En tenant compte des circonstances dans lesquelles il a été déployé, le programme de subvention salariale d'urgence du Canada semble avoir été bénéfique, mais le gouvernement doit maintenant gérer le risque de son retrait selon la Chaire de recherche en fiscalité et en finances publiques (CFFP) de l'Université de Sherbrooke.
Il grimpe à 170,7 % signale Statistique Canada.
Une volatilité évoluant « au-delà de la norme est désormais un fait acquis », selon l'ancien chef de la Banque du Canada.
Il aimerait voir un plan de relance plus rapide.
Un tiers d’entre eux avouent qu’ils n’étaient pas prêts.
Le montant que les Canadiens doivent par rapport à leur revenu a diminué au deuxième trimestre, l'aide gouvernementale visant à contrebalancer l'impact économique de la pandémie de COVID-19 ayant contribué à augmenter le revenu disponible, pendant que le montant de la dette est resté relativement inchangé.
En contrepartie, l'endettement non hypothécaire moyen a diminué.
Les banques canadiennes continuent de mettre de côté d'importantes sommes afin de pallier les mauvaises créances alors que la pandémie de COVID-19 continue de secouer l'économie.
Bien avant l'effet de la crise de la COVID-19 sur leurs finances, 50 % des étudiants diplômés de 2015 au Canada avaient déjà déclaré qu'ils étaient endettés à la fin de leur programme d'études.
Le gouvernement fédéral prévoit d'utiliser des programmes existants afin de créer rapidement une nouvelle mesure de soutien pour les travailleurs mis à pied qui ne seront pas admissibles à l'assurance-emploi lorsque prendra fin la PCU.