La Banque du Canada laisse son taux directeur inchangé dans une annonce qui tient compte des améliorations économiques nationales et du ralentissement mondial croissant provoqué par les conflits commerciaux.
Plusieurs sociétés financières présentent leurs perspectives relatives aux actions, aux obligations et à la croissance mondiale.
Alors que la croissance mondiale ralentit, les investisseurs auraient intérêt à mieux comprendre l’impact des banques centrales sur les marchés. Cela les aiderait à déterminer les perspectives des marchés des actions.
ZONE EXPERTS - Depuis le début du mois de juin, nous assistons à une reprise à la hausse des marchés boursiers. La correction de plus de 6% qu’a connu la bourse américaine en mai a été annulée et les marchés affichent de nouveaux niveaux records en ce début juillet.
Le président américain Donald Trump continue d'attaquer le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, en affirmant que même s'il l'a « mis au monde », il aimerait maintenant le remplacer par Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne.
Le président américain Donald Trump a repris ses efforts pour exercer de la pression sur la banque centrale américaine, affirmant que les marchés boursiers et la croissance économique seraient bien plus vigoureux si ce n'était de ses décisions.
La Réserve fédérale des États-Unis a laissé son taux d'intérêt directeur inchangé, mercredi, tout en signalant qu'elle était prête à le réduire si elle devait protéger l'économie américaine des conflits commerciaux et d'autres menaces.
Le taux de change flottant du Canada a aidé son économie à s'adapter aux chocs externes et a contribué à une inflation faible et stable, a fait valoir lundi un haut responsable de la Banque du Canada.
Ils sont plus de 50 économistes américains à le croire.
L'expansion économique du Canada est restée lente au cours des trois premiers mois de l'année, ce qui a permis au pays d'afficher ses plus faibles trimestres consécutifs de croissance depuis 2015.