Génération Z – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 29 Nov 2024 12:34:02 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Génération Z – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 La génération Z, des investisseurs nés https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/la-generation-z-des-investisseurs-nes/ Fri, 29 Nov 2024 12:34:02 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104159 Ses membres investissent plus fréquemment que les membres des autres générations.

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La majorité des membres de la génération Z (68 %) investissent de manière régulière, et ce, au moins une fois par année, selon une enquête menée par la Banque TD et rapportée par Financial Post. Une proportion bien plus élevée que la moyenne de toutes les tranches d’âge qui s’élève à 58 %.

Ces jeunes Canadiens, pour la plupart exclus du marché immobilier, tentent de construire leur richesse autrement qu’en s’achetant une maison.

Statistique Canada a récemment rapporté que 15 % des moins de 35 ans qui louaient leur résidence principale et n’avaient pas de régime de retraite d’employeur avaient un actif net supérieur à 150 000 $. Une belle augmentation par rapport aux 5 % de 2019.

Les jeunes Canadiens prennent en main leurs finances d’autant plus que les robots-conseillers et les plateformes d’investissement sont toujours plus accessibles aux investisseurs débutants qui n’ont pas la chance d’avoir de conseiller.

Cependant, l’inflation continue de peser lourd. Selon la TD, près de deux tiers des répondants ne parviennent pas à atteindre leurs objectifs financiers en raison du coût de la vie. L’enquête a également révélé que les Canadiens de toutes les tranches d’âge comptent davantage sur leurs comptes d’épargne, qui offrent une liquidité en espèces, pour faire face à leurs responsabilités financières.

L’enquête montre également que les Canadiens se reposent davantage sur leurs comptes d’épargnes pour faire face à leurs responsabilités financières. Plus du tiers des Canadiens ne contribuent ainsi qu’à leur compte épargne, laissant de côté leur compte d’épargne libre d’impôt (CELI) ou leur régime enregistré d’épargne-retraite (REER).

Si les comptes épargnes sont importants, ils offrent moins davantage que CELI et REER, rappelle la TD. Cette dernière constate également que nombre de répondants rapportent un manque de littératie financière. Près de la moitié (45 %) estiment manquer de connaissance en matière d’investissement.

« Trouver un équilibre entre les priorités concurrentes d’épargne et de dépenses peut être un défi, souligne Pat Giles, vice-présidente du parcours d’épargne et d’investissement à la TD, dans le communiqué de presse. Il est possible de profiter du présent tout en investissant et en épargnant pour l’avenir. Fixer des objectifs financiers ne nécessite pas un grand montant pour commencer ; il s’agit de cultiver l’habitude d’investir et de s’y tenir. »

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Les conseils financiers rémunérés boostent la confiance des clients https://www.finance-investissement.com/fi-releve/nouvelles-fi-releve/les-conseils-financiers-remuneres-boostent-la-confiance-des-clients/ Thu, 29 Aug 2024 11:54:16 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102226 DÉVELOPPEMENT – Selon une étude de Comparison Adviser.

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Les investisseurs qui paient pour des conseils financiers se sentent généralement plus confiants dans leurs décisions que ceux qui gèrent leurs investissements seuls, selon une étude de Comparison Adviser rapportée par Advisorpedia. Cette étude révèle des différences notables entre les personnes qui sollicitent l’aide d’un conseiller et ceux qui s’en passent.

En moyenne, les répondants qui paient pour des conseils financiers sont 16,9 % plus confiants dans leurs plans financiers que ceux qui ne le font pas. Cependant, seulement 18,4 % des répondants déclarent avoir déboursé pour obtenir des conseils financiers.

Répartition par âge des investisseurs payant pour des conseils

Age Pourcentage des répondants ayant payé pour des conseils financiers
Moins de 30 ans 5,6 %
30-39 ans 11,7 %
40-49 ans 14,0 %
50-59 ans 20,8 %
60 ans et plus 47,9 %
Moyenne 18,4 %

Source : Comparison Adviser

Selon le cabinet d’études, le pourcentage de personnes ayant payé pour des conseils financiers augmente avec chaque groupe d’âge. Cette part passe de 5,6 % chez les moins de 30 ans à 20,8 % chez les quinquagénaires et à 47,9 % chez les personnes âgées de 60 ans et plus.

Par ailleurs, l’écart de confiance entre ceux qui ont payé pour des conseils financiers et les autres tend à se réduire progressivement avec l’âge. La différence de confiance est la plus marquée chez les moins de 30 ans, qui sont 22 % plus confiants lorsqu’ils bénéficient de l’aide d’un conseiller. En revanche, pour les personnes de 60 ans ou plus, cette différence de confiance n’est que de 11,09 % lorsqu’elles consultent un professionnel.

