risque – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 06 Nov 2024 12:15:26 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png risque – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Changement à la cote de risque de deux portefeuilles TD https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/changement-a-la-cote-de-risque-de-deux-portefeuilles-td/ Wed, 06 Nov 2024 12:15:26 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103755 PRODUITS – Celle-ci augmente.

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Gestion de Placements TD a rehaussé les cotes de deux de ses portefeuilles.

Ainsi, la cote de risque du Portefeuille géré TD — revenu et celle du Portefeuille FNB géré TD — revenu sont passées de « faible » à « faible à moyenne ».

À noter que ces changements n’influencent en rien les objectifs de placements, les stratégies ou la gestion de ces deux portefeuilles.

Ces modifications reposent sur la méthode normalisée et obligatoire de classification du risque établie par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) et sur l’examen annuel connexe que mène GPTD pour établir la cote de risque des fonds d’investissement offerts au public.

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Naviguer dans un environnement de risque complexe https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/naviguer-dans-un-environnement-de-risque-complexe/ Thu, 24 Oct 2024 11:50:11 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103618 Le BSIF face aux défis du système financier canadien.

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Naviguer dans un environnement de risque complexe tout en renforçant la résilience du système financier canadien est un défi majeur. C’est précisément ce à quoi s’est attaché le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF). Ce dernier vient de publier son rapport annuel de 2023-2024 qui met en lumière les efforts déployés pour anticiper et gérer les risques, tout en veillant à la solidité et à la stabilité du système financier du pays.

Le document, qui fait état des travaux du BSIF entre le 1er avril 2023 et le 31 mars 2024, résume et détaille l’ensemble des actions posées par l’organisme pour continuer d’assurer la réalisation de son Plan stratégique de 2022-2025 et du Plan ministériel 2024-2025.

Une mise à jour du Cadre de surveillance

Le BSIF a d’abord mis à jour son Cadre de surveillance et plusieurs lignes directrices afin de tenir compte de sa nouvelle propension à prendre des risques, pour mieux répondre aux nouveaux risques financiers et non financiers.

Le but était aussi de donner une plus grande marge de manœuvre à ses surveillants dans leur processus de prise de décisions.

Des initiatives de modernisation

Le BSIF a également renforcé ses capacités analytiques et de gestion des données pour appuyer ses activités de surveillance et de réglementation.

À cette fin, il a entre autres accompli des avancées importantes dans le projet de modernisation de la collecte de données, en collaboration avec la Banque du Canada et la Société d’assurance-dépôts du Canada.

Un élargissement de son mandat

Le 22 juin 2023, le Parlement a élargi le mandat du BSIF, ce dernier devant désormais s’assurer que les institutions se protègent contre les menaces pesant sur leur intégrité et leur sécurité, y compris l’ingérence étrangère.

Pour mettre en œuvre ce nouveau mandat, le BSIF a publié en janvier 2024 la version finale de sa ligne directrice sur l’intégrité et la sécurité établissant les attentes quant à la manière dont les institutions financières devraient se protéger.

Par ailleurs, durant cet exercice, le BSIF a publié plusieurs documents, dont son deuxième Regard annuel sur le risque (RAR). Ce rapport informe sur les risques qui pèseront sur le système financier et sur les mesures de surveillance et de réglementation prises par le BSIF pour y répondre. Le repli du marché du logement, l’immobilier commercial, le cyberrisque, l’innovation numérique figurent parmi ces risques.

Enfin, le BSIF a lancé son nouveau plan stratégique de 2024-2027, entré en vigueur le 1er avril 2024, qui énonce ses six nouvelles priorités au cours des trois prochaines années : le régime d’intégrité et de sécurité, le renouvellement des activités de surveillance, la culture, la gestion et l’analyse des données, les fonctions essentielles ainsi que la résilience opérationnelle.

