Profil est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>