investissement durable – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 16 Oct 2024 11:59:03 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png investissement durable – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Ottawa trace ses lignes directrices sur l’investissement durable https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/ottawa-trace-ses-lignes-directrices-sur-linvestissement-durable/ Wed, 16 Oct 2024 11:59:03 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103533 Afin d’attirer davantage d’investissements dans des projets de réduction des émissions.

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La ministre des Finances Chrystia Freeland a déclaré le 9 octobre dernier que le gouvernement fédéral allait de l’avant avec des lignes directrices sur l’investissement durable et la divulgation des données climatiques des entreprises, mais les détails sur les plans sont rares.

Cette décision intervient alors qu’un large éventail d’investisseurs, de gestionnaires d’actifs et de groupes environnementaux ont poussé le gouvernement à mettre en place de telles lignes directrices, également connues sous le nom de taxonomies vertes, pour attirer davantage d’investissements dans des projets de réduction des émissions.

Le gouvernement fédéral estime que pour atteindre la neutralité carbone au Canada d’ici 2050, il faudra entre 125 et 140 milliards de dollars (G$) d’investissements annuels, contre des dépenses actuelles comprises entre 15 et 25 G$.

« Nous savons que nous devons attirer encore plus de capitaux privés. Nous devons attirer encore plus de capitaux privés pour que la transition se fasse au rythme et à l’échelle requis par le climat », a déclaré Chrystia Freeland lors d’une conférence sur les principes pour l’investissement responsable à Toronto.

La frustration s’accroît alors que des efforts pour créer des lignes directrices en matière d’investissement durable pour attirer davantage de capitaux sont en cours depuis des années au Canada, avec plusieurs groupes chargés de créer des recommandations, mais toujours rien de concret n’est en place.

Ceux qui cherchent des réponses devront cependant attendre un peu plus longtemps, car le gouvernement a indiqué qu’il prévoyait de confier l’élaboration de la taxonomie à une organisation tierce, les premières lignes directrices étant publiées dans l’année suivant le début des travaux de l’organisation. Il n’a pas fourni d’estimation du temps nécessaire à l’organisation anonyme pour commencer.

Concernant l’inclusion potentielle des combustibles fossiles — un domaine clé de discorde — le gouvernement a déclaré qu’il ne prévoyait pas que la nouvelle production de gaz naturel serait éligible, mais que les rédacteurs pourraient prendre en compte le gaz naturel existant pour son potentiel à remplacer les combustibles plus polluants à l’échelle internationale.

Les groupes environnementaux ont été catégoriques sur le fait que les combustibles fossiles n’ont pas leur place dans une telle taxonomie. Mais un groupe de travail qui a fourni des recommandations au gouvernement a fait valoir qu’il devrait y avoir une catégorie de transition qui permettrait de réduire les émissions de la production de combustibles fossiles et d’autres industries à fortes émissions.

Le gouvernement affirme que la taxonomie de transition pourrait par exemple inclure des projets qui réduisent considérablement les émissions de la production de gaz naturel existante, ou les émissions associées à une construction limitée de sites de production existants.

En ce qui concerne les divulgations d’informations par les entreprises, le gouvernement a annoncé qu’il lancerait un processus réglementaire pour déterminer quelles informations et quelle taille d’entreprises fédérales privées seront incluses.

Besoin de transparence climatique

Chrystia Freeland a souligné que les petites et moyennes entreprises ne seraient pas soumises à de telles divulgations, mais qu’il était important qu’il y ait une plus grande transparence climatique des entreprises.

« Nous savons qu’exiger ces divulgations est la bonne chose pour les entreprises, c’est la bonne chose pour leurs prêteurs, c’est la bonne chose pour leurs assureurs, c’est la bonne chose pour leurs actionnaires », a indiqué la ministre Chrystia Freeland.

« Exiger des divulgations signifie que les gens peuvent prendre des décisions basées sur la transparence et la compréhension des risques climatiques et de l’exposition au climat ».

Prenant la parole après Chrystia Freeland à la conférence, Mark Carney, l’envoyé spécial des Nations Unies pour l’action climatique et président de « Brookfield Asset Management », a souligné la nécessité d’agir plus rapidement sur tous les fronts.

Tandis que Chrystia Freeland a souligné que le plan de taxonomie, avec sa catégorie de transition peu commune, est une solution canadienne, Mark Carney a déclaré qu’il était important que les gouvernements mettent en œuvre des taxonomies qui ne soient pas trop en décalage avec ce que font les autres pays.