« Notre rapport annuel souligne les efforts que nous avons déployés cette dernière année et témoigne de notre capacité à évoluer dans un environnement de plus en plus complexe, tout en continuant de contribuer à renforcer la confiance du public dans le système financier du Canada », résume Peter Routledge, surintendant des institutions financières.

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IG modifie le niveau de risque de certains placements https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/ig-modifie-le-niveau-de-risque-de-certains-placements/ Tue, 02 Jul 2024 11:13:49 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101494 PRODUITS – Trois fonds sont touchés par ces changements.

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IG Gestion de patrimoine a modifié le niveau de risque de certaines solutions de placement le 18 juin.

Ainsi, le niveau de risque du Portefeuille Action climat IG – Équilibré mondial à revenu fixe a augmenté passant de « faible » à « faible à moyen ».

À l’inverse, le niveau de risque du Portefeuille fondamental IG – Mondial Revenu a diminué passant de « faible à moyen » à « faible » et celui du Fonds international petite capitalisation IG Mackenzie est passé de « moyen à élevé » à « moyen ».

À noter que les objectifs et stratégies de placement ainsi que la méthode de gestion de ces fonds restent quant à eux inchangés.

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Modifications de niveaux de risque à BMO https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/modifications-de-niveaux-de-risque-a-bmo/ Thu, 06 Jun 2024 11:25:15 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100922 PRODUITS – Trois portefeuilles sont concernés.

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BMO Gestion Privée de placements modifie l’évaluation du risque de trois Portefeuilles BMO Privés.

Ainsi, le Portefeuille BMO privé de rendement diversifié a vu sa côte passer de « faible à moyenne » à « moyenne », à l’inverse le Portefeuille BMO privé d’actions des marchés émergents a vu son niveau de risque baisse de « moyenne à élevée » à « moyenne ».

Finalement le Portefeuille BMO privé d’actions américaines de croissance a vu sa côte grimper de « moyenne à élevée » à « élevée ».

Ces changements, qui sont fondés sur la méthode normalisée de classification des risques prescrite par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières et sur un examen annuel effectué par BMO Gestion Privée de placements, n’affectent en rien les objectifs d’investissement, les stratégies ou la gestion de ces trois portefeuilles.

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Changement de cote de risque à Franklin Templeton https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/changement-de-cote-de-risque-a-franklin-templeton/ Wed, 29 May 2024 10:39:26 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100924 PRODUITS – La cote de risque d’un portefeuille augmente.

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Franklin Templeton Canada a modifié la cote de risque du Portefeuille d’actions diversifiées Franklin Quotentiel le 16 mai dernier, suite au processus de renouvellement annuel de la société.

Ainsi la cote de risque du Portefeuille d’actions diversifiées Franklin Quotentiel passe de « faible à modérée » à « modérée ».

À noter qu’aucune modification n’a été apportée à l’objectif de placement, à la stratégie ou à la gestion de ce fonds.

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Les conseillers et les gestionnaires de fonds sont prêts pour T+1 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/les-conseillers-et-les-gestionnaires-de-fonds-sont-prets-pour-t1/ Fri, 24 May 2024 12:15:39 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100939 Il est possible de réduire les risques en raccourcissant le cycle de règlement, déclare le responsable du CCMA.

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Les professionnels de la conformité, de la garde et des opérations de back office ont travaillé d’arrache-pied pour préparer leurs systèmes à la transition vers le règlement des transactions le jour suivant, connu sous le nom de T+1.

En conséquence, les gestionnaires de portefeuille et les conseillers en services financiers estiment que la transition sera relativement fluide.

