Intelligence artificielle – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Mon, 07 Apr 2025 11:09:25 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Intelligence artificielle – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Productivité des banques : et si la solution passait par moins de complexité ? https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/productivite-des-banques-et-si-la-solution-passait-par-moins-de-complexite/ Mon, 07 Apr 2025 11:09:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106525 Les institutions financières doivent repenser leur modèle opérationnel de fond en comble, selon McKinsey.

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Alors que la productivité du secteur bancaire stagne depuis plus d’une décennie, un nouveau rapport de McKinsey révèle que les banques pourraient augmenter leur rentabilité de façon significative grâce à une approche de « simplification à grande échelle ». Cette stratégie pourrait générer des gains de productivité durables allant jusqu’à 15 % en deux ans, entraînant une hausse de 1,0 à 1,5 point de pourcentage du ROE (rentabilité des capitaux propres).

Baisse de productivité

Entre 2010 et 2023, la productivité des banques américaines a reculé de 0,3 % par an en moyenne. Et ce, malgré une hausse constante des investissements technologiques, notamment en intelligence artificielle (IA), en migration vers le nuage et en cybersécurité. Or, ces dépenses, bien que cruciales, ont souvent généré un faible retour sur investissement.

Les coûts d’exploitation ont parallèlement explosé, alourdis par les exigences réglementaires accrues, la gestion des risques et la compétition pour les talents, notamment dans les fonctions technologiques et analytiques.

La simplification des opérations permet non seulement de réduire les coûts, mais aussi d’améliorer l’expérience client. Par exemple, McKinsey estime que les banques les plus efficaces parviennent à octroyer des hypothèques à un coût moyen de 6 900 $ — soit 40 % de moins que la moyenne du marché en 2023 qui s’est établie à 11 600 $.

Les leviers de la simplification

Pour simplifier leurs opérations, les banques peuvent agir sur plusieurs fronts :

  1. Rationalisation des activités : Certaines banques comme Citigroup et HSBC ont déjà commencé à céder des actifs non stratégiques pour se concentrer sur leurs points forts. Citigroup a ainsi recentré ses opérations sur la gestion de patrimoine, tandis qu’HSBC se concentre sur ses marchés clés, soit le Royaume-Uni et Hong Kong, et les clients fortunés.
  2. Amélioration du modèle opérationnel : L’étude révèle que de 60 % à 70 % du temps des employés est consacré à des discussions internes, contre seulement de 30 % à 40 % pour des activités directement liées aux clients. Un contraste frappant avec les entreprises technologiques (fintech) où plus de 80 % du temps est consacré aux résultats concrets.
  3. Simplification de la prise de décision : Réduire le nombre d’intervenants et de niveaux hiérarchiques dans les processus décisionnels peut accélérer significativement les opérations.
  4. Adoption de l’agilité : Accélérer les cycles de développement permet de répondre plus rapidement aux besoins du marché et aux attentes des clients.

Ces modifications peuvent augmenter la productivité des banques de 20 à 30 % sans besoin d’embaucher davantage. Cependant, il est crucial d’assurer une transformation complète et durable. Selon une enquête de McKinsey de 2021, moins d’un tiers des transformations organisationnelles réussissent à améliorer la performance et à maintenir ces améliorations dans le temps.

Miser sur la technologie avec discernement

L’automatisation, l’analytique et les outils d’IA générative permettent des gains de productivité notables, jusqu’à 30 % dans certains cas. Toutefois, ces technologies doivent être intégrées de façon rigoureuse, avec des périmètres bien définis et une forte implication des équipes. L’objectif est de redéfinir chaque unité de travail, d’éliminer les tâches superflues et de maximiser la valeur créée par chaque processus.

Une méthode exigeante, mais payante

La simplification ne profite pas qu’aux indicateurs financiers. Elle transforme également l’expérience utilisateur : interactions fluides, services personnalisés, omnicanalité, clarté des communications. Elle allège aussi la charge des employés, libérés des processus internes trop lourds, ce qui améliore leur engagement et leur productivité.

Si elle est bien menée, la simplification à grande échelle peut générer des gains de productivité de 15 % en deux ans, selon McKinsey, tout en améliorant l’expérience client et employés. Mais cette démarche ne peut être purement technocratique : elle nécessite un engagement fort, un changement de culture et une volonté de remettre en question les modes de fonctionnement traditionnels.

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Comment l’IA optimise le travail des conseillers https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/comment-lia-optimise-le-travail-des-conseillers/ Thu, 03 Apr 2025 11:43:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106474 Plus de 40 % l’intègrent déjà dans leur pratique.

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L’intelligence artificielle (IA) se taille une place croissante en gestion du patrimoine. Selon le sondage Inside Information Software Survey 2025 de T3 Technology Hub, 41 % des conseillers en sécurité financière utilisent au moins un outil d’IA générative ou de recherche au quotidien.

Ces technologies permettent d’automatiser plusieurs tâches, telles que la prise de notes, l’envoi de courriels, l’intégration de nouveaux clients et la génération de prospects. Elles facilitent également l’organisation des dossiers et l’optimisation des recommandations.

Face à l’évolution rapide de ces outils, de nombreux conseillers testent différentes solutions pour améliorer leur efficacité. En voici quelques exemples, recueillis par Financial Planning.

Optimiser la prise de notes et les suivis

L’IA aide à documenter efficacement les rencontres clients. Des outils spécialisés transcrivent les échanges, produisent des résumés et identifient les tâches à suivre, évitant ainsi la rédaction manuelle de comptes rendus.

