pétrole – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 18 Jul 2024 17:32:06 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png pétrole – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 La Banque Nationale nomme un membre de l’Ouest canadien à son CA https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/la-banque-nationale-nomme-un-membre-de-louest-canadien-a-son-ca/ Fri, 19 Jul 2024 10:35:56 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101857 NOUVELLES DU MONDE – Scott Burrows est un spécialiste du secteur de l’énergie.

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La Banque Nationale du Canada accueille Scott Burrows, président et chef de la direction de Pembina Pipeline Corporation, au sein de son conseil d’administration (CA). À compter du 1er août 2024, Scott Burrows agira à titre d’administrateur et membre du comité d’audit.

Scott Burrows dirige Pembina Pipeline, une société de Calgary spécialisée dans le transport et le stockage du pétrole et du gaz naturel, depuis février 2022, en plus de siéger au conseil d’administration. Depuis 2010, il y a occupé divers postes de gestion, dont celui de directeur financier pendant environ sept ans. Il y a également exercé le rôle de vice-président des marchés financiers et de vice-président du développement de l’entreprise et des relations avec les investisseurs. Avant de se joindre à Pembina Pipeline, Scott Burrows a été associé directeur chez Scotia Capital à Calgary pendant près de sept ans.

Robert Paré, président du CA de la Banque Nationale, affirme que l’expérience de Scott Burrows en matière de fusions et acquisitions, d’offres publiques à l’épargne et d’émissions d’obligations et de dettes, tout particulièrement dans l’Ouest canadien, sera un atout important pour le conseil d’administration alors que la Banque Nationale accélère sa croissance dans cette région. En juin, l’institution financière montréalaise a fait l’acquisition de la Banque canadienne de l’Ouest (CWB), qui possède une forte présente en Alberta et en Colombie-Britannique.

Scott Burrows est titulaire d’un baccalauréat en commerce de l’Université de la Colombie-Britannique (UBC) et porte le titre de Chartered Financial Analyst.

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Les PDG des grandes banques du Canada s’engagent à la transition énergétique https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/les-pdg-des-grandes-banques-du-canada-sengagent-a-la-transition-energetique/ Fri, 14 Jun 2024 11:02:34 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101434 Les banques continueront toutefois à investir dans le pétrole et le gaz.

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Les PDG des cinq plus grandes banques du Canada ont répété jeudi qu’ils s’engagent à contribuer à la transition énergétique alors qu’ils étaient interrogés par un comité parlementaire quant à leur impact sur les changements climatiques.

Les dirigeants de la Banque Royale du Canada (RBC), du Groupe Banque TD, de BMO Groupe Financier, de la Banque Scotia et de la CIBC se sont défendus face aux députés qui affirmaient qu’ils aggravaient la crise climatique en finançant l’industrie pétrolière et gazière à hauteur de plus de 100 milliards $ par an. Les députés les ont mis au défi de réduire ces investissements.

« S’arrêter n’est tout simplement pas une option pour nous », a répliqué Dave McKay, chef de la direction de RBC, comparaissant par vidéoconférence avec les autres PDG devant le comité permanent de l’environnement et du développement durable de la Chambre des communes.

« Il est important que nous fassions cela de manière ordonnée, sinon tout le processus est à risque. Nous devons protéger les emplois tout au long du chemin », a-t-il ajouté.

Les banques ont toutes parlé de leur engagement à travailler avec leurs clients pour les accompagner dans la transition, plutôt que de retirer leur financement. Elles ont aussi réitéré leur volonté d’atteindre leurs objectifs de zéro émission nette et de finance durable.

Enjoints à au moins arrêter de financer l’expansion des énergies fossiles, les dirigeants ont soutenu que ce n’était pas si simple.

« Il s’agit d’une transition complexe. Nous n’abandonnons pas immédiatement les combustibles fossiles », a répondu Dave McKay qui — en tant que directeur de la plus grande banque du Canada et du plus grand bailleur de fonds pétrolier et gazier — est celui à qui ont été adressées le plus de questions.

Les dirigeants ont tous affirmé qu’ils devaient continuer à financer les combustibles fossiles en même temps que des sources d’énergie plus propres.

« Nous devons faire les deux », a dit Bharat Masrani, chef de la direction du Groupe Banque TD.

