PLANÈTE FINANCE – La croissance du PIB américain devrait rester bien en dessous des 3 % promis par l’administration à la suite des réductions d’impôts de Trump.
PLANÈTE FINANCE - Alors que les partisans d’une destitution de Donald Trump sont de plus en plus nombreux de l’autre côté de la frontière, cette éventualité ne semble pas de nature à perturber les cours de la Bourse.
Selon les données de la Federal Deposit Insurance Corporation, les baisses d'impôts de Donald Trump ont eu des effets sur la profitabilité des banques américaines, générant plus de la moitié de leurs profits trimestriels records.
Les marchés financiers sont tellement fascinés par les tweets du président américain que J. P. Morgan a créé un indice pour évaluer les répercussions qu’ils engendrent, rapporte l’Associated Press.
Entre les guerres commerciales, le ralentissement économique mondial et la volatilité des marchés, bien des investisseurs sont tentés de cristalliser leurs gains et de se retirer tranquillement de la Bourse. C’est hors de question pour la gestionnaire de portefeuille Joanna Kwok.
Le président Donald Trump y est allé vendredi d'une attaque personnelle à l'endroit de la Réserve fédérale et de son président Jerome Powell, accusant, sur le réseau social Twitter, la banque centrale de n'avoir « rien fait! » et se demandant qui était « notre plus grand ennemi », M. Powell ou le président de la Chine.
PLANÈTE FINANCE – Les quatre anciens présidents encore en vie de la Réserve Fédérale américaine (Fed) ont publié une tribune commune soulignant l’importance d’une banque centrale détachée de toute considération politique.
PLANÈTE FINANCE - Voilà le message surprenant qu’un petit groupe de milliardaires américains a fait passer dans une lettre publique publiée lundi.
Le président américain Donald Trump continue d'attaquer le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, en affirmant que même s'il l'a « mis au monde », il aimerait maintenant le remplacer par Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne.
Le président américain Donald Trump a repris ses efforts pour exercer de la pression sur la banque centrale américaine, affirmant que les marchés boursiers et la croissance économique seraient bien plus vigoureux si ce n'était de ses décisions.