Brad Bresica, conseiller chez Moisand Fitzgerald Tamayo, utilise Jump AI, un assistant conçu pour faciliter la prise de notes en gestion de patrimoine. Cet assistant numérique simplifie la documentation des réunions et le suivi auprès des clients. Il inclut un module de préparation de réunion qui aide les conseillers à structurer leurs échanges.

Il explique que Jump AI a fait gagner aux conseillers de la firme qui l’utilisent au moins 30 minutes par rencontre. « C’est un outil conçu spécifiquement pour les conseillers et il nous permet d’être bien plus efficaces dans notre suivi client », explique-t-il.

Google Gemini AI, intégré à Google Meet, offre une fonctionnalité similaire en produisant à la fois un résumé structuré et une transcription complète des échanges, archivés automatiquement dans Google Drive. « Après chaque réunion, nous vérifions la précision des documents générés, et jusqu’ici, ils se sont révélés très fiables », souligne un représentant.

Simplifier l’analyse fiscale et la planification financière

L’analyse des déclarations de revenus est une tâche chronophage. Noah Damsky, fondateur de Marina Wealth Advisors, utilise Holistiplan pour l’optimisation fiscale. Cet outil analyse automatiquement les déclarations de revenus et en extrait les informations essentielles. Il permet aussi de comparer différents scénarios fiscaux et de proposer des stratégies adaptées aux besoins des clients.

« Chaque aspect de la gestion de patrimoine a des implications fiscales. Cet outil nous aide à condenser et organiser les informations des déclarations de revenus, ce qui nous permet de mieux conseiller nos clients », affirme-t-il. Cet outil lui sert aussi pour optimiser les placements, les retraits de retraite et la planification successorale.

Rédiger des synthèses

Mark Wilson, président de Mile Wealth, utilise l’IA pour transcrire et résumer ses réunions clients sans enregistrement audio ou vidéo. Les synthèses et les tâches générées à partir des transcriptions sont directement intégrées à la plateforme de gestion de la relation client, ce qui permet de sauver du temps.

Il exploite également ChatGPT pour générer des idées, résumer des documents, rédiger des ébauches, extraire des données et automatiser certaines tâches analytiques en Excel ou Python. L’utilisation d’un outil unique lui permet d’éviter de jongler entre plusieurs plateformes.

Certains logiciels croisent les réponses de plusieurs modèles d’IA pour produire des contenus plus approfondis et personnalisés, ce qui peut s’avérer pratique.

Said Israilov, cofondateur d’Israilov Financial, mise sur Google Gemini AI pour la prise de notes automatisée lors des réunions clients sur Google Meet. Il signale que l’outil génère deux documents après chaque rencontre : un résumé des points clés et une transcription complète de l’échange. Il précise que ces fichiers, stockés dans Google Drive, facilitent la conformité et permettent aux conseillers de mieux structurer leurs suivis.

Vérifier et enrichir les recommandations

Lors de l’élaboration de plans financiers, l’IA agit aussi comme un filet de sécurité en détectant d’éventuels angles morts notamment en matière de fiscalité et d’assurances. Les recommandations ainsi obtenues peuvent ensuite être comparées aux analyses des logiciels de planification utilisés par le conseiller afin d’affiner les conseils aux clients.

« J’utilise ChatGPT pour voir si j’ai omis un élément clé ou si je devrais approfondir certains aspects », indique Louis Barajas, PDG d’International Private Wealth Advisors.

De la gestion des réunions à l’analyse fiscale, les outils d’IA optimisent le temps des conseillers et accroît la valeur de leur service. À mesure que ces technologies évoluent, de nouvelles solutions émergeront. « Certains pensent que l’IA ne pourra jamais remplacer les conseillers, mais ceux qui ne fournissent pas un service véritablement complet risquent, eux, d’être remplacés », affirme un conseiller.

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Quatre thèmes d’investissement pour un marché volatil https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/quatre-themes-dinvestissement-pour-un-marche-volatil/ Thu, 03 Apr 2025 11:42:54 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106419 Rene Reyna d’Invesco mise sur l’IA, la technologie chinoise, la défense américaine et les grandes banques américaines.

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Les conseillers qui cherchent à rassurer leurs clients en comparant le marché actuel aux périodes de volatilité passées devront remonter bien au-delà des deux décennies d’expérience de Rene Reyna dans le secteur. Le responsable de la stratégie thématique et spécialiste des fonds négociés en Bourse chez Invesco, à Downers Grove, dans l’Illinois, affirme n’avoir jamais rien observé de similaire.

« Rien ne me vient à l’esprit avec un tel niveau d’incertitude », a-t-il déclaré lors d’une interview à Future Proof Citywide à Miami. La difficulté à cerner l’environnement actuel s’explique en partie par le fait que la volatilité a été déclenchée, du moins en partie, par un président américain dont le plan reste flou et l’exécution, imprévisible.

« Il est difficile de percevoir la finalité de la situation. Cela n’a aucun sens. »

Son responsable des médias craint que nous abordions la politique, ce qui, en ce moment, revient presque à dire à un météorologue de ne pas évoquer le vent. Donald Trump n’est pas le seul à influencer le marché en 2025, mais il appartient à une catégorie à part.

Rene Reyna et moi avons pris une table au bord de la mer pour parler de quatre marchés sur lesquels lui et son équipe sont investis, avec un mélange de choix d’actions et de transactions d’options :

  • l’intelligence artificielle (IA),
  • les entreprises de défense américaines,
  • les grandes banques américaines
  • et la technologie chinoise.

« La sélection des actions est plus importante dans un environnement comme celui d’aujourd’hui », a-t-il affirmé. Les investisseurs regardent au-delà des « Sept Magnifiques ».

