Le principal indice boursier du Canada a terminé une année exceptionnelle avec un gémissement mardi, affichant des résultats plus faibles lors d'une séance à faible volume de transactions avant le congé du Nouvel An.
Les investisseurs aiment bien spéculer sur les répercussions que pourraient avoir le moindre événement politique sur la direction des marchés. Alors, lorsque cet événement est une procédure de destitution du président des États-Unis, il est normal d’en voir certains s’inquiéter.
Les huit premiers mois de 2019 ont été fructueux pour les indices boursiers. Le S&P/TSX et le mythique Dow Jones ont accumulé un rendement de 16,5 % depuis le début de l’année. Un résultat non négligeable, pourtant l’Indice Québec 30 les bat de loin.
Les marchés financiers sont tellement fascinés par les tweets du président américain que J. P. Morgan a créé un indice pour évaluer les répercussions qu’ils engendrent, rapporte l’Associated Press.
ZONE EXPERTS - Un indice qui fait parler de lui en période de turbulence boursière est le CBOE Volatility Index (VIX). Cet indice a reçu le surnom d’indice de la peur dans la communauté financière.
La Bourse américaine a connu une troisième semaine de déclin, mais a laissé la panique du 14 août qui a vu le Dow Jones perdre 800 points derrière elle.
Entre le ralentissement économique mondial et la guerre commerciale qui oppose les États-Unis à la Chine, les bénéfices des entreprises sont soumis à de fortes pressions. Partout dans le monde? Non, pas au Canada.
PLANÈTE FINANCE – Les quatre anciens présidents encore en vie de la Réserve Fédérale américaine (Fed) ont publié une tribune commune soulignant l’importance d’une banque centrale détachée de toute considération politique.
Après un mois de juillet ensoleillé, le mois d’août, historiquement nuageux en Bourse, démarre plutôt mal.
Parmi les 500 grandes entreprises cotées sur les bourses aux États-Unis sur lesquelles est basé le S&P 500, les conseils d’administration (CA) composés uniquement d’hommes appartiennent désormais au passé.