FI RELÈVE – La réapparition de la volatilité à la fin de l’année 2018, alors qu’elle était restée dans une tendance baissière depuis presque une décennie à part quelques pics intermittents, a surpris de nombreux acteurs du marché.
Le nombre de faillites au Canada est en hausse, a déclaré le gouverneur de la Banque du Canada cette semaine, et il s'attend à ce qu'elles augmentent davantage au fur et à mesure que la banque centrale relèvera ses taux d'intérêt.
L’erreur de suivi est un risque trop souvent ignoré.
C’est peut-être signe qu’un ralentissement économique approche.
Le portefeuilliste Alfred Lee propose notamment de miser sur les obligations dont le taux sera réinitialisé et sur la stratégie de l’haltère, qui est fondée sur les segments aux extrémités de la courbe des rendements.
Comme l'explique Martin Roberge de Canaccord Genuity dans son dernier billet, le duel entre les optimistes et les pessimistes entre dans une nouvelle phase.
Comme un enfant dans un magasin de bonbons, la chute boursière d’octobre au Canada a fait le bonheur de Stephen Takacsy, de Gestion d’actifs Lester.
PLANÈTE FINANCE – Cette année, 89 % des actifs boursiers ont généré des pertes aux investisseurs, selon une analyse de Bloomberg, un record historique.
Quatorze des 19 signaux précurseurs d’un marché baissier de Bank of America Merrill Lynch, ont été déclenchés.
Les négociateurs, certains stratèges et même Donald Trump, croient que la chute brutale des cours le 10 octobre est le mouvement de repli que tous attendaient.