Les jeunes générations, particulièrement la génération Z, semblent bénéficier davantage en termes de confiance en faisant appel à un conseiller. Les jeunes investisseurs manquent souvent de connaissances sur des sujets complexes tels que la gestion budgétaire, ce qui rend les conseils professionnels précieux pour eux.

En revanche, les personnes plus âgées ont davantage tendance à demander des conseils financiers, car avec l’âge, elles sont susceptibles de faire face à des défis financiers comme le mariage, le coût des études d’un enfant ou la mise en place d’un plan de retraite.

Les jeunes sont en général moins expérimentés et disposent de moins d’actifs que leurs aînés. Ils ne voient pas encore l’intérêt de faire appel à un conseiller, signale Advisorpedia. Par exemple, la valeur nette médiane des jeunes de 20 ans s’élève à 7 467 $, tandis qu’elle atteint 290 271 $ chez les quinquagénaires, selon les données d’Empower.

La confiance financière est influencée par de nombreux facteurs, tels que des événements majeurs de la vie (achat d’une maison, naissance d’enfants, préparation de la retraite). Ces situations peuvent diminuer la confiance d’une personne dans son plan financier. Cependant, une simple rencontre avec un conseiller peut apporter une clarté bienvenue et renforcer cette confiance.

Les conseillers jouent un rôle crucial dans l’amélioration de la confiance financière. Selon Comparison Adviser, les investisseurs qui ont déjà payé pour des conseils financiers sont en moyenne 16,5 % plus confiants que ceux qui ne l’ont pas fait.

La présence d’un conseiller peut aider à transformer les incertitudes en actions concrètes, telles que l’épargne ou l’investissement, pour atteindre des objectifs financiers à long terme.

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Éviter les stéréotypes concernant les générations https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/eviter-les-stereotypes-concernant-les-generations/ Thu, 25 Jul 2024 10:38:09 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101718 DÉVELOPPEMENT — Pour s’adapter adéquatement à la nouvelle ère de clients.

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L’industrie du conseil fera bientôt face à un changement de génération de clientèle puisque de nombreux enfants de baby-boomers bien nantis hériteront du portefeuille de leurs parents. Toutefois, selon Steve Galimi, vice-président, Stratégie et performance, à la Financière Banque Nationale (FBN), il ne faut pas tomber dans le piège d’associer certains besoins modernes à une tranche d’âge précise et ainsi entretenir les mythes générationnels.

Ce dernier reconnaît que les firmes doivent se préparer à un important transfert générationnel d’actifs dans les prochaines années et qu’il faut outiller les équipes pour bien gérer les transitions qui auront lieu à la suite de successions. « Les transferts générationnels ce n’est en revanche pas quelque chose de nouveau, il y en a toujours eu », rappelle-t-il.

Il considère que l’évolution des besoins des clients en matière de livraison de conseils est plus attribuable aux changements de la société moderne qu’aux particularités reliées à l’âge des investisseurs.

« Un des mythes qui persiste par exemple est celui que seulement la nouvelle génération est plus axée sur le virtuel. Or, la réalité ce n’est pas le cliché du jeune qui veut communiquer par Teams alors que son collègue de 60 ans préfère se rendre en personne au bureau avec son café. Il y a beaucoup de gens qui, peu importe l’âge, souhaitent être à distance, par exemple en restant au chalet ou encore pour travailler d’un peu partout », considère Steve Galimi.

Il rappelle que la pandémie de COVID-19 n’a fait qu’accélérer une tendance qui s’était déjà amorcée, et ce, à travers les générations. D’ailleurs, à la FBN, la plateforme Teams avait été installée sur les ordinateurs des employés avant que le virus ne déferle partout dans le monde. Certains d’entre eux avaient même commencé à tester le logiciel. « Nous avons été chanceux. Nous n’avons pas vécu un branle-bas comme ç’a été le cas chez d’autres firmes, car tous nos conseillers avaient déjà Teams sur leurs ordinateurs portables », raconte Steve Galimi.

Le Pointage des courtiers québécois 2024 de Finance et investissement a récemment fait état de certaines insatisfactions des conseillers à l’égard du soutien informatique octroyé par leur firme. Des répondants ont entre autres souligné le manque de formation, ainsi que les délais pour obtenir du soutien avec les outils mis en place ou avec les transitions technologiques.

