étude – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 22 Feb 2024 13:01:42 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png étude – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Épargne-retraite : près d’un Canadien sur deux sans plan précis https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/epargne-retraite-pres-dun-canadien-sur-deux-sans-plan-precis/ Thu, 22 Feb 2024 13:01:42 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99264 Une étude révèle le décalage entre épargne et préparation.

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Dans un contexte économique de plus en plus incertain, les Canadiens de 35 ans ou plus affichent clairement une volonté d’épargner pour l’après-carrière. Selon l’étude annuelle sur la retraite d’IG Gestion de patrimoine, près des trois quarts (72 %) de cette tranche d’âge ont déjà investi dans leur épargne-retraite.

Toutefois, un peu moins de la moitié (42 %) de ces épargnants n’ont pas de plan de retraite défini. Beaucoup (45 %) ne savent donc pas le montant dont ils auront besoin pour vivre confortablement une fois qu’ils auront quitté le marché du travail.

L’étude a aussi révélé que seul un quart (26 %) des personnes sondées prend en compte des facteurs tels que l’inflation et les fluctuations économiques dans leur stratégie d’épargne-retraite.

Des résultats inquiétants aux yeux de Christine Van Cauwenberghe, cheffe de la planification financière à IG Gestion de patrimoine. Selon elle, un plan de retraite efficace doit intégrer divers éléments, dont le style de vie souhaité, les objectifs de revenus, les sources de revenus, les dépenses prévues, et une stratégie d’épargne qui englobe la gestion des actifs et des risques.

Le rapport souligne également un manque de soutien en planification de retraite parmi ceux qui consultent un conseiller : seulement 36 % d’entre eux déclarent recevoir de l’aide dans ce domaine précis.

Christine Van Cauwenberghe appelle à une responsabilité accrue du secteur financier pour aller au-delà de la gestion de portefeuille et offrir une planification financière intégrée, essentielle pour naviguer dans un environnement économique volatil.

L’étude en ligne a été réalisée avec Pollara Strategic Insights en janvier auprès de 1 305 personnes de 35 ans ou plus.

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La COVID-19 impacte les REEE https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/la-covid-19-impacte-les-reee/ Wed, 28 Oct 2020 11:43:52 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=75828 Aidez vos clients à gérer cet outil dans ces temps difficiles.

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La pandémie a forcé plusieurs remises en question. Parmi celles-ci, l’utilisation des fonds accumulés dans les régimes enregistrés d’épargne-étude (REEE), alors que la COVID-19 a changé les modalités d’enseignement à travers le pays, rapporte le Globe and Mail.

Les conditions des étudiants ont changé cette année avec cette pandémie qui a forcé plusieurs établissements d’enseignement supérieur à adopter les cours à distance. En ajoutant le stress financier qui accompagne le ralentissement économique résultant de la présente situation, plusieurs jeunes sont forcés de retourner habiter chez leurs parents, réduire leurs dépenses ou même interrompre leurs études.

Dans cet environnement, les conseillers en services financiers se doivent de revoir la planification des portefeuilles des REEE de leurs clients en incluant les nouvelles conditions qu’impose la pandémie de la COVID-19.

« Il est particulièrement important de prêter attention au PAE, surtout si les investisseurs ont plus d’argent dans leur REEE qu’ils n’en auront probablement besoin maintenant, note le Globe and Mail. La tentation pourrait être de laisser la contribution de la subvention PAE investie pour plus tard, même si un maximum de 5 000 $ peut être retiré au cours des 13 premières semaines de scolarité. Mais cette stratégie pourrait mener à un scénario perdant des années plus tard, s’il y a encore des fonds du PAE dans le compte après l’obtention du diplôme. »

Rappelons que les paiements d’aide aux études (PAE) est le montant versé à un bénéficiaire à partir d’un REEE pour l’aider à payer le coût de ses études post-secondaires. Ce montant est composé de subventions gouvernementales ainsi que des revenus générés par les cotisations aux régimes.