« Nous devons soutenir l’industrie pétrolière et gazière, une industrie pétrolière et gazière responsable, alors que nous traversons cette transition. En même temps, nous devons nous assurer que nous fournissons les capitaux nécessaires pour passer à un monde carboneutre. »

Des mesures concrètes réclamées

Lors d’une conférence de presse précédant la comparution, plusieurs groupes environnementaux ont remercié le comité d’avoir pris les devants en convoquant les dirigeants des banques. Ils ont appelé les législateurs à adopter des réglementations pour forcer les banques à prendre davantage de mesures contre les changements climatiques.

Selon la directrice principale du financement climatique chez Environmental Defence, Julie Segal, même si les banques ont pris divers engagements, elles n’agissent pas assez vite et n’ont pas indiqué comment elles envisageaient d’atteindre leurs objectifs.

« Bien que chacune des banques canadiennes ait pris des engagements en matière de climat, aucune d’entre elles n’a de plan d’action à la mesure de l’enjeu », a déclaré Julie Segal.

« Leurs engagements volontaires en matière de climat se sont révélés inconstants, car elles continuent de surinvestir dans le pétrole et le gaz et de sous-investir dans des solutions climatiques propres. »

La comparution des dirigeants des banques intervient une semaine après le témoignage, devant le même comité, des PDG des plus grands producteurs de pétrole et de gaz du Canada, qui font face à un projet de plafonnement des émissions imposé par la loi.

Les efforts parlementaires pour contrer l’impact indirect du secteur bancaire sur le climat se limitent en grande partie au projet de loi sur la finance alignée sur le climat proposé par la sénatrice indépendante Rosa Galvez, qui fait partie du Comité sénatorial permanent des banques, du commerce et de l’économie.

Même s’il existe des désaccords sur les règles et les choix nécessaires pour réaliser la transition énergétique, il y a au moins un consensus sur la nécessité d’aller plus vite.

« Il y a de l’anxiété au pays à l’idée d’effectuer cette transition, et c’est pourquoi le Canada doit avancer et continuer d’aller de l’avant », a déclaré Dave McKay.

« Nous devons accélérer cette transition. »

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Lumière sur les fusions et acquisitions du secteur énergétique canadien https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/amar-pandya/lumiere-sur-les-fusions-et-acquisitions-du-secteur-energetique-canadien/ Mon, 15 Apr 2024 11:10:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99499 ZONE EXPERTS -  Les opportunités se multiplient au Canada.

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Au cours des trois dernières années, les entreprises technologiques ont dominé les activités de fusion et acquisition (F&A). Toutefois, le secteur énergétique américain a pris les devants du peloton au cours de l’année dernière pour marquer un point d’inflexion digne de mention. Les sociétés énergétiques à mégacapitalisation dont le siège social est situé aux États-Unis, du calibre d’Exxon Mobil, Chevron Corp et Occidental Petroleum, ont mené la charge en faisant l’acquisition de grandes concurrentes, particulièrement celles issues de la région du bassin permien aux États-Unis. Les principales entreprises de pétrole et gaz naturel canadiennes n’ont pas été entraînées par cette rafale d’acquisitions américaines, toutefois, 2024 pourrait s’avérer une année charnière considérant la présence de plusieurs éléments catalyseurs favorables.

Les grandes sociétés énergétiques du Canada tirent maintenant bien leur épingle du jeu. Armées de solides bilans financiers, de liquidités à disposition et de réserves à constituer, celles-ci commencent à convoiter certaines de leurs voisines de plus petite taille. Elles envisagent des fusions dans des régions clés de l’ouest du Canada, comme la formation de schiste de Montney située dans le nord de l’Alberta et en Colombie-Britannique, ainsi que les plus petits bassins de Duvernay et de Clearwater. Comme le marché prend du temps à réévaluer le secteur, certains acquéreurs stratégiques pourraient accoler une prime aux concurrents nantis de fortes réserves de qualité et d’une échelle opérationnelle qui réduisent les dépenses, augmentent le bassin de ressources, améliorent la diversification du portefeuille, abaissent les coûts en capital et procurent une pondération indicielle plus importante.

Après ce qui a semblé être une série interminable de défis pour les investisseurs à long terme dans le secteur de l’énergie, les entreprises canadiennes de ce secteur affichent maintenant des bilans financiers solides. Pendant les années de vache maigre, les producteurs canadiens ont recherché l’efficience à l’aide de nouvelles méthodes et technologies leur permettant d’accroître la production tout en réduisant les dépenses en capital.

