Top 25 2019 – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Tue, 12 Dec 2023 14:24:23 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Top 25 2019 – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 « Nous sommes une industrie et un peuple forts »  https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/nous-sommes-une-industrie-et-un-peuple-fort/ Thu, 13 Feb 2020 13:14:26 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=64381 Sylvie Demers a souligné l’engagement de l’industrie en matière de philanthropie et de diversité, lors du Gala du Top 25 de l’industrie financière, jeudi.

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L’industrie financière du Québec peut être fière de sa contribution à l’avancement de la société québécoise.

C’est l’un des messages qui a été livré par les cinq lauréats du Top 25 de l’industrie financière du Québec, lors du gala au cours duquel Sylvie Demers, première vice-présidente, Réseau de succursales, et présidente, Direction du Québec, Groupe Banque TD, a été nommée Personnalité financière de l’année 2019.

« Je voudrais souligner l’engagement exemplaire de l’industrie financière en matière de philanthropie, de diversité et d’inclusion », a indiqué Sylvie Demers, en recevant son prix. Elle devient ainsi la troisième femme à être nommée Personnalité financière de l’année en 20 ans.

« Soyons fiers de ce que nous faisons. Nous offrons plus de 200 000 emplois à l’industrie financière à des employés de haut niveau, à de bons salaires. Nous sommes une industrie qui donne énormément d’argent en philanthropie. Nous avons des implications énormes du côté des communautés. Ce que nous faisons très bien, ce sont des choses que nous faisons ensemble », a-t-elle ajouté. Sylvie Demers est aussi lauréate de la catégorie Institutions financières à portée nationale du Top 25.

Elle a comparé la place des minorités et des femmes dans l’industrie aujourd’hui par rapport au moment de son embauche à la Banque TD: « Il y a 35 ans, j’étais une minorité visible. Aujourd’hui, je regarde nos représentants et les communautés qu’on dessert et c’est une grande fierté. »

À l’instar des organisateurs du gala du Top 25, Sylvie Demers a rendu hommage à L. Jacques Ménard, ex-président de la Banque de Montréal au Québec, qui est décédé mardi dernier des suites d’une longue maladie. Elle l’a désigné comme « un collègue, un grand Montréalais. » « Il nous a donné l’exemple que nous sommes plus grands que l’institution que nous avons, que nous sommes une industrie et un peuple fort », a dit celle qui accepte cet honneur au nom de son équipe et au nom des 5000 employés de la TD.

Lors de discours de remerciement, Robert Beauregard, cofondateur et chef des placements de Gestion d’actifs Global Alpha, a aussi souligné l’empreinte des gestionnaires de portefeuille sur l’économie du Québec.

« Lorsqu’une caisse de retraite basée au Québec choisit un gestionnaire québécois, c’est un choix qui va plus loin que juste lui confier un mandat », a noté le lauréat de la catégorie Sociétés de gestion indépendante.

Selon Robert Beauregard, avoir un écosystème vivant de gestionnaires de portefeuille attire les entreprises à la recherche d’investisseurs, ce qui les amène à rendre visite aux gestionnaires de portefeuille établis au Québec. « Quand vient le temps d’investir à Montréal ou dans une ville de l’Arkansas, le fait qu’ils soient venus va faire une petite différence », a-t-il dit.

Confier un mandat à une firme d’ici contribue également à l’essor du secteur québécois de la gestion de portefeuille qui renferme « beaucoup de talents », a aussi indiqué Robert Beauregard. Il a aussi partagé son prix avec l’ensemble de son équipe.

Robert Dumas, président et chef de la direction pour le Québec de la Financière Sun Life et gagnant de la catégorie Assureurs de personnes a, lui aussi, partagé son prix avec l’ensemble de ses employés.

« Le secret de notre réussite est le talent qu’on réussit à attirer. On est passé de 500 employés au Québec à 2200. Ce soir, c’est une équipe qui a gagné. Je suis prêt à partager ce prix-là avec ces 2200 personnes et 600 conseillers financiers », a-t-il soutenu.

Selon lui, le conseil financier a un impact sur la société québécoise. « C’est important et essentiel. On a des coachs de vie, des psychologues, des nutritionnistes, mais seulement une personne sur trois a un conseiller financier », a-t-il ajouté.

Denis Gauthier, premier vice-président et directeur national de la Financière Banque Nationale, Gestion de Patrimoine, a aussi abondé dans le même sens. « Nous sommes privilégiés de travailler dans notre domaine. Nous faisons une réelle différence dans la vie des gens et ça, c’est précieux et ça nous motive. C’est important que ça continue », a dit le gagnant de la catégorie Courtiers de plein exercice.

Il a d’ailleurs remercié l’ensemble de son équipe, ses patrons et, particulièrement les conseillers et conseillères de la FBN : « Notre rôle est un rôle de catalyseur. D’avoir des conseillers qui nous laissent les aider pour qu’ultimement ils servent bien nos clients, c’est notre récompense et c’est ce qui fait qu’on se lève tous les matins. »

Gino-Sébastian Savard, président de MICA Cabinet de services financiers a quant à lui « félicité non seulement mes confrères de la distribution indépendante, mais aussi chaque personne pour qui l’engagement à l’avancement du Québec, des Québécois et des Québécoises au niveau financier est le pain et le beurre. »

Avec son frère Martin Savard et sa fille Ann-Rebecca Savard, Gino-Sébastian Savard s’est dit extrêmement motivé à poursuivre la mission que s’était donné son père, Denis Savard, en créant MICA Cabinet de services financiers : « Professionnaliser le rôle de conseiller et assurer la pérennité de ce service essentiel qui est le conseil financier était sa mission de vie. C’est maintenant celle de toute la famille et on essaie d’en étendre la contagion. »

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Plein exercice : Denis Gauthier parle des enjeux d’industrie https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/plein-exercice-denis-gauthier-parle-des-enjeux-dindustrie/ Tue, 11 Feb 2020 13:03:54 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=64025 Le patron de la FBN au Québec explique de quoi aura l’air le conseil du futur.

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Conseiller en placement du futur, écarts entre la culture des conseillers en placement et celle bancaire ainsi que défis de la relève. Denis Gauthier, premier vice-président et directeur national de la Financière Banque Nationale, Gestion de patrimoine (FBNGP) donne son point de vue sur différents enjeux de l’industrie, dans une entrevue réalisée en décembre dernier.

À lire aussi: Denis Gauthier aide les conseillers à briller

Finance et Investissement (FI) : Pour quelle raison, dans l’industrie, observe-t-on souvent une crainte par rapport à l’arrimage de la culture bancaire avec la culture entrepreneuriale des conseillers en placement?

Denis Gauthier (DG) : C’est en effet un enjeu qui est présent dans l’industrie et c’est culturel. Il existe un vrai clivage à tous les niveaux : physiquement, dans nos structures, dans nos rémunérations. Quelques-uns collaboraient, mais c’était l’exception.