Steve Galimi admet, notamment, qu’en matière d’onboarding de nouveaux clients, les opérations se déroulent plus lentement que la FBN le souhaiterait. « La personnalisation des plateformes doit être approuvée par la conformité. C’est cela qui peut prendre un peu plus de temps », indique-t-il.

Tout le monde a besoin de conseil

Un autre mythe que le gestionnaire déboulonne est l’idée que les générations plus jeunes, qu’il évite d’ailleurs lui-même d’étiqueter comme X, Y ou Z, ne ressentent pas le besoin d’être conseillées en matière de finances. « Je crois que c’est plus un enjeu de mobilité. Je parle un peu de placements avec ma fille de 17 ans. Cela l’intéresse, mais je ne la vois pas aller s’asseoir dans un bureau de conseillers pendant une heure », dit-il.

Sans offrir nécessairement de solution précise à cette réalité, Steve Galimi rapporte que la FBN offre des formations pour aider les conseillers à mieux exploiter les canaux de communications qui leur permettent de rejoindre leurs clients virtuellement. « LinkedIn est beaucoup utilisé. Évidemment, notre industrie est très réglementée, donc il n’y a pas grand-chose que tu peux faire. Nous ne leur disons pas de parler de placement, mais nous avons des professionnels qui leur partage de bonnes pratiques pour assurer une présence sur les réseaux sociaux ou encore, pour se bâtir un site internet. »

Le gestionnaire rapporte également que certaines équipes de conseillers de la FBN effectuent des focus groups pour sonder les investisseurs. « Ils vont rencontrer des clients de tous les âges pour leur demander quelle est la meilleure façon de communiquer avec eux et comment ils peuvent améliorer leur offre de services. Il y a de l’information très intéressante qui ressort de cela. »

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Assurer le bien-être financier des générations d’employés https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/assurer-le-bien-etre-financier-des-generations-demployes/ Thu, 02 May 2024 10:27:52 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100452 DÉVELOPPEMENT – Comment répondre à leurs besoins.

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Les avantages sociaux liés à l’épargne et à la retraite sont bénéfiques pour tous les employés. Cependant, chaque génération de travailleurs nécessite en plus un soutien spécifique pour naviguer efficacement dans la gestion de ses finances, rapporte Employee Benefit News (EBN). C’est une question de santé mentale et de productivité.

Selon un rapport de la société MarketWatch, le manque de connaissances financières entraîne un manque à gagner moyen par salarié de près de 1 500 $ par an. Pour combler cette lacune, les employeurs peuvent offrir des programmes d’éducation financière et fournir des outils, des formations ou des conseils d’experts, signale l’étude.

Le spécialiste David Straughan souligne l’importance de l’empathie et de la clarté dans ces initiatives. Les employés qui rencontrent des difficultés financières ont souvent besoin de regagner confiance en leurs capacités, et cela nécessite une approche bienveillante et compréhensive de la part de l’employeur.

Voici quelques recommandations pour répondre aux besoins spécifiques de chaque génération d’employés :

Génération Z : Établir un budget

Les jeunes professionnels de la génération Z gagneront à bénéficier d’un accompagnement pour établir un budget et mettre en place un plan d’épargne. Ils pourront ainsi atteindre leurs objectifs financiers plus tôt et planifier un avenir plus lointain, comme la retraite.

En comprenant l’importance des intérêts composés, ils peuvent commencer à faire fructifier leur épargne dès le début de leur carrière, ce qui peut renforcer leur situation financière de manière importante à long terme.

Millénariaux : Gérer les dettes

Les millénariaux sont souvent confrontés à un niveau élevé d’endettement et à des charges financières importantes liées à la fondation d’une famille. Ils nécessitent donc un soutien particulier pour gérer efficacement leurs dettes. Des conseils sur l’art d’établir un budget ou des solutions d’investissement adaptées à leur situation peuvent les aider à stabiliser leurs finances.

Par ailleurs, de nombreux jeunes adultes de cette génération assument des responsabilités de proches aidants auprès de parents âgés. Ils doivent jongler avec les responsabilités familiales et financières. De l’information et des références sur les ressources, les avantages fiscaux et les programmes disponibles peuvent les aider à mieux gérer cette charge.

Génération X : Se préparer à la retraite

Les membres de la génération X entrent dans une phase de transition vers la retraite. Ils ont besoin de soutien pour envisager et planifier cette étape importante de leur vie. Ils doivent réfléchir à l’évolution de leurs dépenses après la retraite et revoir leur budget en conséquence.

