dollar américain – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Tue, 13 Aug 2024 13:25:16 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png dollar américain – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Forte demande pour les FNB d’actions américaines https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/forte-demande-pour-les-fnb-dactions-americaines/ Wed, 14 Aug 2024 11:03:51 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102137 FOCUS FNB - Ils représentent plus de la moitié des créations nettes depuis le début de l’année.

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En juillet, les fonds négociés en Bourse (FNB) canadiens ont reçu 5,2 milliards de dollars (G$) de créations nettes, retrouvant les niveaux atteints en avril et en mai, après un mois record de 10 G$ en juin, selon un rapport de Banque Nationale Marchés financiers (BNMF)

Depuis le début de l’année, les FNB canadiens ont enregistré des créations nettes de 38,8 G$. Au total, l’actif sous gestion dans les FNB canadiens s’élevait à 460 G$, à la fin de juillet 2024.

Ainsi, les FNB d’actions ont été en demande en juillet. Les créations nettes dans cette catégorie de fonds se sont élevées à 2,6 G$, comparativement à 2,3 G$ en juin. La popularité des FNB d’actions américaines, qui avait faibli en juin, a repris de la vigueur en juillet. Les FNB d’actions des États-Unis ont enregistré des créations nettes de 2,2 G$ le mois dernier. En juin, elles avaient plutôt affiché des rachats nets de 432 M$.

En juillet, les entrées nettes de fonds d’actions américaines ont surpassé les créations nettes des FNB d’actions des marchés internationaux (1,4 G$). Les FNB d’actions canadiennes ont enregistré des rachats nets d’un peu plus de 1 G$ en juillet, alors qu’elles avaient affiché des créations nettes de 1,4 G$ en juin.

Depuis le début de l’année, les FNB d’actions américaines ont collecté des entrées nettes de 11 G$, ce qui représente près de la moitié de toutes les créations nettes dans cette catégorie d’actifs. Pendant la même période, les actions des marchés internationaux ont collecté 9 G$ et les actions canadiennes 1,5 G$.

En juillet, la dominance des FNB de titre de participation de société à grande capitalisation a été moins forte parmi les entrées nettes dans les FNB d’actions américaines. On commence à s’intéresser également aux petites capitalisations, selon BNMF. La surperformance du marché des actions de sociétés à petites capitalisations en juillet a attiré les investisseurs désireux de diversifier leur portefeuille. Afin de réduire les risques de concentration des portefeuilles, les FNB ayant comme stratégie de plafonner la pondération d’une seule action dans l’indice, comme les FNB équipondérés ou encore le iShares 3 % capped S&P 500 Index ETF sont aussi disponible sur le marché, selon BNMF.

Une partie des rachats nets dans les FNB canadiens proviennent des FNB sectoriels, notamment du secteur financier, qui a enregistré des rachats de 863 M$ le mois dernier, et des secteurs de la technologie (40 M$), de l’énergie (27 M$) et des services publics (12 M$). Les FNB qui ciblent les secteurs de l’immobilier et des matériaux affichent des entrées nettes.

Les FNB thématiques enregistrent des créations nettes de 139 M$ dont 97 M$ pour les FNB ESG d’actions.

Les obligations canadiennes stables

Les FNB de titres à revenu fixe ont affiché des créations nettes de 1,7 G$ en juillet et de 13,9 G$ pour les sept premiers mois de 2024.

En juillet, les créations nettes des FNB de titres à revenu sont réparties dans toutes les catégories, à l’exception des actions privilégiées, des FNB à rendement réel (TIPS/F) et des FNB de qualité inférieure.

Les obligations de sociétés canadiennes ont réalisé les plus importantes entrées nettes dans cette catégorie (803 M$). Les autres entrées nettes se distribuent dans les FNB à ultracourt terme, à moyen terme, à échéance cible et du marché monétaire, qui ont totalisé plus de 200 M$ de créations nettes en juillet.

Les FNB multi-actifs ont affiché des créations nettes de 637 M$ grâce aux FNB d’allocation d’actifs équilibrée.

Après plusieurs mois consécutifs de rachats, les FNB canadiens de cryptoactifs ont renoué avec les créations nettes en juillet (69 M$). Les analystes de BNMF attribuent cette embellie à l’amélioration des prix et au ralentissement des échanges vers les FNB plus récents aux États-Unis. Depuis le début de l’année, les rachats nets dans les FNB de cryptomonnaies totalisent 534 M$.

