L'économie canadienne a crû à une cadence annualisée de 0,4 pour cent au cours des trois derniers mois de 2018, le pays ayant affiché sa plus faible progression trimestrielle depuis le milieu de 2016, a indiqué vendredi Statistique Canada.
La réduction du nombre d’entreprises québécoises émettant des actions à la Bourse pour se financer n’inquiète pas Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation du Québec. Si les sociétés parviennent à trouver les capitaux dont elles ont besoin, le gouvernement n’a pas à intervenir, a-t-il dit vendredi à Montréal lors d’une allocution organisée par Québec Bourse.
Le milliardaire Warren Buffett soutient que l'entreprise qu'il a bâtie au fil de décennies d'acquisitions continue à bien se porter, même s'il peine depuis quelque temps à trouver des transactions majeures à des prix intéressants.
Le patron de la Banque du Canada estime que le taux directeur est suffisamment bas, à son niveau actuel de 1,75 %, pour avoir un effet stimulant sur l'économie.
Le gouvernement du Québec se dirigerait vers un surplus plus important que prévu pour l'année financière 2018-2019.
La Réserve Fédérale (Fed) a annoncé qu’elle ferait désormais preuve de prudence et suivrait l’évolution des données économiques pour « ajuster » son taux directeur.
ZONE EXPERTS – Le chef de la Réserve Fédérale des États-Unis (Fed) a de nouveau fait preuve de transparence le 30 janvier dernier, évoquant clairement son intention de demeurer patient en matière de hausse du taux directeur. Il compte y recourir seulement dans le cas où l’économie montrerait des signes d’inflation ou de surchauffe. Ce qui n’est pas le cas présentement!
La première fois que nous avons contacté James Cole du Fonds ciblé canadien Portland, à la fin de novembre, l’encaisse en portefeuille frisait 21%.
Des responsables européens ont revu jeudi à la baisse les prévisions de croissance économique pour les 19 pays de la zone euro, évoquant notamment un ralentissement de la croissance en Chine et un déclin du commerce mondial.
Le ralentissement récent de la croissance économique est attribuable à l'incertitude entourant les politiques commerciales des États-Unis, à la chute des prix du pétrole ainsi qu'à la baisse des dépenses de logement et de consommation au pays, fait valoir mercredi un sous-gouverneur de la Banque du Canada.