Des conseils sur la gestion des actifs financiers, la révision du budget et la prévision des dépenses post-retraite peuvent les aider à aborder cette transition en toute confiance.

Baby-boomers : Décaisser en toute tranquillité

Les baby-boomers, qui ont des parcours professionnels plus linéaires que les générations suivantes, ont souvent accumulé des économies considérables en vue de la retraite. Ils peuvent bénéficier de conseils sur la manière de gérer efficacement ces fonds et sur les options de décaissement les plus avantageuses.

De plus, ils peuvent également être intéressés par des conseils sur la manière d’aider financièrement leurs enfants adultes à démarrer dans la vie ou même soutenir leurs parents face aux défis que peuvent notamment soulever la santé et l’hébergement. Le décaissement n’est pas alors une simple question d’argent, mais il concerne également les valeurs qui animent profondément les individus.

En reconnaissant et en répondant aux besoins financiers uniques de chaque génération, les employeurs peuvent jouer un rôle essentiel dans le renforcement du bien-être financier des salariés à toutes les étapes de leur vie.

Le fait d’investir dans des programmes d’éducation financière et d’offrir un soutien adapté favorise également la création d’un environnement de travail où les employés se sentent soutenus et plus en confiance sur le plan financier.

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La génération Z préoccupée par l’argent https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-generation-z-preoccupee-par-largent/ Mon, 13 Nov 2023 11:37:42 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97298 Elle est résolue à bâtir son indépendance financière.

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Compte tenu du contexte économique difficile et de l’inquiétude des parents quant à l’avenir financier de leurs enfants, Mydoh, une application de gestion financière pour enfants et adolescents de RBC, a sondé les adolescents de la génération Z afin de savoir ce qu’ils pensaient de l’argent.

Des jeunes conscients et informés

D’après le sondage, 90 % des adolescents disent s’informer de manière proactive sur la gestion financière.

De plus, 80 % d’entre eux estiment avoir de bonnes notions financières, et 86 % croient qu’il est important d’éviter de s’endetter.

En outre, 64 % des répondants épargnent déjà pour leur avenir et 63 % prévoient d’investir. D’ailleurs, 63 % utilisent la technologie et les applications pour gérer leur argent.

Les adolescents de la génération Z ont les mêmes préoccupations financières que les générations qui les précèdent, notamment en ce qui a trait à leur capacité d’acheter une maison (79 %) et à faire des achats importants comme une voiture ou un mariage (69 %).

Plus de la moitié des Z (56 %) sont également préoccupés par la nécessité d’atteindre leurs objectifs financiers avant un certain âge.

« Les adolescents ont vu les effets de la hausse du coût du logement, des taux d’intérêt et de l’inflation sur leurs parents et les décisions quotidiennes qu’ils doivent prendre pour s’y adapter. Étant donné le poids économique grandissant de la génération Z, il est encourageant de constater que les membres de cette génération prennent tôt leur avenir financier en main », déclare Angélique de Montbrun, cheffe de l’exploitation, Mydoh.

Des consommateurs avisés

Le sondage révèle aussi que les membres de la génération Z sont des consommateurs étonnamment avisés.

De fait, 48 % d’entre eux affirment être moins disposés à acheter des produits en fonction de recommandations sur les médias sociaux, et huit sur dix ont du mal à croire aux produits ou aux services qui semblent trop beaux pour être vrais.

Prudente dans ses dépenses (76 %), cette génération aime respecter un budget (71 %).

Plus de la moitié (55 %) des membres de la génération Z ont indiqué avoir déjà fixé des objectifs financiers.

Parmi cette génération, les jeunes de 16 à 17 ans sont même davantage enclins à épargner pour l’université, une voiture ou un voyage (72 %).

Le CELI (39 %), le REER (31 %) et l’immobilier (29 %) constituent les trois principales formes d’investissement pour les adolescents.

Seuls 10 % d’entre eux prévoient d’investir dans les cryptomonnaies ou les jetons non fongibles (JNF).

« Les jeunes investisseurs réfutent également la croyance selon laquelle ils sont accros aux investissements volatils, tels que les jetons non fongibles. Ils sont par ailleurs favorables à l’épargne-retraite », explique Angélique  de Montbrun.

Tournés vers l’avenir

En ce qui concerne le travail, 75 % des adolescents pensent que la conciliation travail-vie personnelle sera un facteur plus important que leur rémunération.

De plus, 69 % jugent qu’un boulot d’appoint peut offrir une sécurité financière en période d’incertitude.