« À part l’argent qui arrive un jour plus tôt, cela ne change pas grand-chose, affirme Liz Simmie, co-fondatrice de Honeytree Investment Management, une boutique de gestion d’actifs basée à Toronto. Je ne pense pas que la plupart des gens remarqueront [à moins qu’ils ne soient] activement impliqués dans le trading. »

« Nous allons probablement continuer à fonctionner de la même manière, appuie Robert Cavallo, gestionnaire de portefeuille principal, actions nord-américaines, chez RBC Gestion mondiale d’actifs à Toronto. Nous ne rencontrons généralement pas de problèmes de rachat nécessitant des transactions rapides. Nous gardons un bon équilibre de liquidités en main pour couvrir tout problème à court terme. »

Les transactions effectuées au Canada à partir du 27 mai seront réglées en un jour ouvrable au lieu de deux, ce qui sera également le cas pour les transactions effectuées aux États-Unis à partir du 28 mai. (Le 27 mai est un jour férié aux États-Unis et les marchés seront fermés.)

Le 28 mai au Canada et le 29 mai aux États-Unis seront des dates de règlement double, où les transactions des 24 mai et du jour précédent seront réglées.

Le raccourcissement de la période de règlement « est une bonne amélioration du service client, estime Madeline Woodhead, conseillère en gestion de patrimoine chez Financière Banque Nationale — Gestion de patrimoine à St. Catharines, en Ontario. Cela nous permet de finaliser une interaction plus rapidement. »

Robert Cavallo ne compte pas négocier différemment après le changement, sachant que ses fonds disposent d’une liquidité adéquate (2 % à 3 % de liquidités, selon le fonds). « Le jour férié américain a tendance à être une journée calme pour le marché, ajoute-t-il, donc ce n’est probablement pas une journée perturbatrice [pour la transition] — touchons du bois. »

Madeline Woodhead convient que le Memorial Day américain est historiquement calme. Elle ne prévoit pas non plus de négocier différemment. Cependant, elle vérifiera le statut de la transition de règlement si, par exemple, elle recevait l’approbation le 27 mai pour clôturer une succession et devait la liquider ce jour-là. Mais généralement, la plupart de ses clients sont dans des portefeuilles modèles, et « nous pouvons ajuster ce que nous faisons » en matière de trading, souligne-t-elle.

Josh Sheluk, gestionnaire de portefeuille et directeur des investissements chez Verecan Capital Management à Burlington, en Ontario, rapporte n’avoir reçu aucune question de la part des clients concernant T+1. Il sert principalement des retraités, des pré-retraités et des propriétaires d’entreprise.

« Ce n’est pas très pertinent pour la plupart de nos clients, car peu d’entre eux comptent sur leur portefeuille d’investissement pour financer une urgence, où T+1 par rapport à T+2 serait vraiment une considération », explique-t-il.

Josh Sheluk ajoute que, quels que soient les termes du règlement, il structure les portefeuilles des clients pour minimiser le besoin de rachats urgents de titres. « Nous constituons un fonds d’urgence pour les clients, et souvent cela se traduira par une petite somme sur leur compte bancaire où les périodes de règlement sont sans importance », dit-il.

Sam Rook, gestionnaire de portefeuille et associé directeur chez Quintessence Wealth à Toronto, pense que les conseillers en services financiers devraient mettre en place un processus de négociation solide, quelle que soit la durée du cycle de règlement, afin de minimiser les risques.

Ce processus commence par la définition des attentes des clients concernant le délai nécessaire pour les retraits de titres.

« Vous ne voulez pas qu’un client qui a une transaction immobilière qui se règle aujourd’hui vous appelle et dise “J’ai besoin de 200 000 $ maintenant”, constate Sam Rook. Vous voulez que votre client soit prêt à dire : “J’ai une transaction qui se termine et je dois le dire à Sam deux semaines à un mois à l’avance.” »

Sam Rook s’assure également que lorsqu’il vend un titre pour en payer un autre, le règlement est complet avant qu’il ne fasse la deuxième transaction. « Nous attendons toujours que l’argent arrive en premier, plutôt que de le faire et d’espérer pour l’argent, car parfois il se perd », déclare-t-il.

« Une décision de portefeuille d’investissement prise sous la contrainte conduit à des erreurs. »

Le Canada et les États-Unis sont passés à une norme de règlement T+2 en 2017, et ni Madeline Woodhead ni Robert Cavallo ne se souviennent d’incidents à ce moment-là.

