Recrutement – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 15 Aug 2024 10:23:26 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Recrutement – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Rendre les fonctions d’arrière-guichet plus sexy https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/rendre-les-fonctions-darriere-guichet-plus-sexy/ Thu, 15 Aug 2024 10:23:26 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102050 DÉVELOPPEMENT - Des postes moins prestigieux, mais essentiels.

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Le Royaume-Uni, centre névralgique des services financiers mondiaux, fait face à des enjeux importants de pénurie de main-d’œuvre. Comme au Canada, l’industrie financière y peine à recruter de jeunes diplômés ainsi que du personnel débutant. Cet enjeu a accentué le fossé entre les postes subalternes et les postes de direction, signale un article du magazine IFA.

Les fonctions d’arrière-guichet, qui comprennent notamment les postes de soutien administratif, de service à la clientèle, de soutien technologique et marketing, sont particulièrement difficiles à pourvoir. Les jeunes diplômés leur préfèrent souvent des postes dans les secteurs de l’investissement et de la gestion de portefeuille. Pourtant, les fonctions d’arrière-guichet sont cruciales pour le succès du secteur financier. De plus, elles offrent des perspectives de carrière intéressantes, indique IFA.

Rendre ces postes plus attrayants

Pour rendre ces postes plus attrayants, les institutions financières augmentent l’automatisation des fonctions d’arrière-guichet. Cependant, cela ne suffit pas. Il est essentiel de transformer l’image des fonctions d’arrière-boutique pour les faire passer d’« ennuyeuses » à « sexy » afin d’attirer de jeunes talents intéressés à avoir un impact en coulisses, indique IFA.

Comment faire ? Il faut valoriser l’importance stratégique des fonctions d’arrière-guichet, leur rôle dans la réussite de l’entreprise et le fait que ces fonctions peuvent mener à des carrières stimulantes et intellectuellement enrichissantes.

Par ailleurs, on peut miser sur l’innovation technologique pour attirer les jeunes professionnels vers ces fonctions. Avec l’évolution des technologies et le virage numérique des services financiers, certains rôles requièrent des connaissances de pointe en cybersécurité, en analyse des données et en intelligence artificielle, par exemple. Ces postes offrent la possibilité de travailler sur des projets innovants, de résoudre des problèmes complexes et d’exercer une forme de leadership dans la transformation numérique de l’industrie.

Assurer la relève

Depuis la pandémie, le monde du travail a évolué rapidement. Le travail à distance a apporté plus de flexibilité, mais il a aussi perturbé le développement de compétences financières essentielles. Les possibilités d’apprentissage sur le tas et de mentorat ont été réduites, ce qui a freiné la progression de nombreuses recrues.

Pour combler le fossé, IFA suggère plusieurs actions :

  • Attirer une main-d’œuvre internationale : mettre en place des incitatifs pour attirer des talents du monde entier.
  • Identifier les pénuries de compétences : adapter les campagnes de recrutement en fonctions des pénuries spécifiques dans certaines fonctions.
  • Favoriser les partenariats éducatifs : collaborer avec les établissements d’enseignement pour créer un vivier de futurs talents.
  • Investir dans la formation : (Le secteur financier accuse un retard dans ce domaine.) Développer des programmes mondiaux d’éducation et de formation pour garantir un afflux constant de professionnels qualifiés.

Comme le Royaume-Uni, le Canada fait face à des défis de recrutement dans le secteur financier. En rendant ces postes plus « sexy », les deux pays peuvent espérer attirer de jeunes talents et assurer la relève dans un secteur vital pour leurs économies respectives.

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Emploi en finance : la balance se rééquilibre https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/emploi-en-finance-la-balance-se-reequilibre/ Thu, 13 Jun 2024 11:43:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101296 PLANÈTE FINANCE – Les profils spécialisés dans les ESG sont recherchés.

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Après la pandémie, le rapport de force sur le marché de l’emploi dans les services financiers a changé. Fini le temps où les employeurs menaient le bal. Ce sont les candidats qui choisissaient jusqu’à récemment les entreprises pour lesquelles ils voulaient travailler. La situation tend maintenant à se normaliser, rapporte L’Agefi, un média français destiné aux professionnels de la finance.

Laurent Nizard, fondateur et président de Harriston Executive, un cabinet de recrutement parisien spécialisé dans la finance, a indiqué au journal que le marché de l’emploi en finance est certes toujours un marché de candidats, mais que la situation est en train de s’inverser. Il en veut pour preuve les nouvelles offres d’emploi qui sont moins nombreuses que d’habitude à la fin du premier trimestre 2024.