Aujourd’hui, ces sociétés présentent des flux de trésorerie disponibles qu’elles peuvent rendre aux actionnaires sous forme d’augmentations de dividendes, de dividendes spéciaux et de rachats d’actions. Elles ont également la résilience financière nécessaire pour financer les acquisitions au moyen des flux de trésorerie abondants et pour recourir à l’effet de levier à l’aide de leur capacité excédentaire. Après avoir vu leurs voisines du sud annoncer une myriade d’ententes, les équipes de direction des entreprises canadiennes et les investisseurs sont impatients de conclure des transactions. Il est inconcevable que les entreprises fassent du surplace tandis que leurs concurrentes prennent de l’ampleur. Aussi, il suffira d’une entente importante pour qu’une réponse compétitive s’entame, laquelle entraînera une vague de F&A comme celle constatée aux États-Unis l’année dernière.

Les producteurs énergétiques canadiens ne présentent pas beaucoup d’avantages comparativement à leurs confrères américains, lesquels tirent parti de ressources de grande qualité à faible coût et d’une réglementation moins sévère. Toutefois, ces premiers profitent d’un avantage notable : la viabilité des réserves, notamment du côté des producteurs de sables bitumineux. En effet, le fait de posséder des réserves pétrolières pour les prochaines décennies pourrait finalement devenir un avantage stratégique. Avec l’achèvement de deux grands projets d’infrastructure énergétique (soit la Trans Mountain, entreprise gouvernementale qui peut transporter 590 000 barils de pétrole brut par jour et dont le démarrage est prévu plus tard cette année, ainsi que la Westcoast Canadian LNG, laquelle exportera 14 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié [GNL] par année), les producteurs de pétrole et gaz naturel trouveront preneurs pour leurs stocks excédentaires sur les marchés internationaux et à des prix de même envergure. Pendant de nombreuses années, les producteurs énergétiques canadiens ont été forcés d’accepter des prix fort réduits en raison de l’accès limité au marché, du rabais sur le « pétrole lourd » et de la congestion dans les pipelines voués à l’exportation.

Or aujourd’hui, on dresse un tableau bien différent. Tandis que les occasions se font plus rares au sud de la frontière en raison des réserves qui s’épuisent et de la mise en attente des licences d’exportation de GNL par le Président Biden en prévision des élections américaines de novembre prochain, les opportunités de développement et d’optionalité se multiplient au Canada. Avec cette capacité additionnelle prévue pour bientôt, les grandes entreprises américaines et internationales seront motivées à se prévaloir des stocks excédentaires et à assurer une production future, ce qui devrait servir de catalyseur majeur pour les activités de F&A au Canada.

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Goldman Sachs perd son leader des matières premières https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/goldman-sachs-perd-son-leader-des-matieres-premieres/ Thu, 04 Jan 2024 11:22:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98249 PLANÈTE FINANCE - Alors que les revenus de la division sont en baisse.

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Ed Emerson, qui a dirigé la réorganisation de la division des matières premières de Goldman Sachs depuis 2020, se prépare à prendre sa retraite à 47 ans, après vingt-quatre années dans l’entreprise. Son départ succède à celui de l’économiste spécialisé dans les matières premières Jeff Currie.

Les revenus de l’activité des matières premières de Goldman Sachs ont chuté au cours des trois premiers trimestres de 2023, après avoir été l’une de ses vaches à lait. La conjoncture économique est moins favorable depuis quelque temps pour les matières premières après l’âge d’or des années post-COVID. Le chiffre d’affaires de cette activité avait dépassé les 3 milliards de dollars (G$) en 2022, soit presque autant que le total généré en 15 années d’existence. En 2020 et 2021, les gains avaient atteint près de 2 G$.

Ed Emerson a joué un rôle essentiel dans le redressement des activités pétrolières de la société, ont signalé Ashok Varadhan, Dan Dees et Jim Esposito, les trois dirigeants de la division mondiale des banques et des marchés de Goldman, dans une note de service rapportée par Bloomberg. Ils estiment que le dirigeant a contribué à « consolider la position de Goldman Sachs en tant que leader dans le secteur des matières premières ».

Ed Emerson, un Britannique né en Argentine, a rejoint Goldman Sachs en 1999 comme analyste. Il s’est d’abord spécialisé dans le négoce du pétrole. Nommé responsable mondial du secteur des matières premières en 2018, il a bâti une partie de sa fortune en saisissant les opportunités sur ces marchés à a faveur de la crise de la COVID-19 et de la guerre en Ukraine, avec la flambée du prix des matières premières.