« Une grande partie de [la transition] se passe en coulisses. Nous travaillons en étroite collaboration avec notre support de trading, et la communication se fait très facilement, assure Robert Cavallo. S’il y a des problèmes, je ne pense pas qu’il sera difficile de les résoudre en temps opportun. »

Madeline Woodhead se souvient que le résultat du passage à T+2 était positif. Tout le monde était agréablement surpris lorsque les produits d’une vente arrivaient plus tôt que prévu. Elle s’attend à une transition tout aussi fluide cette fois-ci.

Les régulateurs ont décidé de raccourcir le cycle de règlement après les perturbations du marché survenues après le début de la pandémie en mars 2020 — et à nouveau lors de la montée en flèche des actions mèmes en 2021.

« Chaque fois que vous raccourcissez un cycle de règlement, vous réduisez les risques », soutient Keith Evans, directeur exécutif de l’Association canadienne des marchés de capitaux (ACMC), lors d’un webinaire organisé récemment par Credo Consulting L’ACMC coordonne le passage à T+1.

Keith Evans affirme qu’un autre avantage de la période de règlement raccourcie est que les courtiers du côté vendeur peuvent réduire leur garantie affichée d’environ 40 %.

Au 30 avril, L’ACMC estime que plus de 76,5 % des fonds communs de placement qui se règlent actuellement sur une base T+2 passeront à T+1. (Par exemple, tous les fonds communs de RBC GMA passeront à T+1.)

De plus, tous les titres non-fonds qui se règlent actuellement en T+2, tels que les fonds négociés en Bourse (FNB), les actions et les obligations, passeront à T+1. Les bons du Trésor, les fonds monétaires et les options se règlent déjà en T+1 ou moins. Le site web de l’Association canadienne des marchés des capitaux (ACMC) dresse la liste de tous les actifs qui passeront à T+1 et comprend également une FAQ à l’intention des conseillers.

Liz Simmie suggère que l’indifférence des clients à ce sujet pourrait indiquer que les conseillers en services financiers effectuent leur travail. « Le client de détail moyen paie des conseillers pour comprendre ces choses, rappelle-t-elle. J’utilise toujours une analogie avec le dentiste — je me fiche de savoir combien de jours il faut pour envoyer un objet à un laboratoire dentaire ; c’est le problème du dentiste. »

Quels problèmes pourraient survenir ?

Le taux moyen d’échec des transactions pourrait passer de 2,9 % à 4,1 % après le passage à T+1, prévient Keith Evans. Cependant, les échecs sont plus susceptibles de se produire dans les petites entreprises et avec les courtiers, plutôt qu’avec les dépositaires ou les investisseurs.

Géographiquement, les investisseurs en Europe et en Asie se sont déclarés moins préparés au passage à T+1 qu’en Amérique du Nord, déclare Keith Evans. (Le Mexique et l’Argentine passeront également à T+1 le 27 mai.)

Il ajoute que jusqu’à 51 % des exceptions de trading devraient être traitées manuellement après le passage à T+1, avec une utilisation maximale de la remédiation manuelle pour le prêt de titres et l’ouverture de comptes.

Josh Sheluk n’est pas trop préoccupé.

« On pourrait nous dire demain que le règlement est revenu à T+3, et nous nous en sortirions », assure-t-il. Si quelque chose ne va pas avec T+1, « la seule chose que nous devons vraiment savoir en arrivant au bureau ce jour-là est : “Quelle est la période de règlement ?” »

Avant la transition, l’ACMC recommande aux équipes de conformité et d’exploitation de revoir leurs besoins de liquidité et de mettre en place un plan de continuité des activités. Après la transition, l’organisation recommande de revoir les comptes clients ayant des titres à la fois en T+1 et en T+2 et de rechercher des effets négatifs inattendus.

