L'indice phare de la Bourse de Toronto a mis fin jeudi à sa meilleure semaine en plus d'une décennie, une intervention massive de la Réserve fédérale des États-Unis ayant eu le dessus sur la publication de faibles données sur le marché de l'emploi des deux côtés de la frontière.
Bien que selon une définition traditionnelle le S&P 500 se trouve actuellement dans un marché baissier, deux analystes techniques affirment le contraire.
La correction des dernières semaines peut être très instructive.
Les obligations pourraient atténuer les dégâts sur les portefeuilles des investisseurs causés par les corrections actuelles.
Alors que la Réserve Fédérale (Fed) a abaissé son taux directeur de 1 point dimanche, les marchés ont connu leur troisième suspension en six jours à Wall Street.
La panique a envahi les marchés financiers du monde entier lundi alors que les cours des actions et les rendements obligataires plongeaient, victimes des craintes entourant l'impact de l'éclosion du nouveau coronavirus.
ZONE EXPERTS – À la suite de la signature de la phase 1 de l’entente commerciale entre les États-Unis et la Chine, les tarifs sont enfin tombés et la confiance a remonté d’autant à la fois dans le monde corporatif qu’auprès des consommateurs.
Bien que le nombre de retraités issus de la génération des baby-boomers augmente sans cesse, il est peu probable que ceux-ci vendent massivement leurs actions et causent ainsi la chute des marchés boursiers.
L’état de l’économie mondiale n’aura aucun effet sur les marchés boursiers cette année, juge l’économiste David Rosenberg. Une opinion tranchée qui ne fait pas l’unanimité.
Le principal indice boursier du Canada a terminé une année exceptionnelle avec un gémissement mardi, affichant des résultats plus faibles lors d'une séance à faible volume de transactions avant le congé du Nouvel An.