Là, ça s’est tellement transformé. On pense, à la Banque Nationale, que le produit d’ancrage pour le client, c’est le conseil. On a pensé pendant 20 ans que le produit d’ancrage était le crédit, le prêt hypothécaire. Maintenant, l’hypothèque, c’est une commodité.

La transformation s’est faite à partir du besoin du client. On ne s’obstine pas longtemps quand on demande au conseiller si son client a besoin de [produits bancaires et de différentes formes de prêts] et qu’il te répond que oui. Maintenant, le conseiller ne pense plus qu’il envoie ses clients à la banque, mais qu’il sert ses clients des deux côtés du bilan. C’est comme ça qu’il pense et qu’il va faire croître sa business. À la FBN, on offre du crédit et on réussit à orchestrer ça, en misant sur le besoin client. Toutefois, à la base, on était conscient du clivage.

FI : Selon certaines sources dans l’industrie, la relation entre Gestion privée 1859 et la FBN n’aurait pas toujours simple. Est-ce juste comme point de vue?

DG : Ce fut le cas par le passé, mais aujourd’hui, ce sont de vieilles histoires. Gestion privée 1859 a fêté ses 10 ans cette année. Durant les deux premières années de la formation à 1859, donc il y a huit ans, quand on avait des clients communs, ça tiraillait. Les clients se faisaient solliciter par nous et par 1859 alors qu’avant, ils étaient à la banque. La création de 1859 a créé un sentiment de compétition et ça nous a pris deux ans pour nous ajuster.

Depuis huit ans, la FBN et 1859, on fait plus que cohabiter, on partage tout ce qu’on développe. On a bien trouvé notre positionnement au Québec. La Banque Nationale a réussi à croître davangage en ayant ces deux divisions. Ça ne s’est pas fait l’un au détriment de l’autre.

Aujourd’hui, les conseillers vont te dire que ce n’est plus un enjeu. Pour nos clients qui ont 1 million de dollars et plus à investir, on bénéficie de leur expertise maintenant. Les conseillers des deux divisions se parlent.

FI : Plusieurs s’inquiètent de la relève, un enjeu de l’industrie. Aujourd’hui, est-ce que la grille de rémunération de la FBN permet à des conseillers de partir de rien?

DG : Oui. Cela dit, il y a une attente du marché que les conseillers soient en équipe. Si un conseiller est seul, c’est ardu. Nous ce qu’on fait c’est qu’on engage des conseillers et on les met dans des équipes en tant que conseiller associé. C’est une roue qui tourne entre les conseillers de 30 ans, de 40 ans et de 60 ans. Le conseiller solo (stand alone), on croit de moins en moins à ce genre de modèle, parce que les besoins du client ne peuvent pas être tous adressés aujourd’hui [par un conseiller qui travaille seul]. Qu’un conseiller soit membre ou non d’une équipe, notre grille de rémunération protège les nouveaux conseillers pendant sept ans. Ainsi, on tient compte du fait que c’est beaucoup plus long maintenant, avec les comptes à honoraires, de bâtir une pratique d’affaire viable.

FI : Selon vous, de quoi va avoir l’air le conseiller du futur?

 DG : Les conseillers vont faire partie d’équipes multidisciplinaires réunissant divers talents à haute valeur ajoutée pour les clients. Ces équipes vont ainsi vraiment pouvoir exécuter une offre complète en matière de gestion de patrimoine : crédit, assurance, gestion de portefeuille, planification financière et fiscale, puis tout service connexe. Un jour, on va peut-être encore plus soutenir nos clients dans leurs déclarations de revenus. On n’est pas encore là. Les firmes de courtage, on se positionne vraiment bien pour répondre à l’ensemble des besoins.

Le conseiller du futur, je le vois en équipe avec davantage d’actifs sous gestion et de plus gros books. Beaucoup de sa rémunération sera à honoraire et peut-être que certains services seront offerts à la pièce, comme ce qu’il se fait aux États-Unis. Prenons le cas d’une planification financière : vous êtes prêt à payer pour ça, mais vous n’êtes pas prêt à payer un honoraire chaque année.

FI : Martin Lavigne, patron de la FBNGP, parlait récemment de services service 24/7, et fintech. Qu’en est-il?

 DG : On y croit encore. Nos clients veulent être en interaction avec la FBN de différentes façons. Souvent, ils vont vouloir parler avec leur conseiller. Ils vont lui téléphoner, vont vouloir le rencontrer, parfois ils vont vouloir peut-être faire une petite simulation un dimanche soir pour voir de quoi aurait l’air une planification de retraite en termes de flux de trésorerie. Nous, on fournit alors au client les outils pour qu’il le fasse. On veut permettre à nos clients d’interagir avec nous 7 jours sur 7, 24 heures sur 24. C’est ce genre de possibilités que l’on voit avec les fintechs.

FI : Les fintechs viennent donc améliorer la relation client-conseiller?

 Oui et pour nourrir l’engagement du client. Un client ne veut pas toujours tout faire avec son conseiller, mais il veut qu’on lui rende ça facile. Les outils vont toujours partir du client et revenir au client en interaction avec nos conseillers. Nos conseillers comprennent ça. Quand ils nous voient investir dans des fintechs, ils ne disent plus « Tu essaies de me remplacer », mais disent : « Tu veux m’aider à améliorer mon engagement client. »

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Sylvie Demers est la Personnalité financière de l’année 2019 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/sylvie-demers-est-la-personnalite-financiere-de-lannee-2019/ Thu, 06 Feb 2020 23:56:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=64034 Top 25 2019 – Sylvie Demers, présidente direction du Québec, Groupe Banque TD est nommée « Personnalité financière de l'année 2019 » par Finance et Investissement.

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« Son engagement personnel dans les affaires de TD Québec change les choses. C’est quelqu’un qui est très engagé dans son organisation », ont souligné les membres du jury du Top 25.

L’actif sous gestion des activités québécoises de courtage de plein exercice de la TD est passé de 6,3 G$ à 13,2 G$ de 2015 à 2019, soit une croissance annuelle composée supérieure à celle de l’actif de l’ensemble des sociétés de courtage de détail en valeurs mobilières du Québec, d’après l’Institut de la statistique du Québec. Durant la même période, les revenus annuels de ces activités sont passés de 46,2 M$ à 87,2 M$.

Sylvie Demers a reçu son prix lors de la soirée du Top 25 de l’industrie financière, qui s’est tenue le 6 février 2020 au Windsor, à Montréal.

Un Top 25, cinq catégories

Le Top 25 est divisé en cinq catégories, chacune présentant quatre lauréats et un gagnant. La Personnalité financière de l’année est choisie parmi les cinq gagnants des catégories. Les catégories sont Assureurs de personnes, Institutions financières à portée nationale, Courtiers de plein exercice, Cabinets multidisciplinaires et Sociétés de gestion indépendante.