Pour faire face à la diminution du nombre de candidats, les institutions financières ont changé leurs manières de faire. Elles ont élargi les profils auxquels elles faisaient traditionnellement appel, c’est-à-dire principalement des diplômés des grandes écoles telles que Polytechnique et HEC. Elles ont également mis en place des critères de sélection axés davantage sur les aptitudes relationnelles des candidats que sur leur parcours académique, rapporte le recruteur.

Néanmoins, l’industrie n’a pas fini d’évoluer. L’emploi dans le monde de la finance après la pandémie reste profondément transformé. Il n’est ainsi plus question d’exiger d’un collaborateur qu’il soit présent tous les jours au bureau. La flexibilité entre travail à distance et en présentiel est bien ancrée dans la plupart des institutions.

Certaines banques choisissent cependant d’aller à contre-courant. C’est le cas de JPMorgan et Goldman Sachs aux États-Unis, qui ont exigé le retour au bureau de leurs gestionnaires. Cette stratégie n’est pas sans risque, indique un chasseur de têtes, mentionnant le cas d’une entreprise n’acceptant pas le télétravail qui a actuellement du mal à recruter un gestionnaire de haut niveau, « même si le poste est très bien rémunéré ».

Certains candidats recherchent des postes exclusivement en télétravail. Or, pour certaines fonctions, le travail à distance est difficilement compatible avec les exigences en matière de conformité. Une dizaine de banques américaines dont Citigroup, Goldman Sachs, Deutsche Bank ou encore UBS, l’ont appris à leurs dépens lorsqu’elles ont dû verser 1,1 milliard de dollars de pénalités en infraction des lois boursières après que certains de leurs employés ont utilisé leur messagerie personnelle ou WhatsApp pour effectuer leurs communications professionnelles.

Les banques d’affaires, particulièrement exposées aux risques de conformité et qui exigent une implication très forte des recrues ont plus de difficulté à attirer des candidats, qui leur préfèrent les fonds de capital-investissement, constate L’Agefi.

La pénurie de candidats se fait particulièrement sentir dans les postes en relation avec les produits structurés, en vogue actuellement pour lutter contre l’inflation et la hausse des taux, ou dans les métiers ayant trait à l’environnement, les problèmes sociétaux et de gouvernance (ESG) ou l’investissement socialement responsable (ISR), car il existe peu de formations reconnues sur ces pratiques pour répondre la demande des banques. Les candidats avec un profil ESG sont notamment recherchés en raison du développement du thème de la transition climatique et des fonds à impact.

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Gare aux préjugés inconscients https://www.finance-investissement.com/edition-papier/focus-sur-les-conseillers/gare-aux-prejuges-inconscients/ Mon, 16 Oct 2023 04:24:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96676 FOCUS SUR LES CONSEILLERS - Ils nuisent à l’évaluation de la compétence.

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L’industrie financière doit prendre conscience de ses biais afin de rester concurrentielle, selon Sema Burney, consultante et coach en diversité, équité et inclusion (DEI), et présidente de ­Burney ­Conseil. En voici ­quelques-uns à considérer.

Le biais de la compétence est souvent évoqué, selon elle. « ­Peu importe le genre ou la couleur de peau, on veut avant tout des personnes compétentes », affirme un conseiller, exprimant ainsi un avis qui revient à plusieurs reprises lorsqu’on a interrogé les conseillers sur les politiques en matière de ­DEI de leur courtier.

Afin de demeurer compétitives, les institutions veulent s’assurer de recruter les candidats qui possèdent les meilleures compétences pour pourvoir les postes vacants. « ­Il faut cependant reconnaître que le concept de compétence est biaisé », affirme ­Sema ­Burney, qui a travaillé comme vérificatrice dans l’industrie financière avant de devenir consultante.

En effet, pour analyser les compétences, les employeurs se fondent souvent sur des préjugés inconscients, ­indique-t-elle. Par exemple, en comptabilité, les notes obtenues aux examens comptent pour beaucoup dans l’évaluation des compétences des candidats. En deçà d’un certain pointage, ils risquent même de ne pas être convoqués pour une entrevue. Cependant, ces résultats ne tiennent pas compte du statut ­socio-économique de la personne. Si ­celle-ci a dû travailler de longues heures pour financer ses études, il est possible que ses notes ne soient pas aussi élevées que celles d’un autre étudiant plus nanti qui a pu consacrer davantage de temps à étudier. « ­Est-ce que ce dernier est plus compétent ? ­Pas nécessairement », illustre la consultante.