Les FNB de matières premières ont enregistré des entrées de 42 M$, stimulés par les FNB de lingots d’or, signale le rapport.

En juillet, Vanguard se place en tête des fournisseurs de FNB canadiens avec des créations nettes canadiennes de 1,3 G$, suivi par RBC iShares (1 G$) et Global X (665 M$). Fidelity a enregistré les entrées nettes mensuelles les plus importantes sur la base du pourcentage des actifs initiaux au début du mois, pour des créations nettes de 600 M$, ce qui représente 8 % des actifs initiaux. Au niveau des fonds, VFV (Vanguard S&P 500 Index ETF) arrive en tête avec 701 M$ de créations nettes en juillet. ZEB (BMO Equal Weight Banks Index ETF) de BMO enregistre les plus importants rachats du mois (908 M$).

Au total 18 FNB ont été lancés en juillet. CIBC à lui seul a mis sur le marché neuf FNB d’obligations à échéance cible. Les autres lancements reviennent à Fonds Dynamique, CI Financial, RBC iShares, BMO et Brompton. Les frais de gestion de ces FNB varient de 0,12 % pour les FNB iShares à 0,65 % pour les FNB de Fonds Dynamic et de BMO.

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GPTD élargit son offre de fonds communs de placement https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/gptd-elargit-son-offre-de-fonds-communs-de-placement/ Mon, 18 Sep 2023 11:59:16 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96194 PRODUITS – De nouvelles séries et options de placement sont maintenant offertes.

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Gestion de Placements TD (GPTD) apporte plusieurs changements à sa gamme de fonds communs de placement. Les nouveautés incluent deux fonds neutres en devises, de nouvelles séries de fonds existants et une option d’achat en dollars américains.

Fonds concentré d’actions américaines TD

Jusqu’à présent, ce fonds était uniquement disponible en Série D et en Série Privée. Dorénavant, il sera également proposé dans la Série à honoraires (F), la Série Conseillers (C) et la Série Investisseurs (I). Le fonds est conçu pour surpasser son indice de référence en investissant dans des sociétés américaines à grande capitalisation.

Les gestionnaires de portefeuille sont Damian Fernandes, CFA, directeur général de GPTD; Benjamin Gossack, CFA, directeur général de GPTD; David Mau, CFA, vice-président et directeur de GPTD; et David Sykes, CFA, chef des placements de GPTD et premier vice-président du Groupe Banque TD.

Expansion de la gamme de fonds d’actions américaines

La firme ajoute deux nouveaux fonds neutres en devises, étendant ainsi sa gamme de solutions de placement axées sur les États-Unis. Il s’agit des fonds suivants :

  • Fonds neutre en devises de croissance de moyennes sociétés américaines TD
  • Fonds neutre en devises concentré d’actions américaines TD (collectivement, les « nouveaux fonds neutres en devises »)

Ces fonds suivent les mêmes objectifs et stratégies que leurs versions standard, mais incorporent des produits dérivés de change pour minimiser les risques associés aux mouvements de devises. Ils sont conçus pour les investisseurs qui cherchent à réduire le risque lié aux fluctuations de change.

Les solutions neutres en devises de GPTD comprennent également le Fonds neutre en devises indiciel américain TD et le Fonds neutre en devises indiciel international TD.

Du nouveau au Fonds quantitatif d’actions américaines TD 

En plus de l’extension de ses fonds, GPTD a également lancé une nouvelle option d’achat en dollars américains pour son Fonds quantitatif d’actions américaines TD. Cette option s’inscrit dans une stratégie d’optimisation quantitative et est disponible dans la Série à honoraires (F).

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Des occasions sur les marchés financiers https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/des-occasions-sur-les-marches-financiers/ Thu, 03 Aug 2023 10:02:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95324 Des perspectives découlent de la baisse du dollar américain par rapport à certaines devises.

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Malgré l’incertitude économique actuelle, certains secteurs des marchés financiers offrent des opportunités pour les investisseurs qui demeurent actifs ou qui veulent revenir sur le marché.

D’ici la fin de l’année, les investisseurs peuvent déceler des cibles intéressantes malgré l’incertitude et les risques, avance le rapport Perspectives semestrielles 2023 de la firme Capital Group.

Parmi les turbulences qui secouent l’économie mondiale, une tendance pourrait être durable : celle de la baisse du dollar américain comparativement à l’euro, au yen et à de nombreuses autres monnaies. Le dollar canadien demeure quant à lui inchangé face au dollar américain.

