Après avoir maintenu une cible d'inflation à 2 % pendant plus de 20 ans, la Banque du Canada (BdC) envisage la possibilité de modifier sa politique monétaire.
PLANÈTE FINANCE – Les quatre anciens présidents encore en vie de la Réserve Fédérale américaine (Fed) ont publié une tribune commune soulignant l’importance d’une banque centrale détachée de toute considération politique.
La Banque du Canada a mis de côté la discussion sur les hausses de taux d'intérêt mercredi en révisant à la baisse sa prévision de croissance pour 2019 et estimant que l'économie s'était presque immobilisée au début de l'année.
La Banque du Canada va étudier la possibilité d'apporter des modifications au cadre qui sous-tend ses décisions politiques, comme les changements de taux d'intérêt, depuis près de quatre décennies.
Les principaux responsables financiers du G20 ont lancé un appel au dialogue afin de régler les disputes commerciales qui menacent la croissance internationale. Ils ont aussi lancé un avertissement: les tensions pourraient s'intensifier.
Le début officiel de l’été donne des sueurs froides aux stratèges tant les marchés offrent des contradictions.
Oubliez la rhétorique protectionniste de Donald Trump. Le fossoyeur du marché boursier sera la Réserve fédérale (Fed) et elle pourrait provoquer une récession d’ici les douze prochains mois, prévient David Rosenberg, économiste en chef de Gluskin Sheff + Associates, dans un discours prononcé à Montréal, jeudi.
Le vieillissement de la population au Canada a ralenti l’efficacité de la politique monétaire depuis la crise financière, selon un nouveau rapport du C.D. Howe Institute.