Il a également souligné l’importance d’aller au-delà de la divulgation des émissions pour également obliger les entreprises à indiquer comment elles prévoient d’atteindre la neutralité carbone.

« Les gouvernements devraient agir maintenant en adoptant des taxonomies cohérentes et comparables et en imposant des plans de transition aux grandes entreprises. »

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Comment dépolitiser les conversations sur l’ESG https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/comment-depolitiser-les-conversations-sur-lesg/ Thu, 06 Jun 2024 11:24:55 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101177 Permettre aux clients de partager leurs croyances et leurs valeurs conduit à une meilleure collaboration.

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Alicja Brown est habituée à naviguer entre les contradictions.

La conseillère basée à Edmonton compte des clients qui soutiennent à la fois les politiques de l’ancien président américain Donald Trump et investissent selon les principes d’investissement responsable.

« Comment parvenons-nous à concilier cela ? Une manière est de dépolitiser cette conversation », explique Alicja Brown, conseillère principale en gestion de patrimoine au sein du Groupe Brown Investment, CIBC Wood Gundy. « Mais certains des défis récents sont les termes — spécifiquement ESG (environnement, social et gouvernance) », rapporte-t-elle.

S’exprimant lors d’un panel le 28 mai dernier lors de la conférence 2024 de l’Association pour l’investissement responsable à Vancouver, Alicja Brown a donné l’exemple d’un client qui lui a demandé : « Je n’ai pas de cette merde ESG dans mon portefeuille, n’est-ce pas ? » Le portefeuille complet du client était construit selon des principes d’investissement responsable.

Alicja Brown a commencé par demander au client ses préoccupations spécifiques concernant l’ESG. « Quand nous avons creusé un peu plus, j’ai compris qu’il y avait beaucoup plus que cela, raconte-t-elle. Il y a beaucoup de désinformation là-bas. »

Ce client était préoccupé par l’aspect gouvernance de l’ESG, croyant que l’ESG exige des conseils d’administration qu’ils nomment des directeurs issus de groupes sous-représentés, indépendamment de leurs qualifications ou compétences.

« Ce n’est pas comme ça que ça fonctionne », a dit Alicja Brown. Mais en n’intervenant pas immédiatement avec une réponse, et en essayant plutôt de comprendre d’où venait le client, elle a pu dissiper ses préoccupations concernant son portefeuille.

« Je me concentre sur le client et ses propres objectifs. Et les autres conversations [sur les valeurs] découlent de là », a-t-elle déclaré.

L’investissement durable n’est peut-être pas aussi polarisant que le discours public le laisse paraître. Par exemple, une récente étude de Morningstar portant sur plus de 26 000 publications Reddit liées à l’ESG a révélé que 69 % étaient neutres, les autres étant à peu près également réparties entre des sentiments positifs et négatifs.

Les sujets de discussion portaient principalement sur des thèmes d’investissement durable, tels que les véhicules électriques, les énergies renouvelables et le pétrole.

« Je n’ai pas encore rencontré quelqu’un qui se moque de l’air et de l’eau propres », assure Alicja Brown.

Un de ses clients, un agriculteur conservateur du sud de l’Alberta, « en sait plus sur [les questions d’air et d’eau propres] que moi », affirme-t-elle. « Donc, je relie simplement certaines de ces préoccupations à ce qui est fait de manière significative dans le portefeuille d’investissement. »

Alicja Brown évite également d’insérer ses croyances personnelles dans ses conversations avec les clients ou de faire des hypothèses sur les valeurs des clients.

Elle a récemment travaillé avec un couple de Palestine dont les familles ont été directement affectées par la guerre à Gaza. Le couple voulait savoir s’ils étaient investis dans des fabricants d’armes. Alicja Brown a promis au couple que leur portefeuille excluait toujours les armes. Elle a ensuite creusé plus profondément, demandant s’il y avait d’autres exclusions que le couple souhaitait, ce qui a généré une discussion supplémentaire.