Déjà, 51 % recherchent activement des occasions de transformer leur passe-temps en boulot d’appoint.

À propos de leur carrière, 75 % pensent qu’ils ont besoin d’une expérience professionnelle ou d’un stage avant d’obtenir leur diplôme d’études secondaires ou universitaires.

Fait à souligner, la génération Z accorde plus d’importance à un emploi qui correspond à ses valeurs (85 %), qui est correctement rémunéré (84 %) et qui procure une certaine flexibilité quant au lieu de travail (72 %).

Huit adolescents sur dix déclarent aussi qu’ils donneront la priorité à leur santé mentale quand viendra le temps de choisir leur carrière.

« La réussite professionnelle est aussi importante pour les adolescents que pour les générations précédentes ; cependant, la génération Z semble s’opposer à la « culture de l’agitation » et donner la priorité à la conciliation travail-vie personnelle », explique Angélique  de Montbrun.

En quête de conseils financiers

Les résultats du sondage montrent que les adolescents s’adressent plus volontiers à leurs parents et à d’autres membres de la famille pour obtenir des conseils financiers (61 %), suivis des enseignants et de personnel de soutien (35 %) et de leurs amis (29 %).

Finalement, 40 % disent également avoir appris des choses sur l’argent sur au moins une plateforme de médias sociaux comme YouTube (27 %) et TikTok (18 %).

« Bien qu’il puisse s’agir d’une bonne ressource, il est encourageant de voir que les adolescents se tournent vers la famille et l’école pour en savoir plus sur les finances », estime Angélique  de Montbrun.

Ce sondage a été réalisé en ligne par Léger auprès de 1 010 jeunes Canadiens de 13 à 17 ans entre le 18 septembre et le 2 octobre 2023.

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Intégrer la génération Z à votre cabinet https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/integrer-la-generation-z-a-votre-cabinet/ Tue, 20 Dec 2022 13:09:35 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=90746 DÉVELOPPEMENT – Cela pourrait vous apporter beaucoup!

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Donner sa chance à la relève n’est pas une chose aisée surtout que la prochaine génération de conseillers a des valeurs dans lesquelles vous ne vous retrouvez peut-être pas. Mais cela vaut le coup de leur laisser une chance, selon un article d’Advisor’s Edge.

Les habitudes de travail de la génération Z diffèrent de celles des générations précédentes, note Mark Beal, professeur adjoint à l’école de communication et d’information de l’Université Rutgers dans le New Jersey.

Si l’ancienne génération vivait pour travailler, la nouvelle a plutôt tendance à travailler pour vivre, exemplifie-t-il. Ces derniers travaillent ainsi « pour pouvoir sortir et profiter de la vie, profiter des expériences, toutes ces sortes de choses », explique-t-il, mais attention cela ne fait pas d’eux des paresseux, au contraire.

Cette génération a un très fort esprit entrepreneurial, souligne Mark Beal. « Je connais des jeunes de 13 et 14 ans qui ont lancé leur propre entreprise. Ils cherchent juste à être invités à [mettre] cet esprit… au service du bien commun », rapporte-t-il.

Pas de place pour l’arrogance

Il est toutefois important de bien former cette génération, car si celle-ci peut apporter beaucoup aux anciennes générations, l’inverse est également vrai! Les conseillers qui partent à la retraite ont beaucoup de connaissances et de sagesse à transmettre, et les professionnels de la génération Z doivent les absorber. Si ces derniers loupent cette étape, ils risquent fort de perdre nombre de clients, prévient Kevin Burkett, gestionnaire de portefeuille chez Burkett Asset Management à Victoria, en Colombie-Britannique.

Ainsi certains conseillers préfèrent céder leur clientèle à d’autres entreprises parce qu’ils ne sont pas satisfaits de la façon dont la planification de la succession s’était déroulée, rapporte l’expert.

Les jeunes ne devraient donc pas faire preuve de trop d’arrogance et cela est également vrai dans la relation conseiller-client. « Si vous êtes un jeune conseiller dans un cabinet de gestion de patrimoine, en particulier lorsque vous travaillez avec des personnes très fortunées, il y a de fortes chances que la plupart de vos clients soient beaucoup plus intelligents, ou du moins plus sages, que vous », prévient Kevin Burkett.

Attirer la jeune génération

Pour attirer la jeune génération, il faut se concentrer sur certains essentiels, recommande Mark Beal. Cette génération est la plus inclusive, selon l’expert, et en est fier. Ils veulent donc trouver un environnement qu’ils reconnaissent, mais aussi dans lequel ils sont valorisés et pas seulement un rouage de la machine.