Ainsi, Sylvie Demers a remporté la catégorie Institutions financières à portée nationale.

Pour sa part, Robert Dumas, président et chef de la direction pour le Québec, Financière Sun Life remporte la catégorie Assureurs de personnes. Denis Gauthier, premier vice-président et directeur national, Financière Banque Nationale, Gestion de patrimoine remporte la catégorie Courtiers de plein exercice. Gino-Sébastian Savard, président, MICA Cabinets de services financiers remporte la catégorie Cabinets multidisciplinaires. Finalement, Robert Beauregard, cofondateur et chef des placements, Gestion d’actifs Global Alpha remporte la catégorie Sociétés de gestion indépendante.

Consultez la liste des lauréats du Top 25 :

Un jury composé de six membres de l’industrie financière du Québec a procédé à la sélection des lauréats du Top 25 :

  • Geneviève Blouin, présidente d’Altervest et présidente du Conseil des gestionnaires en émergence ;
  • Richard Boivin, ancien sous-ministre adjoint aux Politiques relatives aux institutions financières, ministère des Finances du Québec ;
  • Marie Lynne Desrochers, ICD.D, associée chez Ai Outcome et administratrice de sociétés ;
  • Richard Gagnon, président du jury du Top 25, président sortant d’Humania Assurance et administrateur de sociétés ;
  • Vincent Hogue, administrateur de sociétés (au moment des réunions du jury), et depuis janvier, premier vice-président, Clients particuliers, Valeurs mobilières Banque Laurentienne ;
  • Françoise E. Lyon, présidente et associée principale chez DGC Capital et présidente de l’Association des femmes en finance du Québec ;
  • Guillaume Poulin-Goyer, directeur de contenu, Finance et Investissement.

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Le Top 25 2019 de l’industrie financière https://www.finance-investissement.com/dossiers_/top-25/le-top-25-2019-de-lindustrie-financiere/ Thu, 06 Feb 2020 23:56:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=63872 DIAPORAMA – Qui fait partie du Top 25 de l’industrie financière du Québec? Vous le découvrirez ici.

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Le Top 25 de l’Industrie financière 2019

Le Top 25 de l’industrie financière de Finance et Investissement rend hommage à 25 cadres et hauts dirigeants habitant et travaillant au Québec qui se sont illustrés au cours de la dernière année.

Cette année, le Top 25 regroupe:

Personnalité financière de l’année: Sylvie Demers, première vice-présidente, Réseau de succursales, et présidente Direction du Québec Groupe Banque TD

Catégorie Institutions financières à portée nationale

Gagnante: Sylvie Demers, première vice-présidente, Réseau de succursales, et présidente Direction du Québec Groupe Banque TD

Finalistes:

Guy Cormier, président et chef de la direction Mouvement Desjardins

Louis Vachon, président et chef de la direction, Banque Nationale du Canada

Claude Gagnon, président, Opérations BMO Groupe Financier, Québec

Nadine Renaud-Tinker, Présidente, Direction du Québec, RBC Banque Royale du Canada

Catégorie Assureurs

Gagnant: Robert Dumas, président et chef de la direction de la Financière Sun Life pour le Québec.

Finalistes:

Richard Payette, Président et chef de la direction, Manuvie Québec

Denis Ricard, Président et chef de la direction, iA Groupe Financier

Jean-François Chalifoux, président-directeur général SSQ Assurance

Stéphane Rochon, président et chef de la direction Humania Assurance

Catégorie Courtiers de plein exercice

Gagnant: Denis Gauthier, premier vice-président et directeur national, Financière Banque Nationale, Gestion de patrimoine

Finalistes:

Stephan Bourbonnais, premier vice-président et directeur régional, Est du Canada, Services privés Gestion de Patrimoine TD

Paul Balthazard, vice-président et directeur régional, Québec, RBC Dominion Valeurs Mobilières

Frédéric Paquette, Vice-président exécutif, affaires et ventes nationales, iA Valeurs Mobilières

Richard Rousseau, vice-président directeur – Chef de la Gestion de patrimoine, Raymond James Limited

Catégorie Cabinets multidisciplinaires

Gagnant: Gino-Sébastian Savard, président MICA Cabinets de Services financiers

Finalistes:

Gilles et Patrick Cloutier, Président du conseil d’administration et Président et chef de la direction, respectivement, Groupe Cloutier

Robert Frances, président du conseil et chef de la direction, Groupe financier Peak

Christian Laroche, Président, Aurrea Signature

Yan Charbonneau, Président directeur général d’AFL Groupe financier

Catégorie Sociétés de gestion indépendante

Gagnant: Robert Beauregard, cofondateur et chef des placements de Global Alpha

Finalistes: 

Stéphane Corriveau, président et directeur principal Alphafixe Capital

François Bourdon, chef des placements global, Fiera Capital

Louis Allard, Président, Allard, Allard & Associés

J. Sebastian Van Berkom, président et chef de la direction Van Berkom et Associés

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Déterminée à réussir https://www.finance-investissement.com/edition-papier/top-25-de-lindustrie-financiere-du-quebec/determinee-a-reussir/ Sat, 01 Feb 2020 05:58:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=64124 Top 25 2019 - Sylvie Demers carbure aux défis.

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Sylvie Demers ne cesse de gravir les échelons depuis qu’elle a commencé sa carrière au sein de la Banque TD, dès la fin de ses études en finance, il y aura bientôt 35 ans. Depuis sa nomination en 2015 à titre de présidente, direction du Québec, du Groupe Banque TD, les activités de son organisation ont connu une croissance importante dans la province.

Cette performance et son engagement social en font la lauréate du Top 25 de l’industrie financière dans la catégorie Institutions financières à portée nationale et la Personnalité financière de 2019.

Sylvie Demers a fait son entrée dans le milieu bancaire à une époque, pas si lointaine, où les femmes y étaient peu représentées. «J’ai dû attendre un bon mois avant que mes collègues masculins m’invitent à luncher avec eux», se rappelle-t-elle.

À 22 ans, elle traite des dossiers de financement d’entreprises dans une industrie, celle du textile et de la fourrure, qui est dirigée principalement par des hommes et par des anglophones.

«Mon premier client s’est empressé de communiquer avec mon supérieur pour se plaindre que j’étais beaucoup trop jeune, francophone, et surtout que j’étais une femme ! Mais je lui ai démontré que cette situation ne constituait en rien des obstacles pour bien répondre à ses besoins», souligne Sylvie Demers.

Cette anecdote en dit long sur la détermination de Sylvie Demers, qui a su alors relever ce défi et, du même coup, jeter les bases d’une carrière jalonnée de grandes réussites.

Autre atout dans sa manche : «Je n’ai jamais hésité à m’entourer de personnes ayant plus de connaissances que moi dans leur domaine d’expertise. Ce fut assurément un facteur prépondérant dans mon évolution et pour la progression de ma carrière.»