La baisse du dollar américain constitue une bonne nouvelle pour les détenteurs d’actions internationales, dont la valeur s’apprécie mécaniquement avec le renforcement des devises internationales.

Actions internationales

Depuis cinquante ans, les actions internationales ont progressé en période de faiblesse du dollar américain. Cela se vérifie encore avec l’euro, en hausse face au dollar américain, permettant aux actions européennes de générer les meilleurs rendements parmi les marchés des pays industrialisés au quatrième trimestre 2022 et au premier trimestre 2023. Le cas est comparable pour les actions japonaises, qui ont profité de la hausse du yen face au dollar américain.

Or, la trajectoire du dollar américain laisse présager une faiblesse persistante dans les années à venir, selon le rapport de Capital Group. Cela s’explique par la faiblesse de l’économie américaine et de celle du marché immobilier intérieur, ainsi que la possible fin du mouvement de hausse des taux d’intérêt par la Réserve fédérale (Fed).

Actions à dividende

D’autres gagnantes du contexte actuel pourraient bien être les actions versant des dividendes. Depuis le début de l’année 2022, la portion des dividendes dans les rendements totaux a augmenté. Sur la période de 12 mois qui s’achevait le 30 avril 2023, les entreprises mondiales ont augmenté leurs dividendes de 8,9 % pour les porter à 2 000 milliards de dollars US.

De ce point de vue, il s’agit de déterminer quelles sont les entreprises de qualité capables de verser des dividendes. Les secteurs des produits pharmaceutiques et des dispositifs médicaux, des services aux collectivités, de la production d’énergie et certaines entreprises du secteur de l’industrie sont à surveiller.

Une arrivée massive de liquidités ?

Un événement pourrait changer la donne sur les marchés financiers, signale Capital Group, qui envisage l’arrivée massive de liquidités. C’est que les investisseurs américains ont délaissé leurs placements en actions et en obligations, pour se tourner vers les marchés monétaires, dont les totaux ont atteint un niveau record de 5 390 milliards de dollars US fin mai 2023. La tendance est comparable au Canada.

Ces transferts ont été provoqués par la hausse des taux d’intérêt. Cependant, les conditions ont changé et les investisseurs à long terme pourraient avoir intérêt à réexaminer leur approche. Les investisseurs ayant une grande aversion au risque pourraient investir une partie de leurs liquidités dans des actions versant des dividendes, ainsi que dans des obligations à court et à moyen terme, qui offrent des rendements plus élevés qu’en 2022.

Les actions internationales, les actions à dividendes et les obligations à court terme pourraient ainsi devenir les portes d’entrée des investisseurs qui souhaitent revenir sur le marché.

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La dé-dollarisation du monde est déjà bien engagée https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-de-dollarisation-du-monde-est-deja-bien-engagee/ Wed, 21 Jun 2023 10:22:34 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94532 L’érosion du dollar américain dans les échanges mondiaux est déjà bien entamée. Malgré tout, sa suprématie demeure encore solidement ancrée.

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« Il y a une tendance baissière du statut du dollar et elle est en accélération », affirme Yanick Desnoyers, vice-président, études économiques, chez Addenda Capital. En effet, selon la base de données COFER du FMI, alors que le dollars américain accaparait une part de 72% des réserves des banques centrales dans le monde, celle-ci a baissé à 58,4% en 2022.

Eurizon SLJ Asset Management évalue que cette chute, quand on tient compte des taux de change, a été en réalité de 11 points de pourcentage en 2022, abaissant la part du dollar américain à 47%.

Il n’y a que dans le gigantesque marché des transactions de devises où le dollar américain règne en maître absolu sans broncher, étant la monnaie de contrepartie dans 88% des transactions, selon la Banque des règlements internationaux. Cette part n’a fléchi que de deux points de pourcentage depuis 1988, année où elle était de 90%.

Dans les transactions commerciales mondiales, le dollar américain retient la part du lion, remontant même légèrement d’environ 50% en 2000 à environ 54%, selon une récente étude de Services économiques TD. Par ailleurs, au chapitre des transactions internationales bancaires, après avoir explosé à une part de 78% au début des années 1980, le dollar américain a lentement décliné à un niveau de 35% en 2022, après avoir connu un sursaut à 42% dans la décennie 2010.