« Nous devions avoir une conversation plus significative sur la façon de tracer la ligne, rapporte Alicja Brown. Il est vraiment important pour nous en tant que conseiller de ne pas faire d’hypothèses et de tracer cette ligne nous-mêmes, mais plutôt d’engager le client dans la conversation. »

L’orientation de l’OCRI sur les conversations sur la durabilité « n’est pas une règle »

Alexandra Williams, vice-présidente principale, réglementation des membres et stratégie d’entreprise, de l’Organisme canadien de réglementation des investissements (OCRI), a déclaré que le conseiller en services financiers moyen se concentre sur le respect de ses obligations de conformité, plutôt que de faire plus que nécessaire.

En 2021, l’OCRI (alors l’OCRCVM) a mis à jour ses orientations en matière de connaissance du client (KYC), indiquant que les conseillers devraient inclure les considérations ESG lors de la discussion sur les objectifs d’investissement.

« Ce n’est pas un changement de règle », a affirmé Alexandra Williams. Néanmoins, « l’orientation est notre opportunité d’expliquer et de donner un peu plus de contexte ».

Les sondages d’opinion des conseillers montrent de manière constante que les clients veulent que leurs conseillers abordent plus souvent la durabilité qu’ils ne le font. De plus, une récente étude de clients mystères a révélé que 20 % des conseillers ont abordé les questions ESG ou de durabilité avec les acheteurs sans incitation. Une fois que les acheteurs mystères ont montré de l’intérêt pour les questions ESG, cette métrique a augmenté à environ 63 %.

La plupart des conseillers ont proposé certains investissements ESG ou durables. Environ 17 % du temps, les acheteurs secrets ont considéré ces produits comme étant adaptés.

Alexandre Williams n’a pas été surprise par les résultats de l’étude. Elle a déclaré que l’orientation de l’OCRI sur les conversations sur la durabilité « ne se transpose pas dans le processus KYC qui apparaîtrait sur un formulaire de demande. Les conseillers ne sont pas tenus de poser une question avant qu’un client ne la soulève. Et je pense que c’est peut-être ce que nous avons constaté dans certains des résultats de l’étude impliquant des clients mystères ».

Alexandra Williams a rapporté que l’OCRI recevait environ 1 000 questions et commentaires par an de la part des investisseurs sur divers sujets. Jusqu’à présent, aucun investisseur n’a signalé à l’OCRI que son conseiller ne lui avait pas demandé d’investir de manière durable.

Néanmoins, « le décalage entre ce que disent les règles et ce que veulent les clients [signifie qu’un] certain rapprochement doit probablement se faire ici », estime Alexandra Williams.

Divulgation : Advisor.ca était un commanditaire média de la conférence présentée à Vancouver par la Responsible Investment Association (RIA).

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L’investissement durable suscite toujours plus d’intérêt https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/linvestissement-durable-suscite-toujours-plus-dinteret/ Wed, 08 May 2024 10:45:48 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100604 Mais il reste encore nombre d’obstacles.

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L’intérêt des Canadiens pour les placements durables ne cesse de grandir, révèle la cinquième étude annuelle sur le Jour de la Terre de Placements Mackenzie. Toutefois, cette catégorie de placements continue de soulever des questions.

L’adoption de placements durables, soit des placements qui produisent des rendements financiers, mais qui ont également une incidence positive sur l’environnement, a cru de trois points de pourcentages entre 2023 et 2024, passant ainsi de 20 % à 23 %.

Et cette croissance devrait continuer puisque 45 % des répondants au sondage de Mackenzie assurent qu’ils ajouteront de tels placements à leurs portefeuilles d’ici les deux prochaines années.

Toutefois, malgré ces chiffres encourageants, 61 % des Canadiens, soit autant que l’an passé, se disent préoccupés par l’écoblanchiment et la transparence en matière de gouvernance d’entreprise dans le segment de l’investissement durable.

Un autre 43 % pensent que l’investissement manque de lignes directrices ou de normes claires et que de plus, ils produisent des rendements inférieurs à ceux des placements traditionnels, malgré les experts et études qui disent et prouvent le contraire.

Lire « Davantage d’IR dans les portefeuilles des conseillers »

Finalement, seuls 33 % des investisseurs faisant affaire avec un professionnel des services financiers ont abordé le sujet de l’investissement durable.