Un autre exemple : l’expérience canadienne est souvent valorisée lors de l’embauche d’un employé. On pense qu’un candidat possédant une expérience de travail au pays saisira mieux la réalité de l’entreprise. Cependant, il n’est pas nécessairement plus compétent qu’un autre ayant une expérience étrangère. « ­Et quand quelqu’un qui vient d’un groupe ­sous-représenté est embauché, pourquoi présumer d’emblée que cette personne n’est pas compétente ? » s’interroge Sema ­Burney.

Les biais et les préjugés inconscients sont identifiés comme un obstacle majeur à la diversité et à l’équité dans les entreprises, selon une étude de l’Institut de valorisation des données (IVADO) de ­Polytechnique ­Montréal et ­HEC ­Montréal. Les auteurs ont démontré que les biais sont susceptibles d’altérer le jugement et les décisions à plusieurs étapes charnières pour la diversité, soit lors de la définition du profil du poste, au moment de la constitution du bassin de candidatures, et lors de l’entrevue d’embauche et du choix final.

Différents biais inconscients influencent la manière dont la compétence est évaluée : on peut ainsi avoir tendance à retenir davantage les expériences ou interactions négatives (biais d’information négative), à surestimer la prépondérance de ses goûts, croyances ou préférences personnelles (biais d’universalité) ou à être bienveillants à l’égard des personnes qui nous ressemblent (biais de similarité).

Dans ce contexte, parvenir à évaluer la compétence d’une personne sans être influencé par des préjugés inconscients reste un exercice difficile, pour lequel il est nécessaire de se doter de balises claires, par exemple en donnant aux gestionnaires les bons outils pour évaluer le ­savoir-être (soft skills) lors d’une entrevue d’embauche.

Dans tous les cas de figure, manifester une plus grande ouverture à différents types de profils pour apporter une valeur ajoutée à l’équipe est la clé. Pour atténuer les biais de compétence qui font obstacle à la diversité, on peut par exemple élargir le bassin de recrutement à d’autres écoles ou d’autres programmes que ceux où l’on recrute traditionnellement. On peut également valoriser d’autres types d’expérience. « ­Est-il absolument nécessaire de détenir un titre comptable canadien pour occuper le poste à pourvoir ? ­Si ce n’est pas indispensable, on pourrait embaucher un candidat qui possède un diplôme d’un autre pays, qui a étudié dans un champ connexe ou qui démontre la minutie recherchée pour le poste », suggère la consultante.

En période de pénurie de ­main-d’œuvre, le fait de diriger ses antennes vers d’autres industries pour repérer sa relève peut contribuer non seulement à éviter l’écueil des biais de compétence, mais aussi à favoriser la créativité et l’innovation dans l’organisation en y amenant des perspectives différentes

Des pratiques pour éviter les biais :

  • Utiliser un vocabulaire épicène ou inclusif lors du recrutement ;
  • ­Définir les critères vraiment nécessaires pour le poste ;
  • ­Publiciser le poste ­au-delà des réseaux habituels ;
  • ­Faire deux listes de candidats : une pour les femmes (ou autre groupe désigné) et une pour les hommes, puis choisir les deux ou trois meilleurs candidats dans chacune ;
  • ­Former les membres des comités de sélection aux biais inconscients et à leur influence sur la prise de décision.

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L’AMF recrute pour son comité consultatif sur les produits d’investissement https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/lamf-recrute-pour-son-comite-consultatif-sur-les-produits-dinvestissement/ Fri, 29 Sep 2023 10:39:12 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96418 Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 7 novembre.

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L’Autorité des marchés financiers (AMF) lance un appel de candidatures en vue de pourvoir quatre postes au sein de son comité consultatif sur les produits d’investissement (CCPI).

Le comité, composé de quinze membres de l’industrie, a pour mandat d’échanger sur les questions ayant trait à l’encadrement du développement, de la gestion et de la distribution des produits d’investissement. Il vise également à améliorer l’élaboration et la mise en pratique de cet encadrement par le régulateur.

L’AMF recherche des personnes issues de divers secteurs et professions liés au développement, à la gestion et à la distribution de produits d’investissement. Les candidats doivent posséder une expérience significative dans leur champ d’activités respectif et connaitre la réglementation applicable en matière de produits d’investissement.

