Selon le constat de la Banque du Canada.
Alors que le spectre d’une récession se clarifie, les marchés boursiers s’intéressent à la sortie de la crise.
Statistique Canada signale que dès janvier dernier, en début d'éclosion du nouveau coronavirus, des effets sur le produit intérieur brut (PIB) du Canada ont déjà pu être mesurés.
Voici ce qui attend l’économie et les marchés.
Le Conference Board du Canada s'attend à ce que le pays évite une récession technique et prédit que l'économie rebondira après avoir enregistré une contraction de 2,7 % au deuxième trimestre.
Les obligations pourraient atténuer les dégâts sur les portefeuilles des investisseurs causés par les corrections actuelles.
Depuis le 20 février dernier, les grands marchés boursiers du monde sont en pleine débandade. Pas ceux de Chine. Tandis que le S&P 500 depuis cette date a enregistré une chute de 15,8% (au 10 mars), l’indice chinois SSE de Shanghai a marqué une perte de seulement 1,7%. Jusqu’au 5 mars, il réussissait même à faire un gain net de près de 1%.
Les financiers peuvent endiguer les effets de l’érosion des marges en adoptant une meilleure gouvernance et une meilleure collecte de données.
GLC gestion d’actifs fait une analyse exhaustive de la situation et de la santé des marchés face au coronavirus et donne quelques conseils aux investisseurs pour gérer cette situation.
La ministre associée des Finances, Mona Fortier, qui est également la ministre de la prospérité de la classe moyenne, s’est entretenue avec Advisor’s Edge sur la manière dont le gouvernement prévoit maintenir la croissance de l’économie – et de la classe moyenne – en dépit des signes de turbulences. Ses réponses ont été éditées pour plus de clarté et de longueur.