« Il est encourageant de constater un intérêt croissant pour l’investissement durable et son adoption, qui témoigne d’un virage vers l’harmonisation des objectifs financiers avec les considérations environnementales et sociales, a déclaré Fate Saghir, vice-présidente principale, développement durable, Placements Mackenzie. Toutefois, il est également clair que notre secteur a encore du travail à faire pour répondre aux préoccupations et aux idées fausses concernant l’écoblanchiment, la transparence et le rendement. De plus, compte tenu de la popularité montante des placements durables, les conseillers et conseillères peuvent profiter d’une excellente occasion de renforcer et d’élargir leurs relations avec les clients et clientes en les aidant à comprendre le rôle que jouent les placements durables dans la construction de portefeuilles. »

La transition énergétique, un concept populaire

Outre les placements durables, l’étude s’est également penchée sur le concept de la transition énergétique, qui met sur le passage des sources d’énergie traditionnelle aux sources d’énergie renouvelable et à faibles émissions de carbone, et a constaté que les Canadiens sont familiers avec celui-ci.

Près de la moitié des investisseurs (48 %) envisagent ainsi d’investir dans des sociétés axées sur la transition énergétique afin de contrer le réchauffement de la planète d’ici les deux prochaines années. Et 77 % des répondants qui ont déjà ce type de placements comptent augmenter leur exposition à ces derniers.

De plus 69 % des sondés estiment qu’investir dans la transition énergétique créera un monde meilleur pour les générations futures et aura un effet positif à long terme sur l’environnement (67 %) et notre santé (65 %).

Mais seuls 38 % des investisseurs affirment bien comprendre la taille et l’ampleur de la transition énergétique en cours et des occasions de placement qui en découlent.

« Les occasions liées à la transition énergétique continueront de croître à mesure que le monde se dirige vers un avenir sobre en carbone, a commenté Fate Saghir. Le secteur de la finance, y compris les gestionnaires de placements et les conseillers et conseillères, a un rôle important à jouer pour rendre les connaissances et la formation accessibles. Nous devons en arriver à un point où les Canadiens et Canadiennes peuvent être certains que leurs placements produiront des rendements et auront une incidence réelle et positive sur notre planète à l’échelle locale et mondiale. »

Cette étude a été menée en ligne du 19 au 25 mars 2024 auprès de 1500 Canadiens majeurs.

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Changement important à l’équipe de direction de Fondaction https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/changement-important-a-lequipe-de-direction-de-fondaction/ Mon, 29 Apr 2024 11:35:46 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100513 NOUVELLES DU MONDE – Le fonds d’investissement annonce deux nominations.

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L’équipe de direction de Fondaction annonce deux changements importants. Stéphan Morency accède ainsi au poste de vice-président exécutif, Initiatives stratégiques après cinq ans au poste de vice-président et chef de l’Investissement. Claire Bisson a été choisie pour prendre sa relève à son ancien poste.

Les deux, qui relèvent directement de Geneviève Morin, présidente-directrice générale de Fondaction, ont pris leurs nouvelles fonctions et leur poste au sein du comité de direction de Fondaction le lundi 22 avril dernier.

« C’est emballant de voir Fondaction continuer d’évoluer, de croître et ses leaders grandir avec l’organisation, s’enthousiasme Geneviève Morin. La création d’un nouveau rôle au sein de sa direction donnera à Fondaction l’impulsion nécessaire pour aller toujours plus loin dans sa volonté d’être un acteur de la transformation positive de l’économie. »

Stéphan Morency travaille pour Fondaction depuis 2009. Il y était alors entré à titre de directeur de portefeuille. Il a été nommé directeur de portefeuille principal en 2012, puis chef adjoint de l’Investissement en 2017 et chef de l’Investissement en 2019.

Diplômé de l’Université Concordia, il a apporté avec lui une transformation profonde des pratiques d’investissement avec une stratégie de finance durable entièrement axée sur la recherche continue de solutions financières durables et une classification des investissements qui distingue Fondaction. Plusieurs innovations structurantes en finance durable lui sont attribuables. Dans les dernières années, il a notamment mis sur pied la filiale Fondaction Gestion d’actifs (FGA), un gestionnaire d’impact qui crée et déploie des solutions financières innovantes et performantes pour résoudre de grands enjeux environnementaux et sociétaux tout en générant des rendements compétitifs. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, il continuera d’assumer son rôle de président exécutif du conseil d’administration de FGA.

Avant de se joindre à Fondaction, il était analyste financier chez Deloitte (1995-1998), puis directeur de portefeuille chez Desjardins Capital (1998-2001) et enfin entrepreneur et fondateur de deux entreprises (2001-2009).