Le mandat est prévu pour une durée initiale de trois ans et peut être reconduit. Les rencontres ont lieu au rythme de trois à six fois par année et ne sont pas rémunérées.

Les personnes intéressées doivent poser leur candidature au plus tard le 7 novembre 2023 auprès de l’AMF.

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Réseau Capital recrute pour son comité relève https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/reseau-capital-recrute-pour-son-comite-releve/ Fri, 04 Aug 2023 10:09:41 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95447 Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 13 août.

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Réseau Capital, l’association du capital d’investissement au Québec, recherche des candidats âgés de moins de 40 ans pour siéger à son comité Nouvelle Génération, qui représente la relève du secteur du capital d’investissement au Québec.

Les membres du comité sont chargés de participer à l’élaboration de divers événements et projets, et contribuent à faire rayonner l’industrie à l’extérieur de son réseau. Les mandat sont d’une durée de 2 ans, avec possibilité de renouvellement.

La date limite pour postuler est fixée au 13 août 2023, pour un mandat qui débutera en septembre.

Pour poser sa candidature, il faut être à l’emploi d’une organisation membre de Réseau Capital et oeuvrer au sein de la relève de la communauté du capital Investissement au Québec, ce qui inclut les personnes âgées de 25 à 40 ans qui n’ont pas pour fonction un poste de niveau « associé » sur le plan professionnel.

Le comité compte actuellement 17 membres et est coprésidé par Élise Beauregard, de Davies Ward Phillips et Vineberg, et Benjamin Sekkat, de AQC Capital.

Le formulaire pour soumettre sa candidature est disponible sur le site Internet de Réseau Capital.

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La culture d’entreprise, levier de la performance et de l’engagement des employés https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/la-culture-dentreprise-levier-de-la-performance-et-de-lengagement-des-employes/ Thu, 03 Aug 2023 10:04:05 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95312 DÉVELOPPEMENT - Selon un sondage mené auprès de 500 PDG dans le monde.

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La culture organisationnelle est plus importante que jamais pour stimuler l’engagement et la fidélisation des employés, la performance de l’entreprise et les résultats financiers, selon une enquête menée auprès de 500 PDG dans le monde par le cabinet conseil Heidrick & Struggles.

Près de trois quarts (71 %) des patrons interrogés dans le cadre de l’étude ont souligné que la culture était l’un des principaux facteurs qui influencent positivement la performance financière, comparativement à 26 % en 2021.

Ils sont plus nombreux (de 37 % en 2021 à 69 % en 2023) à considérer que la direction et l’objectif sont les éléments culturels qui impactent le plus les résultats de l’entreprise.

Parmi les autres éléments cités comme bénéfiques pour les résultats figurent l’agilité, l’innovation et l’état d’esprit de croissance (57 %), ainsi que l’esprit positif et la vitalité (46 %).

Une majorité de sondés (59 %) estiment par ailleurs qu’il est essentiel de lier directement la culture à la stratégie pour en tirer des avantages financiers.

Fidélisation des employés

Plus de la moitié (53 %) des dirigeants sont d’avis que l’accent mis sur la culture a considérablement amélioré la fidélisation des employés dans tous les mode de travail (à distance, au bureau ou hybride).

Ils estiment que la culture améliore non seulement les résultats financiers de l’entreprise, mais aussi l’expérience globale des employés. Les dirigeants considèrent d’ailleurs les avantages financiers comme un bonus supplémentaire à cet égard.

Le nombre de PDG qui se concentrent sur la culture d’entreprise pour augmenter l’engagement des employés, a plus que doublé depuis 2021, passant de 26 % à 54 %.

Les dirigeants voient aussi dans la culture une façon de stimuler l’innovation et d’améliorer la diversité et l’inclusion dans l’organisation.

Les PDG interrogés s’entendent pour dire que la culture contribue davantage à fidéliser les employés que la rémunération, les avantages sociaux et la flexibilité du lieu de travail.

Enfin, plus de la moitié (53 %) des patrons affirment que la culture améliore considérablement la fidélisation, quel que soit le modèle de travail.

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Trouver le candidat idéal en adaptant le poste à la personne https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/trouver-le-candidat-ideal-en-adaptant-le-poste-a-la-personne/ Tue, 25 Jul 2023 11:40:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95037 DÉVELOPPEMENT - Chaque emploi doit offrir de nouveaux défis.