Expériences variées

Après avoir occupé plusieurs postes dans le financement des entreprises privées et publiques, elle a notamment été vice-présidente d’un réseau de succursales, ainsi que vice-présidente régionale et chef de marché auprès des Services aux clients privés, Gestion de patrimoine TD pour l’Est du Canada. Elle a même travaillé dans le secteur de l’assurance à titre de présidente, Marché de l’affinité, chez TD Assurance.

«À plusieurs occasions, mes supérieurs m’ont surprise en m’offrant des postes dans des secteurs où, la plupart du temps, je n’étais pas la plus experte. Mes employés avaient même plus d’expertise en la matière que moi !»

Les dirigeants de la TD voyaient toutefois en elle un sens aiguisé des affaires et de grandes habiletés à prendre les bonnes décisions.

«Elle a réussi à gravir tous ces échelons grâce à sa très grande détermination et à sa maîtrise des différentes activités de la Banque. Quand elle fixe des objectifs, elle s’assure aussi d’établir des mesures pour atteindre les performances visées», dit Bernard Dorval, un ancien dirigeant de la Banque TD.

Autre force : «Ma capacité à évaluer et à développer le talent des gens qui m’entourent, ainsi qu’à créer les bonnes structures organisationnelles. J’ai toujours su motiver mes équipes de travail et maximiser leurs compétences afin d’obtenir d’excellents résultats», se décrit Sylvie Demers.

Disciplinée, ayant une grande soif d’apprendre, elle est aussi très à l’écoute des clients, note Bernard Dorval.

Ses compétences l’ont d’ailleurs amenée à Toronto où elle a été vice-présidente, Initiatives stratégiques, pendant quelques années, avant de revenir au Québec en 2015 pour y prendre les rênes des activités du Groupe TD.

«Si on m’avait dit que j’occuperais ce poste un jour, je n’y aurais sûrement pas cru. Pas par manque d’ambition, mais plutôt par humilité, compte tenu de mes antécédents familiaux modestes», dit Sylvie Demers, qui a grandi à Sherbrooke et est diplômée de HEC Montréal. Son père travaillait dans l’industrie de la construction et sa mère est décédée alors qu’elle n’avait que cinq ans.

Expansion au Québec

Malgré ses 165 ans d’histoire, la TD a mis du temps avant d’avoir une présence marquante au Québec. L’arrivée de Christine Marchildon à la tête des activités québécoises, en 2004, puis la venue de Sylvie Demers qui lui a succédé, en 2015, ont changé la donne.

«Le nom TD résonne davantage dans le paysage québécois, même nos concurrents le reconnaissent», affirme Sylvie Demers, qui est aussi première vice-présidente, réseau de succursales, TD Canada Trust, pour le Québec.

Sous sa gouverne, le Groupe Banque TD a procédé à l’implantation de 180 guichets automatiques dans diverses stations-services. Ce déploiement a plus que doublé le nombre de ses points de service au Québec, qui sont passés de 165 en 2015 à plus de 350 aujourd’hui, dont 129 succursales.

Sylvie Demers n’entend pas continuer de multiplier les points de service, mais la TD souhaite élargir davantage son champ d’action. «Par exemple, un marché comme la Beauce nous intéresse, pour y ouvrir non seulement une succursale, mais aussi un bureau commercial et de gestion de patrimoine», souligne-t-elle.

Il y a une dizaine d’années, le Groupe Banque TD était principalement installé dans la région de Montréal. Aujourd’hui, il est davantage présent dans d’autres régions, comme l’Abitibi, le Saguenay-Lac-Saint-Jean et la Gaspésie.

Au Québec, la TD compte maintenant près de 1,5 million de clients dans ses différents secteurs d’activité, dont les succursales, la gestion de patrimoine, les services bancaires commerciaux et TD Assurance. Ils sont servis par 5 000 employés. De ce nombre, 330 ont été embauchés l’an dernier, dont environ 145 dans les succursales et une quinzaine en planification financière et en gestion de patrimoine.

Sylvie Demers a également rapatrié de Toronto au Québec des postes liés au marketing et aux médias sociaux afin «de mettre en place et d’assurer une gestion optimale des plateformes sociales pour la clientèle francophone».

Le vent dans les voiles

La TD a poursuivi sa croissance au Québec en 2019 grâce à une hausse de près de 9 % de son volume d’affaires (book of business), qui affiche ainsi une augmentation de 30 % sur trois ans et de 43 % au cours des cinq dernières années.

«Valeurs Mobilières TD a le vent dans les voiles et la gestion de patrimoine a grandement contribué aux résultats des dernières années. Nos services bancaires commerciaux prennent aussi de l’ampleur. Les entreprises pensent beaucoup plus qu’avant à la TD pour leurs affaires», affirme Sylvie Demers.

Par exemple, l’actif sous gestion des activités québécoises de courtage de plein exercice de la TD est passé de 6,3 G$ à 13,2 G$ de 2015 à 2019, soit une croissance annuelle composée supérieure à celle de l’actif de l’ensemble des sociétés de courtage de détail en valeurs mobilières du Québec, d’après l’Institut de la statistique du Québec. Durant la même période, les revenus annuels de ces activités sont passés de 46,2 M$ à 87,2 M$.

Pour les services bancaires commerciaux, la TD compte maintenant sept centres bancaires commerciaux au Québec abritant près de 150 employés, alors qu’elle n’avait qu’un seul centre en 2004 et moins de 100 employés. Depuis 2016, les services bancaires commerciaux de la TD ont doublé leur portefeuille de prêts et leurs parts de marché ont pratiquement doublé au Québec, indique la TD.

«Son engagement personnel dans les affaires de TD Québec change les choses. C’est quelqu’un qui est très engagé dans son organisation», soulignent les membres du jury du Top 25.

Sylvie Demers n’a toutefois pas encore atteint ses objectifs de faire passer de 7 à 10 % les parts de marché du Groupe Banque TD au Québec en matière de prêts et dépôts d’ici 2022, notamment en raison de la forte concurrence du marché. Mais elle compte bien y parvenir dans un proche avenir. «Je ne suis pas une sprinteuse, mais une marathonienne», dit-elle.

Au cours des prochaines années, elle entend mettre l’accent sur la transformation technologique du secteur bancaire, en misant sur l’intelligence artificielle, entre autres. «L’objectif est d’interagir et d’aider davantage les clients grâce aux nombreuses données que nous pouvons recueillir et analyser», précise-t-elle.

L’année dernière, la TD a d’ailleurs été reconnue comme la banque numérique la plus novatrice par le magazine Global Finance, grâce au lancement d’innovations comme TD Clari (un robot conversationnel intégré à l’application mobile de la banque), et une application de demande de prêt hypothécaire en ligne.

