L’année en cours s’annonce difficile pour les banques européennes. Outre la baisse de taux d’intérêt de la Réserve Fédérale (FED) et celle de la Banque Centrale européenne (BCE), l’environnement économique s’assombrit faisant planer plusieurs menaces.
L’économie mondiale continue de ralentir mais les perspectives sont moins sombres qu’on pourrait le croire, selon une récente étude de Deloitte.
Bien que la croissance mondiale ait ralenti au cours des derniers trimestres, le secteur financier américain ne présente aucune des faiblesses structurelles que connaissent d’autres pays ce qui éloigne la menace d’une récession imminente, affirme une étude de Jarislowsky Fraser.
En brossant l’inventaire des forces positives et négatives actuelles touchant l’économie américaine, Placements Mackenzie estime que la croissance devrait se poursuivre quelque temps.
PLANÈTE FINANCE - C’est l’ambition affirmée de la France qui accueille les 17 et 18 juillet le G7 Finances, afin que le capitalisme « soit plus juste, plus responsable et plus durable ».
Avec un penchant pour les actions canadiennes, indique le gestionnaire de London, GLC Groupe de gestion d'actifs.
Plusieurs sociétés financières présentent leurs perspectives relatives aux actions, aux obligations et à la croissance mondiale.
Alors que la croissance mondiale ralentit, les investisseurs auraient intérêt à mieux comprendre l’impact des banques centrales sur les marchés. Cela les aiderait à déterminer les perspectives des marchés des actions.
PLANÈTE FINANCE - La période d’expansion économique en cours est devenue la plus longue jamais enregistrée.
Le gouverneur de la Banque d'Angleterre, Mark Carney, a averti mardi que l'économie britannique progressait à peine en raison des incertitudes grandissantes sur le Brexit et de l'intensification des tensions commerciales.