Cette génération est également adepte de la technologie. « Lorsqu’ils se rendent sur un lieu de travail, quel que soit le secteur, ils recherchent vraiment un endroit doté des dernières technologies », assure Mark Beal.

Ils veulent faire preuve d’efficacité et cette dernière passe notamment par la technologie.

Finalement, ils veulent aussi pouvoir apporter leur pierre à l’édifice, soyez donc à l’écoute de leurs questions, remarques et suggestions. Cela ne fera qu’améliorer votre entreprise, conclut Mark Beal.

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Tisser des liens plus étroits et profitables avec les clients https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/tisser-des-liens-plus-etroits-et-profitables-avec-les-clients/ Tue, 31 May 2022 12:09:54 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=87130 DÉVELOPPEMENT - En adaptant l’approche selon les générations.

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Les besoins des clients évoluent au gré des grandes étapes de leur vie. Avec quatre générations de clients à servir, les conseillers doivent adapter leurs stratégies pour les attirer, les mobiliser et les fidéliser.

« Le cycle de vie des clients impacte fortement le travail des conseillers. Ils doivent bien comprendre les besoins de chaque génération afin d’adapter leur approche en conséquence », a souligné Steve Doyon, directeur de comptes, assurance individuelle et services financiers chez Beneva en introduction d’un webinaire.

Les conseillers sont amenés présentement à servir au sein d’une même pratique pas moins de quatre générations de clients aux besoins, aux habitudes et aux valeurs très différentes, observe-t-il. Il n’est pas facile de s’y retrouver, car les comportements et les attentes de ces clients envers les conseillers varient considérablement en fonction de leur âge et de l’étape de leur vie.

Privilégier l’expérience client avec les Z

« Les Z privilégient l’expérience vécue avec le conseiller. Ils nécessitent donc une intervention particulière et en direct. Le conseiller doit leur proposer une expérience sobre et simple. Il doit être facilement accessible, compréhensif et savoir capter rapidement leur attention », note Steve Doyon.

Les membres de cette génération, qui regroupe les 6 à 24 ans, soit 32 % des travailleurs et des consommateurs selon Snapchat, utilisent en moyenne 5 types d’écrans par individu. Pour les rejoindre, le conseiller doit donc privilégier le téléphone intelligent ou la tablette, et communiquer par texto, et via TikTok, Twitter et Facebook , note Steve Doyon.

Les Z recherchent des conseils en planification financière, notamment pour établir un budget, planifier les dépenses et gérer les dettes (hypothèques, cartes de crédit, prêts étudiants).

Ils ont également besoin d’être guidés pour établir des objectifs financiers et d’épargne, souligne Steve Doyon. Le compte enregistré libre d’impôt (CELI) et le régime enregistré d’épargne retraite (REER) peuvent leur être utiles dans ce sens, en vue d’épargner afin de financer des études universitaires, l’achat d’une première voiture ou la mise de fonds pour un appartement. Les produits d’assurance maladie grave et d’assurance invalidité peuvent aussi leur être utiles pour sécuriser leurs revenus et faire face à leurs besoins de consommation en cas d’imprévu, signale l’expert en assurance.

Pour les aider à faire leurs débuts dans l’univers des placements, le conseiller peut les encourager à mettre de côté de petits montants en cotisant à un programme d’épargne hebdomadaire. Outre le CELI et le REER, ces clients pourraient opter aussi pour des fonds distincts 75/75, dont 75 % du capital est garanti à l’échéance du contrat et le même pourcentage au décès, suggère Steve Doyon.

Interagir à distance avec les Y

Les clients âgés de 25 à 40 ans, associés à la génération des Y, préfèrent interagir avec le conseiller à distance, note Steve Doyon. Ils se caractérisent par leur grande mobilité. Ils ont souvent déjà changé d’emploi à quelques reprises au cours de leur jeune carrière. Plongés très tôt dans le bain de la technologie, ils démontrent une forte autonomie et une grande facilité d’apprentissage. Cette génération priorise l’équilibre entre vie personnelle et professionnelle. La famille et les relations arrivent en tête de liste de leurs priorités, avant la carrière.

Outre le CELI et le REER, le régime enregistré d’épargne étude (REEE) peut être utile pour ceux d’entre eux qui commencent à fonder une famille. Ils peuvent également, en plus de l’assurance vie, avoir des besoins en assurance hypothécaire pour couvrir l’achat de leur premier logement, qui représente leur plus forte dette, et en assurance de protection de revenu.