À lire aussi : Finalistes Institutions financières à portée nationale

Par ailleurs, Sylvie Demers n’hésite pas à prendre le taureau par les cornes en cas de problème.

Par exemple, en mars 2017, un reportage de la CBC rapportait que trois anciens employés de la Banque TD affirmaient avoir subi des pressions pour vendre des produits et services inadéquats ou non nécessaires à des clients. Elle a alors décidé d’organiser des groupes de discussion avec les employés pour prendre leur pouls et s’assurer qu’ils ne ressentent pas de telles pressions, qui sont contraires à la culture de l’institution, assurait-elle en 2017 dans un entretien avec Finance et Investissement. Appelée à faire un bilan de l’aventure, Sylvie Demers soutient que la TD au Québec n’a pas eu de plaintes de clients ni d’employés en ce sens.

Une femme engagée

L’engagement auprès de l’industrie financière et de la communauté est essentiel pour Sylvie Demers.

«Ça fait cliché, mais je trouve important de redonner au suivant. Je ne viens pas d’un milieu riche et je suis chanceuse d’avoir un emploi que j’adore et qui est très bien rémunéré.» Son engagement est d’autant plus important que «j’ai aussi un pouvoir d’influencer les choses», ajoute-t-elle.

«Son implication tant sociétale que sur le plan de son organisation est remarquable. C’est une personne très engagée dans sa communauté. C’est une leader et une mentore auprès des membres de cette communauté», indique le jury du Top 25.

En 2019, Sylvie Demers a été nommée au conseil des gouverneurs de Finance Montréal. Cela s’ajoute à son mandat de présidente du Comité du Québec de l’Association des banquiers canadiens.

Au fil des ans, elle a assumé la présidence d’honneur de diverses campagnes de collecte de fonds au profit, entre autres, du Club des petits déjeuners, de l’Hôpital Sainte-Justine et du Centre de recherche sur le cancer Rosalind et Morris Goodman. Le cancer est une cause particulièrement chère aux yeux de Sylvie Demers, car sa mère, une soeur et un frère sont morts de cette maladie. Elle a aussi participé au Grand cabinet de financement 2012-2013 du CHUM. Depuis 2017, elle est présidente du conseil des fiduciaires de la Fondation du Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM).

«Sylvie Demers est une femme de tête et de coeur. Partout où elle est passée, elle s’est forgé une excellente réputation d’atteindre, voire de dépasser les objectifs. Au MBAM, ce genre de personnalité est essentiel et nous permet de franchir des seuils inégalés», dit Nathalie Bondil, directrice générale et conservatrice en chef du MBAM. Sylvie Demers a notamment actualisé les politiques de gouvernance de la Fondation. Tout s’est fait dans l’harmonie, note Nathalie Bondil. «C’est une leader naturelle qui écoute intelligemment et de manière constructive», précise-t-elle.

Plus récemment, Sylvie Demers a accepté la coprésidence du Cyclo-défi Enbridge contre le cancer au bénéfice du Centre du cancer Segal de l’Hôpital général juif, qui se tiendra en juillet prochain. Le plus gros défi «ne sera pas d’atteindre l’objectif fixé à 4,5 M$, mais plutôt de faire les 200 kilomètres à vélo», dit-elle avec le sourire.

Elle ne devrait pas trop s’en inquiéter, car c’est une sportive aguerrie. Elle a déjà skié sur des glaciers européens et a amorcé des descentes de montagnes par héliski. Un sérieux accident de ski (épaule, bras et côte cassés, affaissement d’un poumon) survenu il y a deux ans a toutefois ralenti ses ardeurs. Ce qui ne l’empêche pas de continuer à skier et à jouer régulièrement au golf, un autre de ses sports favoris.

«Avec l’emploi que j’ai, qui amène notamment plusieurs sorties au resto et dans des cocktails, c’est essentiel de maintenir la forme», conclut-elle.

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Michael Sabia https://www.finance-investissement.com/edition-papier/top-25-de-lindustrie-financiere-du-quebec/michael-sabia/ Sat, 01 Feb 2020 05:56:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=64149 Mention spéciale du jury.

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Le jury du Top 25 de l’industrie financière du Québec souhaite rendre hommage à un dirigeant pour sa contribution exceptionnelle au secteur financier québécois.

Il est arrivé dans un contexte difficile et a été un gestionnaire extrêmement courageux.

Il a redressé la situation de la Caisse de dépôt et placement du Québec de manière spectaculaire.

Il a contribué à la positionner parmi les grandes caisses de retraite de calibre mondial.

Il a développé une méthode de gestion des risques qui semble prémunir l’organisation contre les soubresauts.

Il a travaillé de manière harmonieuse avec son conseil d’administration.

Il est aussi un bon communicateur et il a un bon sens de l’humour.

M. Sabia, bravo pour l’ensemble de vos réalisations !

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Une présence accrue au Québec https://www.finance-investissement.com/edition-papier/top-25-de-lindustrie-financiere-du-quebec/une-presence-accrue-au-quebec/ Sat, 01 Feb 2020 05:55:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=64146 Top 25 2019 - Sous l'impulsion de Robert Dumas, président et chef de la direction pour le Québec de la Financière Sun Life depuis 2014, l'assureur a accru sa présence de façon marquée dans la province au cours des dernières années.

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Les chiffres sont éloquents. La part de marché de la Sun Life, en matière de primes directes souscrites au Québec, est passée de 13,04 % en 2013 à 15,48 % en 2018. Il s’agit du gain le plus important pour un assureur de personnes, d’après le «Rapport annuel sur les institutions financières» de l’Autorité des marchés financiers.

Ce gain s’explique notamment par la forte hausse des ventes annuelles en assurance vie individuelle au Québec : elles sont passées de 38,3 M$ en 2013 à 56 M$ en 2018, selon l’association de marketing et de recherche en assurance vie LIMRA.

Les ventes annuelles en assurances collectives au Québec, qui s’élevaient à 49 M$ en 2013, ont plus que doublé pour atteindre 111 M$ en 2018, selon l’organisme.

La progression la plus spectaculaire provient des régimes collectifs de retraite, secteur dans lequel la Sun Life s’est hissée en première position au Québec. Les ventes annuelles dans la province, chiffrées à 31 M$ en 2013, ont évolué dans une fourchette de 415 à 763 M$ de 2015 à 2018, selon LIMRA.

En conséquence, les actifs gérés au Québec en régimes collectifs de retraite sont passés de 4,7 G$ en 2013 à 7,7 G$ en 2018, soit une croissance annuelle composée de 10,6 %, d’après l’Institut Fraser.

Pour sa part, le nombre d’employés de la Sun Life, qui était de 1 600 en 2011, s’établit aujourd’hui à 2 200, parmi lesquels plus de 800 conseillers.