Intelligence artificielle

L’introduction fracassante de DeepSeek à Hangzhou, en Chine, cet hiver, a semblé remettre en question l’évaluation de Nvidia et d’autres leaders du secteur. Ce n’est pas le cas, selon Rene Reyna. « L’engagement demeure, a-t-il assuré. Les perspectives sont toujours très positives. Il est difficile de dire qu’ils sont surévalués ».

Des géants comme Amazon continuent d’innover et de se développer, à la fois de manière organique et par le biais d’acquisitions. « Il semble que les grandes [entreprises] vont continuer à se développer », a avancé Rene Reyna.

L’IA n’en est qu’à ses débuts sur le plan commercial. L’optimisme des chefs d’entreprise à son égard et la demande de gains d’efficacité dans de nombreuses industries à travers le monde plaident en faveur d’une exposition continue, a-t-il ajouté.

Défense américaine

Le « Department of Government Efficiency » du président Donald Trump pose aux investisseurs dans les entreprises de défense américaines une question à laquelle ils n’ont jamais eu à faire face auparavant : la croissance des dépenses pourrait-elle ralentir, voire devenir négative ? Bien que cette dernière possibilité semble peu probable, la nature imprévisible du projet dirigé par Elon Musk rend toute certitude difficile à affirmer.

Dans l’ensemble, toutefois, Rene Reyna estime que les entreprises américaines de ce secteur continueront d’enregistrer de bons résultats. Les propos sévères de Donald Trump sur les dépenses militaires des pays membres de l’OTAN ont l’effet escompté. Les décideurs politiques de ces pays craignent également que les États-Unis ne se retirent de leur position de leader au sein de l’alliance historique, ce qui pourrait avoir de graves répercussions sur la défense du continent.

« L’Europe a l’impression qu’elle pourrait devoir faire cavalier seul, a analysé Rene Reyna. Nous pensons que les entreprises de défense américaines en tireront parti. Nous restons des leaders en matière de technologie de défense. »

Aussi difficile à accepter soit-elle pour les Européens, une augmentation de leurs dépenses en défense profitera aux fabricants américains.

Les grandes banques américaines

Ces dernières années, les grandes banques américaines ont dû faire face à deux vents contraires : un environnement réglementaire plus strict et des taux d’intérêt plus élevés, a rapporté Rene Reyna. Ces deux facteurs se sont inversés.

« Nous assistons à une reprise assez importante », a-t-il dit.

« Si vous regardez 2024, nous avons vu une forte augmentation du volume des transactions et des revenus. Il s’agit de déréglementation, de réduction des impôts et, espérons-le, d’amélioration de l’environnement tarifaire. »

La technologie chinoise

La promesse de Pékin de peser de tout son poids pour atteindre un taux de croissance économique de 5 % cette année a entraîné un regain de soutien à l’activité commerciale dans tout le pays.

« Nous savons que le président Xi décide des moments où l’esprit d’entreprise est célébré ou non dans le pays, a rapporté Rene Reyna. Il semble que nous ayons repris l’initiative. Et d’après des réunions récentes, nous savons qu’ils souhaitent se concentrer sur leurs capacités technologiques. »

Les valorisations des actions sont favorables, du moins par rapport aux marchés américains. C’est un domaine où la gestion active a le potentiel d’ajouter de la valeur.

La volatilité des marchés touche ces quatre thèmes d’investissement. Les opérations sur options permettent de gérer ce risque. L’équipe de Rene Reyna utilise des options d’achat couvertes et des options de vente garanties par des liquidités pour obtenir une plus grande flexibilité du prix d’exercice, par exemple.

Ils associent également les investissements passifs en actions à une gestion active des options, « ce qui empêche l’inadéquation entre les options indicielles et les titres sous-jacents, permettant au revenu régulier de jouer le rôle de diversificateur et de tampon défensif », a expliqué Rene Reyna dans un courriel de suivi.

« Vous pouvez réduire la volatilité et obtenir un flux de revenus fiable », a-t-il ajouté. C’est mieux que de recevoir des appels de clients sur le fil du rasoir.

« Ces stratégies d’options offrent une sorte de protection en raison de leur structure. Vous sacrifiez une partie de la hausse. Si nous connaissons un rebond, vous pourriez regretter de ne pas avoir investi à 100 %, mais je pense que c’est ce que font actuellement les investisseurs, a affirmé Rene Reyna. Il existe un juste milieu entre vendre entièrement sa position et s’y engager pleinement. »

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L’argent reste la principale source de stress pour les Canadiens https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/largent-reste-la-principale-source-de-stress-pour-les-canadiens/ Mon, 31 Mar 2025 11:08:02 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106333 Le coût élevé de la vie et la peur de prendre des décisions financières, des obstacles à la gestion des finances.

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L’argent demeure la principale cause de stress pour 42 % les Canadiens, selon le dernier indice de stress financier de FP Canada.

Cette proportion représente une légère baisse par rapport aux 44 % l’an dernier, mais une tendance à la hausse sur les cinq dernières années. L’argent a dépassé la santé (21 %), les relations (17 %) et le travail (17 %) en tant que principale source de stress.

Les principaux facteurs affectant les finances personnelles sont le prix des produits alimentaires et l’inflation, cités respectivement par 64 % et 54 % des répondants. D’une génération à l’autre, les jeunes répondants étaient plus enclins que leurs aînés à citer le prix de l’immobilier comme facteur affectant leurs finances personnelles (45 % des 18-34 ans, contre 26 % des 35-54 ans et 15 % des 55 ans et plus).

