ZONE EXPERTS - Malgré la volatilité géopolitique américaine actuelle et toutes les autres sources de stress à l’international, les marchés boursiers continuent de progresser et touchent de nouveaux sommets. Bien que la croissance économique ait ralenti, l’économie reste robuste.
ZONE EXPERT - Il y a un an on vivait une volatilité plus accrue dans les marchés.
Les personnes les plus riches de la planète ont pris leurs dispositions pour affronter les turbulences auxquelles ils s’attendent sur les marchés en 2020.
Hilda Applbaum donne les raisons de son optimisme pour les marchés, malgré les doutes entourant les perspectives de l’économie mondiale.
PLANÈTE FINANCE - Alors que les partisans d’une destitution de Donald Trump sont de plus en plus nombreux de l’autre côté de la frontière, cette éventualité ne semble pas de nature à perturber les cours de la Bourse.
ZONE EXPERTS - On dit que la Bourse est cyclique, qu’il y a des hauts et des bas qui reviennent périodiquement. J’ai pensé revisiter certains cycles évoqués par le passé et voir ce qu’ils pouvaient nous laisser présager en cette fin de l’année 2019 et le début de 2020.
Le paysage est parsemé de dizaines d’indices de base et sur mesure et d’un mélange hétéroclite de critères d’évaluation d’entreprises.
Octobre en bourse tend beaucoup vers le gris et le noir. Les pressions actuelles sur le marché pointent en partie vers ces teintes, mais une analyse récente de Phases & Cycles pense que les marchés pourraient très bien percer la morosité apparente et, octobre passé, partir vers de nouveaux sommets.
Le Fonds monétaire international (FMI) abaisse encore ses perspectives pour l'économie mondiale, prévoyant que la croissance cette année sera la plus faible depuis la crise financière de 2008, principalement en raison de l'élargissement des conflits mondiaux.
Dans le cycle actuel, on peut observer plusieurs signes annonciateurs d’un cycle financier qui est sur sa fin, conduisant ainsi au risque potentiel d’une crise systémique, écrivent Oliver Klein, directeur général de la BRED et Éric Lombard, directeur général de la Caisse des Dépôts. Cela serait dû, selon eux, aux « effets pervers » des taux d’intérêt durablement bas.