L’ACMC indique également qu’un gestionnaire de fonds communs de placement à T+2 pourrait choisir de passer à T+1 après le 27 mai, et vice versa. « Bien qu’il soit plus probable que les fonds T+2 passent plus tard à T+1 que de passer de T+1 à T+2, dans les deux cas, les gestionnaires de fonds doivent faire connaître le changement largement et publiquement aux courtiers, aux conseillers et aux plateformes en ligne », a déclaré l’organisation dans sa FAQ.

Selon un rapport de Moody’s, les gestionnaires d’actifs des marchés à T+2 qui souhaitent accéder aux marchés à T+1 devront financer les ordres d’achat un jour avant que leurs clients ne soient tenus de déposer des fonds auprès du gestionnaire, ce qui entraînera pour eux des risques de liquidité supplémentaires.

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Changements de niveau de risque chez Fidelity https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/changements-de-niveau-de-risque-chez-fidelity/ Wed, 08 May 2024 10:43:51 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100543 PRODUITS – Le niveau de risque de deux fonds augmente.

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Dès le 6 mai prochain, le niveau de risque de deux fonds Fidelity augmentera conformément aux exigences réglementaires et à la méthode de classification du risque des Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM).

Le niveau de risque de la Catégorie Fidelity Actions américaines — Ciblé — Devises neutres et de la Catégorie Fidelity Bâtisseurs — Devises neutres passera ainsi de « moyen » à « moyen à élevé ».

Les investisseurs sont donc invités à discuter avec leurs conseillers pour comprendre comment ces changements les impacteront et s’ils doivent éventuellement examiner d’autres options de placement.

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Desjardins modifie sa gamme de FCP https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/desjardins-modifie-sa-gamme-de-fcp-4/ Fri, 12 Apr 2024 10:58:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100002 PRODUITS – Nombre de noms seront changés.

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Desjardins Société de placement (DSP) a décidé d’apporter des modifications à sa gamme de fonds communs de placement (FCP), notamment en modifiant le nom de sa gamme de Fonds et Portefeuilles SociéTerre et de deux portefeuilles FNB Avisé. En plus de ces changements, le gestionnaire des Fonds Desjardins révisera le niveau de risque de certains produits.

Sous réserve de l’approbation des autorités réglementaires, DSP procédera au changement des noms en anglais des Fonds et Portefeuilles SociéTerre (SocieTerra) existants qui seront renommés en langue anglaise comme étant les « Sustainable Funds and Portfolios ». Ce changement n’affectera pas la version française des noms SociéTerre qui demeureront les Fonds et Portefeuilles SociéTerre.

Pour consulter ces changements, cliquez ici.

 

De plus, le terme « Desjardins » sera ajouté aux noms des Portefeuilles SociéTerre et ce, autant pour les versions des noms en langue française qu’en langue anglaise.

Ainsi,

  • Portefeuille SociéTerre de Revenu fixe deviendra le Portefeuille Desjardins SociéTerre de Revenu fixe ;
  • le Portefeuille SociéTerre Conservateur deviendra le Portefeuille Desjardins SociéTerre Conservateur ;
  • le Portefeuille SociéTerre Modéré deviendra le Portefeuille Desjardins SociéTerre Modéré Portefeuille SociéTerre Équilibré ;
  • le Portefeuille Desjardins SociéTerre Équilibré deviendra le Portefeuille SociéTerre Croissance ;
  • le Portefeuille Desjardins SociéTerre Croissance deviendra le Portefeuille SociéTerre Croissance maximale ;
  • et le Portefeuille Desjardins SociéTerre Croissance maximale deviendra le Portefeuille SociéTerre 100 % actions.

Le gestionnaire procédera également au changement de nom des portefeuilles FNB Avisé Équilibré et FNB Avisé Croissance maximale existants lesquels seront renommés le Portefeuille FNB Avisé Modéré et le Portefeuille FNB Avisé Audacieux respectivement.