Les sujets de prédilection à aborder avec eux touchent la planification successorale, fiscale et financière. En effet, cette génération qui devrait hériter de 22 000 milliards de dollars au cours des 20 prochaines années selon Deloitte, aura des besoins importants en matière de conseils sur la manière de gérer ces fonds.

Afin de répondre à ces besoins complexes, les conseillers qui servent ces clients auraient avantage à s’entourer de professionnels, tels que des notaires ou fiscalistes, afin d’augmenter leur qualité de pratique, indique Steve Doyon.

Conseiller la génération sandwich

La génération X, constituée des 41 à 56 ans, en a lourd sur les épaules. Elle doit soutenir des parents vieillissants tandis que les enfants n’ont pas encore quitté le nid. La planification de la retraite et la gestion de placements sont des sujets très importants pour cette « génération sandwich », qui a déjà vécu deux crises financières, connait les vertus de la diversification des portefeuilles, et est très alerte sur la préparation de la retraite, indique Steve Doyon,

Ces clients ont particulièrement besoin de conseils pour investir, car ils comptent pouvoir vivre de leurs placements à la retraite. Ils peuvent également être intéressés par une assurance vie qui leur permettra de laisser un legs non imposable à leurs descendants.

Un des rôles du conseiller consiste à aider cette génération à mettre de l’ordre dans ses finances mais aussi à jouer un rôle de soutien auprès de ses enfants et de ses parents. Il peut, par exemple, les amener à établir un plan successoral, un plan financier complet ou un plan de gestion des dettes. Il peut également les aider à planifier le financement des études postsecondaires des enfants et à brosser le portrait financier des parents.

Les membres de la famille pourraient par ailleurs avoir avantage à regrouper leurs actifs pour avoir accès à une plus large palette de services personnalisés grâce à la gestion privée.

Discuter retraite avec les baby-boomers

Les baby-boomers, âgés de 57 à 75 ans, ont besoin de conseils afin de réduire la volatilité associée au mode de vie pour s’assurer d’une meilleure retraite. Ils ont donc besoin de conseils en planification de la retraite, mais aussi en matière de placements, de testaments, de mandats de protection et de fiducies, entre autres. Ils pourraient également bénéficier, selon l’expert de Beneva, de produits tels que de l’assurance vie entière et de l’assurance vie universelle, des fonds enregistrés de revenu de retraite (FERR), des fonds de revenu viagers (FRV) ainsi que des fonds distincts.

Dans ce contexte, le conseiller pourrait trouver judicieux d’examiner leurs priorités de retraite avec les clients, par exemple analyser quels types de placements ils pourraient conserver à la retraite pour profiter des hausses et se protéger des risques de baisses, passer du mode épargne au mode dépenses et se préparer fiscalement en vue de la retraite.

Afin de bien servir les quatre générations et de tirer pleinement parti du potentiel de cette clientèle, Steve Doyon conseille de suivre quatre règles d’or :

  • Vérifier les besoins des clients régulièrement.
  • Privilégier la valeur du conseil et non la vente.
  • Éviter de bombarder les clients d’information, mais se concentrer sur les changements au niveau familial.
  • Adapter son approche – numérique ou plus traditionnelle – selon l’âge des clients.

De cette manière, les besoins essentiels des clients seront satisfaits, ce qui est le gage d’une relation durable et fructueuse.

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Au tour de la génération Z de façonner le marché du crédit https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/au-tour-de-la-generation-z-de-faconner-le-marche-du-credit/ Fri, 07 Feb 2020 13:07:56 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=64053 Les consommateurs canadiens de la génération Z deviennent de plus en plus actifs en matière de crédit.

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Les consommateurs canadiens nés à partir de 1995 stimulent la croissance du marché du crédit à la consommation, révèle une récente étude publiée par TransUnion. Actuellement, plus 2,8 millions de personnes de la génération Z peuvent solliciter un crédit et près de deux tiers (63 %) d’entre eux, soit environ 1,8 million d’entre eux, sont actifs en matière de crédit.

« Notre conviction est que le désir de crédit au sein de cette génération est important. Pour répondre à cette demande, il est essentiel que les prêteurs aient la possibilité de prendre des décisions plus éclairées sur les clients potentiels et de gagner leur confiance ainsi que leur clientèle », assure Matt Fabian, directeur de la recherche et des services financiers chez TransUnion Canada.

Au Canada, l’environnement économique favorable, due à la croissance constante du PIB et des taux d’intérêt relativement bas, est propice à l’accès au crédit pour la génération Z. Les progrès technologiques ont également poussé les membres de cette génération à se lancer sur ce marché.