« Stéphan et moi travaillons ensemble et de très près depuis de nombreuses années. J’ai toujours été impressionnée par sa vision, son intelligence, sa capacité à mobiliser et sa détermination. Je suis ravie de le voir prendre ce nouveau défi à bras le corps, de tracer de nouveaux chemins d’avenir pour Fondaction. Stéphan est la personne tout indiquée pour amener Fondaction à se dépasser et à accroître son impact positif sur l’économie, la société et la planète au cours des prochaines années », assure Geneviève Morin.

Claire Bisson, de son côté, travaille pour Fondactoin depuis 2010. À titre de cheffe adjointe de l’Investissement, elle a développé des stratégies d’investissements basées sur les thématiques de la lutte contre les changements climatiques, l’agroalimentaire durable, le développement de villes et de communautés durables ainsi que la santé et le bien-être. Au fur et à mesure, elle a élargi son champ d’action pour couvrir tous les investissements directs en entreprise en plus de contribuer à la création d’une équipe entièrement dédiée à l’investissement d’impact en 2020, une première pour un investisseur institutionnel au Québec.

Avant de se joindre à Fondaction, Claire Bisson travaillait dans des PME du secteur technologique. Titulaire d’un MBA de l’Université Laval, elle a également œuvré au sein du Mouvement Desjardins pendant une douzaine d’années où elle a développé une approche de financement pour les entreprises de la nouvelle économie, assumé le démarrage et la direction générale d’un Fonds d’investissement régional, assuré la direction du bureau régional de Desjardins Capital et participé au développement d’une nouvelle direction en acquisition d’entreprises.

« Véritable maître d’œuvre de notre stratégie d’investissement, le poste de cheffe de l’Investissement joue un rôle clé dans nos activités, notre réussite et notre impact. C’est un rôle à la mesure du talent de Claire, qui est reconnue au sein de Fondaction comme dans tout l’écosystème pour son leadership en finance durable et sa capacité à déployer une vision stratégique en actions, en projets et en résultats », commente Geneviève Morin.

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La Canada Vie renforce sa gamme de fonds https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/la-canada-vie-renforce-sa-gamme-de-fonds/ Thu, 26 Oct 2023 11:54:37 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96988 PRODUITS – Pour notamment offrir plus de solutions axées sur l’investissement responsable.

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Face à une demande croissante pour des produits d’investissement durables, la Compagnie d’Assurance du Canada sur la Vie (Canada Vie) et Gestion de placements Canada Vie limitée (GPCV) ont procédé à une série d’ajustements à leurs gammes de fonds communs de placement et de fonds distincts. Les deux sociétés ont notamment décidé d’intégrer cinq fonds des Portefeuilles durables Canada Vie comme des fonds autonomes, mettant en avant l’investissement responsable.

La Canada Vie a également annoncé l’extension de sa gamme de fonds distincts en introduisant le fonds Actifs réels diversifiés. Ce mouvement fait suite à une annonce similaire faite plus tôt cette année concernant sa gamme de fonds communs de placement.

La Canada Vie renforce ainsi ses options pour les conseillers et leurs clients alors que l’incertitude économique actuelle entraîne une demande accrue pour des options de produits diversifiés, constate Steve Fiorelli, vice-président principal, Solutions de gestion du patrimoine, Canada Vie et chef de la direction chez GPCV.

Par ailleurs, Canada Vie réintroduit le fonds distinct Actions de marchés émergents et ajoute le fonds Croissance petites et moyennes capitalisations mondiales à sa gamme de fonds distincts. Enfin, la société change le nom de 12 de ses fonds distincts, supprimant la marque Parcours de leur appellation.

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L’attention portée aux investissements ESG bondit https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/lattention-portee-aux-investissements-esg-bondit/ Mon, 07 Aug 2023 10:06:06 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95439 Selon les gestionnaires de patrimoine et les conseillers financiers canadiens.

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Presque tous les gestionnaires de patrimoine et les conseillers financiers canadiens (96 %) affirment que les clients mettent davantage l’accent sur les investissements ESG dans leurs portefeuilles de placement, selon une nouvelle étude d’Ortec Finance.

Parmi les répondants, 22 % ont observé des augmentations spectaculaires du nombre de clients prenant en compte ces critères en matière d’investissement dans le développement durable.

L’étude menée en juin 2023 auprès de 50 gestionnaires de patrimoine et de conseillers financiers canadiens dont les organisations gèrent collectivement environ 370 milliards de dollars, a révélé que l’attention portée aux facteurs ESG s’intensifiera au cours des 24 prochains mois.