Ces succès lui ont permis de bâtir une véritable fortune. Depuis 2020, le dirigeant a gagné environ 100 M$, soit davantage que le directeur général de Goldman Sachs, David Solomon, qui a engrangé 77,5 M$ au cours de la même période.

Ayant la réputation de ne pas avoir sa langue dans sa poche, Ed Emerson est connu pour ses critiques acerbes de la direction générale de David Solomon, auquel il reproche d’avoir mis en place des stratégies qui auraient conduit Goldman Sachs à essuyer des pertes de milliards de dollars au cours des dernières années, selon Bloomberg.

Lors d’une récente réunion, Ed Emerson a déclaré à ses collègues qu’il avait l’intention de rester impliqué et qu’il était toujours proche du président de Goldman, John Waldron, et du patron de la négociation de marchés, Ashok Varadhan, selon des propos rapportés par Reuters.

À la tête de la division mondiale des matières premières, le vétéran sera remplacé par Xiao Qin et Nitin Jindal, qui ont été nommés co-directeurs. Xiao Qin dirige le négoce des matières premières en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique et dans la région Asie-Pacifique. Il est également responsable mondial du négoce du pétrole et des produits raffinés. Il a été nommé directeur général en 2010 et associé en 2016. Nitin Jindal gère le négoce des matières premières dans les Amériques et celui du gaz naturel et de l’électricité en Amérique du Nord. Il a rejoint Goldman en tant qu’associé en 2018.

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La Banque Royale dans la mire de cinéastes https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/la-banque-royale-dans-la-mire-de-cineastes/ Wed, 13 Sep 2023 11:01:59 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96202 En raison du pétrole.

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Un groupe de cinéastes canadiens s’est associé à des vedettes hollywoodiennes pour demander au Festival international du film de Toronto (TIFF) de mettre fin à sa commandite avec la Banque Royale du Canada en raison du financement que cette dernière accorde à l’industrie pétrolière et gazière.

Les organisateurs de la campagne intitulée « RBC Off Screen » affirment que les antécédents de l’institution financière en matière d’investissement dans les combustibles fossiles vont à l’encontre des valeurs socialement progressistes que le festival du film prétend défendre.

Parmi les signataires de la lettre ouverte du groupe au TIFF faisant part de ses préoccupations figurent les vedettes du grand écran Mark Ruffalo, Rachel McAdams et Joaquin Phoenix, aux côtés de cinéastes et producteurs dont Avi Lewis, Elza Kephart et Jose Luis Gutierrez.

Elza Kephart et Jose Luis Gutierrez ont lancé la campagne et, selon eux, ils bénéficient du soutien de plus de 200 travailleurs de l’industrie. La déclaration du groupe soutient que la Banque Royale est l’un des plus grands financiers de projets pétroliers et gaziers au monde et finance des projets qui ont eu un impact négatif sur les terres autochtones et les groupes de personnes autochtones, noires et de couleur.

La vice-présidente des relations publiques du TIFF, Judy Lung, a affirmé dans un communiqué que le festival était sensible aux préoccupations soulevées en matière de durabilité et qu’il en parlait à la Banque Royale.

La porte-parole de la banque, Stephanie Bannan, a indiqué dans un communiqué que davantage d’actions étaient nécessaires pour lutter contre le changement climatique et que la société se réjouissait de l’occasion de discuter de ces problèmes avec les groupes autochtones et la communauté cinématographique.

« En ce qui concerne le changement climatique, nous sommes convaincus qu’il faut agir davantage et à un rythme plus rapide pour y faire face. Nous nous engageons activement avec nos clients et partenaires pour identifier les occasions d’en faire davantage pour atteindre les objectifs communs », a affirmé Stephanie Bannan.

« Nous nous efforçons également de travailler avec les communautés autochtones pour faire progresser collectivement la réconciliation. Nous sommes sensibles à l’inquiétude exprimée par les membres de la communauté cinématographique pour notre climat et nous serions heureux de pouvoir dialoguer. »

Louis Ramirez, militant pour le climat et porte-parole de la campagne, affirme que l’association du TIFF avec la Banque Royale ne correspond pas à ses objectifs de financer, d’aider et de promouvoir les talents créatifs issus des groupes de personnes autochtones, noires et de couleur au fil des ans.

C’est formidable si des organisations accordent des subventions aux cinéastes noirs, a expliqué Louis Ramirez, mais si cet argent est lié au démarrage d’installations de gaz naturel dans les communautés noires, par exemple, « alors il y a un problème ».