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Le processus de recrutement est souvent axé sur la recherche du candidat idéal qui coche toutes les cases. Cependant, selon un article publié dans Harvard Business Review France (HBR), cette approche peut s’avérer réductrice et même contribuer à écarter des talents cachés.

Quand on a un poste à combler, on a souvent tendance à établir une longue liste de critères. Or, en procédant ainsi, vous réduisez vos chances de trouver la perle rare, car vous risquez de mettre de côté des candidats qualifiés qui pourraient vous apporter une valeur ajoutée. En vous concentrant uniquement sur les compétences et l’expérience passée, vous risquez aussi de négliger d’autres aspects essentiels, tels que le potentiel, la motivation et l’adaptabilité.

Une offre d’emploi avec beaucoup de cases à cocher peut décourager les jeunes candidats de postuler, alors que le poste les intéresse, parce qu’ils craignent de ne pas posséder toutes les compétences et les qualifications demandées. Pourtant, les recrues qui débutent à un poste doivent avoir l’impression qu’elles pourront s’y développer. Elles ont besoin de pouvoir poser des questions, de recevoir du soutien et d’apprendre de leurs erreurs. De plus, si elles souffrent du syndrome de l’imposteur, une offre qui affiche une longue liste de prérequis peut carrément les décourager.

Le piège du candidat surqualifié

En pratique, une offre d’emploi doit être considérée comme un ensemble d’indications relatives à un poste donné plutôt que comme une liste d’exigences à laquelle tout candidat doit satisfaire, mentionne HBR.

En période de recrutement, un autre réflexe consiste à rechercher des profils qui possèdent toutes les qualifications souhaitées pour que la personne embauchée soit opérationnelle rapidement. C’est un piège, car il est peu probable qu’un tel poste permette à cette personne de grandir et d’évoluer. Or, pour que sa carrière avance, elle doit acquérir sans cesse de nouvelles compétences. Si elle est surqualifiée pour le poste, elle n’aura pas l’occasion de les acquérir.

Pour trouver le candidat idéal, il faut plutôt songer à adopter une approche alternative au processus de recrutement traditionnel en adaptant le poste à la personne plutôt que l’inverse., mentionne HBR dans un autre article.

En effet, il est important d’évaluer non seulement les compétences techniques d’un candidat, mais également ses traits de personnalité, ses motivations et ses valeurs. En comprenant ces aspects, vous pouvez repérer les candidats qui s’intègreront le mieux à la culture de votre entreprise et qui seront motivés à contribuer à sa réussite.

Repérer ses forces et ses faiblesses

Vous pouvez envisager aussi de définir des postes de manière plus flexible en tenant compte des forces et des faiblesses de chaque candidat potentiel. Plutôt que de chercher un candidat qui correspond parfaitement à un poste prédéfini, vous pouvez concevoir le poste en fonction des compétences et des intérêts spécifiques du candidat retenu.

Cette approche a plusieurs avantages, signale HBR. Elle permet de s’adapter à l’évolution rapide du monde du travail. Elle favorise également une plus grande diversité et inclusivité dans le processus de recrutement. De plus, elle fait la place aux personnes en reconversion professionnelle, de plus en plus nombreuses, qui cherchent à exprimer certaines compétences ou désirent donner du sens à leur travail.

Le recrutement ne devrait donc pas se résumer à une simple vérification de cases. Le processus de recherche du candidat idéal devrait se faire en évaluant à la fois les compétences et la personnalité. Cette approche permet de tirer parti des talents uniques de chaque individu et de favoriser une culture d’entreprise plus diversifiée et inclusive. Elle accroit enfin les chances de débusquer des pépites et de créer des équipes plus performantes et motivées.

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Il n’est pas facile de trouver un bon adjoint https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/il-nest-pas-facile-de-trouver-un-bon-adjoint/ Wed, 07 Jun 2023 14:51:10 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94449 DÉVELOPPEMENT - Les entreprises doivent se concentrer sur la rétention et le recrutement.

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Le marché du travail canadien a fait preuve d’une constance impressionnante – le taux de chômage s’est établi à 5 % en avril, inchangé pour le cinquième mois consécutif et tout près du creux historique de 4,9 % enregistré en juin dernier.

Pour les conseillers du secteur financier, cela signifie que le recrutement d’un bon adjoint* n’est certainement pas une tâche plus facile. Cela signifie également que les entreprises devraient se concentrer sur la rétention des talents internes, a déclaré Cal Jungwirth, directeur des services de placement permanent de la société de recrutement Robert Half, basée à Edmonton.