Par ailleurs, 82 % des répondants s’attendant à une légère augmentation et 8 % à des augmentations exceptionnelles. Seulement 10 % affirment que l’accent demeurera le même.

CHANGEMENTS CLIMATIQUES

En ce qui concerne le changement climatique, 34 % des gestionnaires de patrimoine et des conseillers financiers canadiens disent avoir constaté une augmentation remarquable de l’orientation client en ce sens, et 62 % une légère augmentation. Seulement 4 % n’ont constaté aucun changement.

L’étude indique également que 96 % des gestionnaires de patrimoine et des conseillers canadiens affirment que les investisseurs évitent les entreprises qui ont un impact néfaste sur l’environnement ou qui contribuent au changement climatique.

Alors que les répondants affichent des niveaux élevés de confiance dans les systèmes et outils existants qu’ils utilisent pour examiner les risques ESG et climatiques des fonds et actions qui composent les portefeuilles de leurs clients, 90 % d’entre eux conviennent que l’industrie de la gestion de patrimoine/gestion de portefeuille doit investir massivement dans les nouvelles technologies pour améliorer sa compréhension de ces risques.

Ortec Finance, un fournisseur mondial de solutions de gestion du risque et du rendement pour les gestionnaires d’actifs est basé à Rotterdam aux Pays-Bas, et possède des bureaux à Amsterdam, Londres, Toronto, Zurich, New York et Melbourne.

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BMO fournit le dépôt lié à la durabilité à Zurn Elkay Water Solutions https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/bmo-fournit-le-depot-lie-a-la-durabilite-a-zurn-elkay-water-solutions/ Mon, 24 Jul 2023 11:33:09 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95146 PRODUITS – Cette solution permet de soutenir l’entreprise dans sa démarche vers la durabilité.

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BMO offre dorénavant le dépôt lié à la durabilité (DLD) à Zurn Elkay Water Solutions (NYSE:ZWS), un leader en solutions techniques pour l’eau.

Les DLD associent les intérêts versés sur un compte de dépôt à l’accomplissement des objectifs de durabilité préétablis par le client. Ces nouveaux dispositifs viennent enrichir la gamme de solutions de gestion des liquidités de BMO destinées à soutenir les clients dans leur transition vers la durabilité, notamment les prêts liés à la durabilité, les obligations liées à la durabilité et les produits dérivés liés à la durabilité.

BMO vise à devenir un partenaire majeur dans la transition des clients vers un monde carboneutre, favorisant une économie prospère et durable. Selon Jonathan Hackett, responsable de la finance durable chez BMO Marchés des capitaux, les DLD représentent un moyen novateur d’exploiter le leadership de BMO en matière de finance durable pour obtenir des résultats tangibles.

Zurn Elkay est fermement engagé en faveur des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Selon Todd A. Adams, président du conseil et chef de la direction de Zurn Elkay Water Solutions, la société est sur la bonne voie pour atteindre ses premiers objectifs ESG. De nouveaux objectifs avec des échéances fixées pour 2023 visent à augmenter la transparence et la responsabilité, en se concentrant sur des aspects tels que la diversité des fournisseurs, la réduction des émissions de gaz à effet de serre, l’élimination des bouteilles en plastique et la réduction des déchets.

BMO a collaboré avec Zurn Elkay pour définir un objectif de durabilité crédible et ambitieux : réduire de 50 % l’intensité des émissions de gaz à effet de serre de l’entreprise d’ici 2030 par rapport aux niveaux de 2021. Zurn Elkay prévoit d’atteindre cet objectif par des mesures d’efficacité énergétique ainsi que par la production et l’achat d’énergie renouvelable.

Derek Vernon, responsable de la gestion de produits et de la modernisation des paiements chez BMO, s’est félicité de l’opportunité d’offrir cette nouvelle fonctionnalité innovante aux clients de BMO en Amérique du Nord, ajoutant que les DLD offrent une incitation simple qui profite aux entreprises tout en contribuant à la santé de la planète.

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Investir dans la durabilité https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/investir-dans-la-durabilite/ Thu, 20 Apr 2023 23:30:59 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=93205 PRODUITS - Mackenzie lance deux nouvelles solutions de placement.