Pour faire face au stress financier, les répondants estiment qu’il serait utile d’épargner davantage (48 %), de rembourser leurs dettes (40 %) et de constituer un fonds d’urgence (37 %). Cependant, ils n’ont pas mis ces solutions en pratique en raison du coût de la vie élevé (68 %), de la crainte de prendre de mauvaises décisions financières (52 %) et du manque de revenus disponibles (51 %).

Le manque d’éducation financière a également été cité — en particulier par les jeunes répondants — comme un obstacle à une gestion positive des finances. Les personnes âgées de 18 à 24 ans ont déclaré que le fait de ne pas savoir où obtenir des conseils financiers fiables (49 %), comment commencer à améliorer leurs finances (49 %) ou comprendre les concepts financiers (37 %) étaient les principaux obstacles. Pour les personnes âgées de 35 à 54 ans, ces chiffres étaient respectivement de 36 %, 41 % et 23 %.

L’année dernière, un sondage réalisé par BMO a révélé que 45 % des Canadiens utilisaient l’intelligence artificielle (IA) pour obtenir des informations sur les finances personnelles. Cependant, une majorité des répondants (68 %) a également souligné que l’IA ne parvient pas à saisir l’impact des émotions sur la planification financière.

Le dernier sondage de FP Canada a montré que les répondants bénéficiant d’une aide professionnelle en matière de finances sont généralement plus optimistes quant à leur avenir financier que ceux qui n’en reçoivent pas, avec 60 % contre 48 %. Cet écart de 12 points de pourcentage constitue la différence la plus marquée observée au cours des trois derniers sondages annuels.

Léger a réalisé l’indice de stress financier de FP Canada entre le 6 et le 13 janvier en utilisant le panel en ligne de Léger et en recevant les réponses de 2 010 Canadiens. L’organisme professionnel de l’industrie des sondages, le Canadian Research Insights Council, affirme que les sondages en ligne ne peuvent être assortis d’une marge d’erreur parce qu’ils ne constituent pas un échantillon aléatoire de la population.

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Rapport sur les risques cybernétiques et géopolitiques croissants pour les institutions financières https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/rapport-sur-les-risques-cybernetiques-et-geopolitiques-croissants-pour-les-institutions-financieres/ Wed, 19 Mar 2025 11:45:39 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106126 Les fournisseurs de services tiers identifiés pour la première fois comme un risque majeur.

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Les institutions financières canadiennes se montrent particulièrement préoccupées par la cybersécurité et les risques géopolitiques cette année, révèle un rapport récent du Global Risk Institute (GRI). Parmi leurs autres préoccupations majeures figurent l’économie, la technologie et les risques associés aux tiers.

Les risques géopolitiques découlent principalement :

  • de relations commerciales tendues,
  • de menaces tarifaires,
  • et de l’incertitude quant au leadership politique au Canada.

« Les tensions géopolitiques créent un environnement imprévisible, dans lequel les entreprises peuvent hésiter à investir ou à se développer par crainte de changements politiques soudains ou de mesures de rétorsion. Cette incertitude peut étouffer la croissance économique et l’innovation, car les entreprises peuvent donner la priorité à la gestion des risques plutôt qu’au développement stratégique », explique un responsable de la gestion des risques aux auteurs du rapport.

Plus de quatre cinquièmes (82 %) des organisations interrogées estiment que les cyberrisques sont susceptibles de se matérialiser et 44 % considèrent qu’ils seraient difficiles à gérer. La prolifération rapide de l’intelligence artificielle (IA) complique davantage la gestion de ces risques. Contrairement aux compétences de base de longue date telles que les risques de crédit, de marché et économiques, la plupart des institutions financières manquent d’une expertise approfondie en cybersécurité, selon le rapport.

En revanche, si 64 % des organisations ont déclaré que le risque économique était susceptible de constituer une préoccupation importante, seulement 11 % d’entre elles ont estimé qu’il serait difficile à gérer. Malgré l’incertitude économique causée par les tarifs douaniers du président américain Donald Trump, « les institutions financières ont signalé leur confiance dans leur capacité à manœuvrer dans ce paysage complexe compte tenu des années de gestion de différents types de cycles économiques », selon le rapport.

Les principales préoccupations technologiques sont les perturbations causées par l’IA ou l’apprentissage automatique. Deux cinquièmes des répondants ont déclaré que le rythme d’adoption des nouvelles technologies par les concurrents constituait un risque élevé ou majeur. Parmi les autres préoccupations figurent la fiabilité des modèles d’IA, suivie par la réglementation de l’IA et la capacité de l’organisation à s’adapter au changement.

« L’IA est un perturbateur et un changeur de jeu, et nous sommes à la veille d’un changement important », a déclaré un répondant dans l’enquête.

Pour la première fois depuis le début de l’enquête en 2014, les institutions financières ont déclaré que le risque lié aux tiers était l’un des cinq principaux risques pour le système financier canadien. Les institutions financières s’appuient de plus en plus sur des fournisseurs de services externes pour les services de technologie et d’IA, dans un contexte de renforcement des exigences réglementaires, qui nécessitent une surveillance plus étroite des relations avec les tiers, selon le rapport.

L’enquête a été menée de novembre 2024 à janvier 2025 auprès de dirigeants du secteur issus d’une majorité de ses 51 membres institutionnels.

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Un déficit de 100 000 conseillers d’ici 2034 aux États-Unis https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/un-deficit-de-100-000-conseillers-dici-2034-aux-etats-unis/ Wed, 12 Mar 2025 11:01:57 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106080 Selon un rapport de McKinsey & Company.