Au vu des conditions actuelles, certains…

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La moitié des étudiants étaient déjà endettés avant la pandémie https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-moitie-des-etudiants-etaient-deja-endettes-avant-la-pandemie/ Tue, 25 Aug 2020 13:18:09 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=70039 Bien avant l'effet de la crise de la COVID-19 sur leurs finances, 50 % des étudiants diplômés de 2015 au Canada avaient déjà déclaré qu'ils étaient endettés à la fin de leur programme d'études.

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Statistique Canada a observé que cette proportion de jeunes diplômés endettés avait peu varié depuis 2000.

Il en a été de même pour le montant en termes réels de la dette des étudiants à la fin de leurs études. Il est demeuré stable pour la plupart des diplômés de 2000 à 2015, la dette médiane ayant été de 17 500 $ pour les étudiants ayant obtenu leur diplôme en 2015, comparativement à 17 900 $ pour ceux l’ayant reçu 15 ans plus tôt.

Statistique Canada signale que les données à venir pourraient subir l’impact de la pandémie de COVID-19. Puisque bon nombre d’étudiants ont perdu leur emploi ou ont vu leur placement en milieu de travail être annulé ou reporté par la crise sanitaire, il se peut qu’ils aient accumulé une dette plus lourde pour compenser leur perte de revenu.

Statistique Canada rappelle à cet effet que le taux d’emploi a diminué de 23,6 points de pourcentage chez les étudiants âgés de 20 à 24 ans de février à avril derniers.

Par ailleurs, l’agence fédérale signale que la dette des diplômés de 2015 variait selon le niveau et le domaine d’études.

Ainsi, la dette médiane la plus élevée, de 60 300 $, a été signalée par les titulaires d’un diplôme professionnel, soit le triple de la dette des titulaires d’un baccalauréat ou d’une maîtrise. De plus, ce sont les détenteurs d’un diplôme professionnel qui ont affiché la plus forte variation du niveau d’endettement de 2000 à 2015, leurs dettes ayant bondi de 39 800 $ à 60 300 $.

D’autre part, les diplômés des programmes d’études liés à la santé étaient les plus susceptibles d’être endettés lors de l’obtention de leur diplôme et affichaient aussi les montants médians de dette les plus élevés parmi les titulaires d’un baccalauréat, d’une maîtrise et d’un diplôme professionnel. En revanche, les titulaires d’un diplôme collégial en éducation faisaient partie des diplômés les moins susceptibles d’être endettés, et leur dette médiane était la plus faible.

Il y a deux ans, Statistique Canada a observé que 64 % des diplômés endettés à la fin de leur programme d’études en 2015 l’étaient toujours en 2018. Cette proportion était similaire pour tous les niveaux d’études.

Plusieurs facteurs étaient associés à un remboursement plus rapide de la dette d’études, dont celui de résider en Ontario, alors que le fait de vivre dans l’une des provinces de l’Atlantique ou au Québec était associé à un remboursement plus lent de la dette.

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La « performance au meilleur prix », nouveau paradigme en gestion d’actifs https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/la-performance-au-meilleur-prix-nouveau-paradigme-en-gestion-dactifs/ Mon, 06 Jan 2020 13:14:41 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=63391 Aux yeux des investisseurs, individuels et institutionnels, de « bonnes performances à juste prix » ne suffisent plus. Ce qu'ils veulent, désormais, c'est la « performance au meilleur prix », affirme une étude des consultants McKinsey & Company.

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Intitulée Beyond the Rubicon : Asset management in an era of unrelenting change, l’enquête porte sur l’état de l’industrie nord-américaine de la gestion d’actifs en l’année 2018.

On y trouve un portrait saisissant d’un domaine en pleine transformation.

Signalant « l’émergence d’un nouveau paradigme de tarification », l’étude montre que les frais deviennent un facteur de plus en plus important dans les décisions d’achats. « En 2018, seuls les fonds les plus performants ont capté de nouveaux actifs. Et parmi ceux-ci, les clients ont opté pour les options à bas prix », observent les consultants.