« Beaucoup de ces organisations cinématographiques comme le TIFF ont d’excellents programmes climatiques. Mais ces programmes climatiques prennent fin en réalité lorsqu’on s’attarde au portrait un peu plus large: d’où vient l’argent? Il y a cette myopie dès qu’il s’agit d’associations d’entreprises. »

Dans l’intérêt du changement social

La Québécoise Nadia Louis-Desmarchais, coréalisatrice de « Black Life: Untold Stories », a souligné que dans l’intérêt du changement social, il était important pour elle de signer la lettre.

« Quand j’ai appris que c’était quelque chose qu’il fallait faire maintenant, en tant que cinéaste, si je peux juste y participer un peu, bien sûr, je vais aider », a expliqué mardi Nadia Louis-Desmarchais sur le tapis rouge de la première de sa série documentaire, qui sera diffusée sur les ondes de CBC en octobre.

« Je pense qu’il est important que nous restions ensemble en ce moment. »

La lettre a été signée jusqu’à maintenant par environ 300 artisans du secteur, dont les Québécois Anaïs Barbeau-Lavalette, Paule Baillargeon et Charles Binamé.

La Banque Royale du Canada, Bulgari et Visa comptent parmi les principaux commanditaires du TIFF.

Le mois dernier, il a été annoncé que Bell, commanditaire principal, mettrait fin à son partenariat de plusieurs décennies avec le festival à la fin de l’édition en cours.

Le chef de la direction du festival, Cameron Bailey, a indiqué dans une précédente entrevue avec La Presse Canadienne que l’organisation cherchait un remplaçant pour éventuellement apposer son nom sur le siège social du centre-ville du TIFF, actuellement connu sous le nom de TIFF Bell Lightbox.

L’année dernière, les commanditaires ont contribué au financement de l’événement à hauteur d’environ 13,4 millions de dollars, ce qui représentait 28 % de ses revenus totaux.

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Croissance de l’inflation au Canada en juillet https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/croissance-de-linflation-au-canada-en-juillet/ Tue, 15 Aug 2023 14:57:58 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95624 L'évolution du prix de l'essence a eu un impact significatif sur ce résultat.

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Le taux d’inflation a augmenté d’une année à l’autre le mois dernier au Canada, ayant été mesuré à 3,3 % comparativement à 2,8 % en juin.

Statistique Canada impute surtout la hausse de l’Indice des prix à la consommation (IPC) à un effet de glissement annuel lié aux prix de l’essence, une forte baisse mensuelle observée en juillet 2022 n’étant plus prise en compte dans la variation sur 12 mois.

Sans l’essence, l’IPC a crû de 4,1 %, en légère hausse par rapport à une progression de 4 % en juin.

Statistique Canada a observé que les prix de l’essence ont affiché une baisse de 12,9 % d’une année à l’autre en juillet, après avoir enregistré une diminution de 21,6 % en juin.

La croissance des prix dans les épiceries a ralenti d’une année à l’autre; les prix ont augmenté de 8,5 % en juillet après avoir progressé de 9,1 % le mois précédent. Le ralentissement a été surtout attribuable aux prix des fruits frais et, dans une moindre mesure, à ceux de la boulangerie.

Statistique Canada signale que l’indice du coût de l’intérêt hypothécaire a encore affiché une progression d’une année à l’autre sans précédent, de 30,6 %, et est demeuré le principal facteur à l’origine de la hausse de l’inflation globale.

La Banque du Canada s’attend à ce que l’inflation oscille autour de 3 % au cours de la prochaine année au pays, avant de baisser régulièrement à 2 % d’ici le milieu de 2025. La banque centrale rendra sa prochaine décision sur le taux directeur le 6 septembre prochain.

Le taux d’inflation a augmenté d’une année à l’autre le mois dernier de 3,9 % au Québec, de 3,4 % en Nouvelle-Écosse, de 2,9 % au Nouveau-Brunswick et de 2,1 % à l’Île-du-Prince-Édouard.

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Un exemple norvégien pour le Canada https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/un-exemple-norvegien-pour-le-canada/ Wed, 02 Aug 2023 10:10:19 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95186 En matière d’utilisation des énergies fossiles.

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La Norvège fait une utilisation beaucoup plus efficace et rationnelle de ses énergies fossiles pour l’aider dans sa transition énergétique. C’est un modèle dont le Canada aurait tout avantage à s’inspirer, juge une récente étude de Banque Nationale Marchés financiers.