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Nos voisins du Sud connaissent actuellement une forte demande de services de conseil financier. Au point où McKinsey prévoit qu’il manquera 100 000 conseillers pour la satisfaire d’ici 2034. Pour combler ce déficit, l’industrie doit considérablement augmenter sa productivité et, tout particulièrement, rehausser sa capacité de recrutement.

De 2015 à 2024, calcule McKinsey, les revenus prélevés à partir des frais générés par des relations de conseil sont passés de 150 milliards de dollars américains (G$) à 260 G$, une hausse annuelle moyenne de 6,4 %. Pour la même période, la firme prévoit que le nombre de relations individuelles conseiller-client va poursuivre une ligne déjà ascendante, passant de 53 millions à environ 70 millions.

Plus de richesse à gérer

Ces hausses s’appuient sur plusieurs facteurs. Le premier tient à une croissance annuelle de 4 % à 5 % du nombre de foyers plus nantis (500 000 $US et plus en actifs d’investissement), comparé à une croissance générale de la population américaine de 0,6 %. Dans cette montée, la cohorte des millénariaux, qui compte 72 millions d’individus, dispose de 25 % plus de richesse que les générations précédentes, soit la Génération X et les Baby Boomers.

L’autre facteur tient à des besoins accrus de la part des clients, qu’il s’agisse de planification financière, de conseil en investissement ou de gestion de dettes. « En fait, la part d’investisseurs qui cherchent du conseil plus holistique a crû de 29 % en 2018 à 52 % », écrit le rapport. Autre fait inattendu, 80 % des foyers sondés indiquent qu’ils préféreraient payer une prime de 50 points de base et plus pour du conseil humain plutôt que d’avoir recours à des robots, dont les frais oscillent autour de seulement 10 points de base.

Départs à la retraite et déficit

Cette demande accrue et l’élargissement de la palette des services sont sur une voie de collision frontale avec un déclin constant du nombre de conseillers, dont la baisse devrait être de 0,2 % par année, selon McKinsey. Environ 110 000 conseillers (38 % du total actuel) vont prendre leur retraite au cours de la prochaine décennie et leur départ ne sera pas compensé puisque le déficit à ce moment-là atteindra les 100 000 conseillers.

Jusqu’à présent, l’industrie a répondu à la demande croissante par des initiatives de productivité permettant aux firmes de servir plus de clients. Il faudra beaucoup plus, juge McKinsey. « Il faudra repenser en profondeur le modèle de fonctionnement des conseillers, avertit le rapport. Les entreprises devront augmenter leur productivité de 10 à 20 % et attirer de nouveaux talents dans le secteur à un rythme plus rapide : 30 000 à 80 000 nouveaux conseillers nets au cours des dix prochaines années, contre 8 000 au cours des dix dernières. »

Miser sur le recrutement

Le premier impératif est d’accroître le recrutement de façon dramatique. McKinsey propose de viser à deux niveaux : ceux qui entrent en carrière et ceux qui transitent entre deux carrières. Les auteurs s’étonnent du manque d’initiative à ce chapitre. « Aujourd’hui, seulement quelques grandes firmes de gestion de patrimoine s’intéressent à recruter sur les campus universitaires, aux internats structurés et aux programmes de rotation pour attirer les meilleurs talents. »

Plusieurs milieux professionnels ont « institutionnalisé » le recrutement, offrant une proposition de valeur claire et un parcours de carrière dès l’entrée. En comparaison, « le modèle de ventes basées sur les commissions en gestion de patrimoine rend l’industrie moins attrayante, parfois même rebutante, pour plusieurs jeunes diplômés ». Comment corriger le tir ? Repenser le point d’entrée en favorisant l’insertion dans une équipe, dessiner des parcours de carrière à court et moyen terme, surtout, assurer un niveau de rémunération compétitif dès le départ.

Un bassin de recrues peu exploité se trouve chez ceux qui pourraient émigrer vers le conseil financier en provenance de milieux comme la comptabilité, les secteurs de vente où une forte capacité de conseil est requise, par exemple la vente de logiciels, ou dans des domaines où de fortes habiletés relationnelles sont requises, par exemple en hôtellerie.

Prospection et IA

Toutefois, le seul recrutement ne sera pas assez, avertit McKinsey. L’industrie doit miser davantage sur les gains de productivité, tout particulièrement sur le plan de la prospection (lead generation), de la création d’équipes, et de la spécialisation des membres. « Nous calculons, écrivent les auteurs, que ces leviers peuvent augmenter la capacité des conseillers pour toute l’industrie de 10 % à 20 % en moyenne au cours des dix prochaines années, soit l’équivalent de 30 000 à 60 000 conseillers nouveaux selon les niveaux de productivité de 2024. »

Centraliser la prospection, par exemple, est une clé importante, permettant de libérer de 3 % à 4 % du temps des conseillers, surtout chez les débutants et les conseillers moins seniors qui passent 50 % de leur temps en prospection. Les activités de prospection proposées sont nombreuses : créer une présence sur les médias sociaux, commanditer des webinaires et des dîners, réseauter.

Certaines firmes ont exploré l’embauche de spécialistes en développement des affaires pour faire un premier filtrage de clients prospectifs, « améliorant la qualité des clients potentiels à moindre coût ». D’autres firmes ont même embauché des spécialistes du closing pour maximiser l’arrivage de nouveaux clients. « Garantir l’accès à un flux régulier de prospects, note McKinsey, est une devise importante pour le recrutement de conseillers, car il peut accélérer la croissance des praticiens en début ou en milieu de carrière ».