Il se trouve aussi que les grands manufacturiers raflent la mise. En 2018, les dix plus grands manufacturiers nord-américains de fonds ont canalisé 89 % des entrées nettes.

Les auteurs de l’étude notent également que la pression sur les marges s’accentue.

En 2018, les actifs sous gestion en Amérique du Nord ont totalisé 43 T$, en hausse de 7 % par rapport à 2017. En revanche, les bénéfices du secteur nord-américain de la gestion d’actifs – en excluant les investissements alternatifs – ont chuté de 3,7 %.

Trois facteurs explicatifs entrent en jeu : les frais de gestion, les entrées nettes et la composition de l’actif. Entre 2013 et 2018, les frais de gestion ont baissé d’en moyenne 6 % dans le secteur individuel et de 9 % dans le secteur institutionnel. Qualifiées « d’anémiques », les entrées nettes n’ont atteint que 0,3 G$ en 2018. Les investisseurs individuels et institutionnels ont également déplacé leurs actifs vers des secteurs et stratégies moins coûteux (gestion passive, revenu fixe…).

Les auteurs de l’enquête rapportent que des acteurs de l’industrie caractérisent le nouveau monde de la gestion d’actifs en des termes darwiniens; comme un jeu à somme nulle où la croissance sera le fait des forts qui prendront la part des faibles.

Le marché semble d’ailleurs avoir intégré cette nouvelle donne puisque la valeur boursière des gestionnaires d’actifs se situe dans une très large fourchette comprise entre 5 à 22 fois les bénéfices, « la capacité à capter durablement la croissance organique étant le meilleur prédicteur des évaluations », comme le signale McKinsey.

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BCA Research se cherche un propriétaire https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/bca-research-se-cherche-un-proprietaire/ Wed, 25 Sep 2019 13:08:44 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=61175 Le spécialiste montréalais de recherche financière BCA Research sera probablement mis en vente par son propriétaire actuel, Euromoney Institutional Investor.

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Dans une brève communication transmise au London Stock Exchange  Euromoney signale être en train d’examiner son activité de gestion d’actifs. Cela implique que BCA Research a de fortes chances d’être vendue.

« Euromoney a une stratégie bien établie visant à passer à une société de services d’informations entre entreprises de type 3.0, ce qui se reflète dans la répartition du capital de la société », ajoute Euromoney.

Outre BCA, les activités de gestion d’actifs d’Euromoney comprennent une autre firme de recherche financière du nom de Ned Davis Research (Floride, États-Unis) ainsi que la publication mensuelle papier et web intitulée Institutional Investor.

Selon une analyse publiée en mars dernier par Edison Group, le secteur de la gestion d’actifs d’Euromoney était mis à l’épreuve par la réduction assez généralisée des dépenses des investisseurs pour la recherche, amplifiée par l’introduction des réformes réglementaires européennes connues par l’acronyme MiFID II.

Basée à Londres, Euromoney était jusqu’ici spécialisé dans la fournitures d’informations financières aux investisseurs institutionnels ainsi que dans la gestion d’événements spécialisés pour ces clientèles.

Fondée en 1949, BCA Research avait été acheté en 2006 par Euromoney.

Selon un article publié en 2011 par les consultants Integrity Research Associates, cette transaction avait apparemment réussi. « BCA a non seulement trouvé un solide partenaire de distribution, mais elle a également ajouté des produits, des services et du personnel clé à ses rangs », signalait alors Integrity Research Associates.

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Frais scolaires vs épargne retraite ? https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/frais-scolaires-vs-epargne-retraite/ Fri, 26 Apr 2019 13:47:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=58052 PLANÈTE FINANCE - La moitié des Américains qui paient les études de leurs enfants craignent pour leur propre retraite.

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51% des parents américains qui se portent responsables jusqu’au bout des frais scolaires de leurs enfants affirment qu’ils ont dû sacrifier une partie de leur fonds de pension pour y parvenir, révèle un sondage en ligne effectué par le site Bankrate.