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En marge du Jour de la Terre, Placements Mackenzie lance un nouveau fonds négocié en Bourse (FNB), le FINB Global 100 Corporate Knights Mackenzie, de même qu’un nouveau fonds commun, le Fonds Global 100 Corporate Knights Mackenzie.

Ces deux nouvelles solutions de placement permettent aux investisseurs canadiens d’accéder aux 100 entreprises les plus durables au monde, selon Corporate Knights, une firme de recherche sur l’économie durable.

Ces deux produits tout-en-un vont chercher à reproduire le rendement de l’indice Corporate Knights Global 100 (CKG 100) qui regroupe une sélection variée d’entreprises mondiales dotées d’une gestion solide, d’une solidité financière soutenue et de résultats exceptionnels dans 25 mesures de développement durable établies et maintenues par Corporate Knights. Pour ce faire, le FNB a l’intention de détenir les titres qui composent l’indice, avec les mêmes pondérations et rééquilibrés annuellement, alors que le Fonds investira dans le FNB.

« Plus que jamais, les Canadiens et Canadiennes souhaitent tenir compte de l’impact de leurs placements sur le développement durable, et le FINB Global 100 Corporate Knights Mackenzie et sa version constituée en fonds leur offre des solutions efficaces et simples pour accéder à la croissance des entreprises qui montrent la voie en matière de durabilité, » a déclaré Luke Gould, président et chef de la direction de Placements Mackenzie.

Les titres inclus dans l’indice proviennent de sociétés cotées en bourse avec un chiffre d’affaires annuel de plus de 1 milliard de dollars américains qui exercent leurs activités de manière durable. Elles se démarquent sur de nombreux plans, que ce soit en matière d’efficacité énergétique, de gestion des déchets, de l’utilisation de l’eau, de l’équité salariale, de la diversité, etc.

« Le FINB Global 100 Mackenzie constitue un aboutissement naturel de notre indice phare, lequel identifie depuis 2005 les chefs de file de leur secteur qui sont à la pointe de la transition vers le développement durable », a déclaré Toby Heaps, chef de la direction et cofondateur de Corporate Knights.

Le FINB Global 100 Corporate Knights Mackenzie est déjà disponible à la négociation à la Bourse NEO sous le symbole MCKG, tandis que le Fonds l’est auprès des courtiers en épargne collective autorisés.

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Les Canadiens s’interrogent sur l’impact réel des investissements durables https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-canadiens-sinterrogent-sur-limpact-reel-des-investissements-durables/ Thu, 20 Apr 2023 23:26:26 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=93272 Mais ils s’y intéressent de plus en plus, selon une étude de Mackenzie.

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D’après la quatrième étude annuelle de Placements Mackenzie réalisée à l’occasion du Jour de la Terre (22 avril), 81 % des répondants canadiens interrogés (82 % au Québec) estiment en effet qu’il est important d’utiliser leurs investissements afin d’influencer positivement le changement sociétal.

Cela dit, nombreux sont ceux et celles qui s’inquiètent de l’impact réel des investissements durables.

Un niveau de confiance peu élevé

L’étude de Mackenzie s’est intéressée au niveau de confiance des personnes sondées par rapport aux déclarations des entreprises en matière de développement durable et dans la transparence de la gouvernance d’entreprise.

Il en ressort principalement que six personnes sur dix (65 % au Québec) s’inquiètent de l’écoblanchiment et du manque de transparence dans la gouvernance d’entreprise.

De plus, 51 % des répondants (47 % au Québec) jugent que les déclarations de durabilité ne sont pas crédibles (20 % au Canada et au Québec) ou ne savent pas si elles le sont (31 % au Canada et 27 % au Québec).

Lire la suite via Conseiller.ca

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Cap sur l’investissement durable https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/cap-sur-linvestissement-durable/ Mon, 03 Apr 2023 12:00:31 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92763 Pour assurer la prospérité des banques.

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Le financement d’une transition mondiale vers des énergies vertes et des infrastructures durables pourrait contribuer à la rentabilité à long terme des banques et ainsi assouplir l’impact de la volatilité macroéconomique et des perturbations géopolitiques des derniers mois sur leur secteur, indique un rapport annuel de la firme McKinsey.