McKinsey invite l’industrie à ne pas passer à côté des technologies d’intelligence artificielle générative, « une occasion qu’on ne voit qu’une fois dans sa vie ». Le recours à ces technologies est susceptible de produire des gains de temps de 6 % à 12 % en accélérant la préparation de rencontres clients, en créant des propositions de plan financier, en prenant en charge des tâches administratives et de conformité.

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Conseil mondial des investisseurs de l’AIMA https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/aima/conseil-mondial-des-investisseurs-de-laima/ Fri, 07 Mar 2025 11:24:28 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105985 ZONE EXPERTS — Principaux enseignements sur l’IA, l’analyse prédictive et le modèle de collaboration en matière de co-investissement.

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Le conseil mondial des investisseurs (GIB) de l’AIMA a récemment abordé des sujets d’actualité tels que l’intelligence artificielle (IA), l’analyse prédictive et le modèle de collaboration en matière de co-investissement. Vous trouverez ci-dessous les informations essentielles que les gestionnaires de fonds alternatifs et les propriétaires d’actifs doivent connaître :

Perspectives sur l’IA, l’apprentissage automatique et l’analyse prédictive dans la gestion des investissements

Utilisation stratégique de l’IA et de l’analyse prédictive

  • L’IA et l’analyse prédictive rationalisent les processus, en créant des systèmes évolutifs qui fournissent des informations robustes, transparentes et responsables basées sur les données, tout en réduisant considérablement les coûts opérationnels.
  • Les modèles d’apprentissage automatique excellent dans la découverte de relations complexes et non linéaires souvent négligées par l’analyse traditionnelle, identifiant efficacement des modèles dans des ensembles de données structurés et non structurés.

Amélioration du contrôle des données et de la prise de décision

  • L’IA améliore considérablement l’extraction et la structuration des données du marché privé, telles que les accords de partenaires limités (LPA) et les formats PDF, améliorant ainsi les capacités de suivi des investisseurs.
  • Les analyses pilotées par l’IA signalent de manière proactive les indicateurs de risque clés tels que les engagements des commandités, les clauses juridiques et les risques de liquidité, plus tôt et de manière plus fiable que les méthodes conventionnelles.
  • Le succès dépend de la taille des échantillons, de la qualité des données sous-jacentes, de la précision de la modélisation et de la capacité à surmonter les obstacles techniques tels que l’extraction des caractéristiques des formats PDF.

Mise en œuvre de l’IA pour améliorer les performances

  • Les algorithmes pilotés par l’IA contextualisent la performance des gestionnaires, ce qui permet aux investisseurs de mieux les évaluer et d’éviter les investissements prolongés avec des gestionnaires peu performants.
  • La mise en œuvre de solutions d’IA pour la validation des frais, les examens de durée légale et l’analyse des portefeuilles réduit la dépendance à l’égard des consultants externes, réduisant les coûts et améliorant la précision et la transparence.
  • Une intégration réussie de l’IA dépend d’une collaboration efficace entre les professionnels de l’investissement et les scientifiques des données. Les entreprises qui adoptent l’IA sur le plan culturel et pratique prendront des décisions d’investissement plus rapides, plus éclairées et plus justifiées.

Principales considérations relatives à la mise en œuvre de l’IA

  • Les entreprises qui intègrent activement l’IA s’orientent vers une approche systématique et factuelle de la prise de décision, en veillant à ce que les actions d’investissement soient bien documentées, pondérées en fonction du temps et de la confiance, et vérifiables.

Réflexions sur les co-investissements et le modèle de collaboration

Émergence du modèle de collaboration

  • Les co-investissements et les partenariats stratégiques constituent de plus en plus l’épine dorsale d’une approche collaborative de type « fonds unique », qui permet de réaliser des économies de coûts supérieures et de générer de l’alpha grâce à une coopération interne renforcée et à un déploiement optimisé du capital.

Croissance et stratégie du co-investissement

  • Les volumes de transactions de co-investissement dépassent les accords traditionnels pour inclure des coentreprises, des accords de partage des revenus et des participations sélectives des partenaires généraux.
  • Pour les investissements sur le marché privé, des stratégies flexibles de gestion des liquidités et des désinvestissements ciblés sont essentiels, car ils permettent d’atténuer la dépendance à l’égard de la synchronisation des marchés et de gérer les risques de concentration.

Maximisation de l’efficacité et de la génération d’alpha

  • Les co-investissements permettent de réaliser d’importantes économies de frais et produisent systématiquement des rendements générateurs d’alpha, en éliminant les inefficacités et en évitant les doublons entre les équipes d’investissement.
  • De solides capacités d’approvisionnement, des connaissances internes approfondies, un déploiement stratégique des talents et une gestion dynamique des risques sont essentiels pour les entreprises qui cherchent à obtenir le statut de partenaire privilégié et à tirer profit des économies d’échelle.

Stratégies de monétisation proactives

  • La monétisation reste une priorité essentielle, en particulier lors de la sortie d’investissements arrivés à maturité par le biais de ventes structurées de participations du partenaire général, de dividendes en espèces ou de transactions sur le marché secondaire.
  • Il est de plus en plus important d’élaborer des stratégies de « sortie » claires et réalisables dans le cadre des accords de partenariat initiaux afin d’améliorer la liquidité, d’optimiser les rendements et de rationaliser les cycles de vie des investissements.

Pérenniser le modèle de collaboration

Pour perfectionner et pérenniser ce modèle, les entreprises doivent privilégier trois approches clés :

  1. Renforcer les partenariats : approfondir les relations qui améliorent l’efficacité opérationnelle et permettent aux entreprises de faire « plus avec moins ».
  2. Améliorer l’agilité de la prise de décision : améliorer l’agilité interne, la rapidité et la coordination des processus de prise de décision afin de saisir les occasions d’investissement au moment opportun.
  3. Augmenter les avantages du portefeuille : maximiser les économies d’échelle à l’échelle du portefeuille tout en préparant des plans de sortie structurés pour garantir une monétisation stratégique conforme aux objectifs de l’investisseur.