« Du point de vue des demandeurs d’emploi, le marché de l’embauche reste fantastique », a-t-il déclaré. « Il y a plus de postes ouverts que de personnes disponibles. Non seulement cela rend l’embauche plus difficile, mais il faut aussi se préoccuper de la fidélisation. La meilleure façon d’embaucher est de ne pas avoir besoin à embaucher ».

L’année dernière, les adjoints occupant des postes stables auraient pu hésiter à changer d’employeur – même pour un salaire plus élevé – par crainte d’être licenciés dans le cadre d’un scénario « dernier arrivé, premier parti » en cas d’un effondrement de l’économie. Mais, selon Cal Jungwirth, l’inflation élevée, combinée à une économie stable, a largement apaisé ces craintes et les gens sont plus disposés à changer d’employeur pour une meilleure rémunération ou une plus grande flexibilité.

« Le coût de la vie a augmenté, ce qui incite les gens à rechercher des opportunités », a-t-il déclaré.

Erin Roy, directrice de l’optimisation du marché de l’équipe de la succursale au siège social d’Edward Jones, à Mississauga, en Ontario, affirme qu’il faut creuser un peu pour trouver l’adjoint idéal. Il est impossible d’identifier un candidat idéal sur papier, mais encore faut-il poser les bonnes questions lors d’un entretien.

« Nous aimons utiliser un entretien de type comportemental », dit-elle. Par exemple, elle leur demande de lui raconter une fois où ils ont dû jongler avec des priorités concurrentes et comment ils ont su à laquelle s’attaquer en premier. Une autre question qu’elle aime bien est celle qui consiste à approfondir un scénario dans lequel ils ont offert une expérience client exceptionnelle.

« À quoi cela ressemblait-il ? Comment le client a-t-il réagi ? », illustre Erin Roy.

Elle est moins préoccupée par les compétences techniques, ou même par une expérience dans le secteur financier. D’après son expérience, les meilleurs adjoints ont des traits communs : ils sont travailleurs, ambitieux, bons communicateurs et capables de nouer des relations.

« On peut enseigner des compétences, mais on ne peut pas enseigner la personnalité. On ne peut pas enseigner la bienveillance », rappelle-t-elle.

La plupart des candidats font leurs devoirs avant de postuler, en effectuant des recherches sur votre entreprise sur des sites tels que LinkedIn et en discutant avec des collègues de l’environnement de travail, signale Erin Roy.

Lors des entretiens, elle recommande de tirer parti de la réputation de votre entreprise et de mettre l’accent sur certains aspects non salariaux du poste. Elle met en avant les avantages tels que les primes, les vacances et le remboursement des frais de scolarité.

« Les formes de rémunération intangibles sont souvent aussi importantes que celles qui sont tangibles », dit-elle. « À quel point aimez-vous venir travailler au quotidien ? Parfois, cela n’a vraiment pas de prix ».

Selon Cal Jungwirth, la barre est constamment placée plus haut en ce qui concerne les compétences requises pour les adjoints. Ils doivent s’approprier la technologie, maîtriser les médias sociaux et même être prêts à explorer le rôle de l’intelligence artificielle (IA).

« Je ne pense pas qu’aucun d’entre nous ne comprenne vraiment l’impact de l’IA sur les différents postes », dit-il. « Mais l’essentiel est que les gens soient curieux et se sentent à l’aise pour explorer la manière de l’utiliser ».

Erin Roy souhaite que les adjoints soient non seulement à l’aise avec la technologie, mais qu’ils soient également capables d’encadrer des clients moins avertis sur le plan technologique. Il s’agit notamment de prendre le temps de les aider à comprendre comment utiliser les outils numériques, d’organiser des réunions virtuelles et de renforcer leur confiance dans la technologie.

* L’utilisation du genre masculin a été adoptée afin de faciliter la lecture et n’a aucune intention discriminatoire.

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Rédiger une offre d’emploi pour un adjoint https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/rediger-une-offre-demploi-pour-un-adjoint/ Wed, 07 Jun 2023 14:50:23 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94446 DÉVELOPPEMENT - Elle doit répondre à trois questions principales.

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Trop souvent, lorsque les gens embauchent, ils utilisent des titres de postes ronflants pour rendre les rôles plus attrayants. (Non pas que les conseillers en services financiers s’y connaissent en la matière).