Ces résultats ont impressionné le jury du Top 25, qui note que «Robert Dumas est un gestionnaire de haut calibre, en plus d’être un gentleman des affaires très apprécié de tous ceux qui le côtoient. Très engagé dans sa communauté et dans le milieu des affaires, il est un actif précieux pour sa communauté.» Robert Dumas est le gagnant de la catégorie Assureurs de personnes.

Plus présente au Québec

L’arrivée de Robert Dumas au sein de la Sun Life – Québec, en 2012, coïncide avec la volonté de l’assureur de s’engager davantage dans la province. «Sur le plan national, la Sun Life avait compris qu’elle ne pouvait pas être plus forte au Canada sans être plus forte au Québec», indiquait-il dans un entretien avec Finance et Investissement, en 2017.

Tranquillement, mais sûrement, Robert Dumas a «modernisé» la filière québécoise de la Sun Life. Par exemple, celle-ci a misé davantage sur son réseau de courtage. Des investissements en technologie ont accru l’efficacité des conseillers. Le recours à Skype et l’usage de la signature électronique, notamment, leur permettent de gagner un temps considérable, et «d’avoir accès à un bassin de clients beaucoup plus large», selon Robert Dumas.

«À partir du moment où on n’investit plus en technologie, on est dépassé», souligne-t-il. Autre innovation : un nouveau canal de distribution, celui des courtiers indépendants, a été mis sur pied au cours de cette période. Il représente à l’heure actuelle une part importante des ventes.

Le Québec, un excellent laboratoire

Aujourd’hui, l’empreinte du Québec sur la Sun Life du Canada est indéniable. Ainsi, les activités canadiennes sont présidées depuis janvier 2018 par un Québécois, Jacques Goulet. La direction canadienne de l’entreprise compte aussi quelques gestionnaires issus du Québec, tels que Robert Dumas et Alexandre Guertin, vice-président principal et premier directeur financier.

«On avait sous-estimé combien on allait apprendre de l’expérience québécoise pour l’utiliser dans le reste du Canada. Le Québec est souvent à l’avant-garde de tous les changements au pays, notamment en matière de réglementation et de conformité», affirme Robert Dumas.

Cette volonté d’innovation caractérisant le Québec emprunte diverses formes. En 2016, par exemple, la Sun Life a inauguré un laboratoire technologique à Montréal, dans le quartier Mile-End. Elle est aussi l’un des partenaires de Luge Capital, qui investit dans des entreprises en démarrage spécialisées en technologies financières.

Par ailleurs, la performance de l’équipe de Robert Dumas a fortement contribué à la croissance des activités canadiennes de la Sun Life. Le bénéfice net de la Sun Life du Canada est passé de 1,7 G$ à 2,5 G$ de 2013 à 2018, soit une croissance annuelle composée de 8,3 %.

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L’exercice 2019 de l’assureur est toutefois moins facile. Le bénéfice net déclaré de ses activités canadiennes pour les trois premiers trimestres s’est élevé à 608 M$, comparativement à 846 M$ pour la période correspondante en 2018.

Robert Dumas voit dans cette baisse une occasion d’adapter la stratégie afin de demeurer pertinent dans un contexte où les taux d’intérêt persistent à rester bas.

«Une raison de ce ralentissement, c’est qu’il y a eu énormément de ventes dans les années précédentes. C’est un répit si on regarde les ventes, mais stratégiquement et tactiquement, c’est une occasion pour nous repositionner», assure-t-il.

Robert Dumas s’est joint à la Sun Life après une carrière de 28 ans en tant qu’actuaire chez Mercer Canada.

Il se définit comme quelqu’un d’engagé. «Quand on veut des résultats plus probants, c’est bien d’être ambitieux, mais il faut surtout être engagé !» dit-il.

Robert Dumas est d’ailleurs reconnu pour son implication dans la communauté. Il est l’un des premiers leaders de l’Effet A, une initiative qui vise à propulser l’engagement professionnel des femmes, et fait partie du programme de mentorat de La Gouvernance au féminin.

L’entreprise qu’il dirige est d’ailleurs sensible aux causes sociales et environnementales. Ainsi, la Sun Life s’est engagée à compter 30 % de femmes à son conseil d’administration et a réussi. Elle soutient des initiatives touchant la santé mentale et les sans-abris. «On a, en tant que société et communauté, une responsabilité de s’engager auprès de ces gens-là quand on en a les moyens», assure Robert Dumas.

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Denis Gauthier aide les conseillers à briller https://www.finance-investissement.com/edition-papier/top-25-de-lindustrie-financiere-du-quebec/denis-gauthier-il-aide-les-conseillers-a-briller/ Sat, 01 Feb 2020 05:53:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=64142 Top 25 2019 - Denis Gauthier, premier vice- président et directeur national de la Financière Banque Nationale, Gestion de patrimoine (FBNGP), a de quoi être fier des conseillers en placement et de leurs équipes.

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Grâce à leurs efforts, l’actif sous gestion (ASG) de la FBNGP au Québec est passé de 50,8 G$ à 70,5 G$ de 2014 à 2019, soit un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 6,8 %. Il s’agit d’une hausse légèrement supérieure à celle de l’actif de l’ensemble des sociétés de courtage de détail en valeurs mobilières du Québec, d’après l’Institut de la statistique du Québec.

La part de marché en courtage de plein exercice, exprimée en actif géré au Québec, est restée assez stable durant cette période, à 28 %, selon la FBNGP. Elle s’établissait à 24 % en janvier 2009.

De 2014 à 2019, le revenu total annuel au Québec du courtier est passé de 313,8 M$ à 394 M$, soit un TCAC de 4,7 % sur cinq ans. Ce taux est inférieur à celui des bénéfices nets (6,7 %) durant cette période, si bien que la marge bénéficiaire a augmenté.

Pourtant, en raison notamment des départs à la retraite, le nombre de conseillers en placement (CP) dans les 42 succursales du Québec a diminué durant cette période : on en dénombrait 465 en 2014, contre 411 en 2019.

«On a gardé tous nos clients et la transition s’est effectuée sur plusieurs années. Nos gens prennent leur retraite chez nous, et non chez nos concurrents. C’est une grande fierté», indique Denis Gauthier.

Leader à l’écoute

Cette réussite tient beaucoup au leadership de Denis Gauthier, qui dirige les affaires québécoises de la FBNGP depuis 2009.

«Il démontre un engagement remarquable tant auprès des conseillères que des conseillers. Son sens de l’écoute est extraordinaire. Il a su s’entourer d’une bonne équipe. Il est un bon leader. Il est aussi présent dans la communauté», souligne le jury du Top 25, qui le nomme gagnant de la catégorie Courtiers de plein exercice.

Denis Gauthier est près des conseillers et sait gagner leur confiance par son dévouement et ses décisions équitables, selon ceux qui l’ont côtoyé. Le fait qu’il ait d’abord été conseiller, et qu’il ait bâti un bloc d’affaires, compte parmi ses forces, d’après Louis Khalil, conseiller en placement à la FBNGP.