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Raymond James mise sur l’IA https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/raymond-james-mise-sur-lia/ Wed, 05 Mar 2025 12:04:03 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105894 NOUVELLES DU MONDE – La firme nomme un chef de l’IA pour stimuler l’innovation.

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Stuart Feld, qui travaille pour l’entreprise depuis 2018, est promu au poste de chef de l’intelligence artificielle (IA) à Raymond James. À ce titre, il devra stimuler l’innovation et sera responsable de l’examen et de la mise en œuvre des technologies émergentes afin d’améliorer les services et les solutions de la firme.

Au moyen d’investissements significatifs dans l’IA, Raymond James a trois objectifs principaux :

  • assurer des niveaux de service de pointe,
  • fournir des outils qui permettent aux conseillers de mieux effectuer leur travail et de leur faire gagner du temps,
  • et garantir aux clients les meilleurs conseils possibles grâce à des informations basées sur les données.

« Stuart Feld est bien placé pour apporter la vision et le leadership nécessaires pour tirer parti de notre succès croissant dans ce domaine », assure Paul Shoukry, chef de la direction de RJF.

Pour le moment, l’IA chez Raymond James aide déjà à innover dans le domaine notamment de la cybersécurité et de la surveillance.

Les conseillers utilisent également des fonctions d’analyse pour identifier et soutenir les points de contact avec les clients grâce à l’application Opportunities, sans compter que l’apprentissage automatique de Advisor Access prédit et recommande leur prochaine action en vue d’obtenir des résultats plus rapides.

De plus, Raymond James pilote également un site Intranet amélioré, alimenté par l’IA générative, qui a pour mission de relayer des informations et des ressources pertinentes.

« Sous la direction de Stuart, nous avons mis en œuvre des solutions et des améliorations innovantes en matière d’IA pour aider les conseillers à servir leurs clients et à développer leurs activités. Je suis convaincu que nous allons nous appuyer sur ces bases solides pour accroître encore davantage les capacités et l’efficacité dans toute l’entreprise », souligne Vin Campagnoli, vice-président directeur, Technologie et opérations.

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Partenariat entre Mageska Capital et Nymbus Capital https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/partenariat-entre-mageska-capital-et-nymbus-capital/ Thu, 20 Feb 2025 12:32:34 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105592 PRODUITS — Concernant la gestion d’une portion du Fonds Mageska.

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Mageska Capital, une firme spécialisée en gestion d’investissements établie à Laval, a choisi de confier à Nymbus Capital la gestion d’une portion du Fonds Mageska « pour mettre en œuvre une stratégie d’alpha portable », indique l’entreprise par communiqué.

Nymbus Capital, une firme montréalaise de gestion d’actifs ayant développé une approche systématique et quantitative, est reconnu pour son expertise dans les stratégies à faible volatilité et décorrélées des indices traditionnels. « Cette collaboration vise à rehausser le potentiel de rendement global du Fonds Mageska tout en réduisant sa corrélation avec son indice de référence », indique-t-on.

Les deux entreprises affirment partager une vision commune de l’investissement, « alliant innovation, technologie et discipline pour offrir aux investisseurs des solutions performantes et durables ».

Fondée en 2022, Mageska Capital a développé un outil exclusif appelé M-LAB, qui intègre intelligence artificielle et machine learning. Il permet d’identifier les tendances du marché et facilite la prise de décisions, adaptées au contexte économique du moment.

Le Fonds Mageska a pour objectif d’améliorer le rapport risque-rendement d’un portefeuille diversifié. Il investit dans des Fonds négociés en Bourse (FNB) et son niveau de risque est de : moyen.

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Efforts de modernisation reconnus https://www.finance-investissement.com/edition-papier/dossier/efforts-de-modernisation-reconnus/ Wed, 12 Feb 2025 05:51:16 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105401 Les leaders brillent grâce à leurs équipes.

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Transformer l’industrie financière afin qu’elle devienne plus numérique, plus verte, plus inclusive tout en continuant de jouer son rôle essentiel dans la société québécoise. Nombre de dirigeants ont agi pour atteindre ce but en 2024, malgré les défis qu’ils ont affrontés pour y parvenir.

Le présent cahier du Top des leaders illustre de multiples réalisations en ce sens que les dirigeants et leurs équipes ont accomplies ces dernières années. Il vise à célébrer les progrès de cette industrie et des dirigeants et cadres qui les favorisent.

Le jury du Top des leaders célèbre d’ailleurs les réalisations de Denis Dubois, premier ­vice-président Gestion de patrimoine et ­Assurance de personnes, Mouvement Desjardins, et président et chef de l’exploitation, Desjardins Sécurité financière, en le nommant Personnalité financière de l’année 2024. Il est aussi le gagnant de la catégorie Assureurs de personnes.

Il a orchestré une vague de transformations pour les activités qu’il dirige, synonyme de croissance, d’innovations sur le plan des produits offerts et de modernisation du processus d’affaires, souligne le jury : « ­La hausse de la mobilisation des employés est impressionnante et s’est illustrée, notamment, lors de la tempête Debby, qui a fait bondir le volume de réclamations reçues. La contribution de Denis Dubois à l’acquisition des réseaux de distribution du Guardian Capital Group et à en maintenir l’indépendance est digne de mention. Bravo ! », note le jury.