La Norvège est le septième plus important producteur de gaz naturel au monde, fournissant 3% de la demande mondiale. Elle est aussi un producteur de pétrole respectable, couvrant environ 2% de la demande mondiale grâce à sa production de 2 millions de barils par jour. De plus, elle tire environ 95% de son électricité de sources hydrauliques. Depuis le début de la guerre en Ukraine, elle a supplanté la Russie comme principale source d’approvisionnement en gaz pour l’Europe, dont elle comble un tiers des besoins.

Cousin canadien

Ces chiffres font de la Norvège un proche parent du Canada, qui est le quatrième producteur mondial de pétrole grâce à ses 4,6 millions de barils par jour, de même que le quatrième producteur de gaz naturel et le sixième exportateur. L’hydro-électricité satisfait à 61% de la demande électrique du pays, mais quand on inclut les énergies propres (nucléaire, 12%, et éolien, 6%) la part verte de l’énergie renouvelable au Canada monte à 79%.

En 2022, « la Norvège a tiré environ 161 milliards (G$) de dollars américains (soit environ 33% de son PIB) de la production de pétrole et de gaz, une hausse de 150% par rapport à 2021, » rapportent les auteurs de l’étude, Angelo Katsoras at Baltej Sidhu. De plus, le fonds souverain de Norvège, qui s’élève maintenant à 1,3 billion de dollars américains et constitué au fil des ans à partir des revenus d’exploitation pétrolière et gazière, sert à financer 20% du budget de l’État norvégien.

Fort de ces revenus, le gouvernement norvégien peut « financer massivement sa transition vers l’énergie verte », jugent les auteurs de l’étude. Ainsi, en 2022, il subventionnait les achats de véhicules électriques à hauteur de 25 000 $ américains par véhicule. Cela fait en sorte que la Norvège est un leader dans l’implantation des véhicules électriques : 20% du parc automobile et 80% des nouveaux véhicules vendus étaient électriques en 2022. (Notons qu’à partir de cette année, la Norvège va réduire ses appuis, n’appliquant l’exemption de 25% de la TVA qu’à la première tranche de 47 000 $US au prix d’achat d’un véhicule électrique).

Au Canada, les aides fiscales du gouvernement fédéral à l’achat d’un véhicule électrique ne dépassent pas 5 000 $ pour un véhicule dont le prix doit être inférieur à 55 000 $, tandis que les aides provinciales vont de 4 000$ en Colombie-Britannique, jusqu’à 7 000$ au Québec.

Virage canadien

« Selon nous, écrivent les auteurs de l’étude, le gouvernement canadien devrait emboîter le pas à la Norvège et faire du soutien à la production de pétrole et de gaz une priorité en utilisant les normes environnementales les plus élevées afin de financer la transition vers l’énergie verte qui s’étalera sur des décennies. »

Malgré tout ce qu’on peut entendre à l’effet du contraire, le Canada jouit d’une des notes les plus élevées au monde, sinon la plus élevée, au plan de la faible empreinte environnementale de son exploitation des énergies fossiles. « Cela s’explique par la situation géographique de ses réserves, ses installations relativement modernes et efficaces et la forte baisse de ses émissions de méthane, » note l’étude.

Ainsi, la bonne tenue des exploitations d’énergie fossile au Canada pourrait contribuer à réduire les émissions de CO2 ailleurs. Comme le note IHS Markit, « si seulement 20% des centrales électriques au charbon d’Asie étaient converties au gaz naturel, les émissions mondiales seraient réduites dans une mesure qui dépasse les émissions annuelles du Canada ».

Les chiffres qu’aligne l’étude de BNMF parlent d’eux-mêmes. « Si le Canada cessait totalement sa production de sables bitumineux, ses émissions diminueraient d’environ 13%. Mais, dans le contexte des émissions mondiales, ce changement n’équivaudrait même pas à une erreur d’arrondi. »

Plutôt que de combattre la production d’énergie fossile, le Canada devrait en faire la promotion à l’exportation pour aider à réduire ailleurs des productions énergétiques beaucoup plus polluantes. « La contribution la plus notable du Canada à la réduction des émissions mondiales se traduirait par une aide aux pays émergents pour les assister dans leur transition vers une énergie plus propre, notamment en offrant des solutions de rechange à l’utilisation du charbon. »

Coûts canadiens

Un récent rapport de la Banque Royale avertit que le Canada pourrait payer le prix de compter exclusivement sur le solaire et l’éolien pour « verdir » son réseau électrique. « Le gaz naturel est inévitable dans le mix énergétique à court et à moyen terme », écrit le rapport. Dès 2026, l’Ontario, qui est le cœur économique du pays, souffrira des déficits énergétiques, qu’un approvisionnement en solaire et en éolien ne fera qu’exacerber.

