Toutefois, l’économie globale peine à retrouver son niveau pré-COVID-19.
Les investisseurs doivent se préparer à une période prolongée de rendements faméliques.
Celui-ci reste à 0,25 %.
Un retour à l’équilibre budgétaire est envisagé dans 3 à 5 ans, mais pas aux frais du contribuable.
La Commission européenne s’attend à ce que la chute atteigne 7,7 % en 2020.
Le produit intérieur brut (PIB) canadien se serait contracté de 9,0 % pendant le mois de mars, selon une estimation préliminaire dévoilée mercredi par Statistique Canada.
Statistique Canada signale que dès janvier dernier, en début d'éclosion du nouveau coronavirus, des effets sur le produit intérieur brut (PIB) du Canada ont déjà pu être mesurés.
Toutefois, Ottawa devrait agir pour que cela ne se produise pas, estime la banque.
Depuis le 20 février dernier, les grands marchés boursiers du monde sont en pleine débandade. Pas ceux de Chine. Tandis que le S&P 500 depuis cette date a enregistré une chute de 15,8% (au 10 mars), l’indice chinois SSE de Shanghai a marqué une perte de seulement 1,7%. Jusqu’au 5 mars, il réussissait même à faire un gain net de près de 1%.
Le coronavirus semble avoir un effet dévastateur sur les marchés chinois et nombre d’investisseurs craignent son impact à long terme sur les portefeuilles. Cependant, cette crainte est infondée.