«Il a un très grand respect du travail des conseillers, et ceux-ci ont beaucoup de respect à l’égard de son expérience et de son ouverture d’esprit», résume-t-il.

«Si ç’a du sens pour les clients, pour la firme et notre pratique, il va sortir des sentiers battus», ajoute Louis Khalil.

Cette capacité à penser autrement caractérise Denis Gauthier. Par exemple, il a soutenu la création d’équipes de conseillers. Aujourd’hui, 62 % des CP travaillent en équipe. «Personne ne peut être vraiment excellent dans tous les aspects des besoins du client. Les équipes multidisciplinaires, ç’a beaucoup de succès chez nous», affirme-t-il.

Ces équipes favorisent notamment le développement de conseillers de la relève, une tâche qui passionne Denis Gauthier. «C’est une des personnes qui ont le plus de jugement que je connaisse. Il est très généreux de son temps», dit Alexandre Viau, un ancien CP de la FBNGP que Denis Gauthier a conseillé.

Vincent Cliche, CP à la FBNGP, abonde dans le même sens. Denis Gauthier a été son mentor pendant un peu plus d’un an, notamment pour le développement d’affaires et les relations avec les clients. Ses conseils l’ont amené à remettre en question et à renforcer certaines façons de faire. «Il a joué quasiment le rôle d’un psychologue», dit Vincent Cliche.

Bâtir le coffre à outils

Avec son équipe, Denis Gauthier a aidé les conseillers à se préparer à la deuxième phase du Modèle de relation client-conseiller (MRCC 2) en articulant leur proposition de valeur, et à passer à un modèle à honoraires en lançant la plateforme de gestion à honoraires monPATRIMOINE, en 2014.

La direction de la FBNGP les a aussi aidés à devenir gestionnaires de portefeuille discrétionnaires grâce à l’appui d’un service qui leur est consacré.

Pour les soutenir en matière de segmentation de la clientèle, la FBNGP a lancé la plateforme NATgo, qui permet aux clients moins fortunés (moins de 100 000 $ à investir) de recevoir des conseils de représentants salariés.

«Nous avons eu une approche en partenariat avec nos conseillers, explique Denis Gauthier. On leur a dit : « On a confiance que si tu gardes un moins gros client, c’est parce qu’il va devenir rapidement plus gros. Sinon, pour mieux servir tes clients, voici une autre plateforme. »«

«Cela a donné de très bons résultats, car des milliers de clients ont été transférés sans aucune plainte», ajoute-t-il.

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L’équipe de Denis Gauthier a aussi innové pour accroître le nombre de conseillères, notamment avec le programme «Faire la différence : Une approche centrée femmes», dans lequel des conseillères d’expérience agissent comme mentores auprès d’étudiantes d’université pendant neuf mois. «On fait aussi beaucoup de sensibilisation avec certaines adjointes qui ont l’ambition de devenir conseillères», souligne Denis Gauthier.

Et les résultats sont bons. Alors que 20 % des CP de la FBNGP sont des femmes, «la fonction de conseiller en placement associé, qui représente la relève des CP, compte maintenant 27 % de femmes», selon le courtier.

Ce programme offre aussi un soutien aux conseillères qui prennent un congé parental, afin d’éliminer chez elles un stress financier. De plus, le courtier leur permet de transférer temporairement leur clientèle à leurs collègues. Tous ces efforts font que la FBNGP a fidélisé ses CP, malgré le fort maraudage qui a cours dans l’industrie.

Par ailleurs, la FBNGP a réalisé des investissements importants au Québec en 2018 et en 2019, ce qui a accru ses coûts. «Il faut investir pour se donner les moyens d’une croissance à long terme», dit Denis Gauthier.

En 2020, la firme déploiera un nouveau système de gestion de la relation client, Salesforce, qui «rendra le conseiller plus proactif et pertinent à l’égard des événements de vie des clients», dit-il.

Selon Denis Gauthier, le conseiller de demain gérera davantage d’actif et évoluera dans une équipe multidisciplinaire offrant une panoplie de services. La FBNGP entend d’ailleurs continuer de déployer des banquiers privés dans ses succursales.

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Le service financier dans la peau https://www.finance-investissement.com/edition-papier/top-25-de-lindustrie-financiere-du-quebec/le-service-financier-dans-la-peau/ Sat, 01 Feb 2020 05:51:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=64128 Top 25 2019 - L'entrepreneuriat coule dans les veines du gagnant de la catégorie Cabinets multidisciplinaires du Top 25.

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«Mon père était un passionné des services financiers. Il avait la mission de rendre ses lettres de noblesse à un métier longtemps perçu comme le royaume des vendeurs de balayeuses», lance Gino-Sébastian Savard, président de MICA Cabinets de services financiers. Chez lui, la passion du métier coule de source. Les réflexions sur les mérites du conseil humain fusent en abondance. Et le sens de la famille est à l’avant-plan. «On marche dans les pas de notre père», aime répéter Gino-Sébastian Savard, qui a fait évoluer l’entreprise fondée par son père, Denis Savard, en 1986.

Au cours de l’entrevue avec Finance et Investissement, Gino-Sébastian Savard utilise constamment le «nous» à la place du «je». Il est clair que les décisions sont prises en collaboration avec son frère cadet Martin, associé et vice-président exécutif, ainsi qu’avec les autres associés.

Gino-Sébastian Savard est un «leader naturel», souligne son frère Martin. «Il est le visage public de MICA. Il est un excellent vulgarisateur des enjeux qui touchent l’industrie», souligne-t-il.

Les deux frères s’échangent les commentaires élogieux. «Martin est un gestionnaire extraordinaire. On discute des axes de développement de l’entreprise et des chemins à prendre afin d’être toujours là dans 100 ans», dit l’homme de 49 ans.

Forte croissance

Selon le jury du Top 25, «Gino-Sébastian Savard est un entrepreneur de première classe. Très engagé dans sa communauté et dans l’industrie, il prend soin de son entourage et son entreprise croît de façon exemplaire.»

Avec son frère, leurs associés et leurs équipes, Gino-Sébastian Savard a également réussi le transfert intergénérationnel de cette firme de courtage.

Et pourtant, rien n’était gagné d’avance. Lorsque les frères Savard rachètent MICA, au printemps 2008, l’actif sous gestion s’établit à 800 M$. Mais en un an, la crise financière le fait fondre à environ 560 M$.

Près de 12 ans plus tard, l’actif sous gestion a explosé à 4 G$, dépassant le rythme de croissance de l’actif en fonds communs au Québec. Les primes d’assurance en vigueur excèdent 75 M$. Et les 190 conseillers liés à ce cabinet multidisciplinaire affichent un actif sous administration moyen de 21 M$.