Pour stabiliser l’approvisionnement d’électricité, le Canada n’a pas le choix de miser à moyen terme sur le gaz naturel et, à long terme, sur le nucléaire et l’hydro-électrique. Quand on tient compte des coûts incontournables liés aux batteries pour stocker l’énergie solaire et éolienne, « nos modèles montrent qu’un réseau qui préserve et élargit le nucléaire (et l’hydro-électrique) pourrait s’avérer plus abordable. Un réseau entièrement « renouvelable » avec stockage de batterie pourrait ajouter 7 G$ en coûts annuels, alors qu’un réseau plus diversifié pourrait couper la note de moitié.

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Un déficit pétrolier chronique profitera aux investisseurs https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/un-deficit-petrolier-chronique-profitera-aux-investisseurs/ Wed, 19 Apr 2023 10:08:46 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92975 Alors que les sources alternatives d’énergie suscitent du scepticisme.

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À la mi-mars, Jeff Currie, chef de la recherche sur les produits de base chez Goldman Sachs, affirmait que le marché du pétrole se déplaçait à nouveau vers une situation de déficit chronique, ce qui pousserait le prix du baril au-dessus de 100 $US avant la fin de 2023. Au plan d’un surplus potentiel de production, a commenté l’analyste, « en 2024, nous commençons à avoir de sérieux problèmes. » Il conseillait aux investisseurs d’acheter dans le creux.

C’est un constat que partage sans réserve Rafi Tahmazian, directeur et gestionnaire de portefeuille principal du fonds Canoe Energy Alpha. « Nous buvons à la même eau que Jeff Currie, dit-il. À court terme, on se retrouve avec des surplus, mais la perspective à long terme est tout autre. »

Un choc inattendu est venu renforcer et accélérer la prévision de Jeff Currie. Le 2 avril, OPEP+ annonçait une réduction de production systématique de 1,16 million de barils par jour à partir de mai. Il faut dire que depuis la mi-mars, le baril avait déjà entrepris une remontée soutenue, suite à l’anxiété suscitée par les troubles bancaires, le WTI brut passant de 66,74 $US le 17 mars à 80,55$ le 3 avril, alors que l’indice international Brent montait de 72,77 $US à 84,75 $US.

Besoin d’investissement

« Depuis 2008, dit Rafi Tahmazian, c’est uniquement en Amérique du Nord qu’on a vu une croissance dans l’offre; le reste du monde a vu une baisse continue, 76% de l’offre étant en déclin. Il n’y a pas de solutions aux besoins énergétiques du monde sans une hausse de l’offre en pétrole. La seule solution tient à une hausse des dépenses en capital » dans le secteur pétrolier.

Après avoir atteint un sommet de 779 milliards de dollars américains (G$) en 2014, l’investissement en nouvelle capacité de production a tombé à 583 G$ en 2015, touchant un creux de 434 G$ en 2016, selon l’Agence internationale de l’énergie. À partir de 2017, on a assisté à une lente remontée, l’investissement total atteignant 446 G$ en 2022 selon des chiffres de Rystad Energy que rapporte Stephen Ellis, stratège en énergie, chez Morningstar. « On prévoit une hausse de 12% des investissements en 2023, ajoute celui-ci. »

Jusqu’à tout récemment, trois développements ont contribué à créer un surplus d’offre et à pousser le prix du baril à son creux de la mi-mars, après le pic de 106 $US d’avril 2022, son plus haut niveau depuis le sommet historique de 127 $US atteint durant la Grande Crise Financière. D’abord, malgré tout ce qu’on a entendu au sujet des sanctions économiques à l’endroit de la Russie, ce pays a poussé sa production à un maximum et noyé les marchés mondiaux. « Le monde continuait de consommer ce pétrole, même si on voulait punir les Russes », fait observer Rafi Tahmazian.

Ensuite, l’économie chinoise a ralenti et réduit sa demande de près de 3%. Enfin, les États-Unis ont puisé à des niveaux jamais vus dans leur réserve stratégique (Strategic Petroleum Reserves). Or, deux de ces facteurs ont épuisé la pression qu’ils exerçaient sur les prix : la Russie a réduit sa production et l’économie de la Chine montre des signes de remontée soutenue. Suite à l’annonce de l’OPEP+ de réduire sa production, les États-Unis ont annoncé qu’ils continueraient de puiser dans leurs réserves stratégiques de façon à atténuer la hausse des prix à la pompe.