Tout en soulignant que chacun des leaders retenus est méritant, le jury et l’équipe de Finance et
Investissement
 honorent aussi le travail de plusieurs personnes.

Renée Laflamme, ­vice-présidente exécutive, Assurance, Épargne et Retraite individuelles chez iA Groupe financier, est la gagnante de la catégorie Leaders/Cadres de l’industrie financière. Elle a entre autres supervisé l’évolution de la plateforme numérique de vente d’assurance individuelle EVO. Grâce à cette plateforme, 95 % des applications en assurance vie individuelle sont reçues électroniquement et 53 % d’entre elles sont approuvées automatiquement au point de vente.

Dans la catégorie Sociétés de courtage en valeurs mobilières et en assurance, le gagnant est ­Patrick Cloutier, président et associé du Groupe Cloutier. Depuis qu’il a pris les rênes du groupe, il multiplie les réalisations avec son équipe : virage numérique, croissance soutenue et, plus récemment, un partenariat stratégique avec l’assureur Beneva.

David Lemieux, vice-président et directeur général de Valeurs mobilières Desjardins (VMD), est le gagnant de la catégorie Courtiers de plein exercice. Les efforts de ses équipes ont permis à VMD d’accroître ses parts de marché et d’agrandir l’équipe de conseillers.

Le jury n’a pas désigné de gagnants dans les catégories Institutions financières à portée nationale et Société de Gestion indépendante. Cependant, dans cette dernière catégorie, il donne un coup de cœur à Carl Dussault, président-directeur général d’Evovest, qui se démarque par son utilisation de l’intelligence artificielle dans la Gestion d’actifs.

Le jury a également accordé une mention spéciale à Jean-François Chalifoux, président et chef de la direction de Beneva, pour sa stratégie environnementale, sociale et de gouvernance (ESG). Beneva a réduit ses émissions de gaz à effet de serre dans ses activités et ses investissements.

­Président-directeur général d’UV Assurance, Christian Mercier reçoit une mention spéciale ­Innovation pour la mutation technologique qu’il a orchestrée chez l’assureur basé à Drummondville. Aujourd’hui, UV « vend 15 fois plus de polices d’assurance qu’il y a cinq ans », selon le dirigeant.

Engagé auprès du Conseil des fonds d’investissement du Québec, de la Chambre de la sécurité financière (CSF) et de la Fondation MICA, Gino-Sébastian Savard, président de MICA Cabinets de services financiers, obtient une mention spéciale pour son engagement communautaire.

Une nouveauté cette année : le jury accorde un coup de cœur à Janie C. Béïque, la présidente et cheffe de la direction du Fonds de solidarité FTQ, pour son impact sur la société québécoise. « ­Elle est à la tête d’une organisation qui investit grandement dans l’économie québécoise et qui en favorise l’essor dans toutes les régions. Avec son équipe, elle fait un excellent travail, entre autres afin de favoriser le transfert d’entreprise et l’éducation financière », dit le jury.

Nous vous invitons aussi à parcourir les réalisations des finalistes de chacune des catégories. L’équipe de Finance et Investissement remercie chaleureusement les membres du jury pour leur engagement et leur apport précieux. Un grand merci aussi à tous ceux et celles qui ont contribué à la réalisation du Top des leaders et de l’événement qui y est lié.

Méthodologie

Le choix des leaders s’est fait en deux étapes. L’équipe de rédaction a sélectionné un certain nombre de dirigeants comme lauréats potentiels et leur a demandé de répondre aux questions du dossier de candidature. Nous avons également invité plusieurs autres cadres et dirigeants à soumettre leur candidature. Enfin, nous avons sollicité diverses organisations de l’industrie en plus d’effectuer un appel de candidatures public. Les dirigeants devaient répondre à diverses questions et dévoiler au jury les résultats financiers pertinents pour l’étude de leur candidature.

Ces dossiers, qui incluent des grilles d’analyse qualitative et quantitative, ont été transmis au jury avant une réunion virtuelle tenue en décembre 2024. Six membres du jury sur sept sont indépendants de notre groupe de presse et ont une connaissance des divers secteurs de l’industrie québécoise des services financiers. Lors de cette réunion, nous avons procédé aux nominations du Top des leaders. Le choix de la Personnalité financière de l’année parmi les gagnants des catégories a fait l’objet d’une adhésion unanime des jurés.

Pour être admissibles, les candidats doivent avoir un impact notable sur les décisions stratégiques de l’organisation ou sur ses activités québécoises ainsi que sur ses résultats financiers. Les personnes qui exercent leurs activités dans les secteurs public ou parapublic, de l’assurance de dommages et de la réglementation ne sont pas admissibles.

Le Top des leaders n’est pas un exercice de classement basé sur l’activité commerciale, sur le chiffre d’affaires ni sur les actifs des courtiers ou des conseillers. Aucune information sur ces plans n’a été considérée par le jury, en conformité avec la réglementation de l’Organisme canadien de réglementation des investissements sur les concours auxquels participent les personnes autorisées.

Les critères de sélection tiennent compte des aspects suivants : le caractère exceptionnel des réalisations du candidat en 2024 et dans les années précédentes, la croissance de son entreprise dans le temps, sa Gestion des risques, ses réalisations en matière d’innovation, sa Gestion en tenant compte des facteurs ESG ainsi que sa contribution et son influence dans l’industrie financière et sa communauté.

Enfin, nous félicitons les lauréats du concours Les conseillers à l’honneur !, lequel célèbre trois représentants. Nous vous invitons à les découvrir en visitant le site web ­Conseiller.ca en cliquant ici.

Bonne lecture !

Si vous désirez voir les photos prises lors de la soirée, suivez ce lien.

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