Les québécois ont davantage tendance à détenir des produits d'assurance de personnes, mais moins tendance à détenir des produits d'assurance maladie que les Canadiens du reste du pays, selon une étude récente menée par Credo Consulting, de Mississauga, en Ontario.Par rapport aux autres Canadiens sondés, les résidents du Québec interrogés étaient aussi davantage enclins à dire qu'ils avaient une bonne compréhension des questions financières qu'ils devaient régler à cette étape de la vie, et qu'ils évitaient les risques financiers.
les canadiens qui détiennent des produits d'assurance de personnes ont moins tendance à envisager de changer de conseiller en services financiers que ceux qui ont un conseiller mais ne détiennent pas de produits d'assurance, selon une étude récente menée par Credo Consulting, de Mississauga, en Ontario. De même, ceux qui détiennent des produits d'assurance sont beaucoup plus susceptibles de qualifier leur conseiller de façon positive comme «professionnel», «digne de confiance» et «fiable» que les Canadiens sans produits d'assurance.«Si vous [en tant que conseiller] êtes capable de rejoindre les gens sur le plan de l'assurance, alors vous protégez toutes les affaires que vous faites [avec ce client]», dit Jim Ruta, président de AdvisorCraft Media and Consulting de Toronto et chroniqueur vidéo chez Investment Executive.
DONNÉES SUR LE CLIENT - les investisseurs autonomes, c'est-à-dire ceux qui n'utilisent pas les services d'un conseiller en services financiers pour leurs investissements, ont moins tendance que l'ensemble des Canadiens à détenir une assurance de personnes, selon l'étude récente menée par Credo Consulting, de Mississauga, en Ontario. C'est le cas, même si les investisseurs autonomes considèrent que les soins des enfants, les soins de santé et les soins des aînés sont des questions financières importantes.«Les gens savent qu'ils devraient être assurés, mais souvent ils ne font rien à ce sujet, dit Sara Gilbert, fondatrice de Strategist(e) Développement des affaires, de Montréal. C'est là où le rôle du conseiller entre en jeu : aider les gens à comprendre l'importance de l'assurance et l'impact de l'absence d'une couverture d'assurance.»
Les canadiennes ont beaucoup plus tendance que les Canadiens à dire qu'elles trouvent que le jargon financier crée de la confusion et d'éviter les risques financiers, d'après une étude récente effectuée par Credo Consulting, de Mississauga, en Ontario.Ce fossé entre les genres sur le plan de la confiance et de l'engagement en matière financière représente un échec de la part de toute l'industrie des services financiers, ainsi qu'une occasion ratée de s'attaquer aux problèmes et aux priorités de la moitié de la population, estime un conseiller.