Le gouverneur de la Banque du Canada affirme que l'ajout d’une mesure de soutien du revenu comme la Prestation canadienne d'urgence (PCU) à la trousse d'outils du gouvernement pourrait aider le pays à réagir plus rapidement aux changements soudains de l'économie.
CIBC prédit la situation après crise en se basant sur les données historiques et les mesures prises pendant la pandémie.
La Banque du Canada dit observer des signes sur les marchés financiers du pays qui lui permettent de croire que certaines entreprises pourraient éprouver des difficultés à surmonter la crise économique liée à la pandémie de la COVID-19.
La pandémie de la COVID-19 a plombé les résultats du Mouvement Desjardins au premier trimestre, alors que ses excédents avant ristournes ont plongé d'environ 29 %, à 285 millions de dollars (G$), en dépit d'une hausse des revenus d'exploitation.
La Banque TD a indiqué vendredi qu'elle prévoyait inscrire une provision pour pertes sur créances liées à ses services de banque de détail aux États-Unis d'environ 1,1 milliard de dollars (G$) (800 millions de dollars américains) à ses résultats du deuxième trimestre en raison de la pandémie.
Même si la pandémie de la COVID-19 fera renouer le Québec avec les déficits, cela ne devrait pas ébranler sa cote de crédit, du moins à court terme, estime l'une des principales agences de notation.
L'économie canadienne a perdu près de deux millions d'emplois en avril, un record, la fermeture des services non essentiels pour ralentir la propagation de la COVID-19 ayant dévasté l'économie et contraint les entreprises à fermer temporairement.
Morningstar a établi un classement de ces périodes particulièrement pénibles.
Bien que les marchés aient connu un beau rebond, il est encore trop tôt pour conclure qu’on va être dans un environnement haussier à long terme, selon cet expert.
Les modèles de consommation que l'on connaissait se redéfinissent.