Cette progression résulterait en grande partie de la culture familiale propre à MICA. «On veut être la deuxième famille des conseillers, que nous appelons aussi nos clients», dit Gino-Sébastian Savard. D’ailleurs, la firme affiche année après année un Indice FI supérieur à celui de la moyenne québécoise dans le sondage mené auprès de ses conseillers dans le cadre du Top des cabinets multidisciplinaires de Finance et Investissement.

La famille de MICA est rigoureuse et prend les moyens de stimuler les talents de chacun. «On veut aider les conseillers à se dépasser et à déployer leurs ailes. Les conseillers de MICA sont empathiques et comprennent les problèmes et besoins de leurs clients. Et ils passent à l’action.»

Elle a toutefois connu des épisodes difficiles. Rencontrés un à un par les frères Savard après le rachat de 2008, la plupart des 575 conseillers initiaux ont été remerciés. On ne voulait garder que les meilleurs et les plus motivés : il en est resté 75.

«Nos conseillers sont des entrepreneurs, non pas des artisans. Ils fournissent un service essentiel. Et on cherche des conseillers qui en sont convaincus. Lorsque nous interviewons des conseillers qui aimeraient faire partie de MICA, nous leur demandons ce qui les motive. Par exemple, on peut leur demander ce qui arriverait dans un monde dont les conseillers seraient absents», précise Gino-Sébastian Savard.

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Les 92 employés de MICA visent à appuyer leurs talents d’entrepreneurs. «Nous voulons que les conseillers aient le moins de distractions et de soucis possible. Selon nous, ce ratio de près d’un employé pour deux conseillers est unique dans l’industrie.»

De fait, la croissance a été spectaculaire. MICA a fait partie des 500 entreprises en plus forte croissance au Canada entre 2013 et 2018, selon le classement Growth 500 du magazine Canadian Business.

La progression des revenus de MICA s’est établie à 7 % au cours de la dernière année, et à 67 % sur cinq ans. De façon plus spécifique, ses ventes nettes en fonds communs de placement ont crû de 5 % sur un an et de 26 % sur trois ans. En assurance, la progression des primes brutes a atteint 9 % sur un an et 15 % sur trois ans.

La griffe des frères Savard

Quelles actions caractérisent le mieux l’apport des dirigeants de la deuxième génération à la barre de MICA ? «Au début des années 2010, on s’est questionné à fond. On a alors constaté que notre offre aux clients très fortunés était déficiente. On a aussi constaté que les jeunes, particulièrement les jeunes familles, ne recevaient pas toujours une pleine attention des conseillers», dit Gino-Sébastian Savard. Cela a mené à deux grandes initiatives stratégiques.

En 2017, la direction a lancé MICA Signature, un service de gestion privée de type family office.

Plus récemment, l’entreprise a participé au lancement d’Emma, une plateforme web de vente d’assurance vie sous la supervision de conseillers en sécurité financière. «Notre implication financière dans Emma est importante. C’est un beau risque. Deux jeunes conseillers talentueux sont aux commandes de ce site qui rejoindra les jeunes familles partout au Canada», commente Gino-Sébastian Savard.

En août dernier, sa fille aînée, Ann-Rebecca, a été nommée conseillère aux ventes et à l’investissement. «Mon père était fier que ses enfants s’intéressent à son entreprise. Je ressens aujourd’hui cette même fierté», dit ce père de trois enfants.

Très impliqué au sein de l’industrie, Gino-Sébastian Savard est premier vice-président au conseil de la Chambre de la sécurité financière et gouverneur au Conseil des fonds d’investissement du Québec. De plus, il intervient régulièrement dans les médias sur les grands enjeux touchant l’industrie du conseil.

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Finalistes Cabinets multidisciplinaires https://www.finance-investissement.com/edition-papier/top-25-de-lindustrie-financiere-du-quebec/finalistes-cabinets-multidisciplinaires-3/ Sat, 01 Feb 2020 05:50:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=64134 Top 25 2019 - Découvrez les finalistes de la catégorie Cabinets multidisciplinaires.

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Yan Charbonneau

Président-directeur général

AFL Groupe Financier

«C’est un entrepreneur audacieux. Il a pris des paris étonnants qu’il semble être en train de gagner», a noté le jury.

De janvier à la fin d’août 2019, AFL Groupe Financier a connu une croissance annualisée de 10,68 % pour son revenu total et de 150,4 % pour ses profits par rapport à la même période de 2018. Quant à ses primes brutes en assurance de personnes et ses ventes nettes en fonds communs, leur croissance annualisée a été de 11,07 % et de 19,68 % respectivement. De 2016 à 2018, son revenu total annuel a augmenté de 46,6 %, ses profits annuels, de 144,57 %, ses primes annuelles en assurance, de 26,51 %, et ses ventes nettes annuelles de fonds, de 19,05 %.

Robert Frances

Président du conseil et chef de la direction

Groupe financier PEAK

«Il a bâti une société qui s’illustre et il a su bien s’entourer. Il est engagé auprès de son industrie et de sa communauté», a noté le jury.

L’actif sous gestion du Groupe financier PEAK est passé de 10 G$ à 10,4 G$ de 2018 à 2019, enregistrant une croissance de 4 % en un an et de 25 % en trois ans. Cette croissance se reflète aussi dans le nombre grandissant de conseillers au sein de la firme, qui s’établit maintenant à 1 500 professionnels répartis partout au Canada.

Robert Frances s’illustre à travers plusieurs engagements, dont cette année le renouvellement de son poste de coprésident du Cyclo-défi Enbridge contre le cancer.

Gilles et Patrick Cloutier 

Président du conseil d’administration et Président et chef de la direction, respectivement

Groupe Cloutier

«L’entreprise a réalisé un transfert intergénérationnel. C’est une entreprise familiale qui conserve ses caractéristiques propres et qui réussit à se démarquer», a déclaré le jury.

De janvier à la fin d’août 2019, le Groupe Cloutier a connu une croissance annualisée de 3,9 % pour son revenu total et de 7,5 % pour ses profits par rapport à la même période de 2018. De 2014 à 2018, son revenu total annuel a crû à un rythme annuel composé de 11,6 %, ses profits annuels, de 12,67 %, son revenu annuel en assurance, de 7,3 %, et son revenu annuel en épargne collective, de 16 %.

Christian Laroche

Président

Aurrea Signature

«C’est quelqu’un qui essaie de sortir des sentiers battus, d’innover. Avec son équipe, il connaît des résultats notables», a dit le jury du Top 25.

De janvier à la fin d’octobre 2019, Aurrea Signature a connu une croissance annualisée de 11,9 % pour son revenu total et de 10,41 % pour ses revenus d’assurance de personnes par rapport à la même période de 2018. De 2014 à 2018, son revenu total annuel a crû à un rythme annuel composé de 10,05 %, son revenu annuel en assurance, de 17,74 %, et ses résultats opérationnels (avant amortissement), de 32,7 %. Quant à ses profits annuels, ils ont stagné en raison d’investissements massifs en frais de transfert.

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