Privilège exorbitant

Le « privilège exorbitant » du dollar américain, comme l’a caractérisé le président français Valéry Giscard d’Estaing, a permis jusqu’ici aux États-Unis de soutenir un important déficit commercial et leur a donné une grande latitude pour mener les politiques domestiques et internationales de leur choix, explique Vikram Rai, économiste senior chez Services économiques TD. Par exemple, ajoute Yanick Desnoyers, le géant américain bénéficie d’un considérable bénéfice de « seigneuriage », lui permettant de soutenir à faible coût d’immenses déficits et une dette de plus en plus lourde.

La contrepartie de ce privilège « est que les autres pays n’en jouissent pas, fait ressortir Vikram Rai. Historiquement, le coût pour ces pays a été un défi plus grand de financer leurs déficits commerciaux et gouvernementaux. »

Mais un point d’inflexion est survenu quand l’administration américaine a décidé de geler les réserves en devises de la banque centrale de Russie détenues dans le compte de ce pays à la Réserve Fédérale américaine et dans d’autres banques centrales du monde. Cette initiative a incité un certain nombre de pays à multiplier les moyens de réduire leur dépendance à l’endroit du dollar américain. Il faut dire que ce n’est pas la première fois que les États-Unis recouraient aux sanctions financières, ayant déjà ciblé la Lybie, la Syrie, l’Iran et le Venezuela aux cours de la dernière décennie. L’offensive contre la Russie n’a fait qu’exacerber un vieux contentieux.

Ainsi, le Brésil et la Chine ont convenu de mener leurs transactions commerciales en yuan. L’Inde effectue ses achats de pétrole russe avec des dirhams des Émirats Arabes Unis, et les membres du BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) viseront à leur sommet de cet été à faciliter les échanges commerciaux dans une nouvelle monnaie commune. Même la française Total Energies a complété une première transaction de gaz naturel en yuan en mars dernier.

Long chemin à parcourir

Jeter le dollar américain au bas de son trône ne sera pas une mince affaire. « La dé-dollarisation, reconnaît Eurizon Capital, exigerait qu’un vaste et complexe réseau d’exportateurs et d’importateurs, de négociants en devises, d’émetteurs de dettes et de prêteurs, décident indépendamment d’avoir recours à d’autres devises. Peu probable. »

Mais pas impossible. En guise d’avertissement, Allianz Global Investors rappelle la déconfiture de la livre sterling qui a été la monnaie de réserve internationale pendant cent ans jusqu’au milieu du 20e siècle.  À partir de 1950, la part de la livre dans les réserves des banques centrales est passée de 60% à moins de 5% au milieu de la décennie 1970. Sa valeur, qui était de 4.0 $US en 1950 est tombée à quasi-parité au milieu de la décennie 1980.

Quand cessera le « privilège exorbitant » du dollar américain, l’économie américaine, s’entendent les observateurs, va subir un choc considérable : les taux d’intérêt vont monter, l’investissement va fuir le pays, les consommateurs vont s’appauvrir. On peut soupçonner que le Canada sera à la traîne.

Une étude de Bank of America Securities ne voit pas le règne du dollar s’écrouler de sitôt, par contre elle reconnaît un facteur susceptible d’accélérer sa chute : une négligence fiscale persistante.

Yanick Desnoyers le voit du même œil. « À un moment où le taux de chômage est à seulement 3,4%, dit l’économiste, les États-Unis devraient être en surplus budgétaire en train de récolter des masses de taxes. Ils sont plutôt pris avec un déficit budgétaire de 1,9 billions $US et un ratio dette/PIB démesuré (123%). On s’oriente vers une crise de soutien de la dette si les administrations à venir n’ont pas le courage de bien administrer leurs dépenses. Si le monde perçoit une crise de soutien, la détérioration du statut du dollar pourrait s’accélérer. Ça ne surviendra pas demain matin, mais les perspectives sur 10 ans ne sont pas roses. »

Plusieurs observateurs ne prévoient pas un basculement soudain vers une seule monnaie alternative comme l’euro ou le yuan. Ils envisagent plutôt un glissement croissant vers un monde multipolaire où certaines monnaies auraient des hégémonies régionales, par exemple le dollar américain dans les Amériques, l’euro en Europe et dans certaines parties de l’Afrique, le yuan et le yen en Asie. À cette configuration, Vikram Rai ajoute un nouveau venu, susceptible d’ailleurs d’accélérer la chute du dollar américain : les monnaies numériques des banques centrales en développement partout dans le monde.

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