De plus, DSP a procédé à une révision du niveau de risque de quatre fonds et d’un portefeuille.

Ainsi le niveau de risque du Fonds Desjardins Obligations mondiales de sociétés, du Fonds Desjardins SociéTerre Obligations mondiales de sociétés et du Portefeuille SociéTerre Conservateur est passé de « faible » à « faible à moyen ».

Le niveau de risque du Fonds Desjardins SociéTerre Actions américaines petite capitalisation et du Fonds Desjardins SociéTerre Actions positives est, quant à lui, passé de « moyen » à « moyen à élevé ».

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Aider les clientes à vaincre la peur d’investir https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/aider-les-clientes-a-vaincre-la-peur-dinvestir/ Thu, 11 Apr 2024 11:16:18 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100070 DÉVELOPPEMENT - 65 % d’entre elles sont rebutées par les risques.

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Une majorité (65 %) de femmes hésitent à prendre des risques en matière d’investissement, car elles craignent de perdre de l’argent, selon le rapport Financially Fearless du cabinet britannique Hargreaves Lansdown, qui a interrogé 7500 épargnantes en février dernier. Cette proportion atteint 79 % chez les femmes âgées de plus de 55 ans.

Plusieurs raisons expliquent cette aversion au risque, révèle l’étude. Les femmes manquent souvent d’argent pour investir, car elles gagnent moins en moyenne que les hommes. De plus, elles ont tendance à sous-estimer leurs capacités financières et à considérer qu’elles n’ont pas assez d’argent de côté pour investir. Près d’un tiers des répondantes disent ainsi avoir commencé à investir seulement lorsqu’elles ont eu l’impression d’avoir suffisamment d’argent pour le faire, ce qui les a amenées à investir plus tard que les hommes. Dans les faits, près du quart des femmes sondées disent qu’elles ne se sentent pas en mesure d’investir, même si elles disposent d’un capital d’au moins 35 000 $.

La majorité (63 %) des femmes interrogées estiment par ailleurs ne pas posséder les connaissances suffisantes pour se lancer dans l’investissement. Elles disent notamment qu’elles n’ont pas reçu d’information à cet égard ni de la part de leur famille ni à l’école. Seulement un tiers des femmes interrogées déclarent avoir obtenu de l’éducation financière dans leur famille, et moins d’une femme sur cinq à l’école.

Selon le rapport, les femmes qui ont eu l’occasion de discuter d’investissements avec leur famille durant leur enfance sont plus susceptibles d’investir. À ce sujet, les répondantes affirment que leur mère a eu plus d’influence sur leur approche de l’argent que leur père.

Parmi les autres freins, une majorité de répondantes estiment que le jargon financier rend l’investissement difficile. Elles trouvent le vocabulaire financier trop aride et sont notamment rebutées par les avertissements sur les risques.

C’est là qu’entre en scène le conseiller. Il peut encourager les femmes à investir en utilisant un langage simple et concret, en vulgarisant les principaux concepts financiers et en fournissant des informations claires sur les différents types d’investissement.

Les conseillers peuvent également encourager les femmes à commencer par investir de petites sommes, afin de réduire le risque et faire tomber progressivement les barrières mentales qui les empêchent d’investir. Vous pouvez leur présenter les différents types d’investissement, les encourager à faire un budget ou encore leur prodiguer des conseils simples pour épargner afin de constituer une cagnotte pour investir.

Tous ces gestes peuvent aider les femmes à développer la confiance en soi qui leur fait défaut en matière d’investissement et les encourager à franchir le pas. Car en commençant à investir tôt, elles seront en mesure d’atteindre leurs objectifs de manière plus efficace, notamment en ce qui concerne la retraite, un sujet qui les préoccupe particulièrement, selon l’étude.

Parmi les femmes qui investissent, près de la moitié (49 %) le font en vue de la retraite et 35 % en vue d’obtenir un revenu pendant cette période de leur vie. De plus, près de la moitié des femmes indiquent qu’elles épargnent en pensant à leur famille, que ce soit pour assurer un héritage à leurs enfants et à leurs petits-enfants ou pour les aider à réaliser leur rêve.

