Le gouverneur de la Banque du Canada, Stephen Poloz, estime qu'il est temps de trouver de nouvelles idées en ce qui a trait aux options hypothécaires au Canada.
ZONE EXPERTS - Il y a environ un an, notre perspective sur l’économie mondiale nous a amené à prédire la continuité d’une croissance robuste de l’économie américaine. Plusieurs économistes doutaient de cette perspective et le mot « récession » était même régulièrement évoqué. Par contre, nous avions évoqué certaines craintes à l’égard de l’économie canadienne.
Le marché de l'habitation du pays n'est plus aussi vulnérable maintenant que l'accélération des prix a diminué, a estimé jeudi la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) dans un nouveau rapport.
Selon un sondage de BMO, la majorité des futurs propriétaires se tournent vers leurs amis et leur famille afin d'obtenir de l'aide, à cause de l'endettement des ménages et des taux d'intérêt plus élevés.
Les nouvelles simulations de crise imposées par Ottawa aux acheteurs de maisons sont responsables d'au moins la moitié du déclin du nombre de nouveaux prêts hypothécaires, affirme un rapport de la Banque CIBC.
La hausse des prix dans l’immobilier partout au Canada entraîne un changement dans les habitudes des acheteurs.
Le patron de la Banque Scotia a minimisé mardi les voix qui prédisent des difficultés pour le secteur bancaire canadien et s'inquiètent du risque posé par le marché immobilier, assurant que le prêteur disposait d'une bonne marge de manoeuvre en cas de ralentissement important.
ZONE EXPERTS – Les craintes d’une éventuelle récession ont fait dégringoler les taux obligataires. Plus précisément, le rendement des obligations canadiennes « 5 ans » a baissé d’un sommet de presque 2,50 % en octobre dernier, jusqu’à un creux de 1,50% la semaine dernière. Une situation qui a entraîné une chute des taux hypothécaires fixes.
La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) calcule que les nouvelles mesures visant à aider les acheteurs d'une première propriété ne feront pas grimper les prix de plus de quelques dixièmes de point de pourcentage.
Les hausses de prix de maisons ont été plus importantes à Montréal qu'à Toronto et à Vancouver au cours du premier trimestre, révèle une étude trimestrielle de Royal LePage publiée jeudi.