Même avant que de nombreux changements simultanés ne surviennent (pandémie, inflation, guerre en Ukraine, hausse des taux d’intérêt, etc.) et mettent fin à plus d’une décennie de stabilité relative, les valorisations des banques affichaient une forte décote par rapport à d’autres secteurs. « Cette tendance s’est poursuivie en 2022, ce qui n’est pas surprenant étant donné que la majorité des banques mondiales gagnent toujours moins que le coût de leurs capitaux propres », mentionnent les auteurs du document.

À l’échelle internationale, les revenus des banques ont augmenté de 345 milliards de dollars (G$) en 2022 grâce à une forte augmentation des marges nettes causée par la hausse des taux d’intérêt et ainsi atteint leur plus haut niveau depuis 14 ans, avec un rendement attendu des capitaux propres compris entre 11,5 et 12,5 %. Cependant, les perspectives macroéconomiques incertaines pourraient exacerber les fragilités des banques et amoindrir ces résultats positifs.

« Tout d’abord, (…) la hausse des taux d’intérêt devrait continuer à stimuler la rentabilité grâce à l’augmentation des marges, mais cela pourrait s’avérer transitoire. Deuxièmement, les banques sont confrontées à un ralentissement de la croissance à long terme », peut-on lire dans le rapport.

Celles-ci pourraient subir trois effets de cette situation, soit un ralentissement de la croissance des volumes, une augmentation des coûts et une hausse des défaillances.

Les auteurs ont aussi tenu à spécifier que les difficultés générales auxquelles fait face le secteur bancaire dans son ensemble masquent le succès de certains groupes de banques dans des pays comme les États-Unis, le Canada, l’Inde, l’Indonésie et le Mexique. Ceux-ci pourraient donc se retrouver devant des scénarios moins pessimistes.

Grand potentiel inexploité

Il reste que les banques en général chercheraient donc à dépasser leur rentabilité à court terme. Ainsi, miser davantage sur le financement des énergies renouvelables pourrait être leur planche de salut. Les experts de McKinsey constatent d’ailleurs que cette option génère déjà un engagement plus approfondi chez les clients des banques.

Selon leurs estimations, les besoins de financement pour soutenir la transition vers la carboneutralité pourraient dépasser 4,4 billions de dollars par an jusqu’en 2030. D’ici 2030, les investissements dans l’énergie propre, entre autres, devraient être trois fois plus élevés qu’en 2020 et les investissements dans l’électrification des transports, quant à eux, devraient être dix fois plus élevés qu’en 2020.

L’équipe de McKinsey estime que les institutions financières commerciales se trouvent devant une occasion de financement direct à saisir d’environ 820 G$ par année. Entre 2021 et 2030, les banques pourraient permettre un investissement supplémentaire de 1,5 trillion de dollars pour les entreprises.

« Nous estimons que le potentiel de revenus pour les banques provenant de l’investissement de la dette dans le financement climatique s’élèvera en moyenne à environ 100 milliards de dollars par an jusqu’en 2030. Cela représente environ 5 % de l’ensemble des revenus bancaires mondiaux », souligne les auteurs du document.

Quelques obstacles sur le chemin de la durabilité

Bien que de nombreux éléments tels que les changements de politique des régulateurs et une participation plus active des entreprises rendent le contexte vers une économie verte favorable, les experts de McKinsey ont tenu à mentionner certaines embûches qui pourraient freiner l’élan vers l’investissement responsable.

Premièrement, ceux-ci évoquent les longues périodes d’amortissement requises pour certaines technologies qui peuvent accroître le risque et diminuer les rendements, ainsi que le capital initial requis pour la transition entre les secteurs qui pourrait décourager certains prêteurs. Deuxièmement, ceux-ci notent que les conditions de marché ne sont pas optimales dans tous les secteurs verts. Par exemple, les marges de profit auraient diminué dans le domaine de l’énergie solaire dans son ensemble.

De plus, le manque de données historiques sur les performances de certaines entreprises pourrait faire en sorte que des banques ne soient pas à l’aise d’y placer leurs pions. Les auteurs indiquent aussi que de nombreux projets écologiques verts dépendent de plusieurs facteurs pouvant retarder leur démarrage comme les permis, les infrastructures de soutien et les chaînes d’approvisionnement. Il n’existe pas non plus encore de normes établies ou de mesures de performance faisant consensus pour les produits financiers liés aux secteurs verts, considèrent-ils. Tenant compte de tous ces points, le rapport projette que les banques devront adopter approche souple pour évaluer un marché de la finance durable qui évolue rapidement et différemment selon chaque institution.

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