Mais si vous cherchez à embaucher un adjoint*, l’offre d’emploi doit être claire et directe, indique Tara Parry, directrice des services permanents de la société de recrutement Robert Half, à Vancouver. Les titres de postes aux intonations trop créatives peuvent se retourner contre vous.

Posez-vous la question suivante : « Si quelqu’un cherchait ce poste, trouverait-il ou non mon offre ? » explique Tara Parry. Et s’il ne s’agit pas d’un poste à responsabilité, ne l’appelez pas « à responsabilité », car sinon des cadres supérieurs postuleront et démissionneront lorsqu’ils réaliseront à quel point le poste est en réalité subalterne.

Chaque offre d’emploi doit répondre à ces trois questions : Quelle est l’entreprise, quel est le poste à pourvoir et quelles sont les compétences requises pour bien l’exercer ?

Utilisez des termes tels que « nous » et « vous » pour que le candidat puisse s’imaginer dans le rôle, explique Tara Parry. « En lisant le texte, le cerveau doit commencer à se projeter dans le poste. »

Parmi les mots-clés à utiliser, citons « multitâche », « organisé » et « à l’aise avec l’ambiguïté ». En fonction du poste, vous pouvez également demander d’être familier avec les médias sociaux et de solides compétences en matière de communication.

Moins, c’est mieux : la durée d’attention pour la documentation écrite est « très courte de nos jours », rappelle Tara Parry.

« Vous ne devez pas énumérer toutes les tâches que vous voulez que cette personne accomplisse. Au lieu de cela, il est préférable d’énumérer quatre ou cinq points concernant les attentes quotidiennes », ajoute-t-elle. « Et peut-être trois ou quatre sur les compétences requises. »

Les offres d’emploi et les descriptions de poste plus longues peuvent involontairement écarter certains candidats.

« Plus une description de poste est longue, plus les femmes s’auto-sélectionneront », signale Tara Parry. Souvent, les femmes lisent une description de poste et se disent : « Je n’ai jamais fait cela ». Un homme lira la même description de poste et dira : « Je pourrais le faire ».

Il existe également de nombreuses recherches sur les mots utilisés dans une description de poste et sur l’impact des mots masculins et féminins. Tara Parry aime copier et coller les descriptions d’emploi sur un site web gratuit qui analyse le langage utilisé et mettre en évidence les points problématiques.

« Statistiquement parlant, [en] changeant seulement un ou deux mots, vous augmentez le nombre de candidatures féminines, mais vous ne diminuez pas le nombre de candidatures masculines », a-t-elle analysé.

Brett Evans, associé chez Capital Markets Advisors LLC, à Toronto, estime qu’il est important de ne pas édulcorer les responsabilités quotidiennes.

« Il y aura beaucoup de travail dans la plupart de ces postes. Ils doivent l’indiquer », dit-il.

Le marché de l’emploi se resserre, et Brett Evans s’attend à ce que la situation empire. C’est pourquoi le fait de mettre l’accent sur les possibilités de progression et de croissance peut contribuer à attirer les meilleurs candidats.

« Montrez-leur la lumière au bout du tunnel », lance-t-il.

La transparence des rémunérations est en train de devenir plus qu’une simple pratique exemplaire : elle est devenue une loi dans de nombreuses juridictions. En Colombie-Britannique, par exemple, toutes les offres d’emploi devront indiquer le salaire prévu ou la fourchette de salaire à compter du 1er novembre 2023.

« C’est une bonne chose, et nous devrions nous en réjouir », estime-t-il.

Si vous êtes bloqué dans la rédaction d’une description de poste, Tara Parry ne voit aucun inconvénient à utiliser l’intelligence artificielle (IA), comme ChatGPT, pour rédiger une première version.

« De manière réaliste, à quel point pouvez-vous être créatif avec les descriptions d’emploi ? Pourquoi réinventer totalement la roue si ce n’est pas nécessaire ? Mais personnalisez-la. Et vérifiez-la à deux reprises, car l’intelligence artificielle n’est pas toujours sensible à des mots codés au masculin ou au féminin. »

Une autre option consiste à rechercher et à lire plusieurs offres d’emploi pour des postes similaires ou comparables.

Lorsque l’offre est prête à être diffusée, Tara Parry et Brett Evans recommandent tous deux LinkedIn comme le meilleur moyen de la faire connaître. D’autres options incluent des sites d’emploi comme Indeed et Monster pour attirer les meilleurs candidats.

* L’utilisation du genre masculin a été adoptée afin de faciliter la lecture et n’a aucune intention discriminatoire.