« La génération Z est la première génération née à l’ère du numérique, et ces consommateurs s’attendent à une expérience client transparente dans tous les domaines, y compris la façon dont ils accèdent, utilisent et gèrent le crédit. En tant que jeunes adultes, ils sont peut-être plus conscients que les générations précédentes au même âge de l’importance de construire et de maintenir un crédit sain pour aider à naviguer dans l’économie moderne. À leur tour, ils profitent des possibilités de crédit et des outils facilement disponibles pour commencer à bâtir leur profil financier tôt », a déclaré Matt Fabian.

Les jeunes Canadiens aiment les cartes de crédit

La carte de crédit est l’outil de crédit le plus populaire parmi les Canadiens de la génération Z. Ce favoritisme pour ce type de produits peut s’expliquer pour plusieurs raisons :

  • elle facilite les achats
  • elle fournit aux consommateurs des liquidités et une source d’emprunt à court terme

« Notre étude a révélé que sur les marchés du crédit développés, le Canada en particulier, les cartes de crédit sont le produit de crédit à la consommation le plus populaire parmi les consommateurs de la génération Z. Cela offre aux émetteurs de cartes de crédit une opportunité d’inclure les consommateurs de la génération Z à faible risque dans leurs campagnes de marketing. Pour les émetteurs de prêts personnels, il existe une opportunité importante de capter une partie de la part de carte des besoins d’emprunt des consommateurs en offrant des raisons impérieuses de souscrire un prêt personnel », suggère Matt Fabian.

Ainsi, il est bon de noter que les prêteurs accordent des limites de crédit de carte plus faibles aux consommateurs de la génération Z qu’aux consommateurs plus âgés afin de gérer les risques. Mais il semble que les Canadiens de la génération Z, qui sont particulièrement friands des cartes de crédit, gèrent celles-ci de façon plus responsable que dans d’autres pays.

Près de la totalité (99,8 %) des Canadiens de la génération Z possèdent une carte de crédit, contre seulement 50 % des consommateurs de cet âge sur le marché américain, mais leur solde moyen par consommateur est plus bas que leur voisin du sud. Celui-ci s’élève en moyenne à 515 S contre 790 $ chez les Américains.

Parmi les autres produits de crédits traditionnels, le prêt étudiant est le deuxième plus utilisé par les membres de la génération Z (28 % en ont contracté), suivi par les prêts personnels non garantis (16 %) et le crédit auto (5 %).

« Au Canada, ainsi qu’aux États-Unis, seul autre pays développé de cette étude à avoir une pénétration importante des prêts étudiants, 28 % des emprunteurs de la génération Z ont un prêt étudiant, soit un total de plus de 506 000 consommateurs canadiens. Le solde moyen par compte de prêt étudiant était de 9 191 $. En même temps, les prêts étudiants ne semblent pas entraver l’accès de la génération Z à d’autres produits de crédit, car presque tous les emprunteurs canadiens actifs en matière de crédit de la génération Z détiennent une carte de crédit », commente Matt Fabian.

Un futur encore à construire

Pour le moment, seul un peu plus du quart des consommateurs canadiens de la génération Z ont l’âge d’accéder au crédit. Avec le temps, le type de crédit détenu par les membres de cette génération risque de se modifier. Ainsi leur demande de crédit s’étendra à d’autres produits tels que les prêts personnels ou les hypothèques, ce qui entraînera des soldes impayés plus importants.

Concernant les scores de crédit, les consommateurs de la génération Z ont généralement un moins bon score que la population totale active en matière de crédit. Le pourcentage de consommateurs de la génération Z dans la catégorie « super prime », ceux ayant un excellent score de crédit, est bien plus bas que parmi la population totale active. On en compte seulement 7 % contre 36 % chez les consommateurs plus âgés. Le pourcentage de consommateurs de la génération Z dans la catégorie subprime, soit la pire catégorie de crédit, est plus élevé (17 %) que celui de la population totale active (12 %).

« Nous avons vu que l’utilisation d’ensembles de données étendus et de techniques analytiques avancées peut aider les prêteurs à mieux comprendre les profils de risque de ces jeunes emprunteurs et à identifier des moyens de les engager de manière mutuellement rentable. Les prêteurs qui intègrent les tendances de crédit et les données alternatives peuvent mieux comprendre les profils de risque spécifiques de la génération Z et, par conséquent, sont largement en mesure de fournir à plus de consommateurs un accès aux produits de crédit traditionnels », conclut Matt Fabian.

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