Deux émetteurs sur trois provenant de l’industrie des services financiers comptent au moins une femme au sein de leur conseil d’administration (C.A.), selon un récent rapport des Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM).
Parmi les personnes qui gagnent le plus d'argent au pays, se trouvant dans le 1 % supérieur de la population, seulement une sur cinq sont des femmes. Et elles empochent moins que leurs comparses masculins, ressort-il d'une étude de Statistique Canada.
Beaucoup craignent de manquer d’argent pour leurs soins de santé.
Si les banques comptent parmi les premiers bâtisseurs de la parité de main-d’œuvre, notamment pour les cadres et dans les conseils d’administration, l’industrie financière en général est encore un milieu très masculin.
Dans un récent article, Financial Advisor IQ se demande pourquoi si peu de femmes souhaitent devenir des professionnelles du conseil financier aux États-Unis. Serait-il possible que plusieurs d’entre elles aient une vision trop négative – et fausse – du métier?
FI RELÈVE – Les femmes préfèrent faire affaires avec une conseillère. Elles ont des besoins très spécifiques qui demandent une approche particulière. Les clientes ne veulent pas qu’on leur parle comme on parlerait à leur conjoint…
FI RELÈVE – Augmenter le nombre de femmes dans leurs rangs est au cœur des préoccupations des institutions financières ces dernières années, mais il reste encore beaucoup d’efforts à faire dans le secteur des marchés financiers.
Comment s’assurer qu’il y ait davantage de femmes dans le secteur des fonds négociés en Bourses (FNB) et, plus largement, en finance en général? En adoptant des politiques favorisant la conciliation travail-famille et en rendant le congé de paternité obligatoire, selon trois panélistes interrogés lors de l’événement Inside ETF Canada qui se déroulait le 21 et le 22 juin 2018 à Montréal.