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Comment mener un bon entretien d’embauche https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/comment-mener-un-bon-entretien-dembauche/ Wed, 07 Jun 2023 14:49:32 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94454 DÉVELOPPEMENT – Des conseils pour identifier votre prochain adjoint ou associé.

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Poser les bonnes questions peut faire toute la différence lors de l’embauche d’un adjoint* ou d’un associé. Si la conduite d’un entretien d’embauche relève plus de l’art que de la science, certaines questions sont davantage utiles que d’autres pour identifier la personne la plus apte à rejoindre votre équipe.

Amy Davies pose souvent la question suivante : « Lorsque vous avez présenté une nouvelle idée à votre patron, comment a-t-il réagi ? ». Si la réponse est que le patron a détesté l’idée, c’est un signal d’alarme, explique Amy Davies, fondatrice et présidente de la société First30, basée à Toronto, et spécialisée dans l’accueil et l’orientation des employés.

« Tout le monde aime les idées, n’est-ce pas ? C’est peut-être le signe que la personne a du mal à travailler avec d’autres personnes ou avec son chef », explique Amy Davies.

Si le candidat répond par une histoire détaillée, cela vous donne une idée de son ingéniosité et du type d’idées qu’il apporte, dit-elle.

Lui demander d’expliquer comment il gérerait différents scénarios peut également être révélateur. Amy Davies préfère éviter les questions générales du type « Parlez-moi d’un problème que vous avez rencontré sur votre lieu de travail et de la manière dont vous l’avez résolu ».

« Cela peut être votre point de départ, mais vous voudrez ensuite leur donner un problème à résoudre », dit-elle. « Souvent, nous nous rendons à des entretiens et nous avons des réponses toutes faites. Donnez-leur un exemple concret. Dites : « J’aimerais avoir vos idées sur la manière dont vous résoudriez ce problème, le surmonteriez ou vous engageriez avec le client ».

Kiljon Shukullari, responsable des conseils en ressources humaines chez Peninsula Canada, à Toronto, contourne les réponses toutes faites en posant des questions telles que « Quel est votre environnement de travail préféré ? » et « Qu’est-ce que le feedback pour vous ? »

« Nous allons nous assurer qu’il s’agit d’une personne qui va accepter le feedback et être constructive à ce sujet », indique-t-il. « Nous voulons nous assurer qu’il s’agit d’une personne qui accepte les commentaires et qui est constructive à ce sujet ».

Il aime également demander aux candidats de se décrire, mais du point de vue d’autres personnes : « Si je demandais à votre supérieur, à vos amis ou à votre ancien employeur, quels sont les trois mots qu’ils utiliseraient pour vous décrire ? »

Les réponses qui comprennent des mots tels que : organisé, énergique et communicatif, sont celles qu’il aime entendre pour les adjoints et les associés, signale-t-il.

Les questions d’entretien décalées peuvent également être utiles pour évaluer la manière dont une personne pense et aborde les problèmes. L’idée derrière ces questions, qui n’ont pas de réponse unique, est de découvrir comment les gens abordent la résolution de problèmes.

En voici un exemple : Comment feriez-vous pour déplacer le mont Fuji ? C’est le titre d’un livre de William Poundstone qui examine comment Microsoft et d’autres employeurs de premier plan sélectionnent les travailleurs les plus créatifs.

« Elles sont utiles parce qu’elles vous donnent un bon aperçu de la façon dont la personne abordera un problème qui n’a pas de réponse très concrète », explique Kiljon Shukullari.

Certaines questions doivent être évitées pour des raisons juridiques et de réputation. Les questions relatives à la religion, à la situation familiale ou au handicap peuvent mettre les employeurs dans l’eau chaude, selon Amy Davies.

« Ce sont des questions illégales, et nous devons être prudents à ce sujet », rappelle-t-elle. Elle a vu des gens s’attirer des ennuis en posant une question innocente au début, comme « Parlez-moi de vous ». Cela ouvre la porte à une discussion sur leur vie personnelle.

Il est préférable de formuler la question de la manière suivante : « Parlez-moi de ce qui vous a donné envie de travailler dans ce domaine » ou « Parlez-moi un peu de votre vie personnelle ». Ou « Parlez-moi un peu de votre parcours professionnel au cours des cinq dernières années », précise Amy Davies.

* L’utilisation du genre masculin a été adoptée afin de faciliter la lecture et n’a aucune intention discriminatoire.

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