En encourageant les clientes à commencer à investir tôt, vous pouvez les aider à se familiariser avec les principaux concepts financiers et à développer de saines habitudes d’épargne. Ainsi, le jour où elles disposeront de l’argent nécessaire pour investir davantage, par exemple à la suite d’événements de la vie comme un décès ou un divorce, elles auront déjà acquis des connaissances et des comportements favorables à l’investissement.

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Conseiller les clientes célibataires https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/conseiller-les-clientes-celibataires/ Thu, 28 Mar 2024 10:17:55 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99686 DÉVELOPPEMENT – Elles ne veulent pas de conseils paternalistes.

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Au cours des prochaines années, une part croissante de la richesse mondiale sera aux mains des femmes. Et une proportion importante de ces femmes seront des célibataires, selon une récente étude de Mc Kinsey.

Au Canada, on estime que d’ici 2028, 42 % de la richesse sera contrôlée par des femmes, comme le rapporte une recherche d’Investor Economics. Et parmi celles-ci, une bonne proportion est célibataire. En effet, la part de la population âgée de 35 à 44 ans vivant seule a doublé en dix ans au pays pour atteindre 10 % en 2021. Aux États-Unis, les femmes veuves, divorcées ou célibataires représentent 28 % de la population, un chiffre qui atteint 39 % chez les femmes âgées de 65 ans et plus, selon le Pew Research Center.

Cette clientèle en pleine croissance présente des besoins spécifiques, rapporte un article de Financial Planning, ce à quoi les conseillers hommes, encore largement majoritaires dans la profession, doivent être attentifs.

 

Éviter le ton paternaliste

Pour bien répondre aux besoins financiers des femmes indépendantes, les conseillers doivent éviter d’adopter une attitude condescendante et paternaliste, souvent qualifiée de « mansplaning », souligneTana Gildea, qui a accompagné de nombreuses veuves fortunées à Atlanta, en Géorgie. Les femmes nouvellement célibataires, à la suite d’un divorce ou d’un décès, sont souvent novices en investissement. Les conseillers qui font preuve de paternalisme risquent de les faire se sentir incompétentes, ce qui est contre-productif.

Quand une cliente prend en main ses finances pour la première fois, son  conseiller devrait plutôt adopter une approche pédagogique et non culpabilisante à chaque question. Cela la poussera à lui faire davantage confiance et à poser davantage de questions pour mieux comprendre ses finances.

Appréhender le risque autrement

En général, les clientes célibataires sont plus réticentes au risque. Leurs décisions financières sont moins émotives, moins égocentriques et plus modestes. Elles sont également plus enclines à rechercher une éducation financière, selon Yulia Petrovsky, conseillère en planification financière à San Francisco.

Cette aversion au risque peut toutefois les empêcher de saisir certaines opportunités . La spécialiste encourage donc ses clientes à envisager les pires scénarios financiers, par exemple ce qui pourrait arriver en cas de perte d’emploi ou d’invalidité, et à développer des stratégies pour y faire face. Cette approche les aide à se sentir plus en sécurité et à prendre des décisions d’investissement plus avisées.

Prudence et patience

 

Les femmes célibataires font souvent preuve de prudence et de patience dans leurs décisions financières, ce qui peut être bénéfique pour atteindre leurs objectifs à long terme. Cependant, cela représente également un défi pour les conseillers, qui doivent apprendre à respecter le rythme de leurs clientes dans le processus décisionnel.

Ces femmes sont par ailleurs plus susceptibles de suivre les conseils, mais elles ont besoin de construire une relation de confiance forte avec leur conseiller et d’être pleinement informées avant de prendre des décisions. Cette confiance passe par une écoute active de leurs besoins et leurs défis, une approche qui fait ses preuves avec tous les clients.

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