Ce qui est tout aussi inquiétant, c’est qu’une tranche importante des adultes, aux États-Unis, n’épargne pas du tout pour ses vieux jours…

Dans un précédent sondage réalisé en mars 2019, Bankrate indiquait que plus d’un Américain sur cinq n’économisait pas d’argent, que ce soit pour la retraite, les urgences ou d’autres objectifs financiers. Parmi les principaux obstacles expliquant pourquoi ces personnes n’économisaient pas, le fait de ne pas gagner assez d’argent et d’avoir des dettes importantes à rembourser ont été évoqués.

Cette situation amène par ailleurs certains Américains ayant atteint l’âge de la retraite à devoir continuer à travailler. En 2017, la population active des Américains âgés de 55 ans et plus représentait environ 23% de la population active annuelle moyenne. Le Bureau of Labor Statistics estime que d’ici 2024, ce chiffre atteindra près de 25%.

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La santé, enjeu numéro un des 55 ans et plus https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-sante-enjeu-numero-un-des-55-ans-et-plus/ Mon, 29 Oct 2018 14:13:07 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=52329 Les problèmes de santé et les coûts des soins sont la principale préoccupation des Canadiens âgés de 55 ans et plus, selon un sondage effectué par Validatelt Technologies pour le compte de BMO Gestion de patrimoine.

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Plus de la moitié des répondants (51 %) ont jugé que cet élément était la préoccupation la plus importante liée au fait de vivre une longue vie, suivi de près par la sécurité financière ou la peur de manquer d’argent (47 %) et la crainte de devenir un fardeau pour les membres de la famille (40 %).

Le fait de ne rien avoir à laisser aux héritiers est revenu comme une des principales préoccupations pour 14 % des Canadiens répondants.

L’enjeu le plus important en matière de retraite et de placements pour les Canadiens âgés de 55 ans et plus est la maximisation de leur revenu à la retraite (25 %), suivi de près par la crainte liée à l’épuisement de l’épargne et des placements de son vivant (22 %), d’après le sondage.

Divergences conjugales

Des divergences d’opinions entre les conjoints quant à la planification pour la retraite touchent une majorité des répondants à l’étude (59 %).

La divergence la plus importante est le niveau d’épargne actuelle en prévision de l’avenir, où 22 % des Canadiens ont identifié avoir des divergences avec leur conjoint. Cet enjeu est suivi de près par les aspirations ou les objectifs pour la retraite pour un répondant sur cinq.

La distribution des biens ou des actifs personnels et l’héritage à laisser sont également des enjeux de désaccord entre les conjoints, pour respectivement 16 % et 13 % des répondants.

L’étude a été menée en ligne auprès de 505 Canadiens âgés de 55 ans et plus par la société Validatelt Technologies pour le compte de BMO Gestion de patrimoine.

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Milléniaux : terrain fertile pour les conseillers https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/milleniaux-terrain-fertile-pour-les-conseillers/ Tue, 14 Aug 2018 13:33:38 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=50273 C'est près de 12 billions qui changeront de main dans les prochaines années d'après Accenture. Donc, à l’aube du plus grand transfert de patrimoine dans le monde, les Canadiens de la génération Y, ne sont pas complètement outillés pour accueillir cet héritage, du moins pas sans l’appui d’un professionnel en services financiers.

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À preuve, près de la moitié (46 %) de ceux qui ont déjà reçu un héritage soutiennent qu’ils auraient dû demander conseil à un professionnel dans le domaine au sujet de la gestion de leur patrimoine, d’après les résultats du sondage d’Environics Research Group fait pour le Groupe Banque TD.

Cette génération reste majoritairement sûre qu’elle possède toutes les capacités pour gérer leur héritage déjà acquis ou à venir.

Quatre répondants sur 10 s’attendent à recevoir un héritage ou en ont déjà obtenu un. Parmi eux, 60 % prévoient recevoir de l’argent et un peu plus de la moitié (53 %) pensent hériter d’une propriété ou du produit de sa vente.

Le sondage a été réalisé auprès de 6 021 Canadiens âgés de 18 ou plus, dont 687 milléniaux qui ont reçu ou qui prévoient recevoir un héritage.

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