Outre ces trois facteurs temporaires, une tendance majeure à long terme contribuera à exacerber les déficits de pétrole et à maintenir les prix élevés, juge Rafi Tahmazian : une demande en croissance irrépressible de la part des pays en développement. « Ces pays n’ont pas d’infrastructure, pas de soins de santé, pas de climatisation, pas de classe moyenne, et ils veulent tout cela, dit le gestionnaire de portefeuille et les pays développés, de leur côté, leur offrent des sources d’énergie ‘alternatives’ à coûts instables. Mais eux, ils entendent avoir recours au pétrole. »

Les alternatifs

Une question importante pèse sur les marchés financiers : les déficits pétroliers, s’ils perdurent, pourront-ils être compensés par les sources d’énergie renouvelable ? La question repose surtout sur le transport routier : les véhicules électriques réussiront-ils à réduire assez rapidement la demande de pétrole avant que des déficits pétroliers ne suscitent des problèmes ?

À ces deux questions, Rafi Tahmazian répond « non ». « Dans les 20 dernières années, malgré toutes nos tentatives de rendre les hydrocarbures désuets, nous sommes passés d’un niveau d’utilisation de 80% à… 81%. Les prétentions des ‘alternatifs’ sont fausses. »

Howard Birnwell, un consultant du secteur énergétique à Calgary qui suit autant le secteur des hydrocarbures que celui des énergies renouvelables, apporte une dose de scepticisme à l’endroit des prédictions à long terme dans le secteur pétrolier. Tout d’abord, fait-il observer, « ça fait depuis 2018 qu’on entend parler de déficits entraînés par le manque d’investissement des pétrolières. Pourtant, on a quand même frappé un creux historique durant la COVID-19 et une poussée importante après l’invasion de l’Ukraine. »

Aussi, le secteur pétrolier est très contrôlé politiquement, rappelle-t-il. En effet, c’est par décision unilatérale que l’OPEP+ vient d’annoncer à la surprise générale une réduction de production, une décision qu’elle peut renverser aussi rapidement. « Les gens me demandent quel va être le prix du pétrole l’an prochain, dit-il. Je leur réponds toujours : ‘savez-vous ce que sera demain’ ? »

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La Banque Royale pointée par des groupes écologistes https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-banque-royale-pointee-par-des-groupes-ecologistes/ Fri, 14 Apr 2023 11:14:22 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=93138 Pour son financement de l'industrie fossile.

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La Banque Royale du Canada (RBC) a été le plus grand bailleur de fonds pour des projets de combustibles fossiles au niveau mondial en 2022, selon les données de la dernière étude de Banking on Climate Chaos, publiée jeudi par un consortium de groupes écologistes.

L’aide financière de la Royale au secteur des combustibles fossiles a atteint 42 milliards de dollars américains (G$) en 2022 selon l’étude, soit 3 G$ de plus qu’en 2021.

La banque avait pratiquement doublé son aide à cette industrie de 2020 à 2021, la faisant passer de 19 G$ à 39 G$, selon Banking on Climate Chaos.

La Banque Royale fait pourtant partie de l’alliance bancaire Net Zéro, une initiative des Nations Unies.

Les banques qui se joignent à cette alliance doivent s’engager à aligner leurs portefeuilles de prêts et d’investissement en vue d’atteindre l’objectif zéro émission de gaz à effets de serre nette d’ici 2050, ainsi qu’à fixer des objectifs intermédiaires pour 2030 ou plus tôt.

De passage à Montréal pour la COP15 en décembre, le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, avait appelé à une réforme du système financier et avait demandé notamment aux banques de faire en sorte que leurs placements favorisent la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité.

« Notre appel n’est pas seulement pour les banques canadiennes, c’est pour le secteur financier en général. Il faut que les banques et les institutions financières en général et les organisations qui les détiennent (…) accélèrent leur changement, qu’elles passent du financement des combustibles fossiles au financement de l’économie verte », avait indiqué le secrétaire général des Nations unies en conférence de presse.

La banque américaine JPMorgan Chase se retrouve en deuxième position du classement de Banking on Climate Chaos, dernière la Royale. Wells Fargo, Bank of America et Citi se trouvent également parmi les cinq plus grands financiers des combustibles fossiles pour l’année 2022.

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